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Le Mini entre à Port Laf´

Départ transat 6.50 2005 flotte
DR

On ne présente plus le Pôle France Course au Large. Surnommé "la vallée des fous" par Olivier de Kersauson, le centre de Port-la-Forêt (30 athlètes à l’année) dirigé par Christian Le Pape et Loic Ponceau a, au cours des dix dernières années, accumulé des lauriers sur toutes les mers du globe. Réservé à des marins professionnels (ORMA, IMOCA et Figaro), le centre, dont la mission consiste à former et suivre les athlètes de haut niveau dans le domaine de la course au large, va accueillir, début 2006, quatre ou cinq nouvelles têtes :
 
Priorité aux protos
 
"On a de la place pour 4 ou 5 marins. On ne sait pas encore combien on va en prendre, mais il est certain que les skippers devront avoir une approche professionnelle, comme en Figaro", explique Christian Le Pape. Dans un premier temps, les nouveaux pensionnaires devront disposer d’un propotype récent basé à Port-la-Forêt. Les candidatures seront examinés le 3 janvier prochain par un comité de sélection où siègent des élus du centre, le directeur technique national et trois représentants des coureurs. "Par le passé, nous avons déjà accueilli des minis, mais ça n’avait pas vraiment marché car ce n’était pas la même démarche, ni la même approche. Comme le milieu mini s’est professionnalisé, il nous a semblé intéressant de mélanger tout ce monde, d’avoir un brassage".
 
"C’est un essai"
 
Considéré hier encore comme très amateur, le milieu mini a beaucoup évolué au cours des cinq dernières années avec des coureurs et des bateaux mieux préparés. Le dernier exemple en date est celui de Corentin Douguet, ancien figariste, qui a remporté la Transat 6.50 en octobre dernier à Salvador de Bahia : "Voilà quelqu’un qui aurait largement eu sa place chez nous", ajoute le directeur du centre. Pour autant, l’intégration des minïstes se fera en douceur : "C’est un nouvel essai. Nous allons voir si ça colle avec notre philosophie".  Malgré la multiplication des bases d’entraînement (La Rochelle, Lorient et Douarnenez), ça se bouscule déjà du côté des inscriptions. Et vaudrait mieux ne pas tarder car la clotûre des candidatures a été fixée au… 24 décembre prochain.
 
Philippe Eliès
 

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“Dehler Finance BV”” : une nouvelle société Dehler.”

Dehler 47
Dehler 47

L’objectif principal de « Dehler Finance BV » est de :
• Proposer des conseils financiers personnalisés aux clients Dehler et aux importateurs.
• Proposer des financements de bateaux personnalisés via des crédits, des prêts personnels, des crédits secondaires sur état de finition, leasing, crédits relais et des leasing transfrontaliers.
• Proposer des assurances bateaux.
• Des solutions pour les bateaux d‘occasions ou pour les reprises.
• Dehler Finance BV sera, en 2005 et 2006 principalement focalisée sur le marché Européen.

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Le retour du champion

Banque Populaire - Pascal Bidegorry et Lionel Lemonchois - � Benoit Stichelbaut/DPPI
DR

Après l’opération, toujours délicate, de déchargement et de mise à l’eau du multicoque 60 pieds open, sous la houlette de Ronan Lucas, Directeur Technique du Team Banque Populaire, l’équipe s’est affairée à amarrer la monture du skipper Pascal Bidégorry à son quai, situé à la Base des sous-marins de Keroman à Lorient.

Pour le Team BANQUE POPULAIRE, c’est un chantier conséquent mais en toute sérennité qui débute dès demain. Ronan Lucas en raconte les principales étapes qui débutent avant la traditionnelle trève des fêtes de fin d’année : ” pour la fin de semaine, Banque Populaire sera entièrement désarmé et les pièces envoyées à leurs fournisseurs pour check-up complet. Une expertise générale sera réalisée par Jacques Leberre, avec un travail à l’infrarouge et aux ultrasons, permettant de détecter sur l’ensemble de la structure d’éventuels problèmes non apparents et dûs aux sollicitations subies pendant la Jacques Vabre. Cette vérification au “peigne fin” contribuera à chercher et comprendre les causes des avaries mineures subies pendant la Transat Jacques Vabre (fissure sur le bras avant, problème de safran etc…). C’est Antoine Gautier, architecte, membre du team, qui restera “sur le pont” la semaine prochaine pour travailler à l’aspect développement du bateau avec les architectes Nigel Irens et Benoît Cabaret. Après le nouvel an, l’équipe des permanents reprendra le travail à plein temps”.

Fort de l’expérience d’une saison 2005 pendant laquelle l’ex Bayer-Cropscience entièrement revu l’hiver dernier et devenu Banque Populaire IV, a été très sollicité, l’équipe technique pourra aussi apporter les modifications prévues dès le mois de février 05 : ” BANQUE POPULAIRE recevra un nouveau mât, plus léger, déjà en construction en intégralité chez Lorima et CDK. Nous allons apporter des améliorations sur les postes de barre et notamment en vue de la Route du Rhum 2006 (course en solitaire) et travailler à la diminution des frottements en pied de mât pour un envoi plus rapide du geenaker en grand prix par exemple …”

Après une double mémorable victoire dans la Transat Jacques Vabre avec Lionel Lemonchois et au Championnat du Monde des Multicoques 2005, Pascal va pouvoir enfin se reposer et savourer les souvenirs d’une première année époustouflante en tant que skipper du multicoque Banque Populaire.

Les 10 jours de Salon Nautique s’achèvent et avant de repartir en direction des sommets déjà enneigés pour sa première participation aux Trophées de la Communication aux Ménuires*, Pascal Bidégorry apprécie une courte pose de 48h en famille.

* Les Trophées de la Communication, réunissant pas moins de 200 personnes, récompensent les meilleurs reportages sportifs de l’année, élus par un jury de journalistes sportifs.

Source Banque Populaire

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Reeser s´accroche !

Mondial Melges 24 Key Largo 2005
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« C’était comme si je m’étais mis à rouler en sens inverse de la circulation », a expliqué hier Morgan Reeser afin d’illustrer sa tactique sur la ligne de départ. Le skipper, barrant le Melges 24 de Neil Sullivan, menait déjà à l’issue de la première journée de compétition, voilà qu’il a réussi à consolider son leadership, notamment grâce à une victoire dans la première course du lundi. Lors de la seconde manche, l’équipage s’est retrouvé piégé sur la ligne de départ, apparemment sans issue. « La seule chose qui restait à faire, notait Reeser, était de virer bâbord amures et de faire route en sens inverse du paquet, prioritaire donc, juste avant le coup de canon. C’est ce que nous avons fait, et face à une quarantaine de bateaux, ça avait quelque chose d’excitant. »

La tactique osée a fonctionné, et au final l’équipage s’est octroyé une 17ème place, suffisante pour lui assurer 13 points d’avance sur le bateau italien Marrachech Express, second au général provisoire. En haut de l’affiche, la bataille fait rage entre les USA et l’Europe, les équipages américains s’étant emparés de 6 places dans le top 10. On notera la très belle progression de Marrachech Express, mené par Gabriele Benussi (de Trieste), avec une manche de 3 et une de 2 lui permettant de se hisser à la seconde place, ex-æquo avec John Pollard (GB). Philippe Kahn et Russell Coutts sur Pegasus 575 « tombent » à la sixième place après avoir fini 5èmes et 12èmes des deux manches du lundi, tandis que François Brenac et l’équipage français grimpent d’une marche au général, en raison notamment d’une très belle 3ème position lors de la 4ème course.

JB (source Keith Taylor – Mondial Melges 24)

Général provisoire (sur 98 inscrits)

1. Morgan Reeser, Mfatic, Ft. Lauderdale, Fla., 2-8-1-17, 28 points;

=2. Gabriele Benussi, Marrachech Express, Trieste, Italy, 35-1-3-2, 41;

=2. John Pollard, Xcellent, Torquay, England, 17-7-5-12, 41;

4. Brian Porter, Full Throttle, Winnetka, Ill., 26-2-11-4, 43;

5. James Spithill, Luna Rossa, Genoa, Italy, 5-12-25-7, 49;

6. Philippe Kahn, Pegasus 575, San Francisco, Calif., 10-6-21-13, 50;

=7. David Ullman, USA-505, Newport Beach, Calif., 6-40-7-1, 54;

=7. Nicola Celon, Ale Ali, Verona, Italy, 1-22-16-15, 54;

9. François Brenac, Partner & Partners, La Rochelle, France, 22-14-18-3,57;

10. Martin Kullman, New Wave, St. Petersburg, Fla., 18-11-32-9, 70.

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Onorato en Australie

Farr 40
DR

Le Champion du Monde 2005, l’Australien Richard Perini a eu beau faire carton plein en fin de championnat, il doit laisser la victoire finale à l’Italien Vincenzo Onorato qui avait lui débuté en fanfare… Le manager de Mascalzone Latino Capitalia Team pour la prochaine Coupe de l’America était un peu moins à l’aise dans les petits airs fluctuants qui ont balayé la rade de Sydney le dernier jour.
En fait, les Italiens devaient finir derniers ou avant-derniers de la neuvième et ultime manche tandis que les Australiens devaient viser la première place. Et le scénario était loin d’être écrit lorsque Richard Perini virait la première marque en queue de peloton. Mais alors qu’il revenait du diable vauvert, Vincenzo Onorato cumulait les erreurs et plongeait au classement… « Nous n’avions besoin que de battre un bateau. Richard Perini est excellent et il a régaté magnifiquement ce dernier jour. Mais au final, nous l’avons battu six fois sur neuf ! » indiquait Adrian Stead, le tacticien.
Les Sydney 38 régataient aussi en baie de Sydney avec une nette domination de Martin et Lisa Hill.

Classement général après neuf manches (Farr 40 OD class) :
1. Mascalzone Latino (Vincenzo Onorato) 1-1-1-3-4-1-2-2-8, 23 points
2. Evolution (Richard Perini) 2-3-3-7-5-2-1-1-1, 25 points
3. Cydon (Leon Christianakis) 7-2-8-1-1-3-4-7-4, 37 points

Classement général après neuf manches (Sydney 38 class) :
1. Estate Master (Martin & Lisa Hill) 1-1-2-5-1-1-2-2, 15 points
2. Calibre (Geoff Bonus) 13-3-3-2-4-8-6-1, 40 points
3. Acuity (Tony Walls) 2-4-1-8-15-5-4-3, 42 points

DBo. (Source Rolex)

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Lorient – Les Bermudes – Lorient, cap sur 2007

Pogo 40
DR

En 1979, la Transat en double Lorient – les Bermudes – Lorient avait connu, un an après la première Route du Rhum, un énorme succès populaire et médiatique. La course océanique entrait, grâce entre autres à Eric Tabarly, Mike Birch, Marc Pajot, Philippe Poupon, dans le carré restreint des exploits sportifs très populaires.
 
Deux décennies de courses ont suivi. Lorient a été, pendant toutes ces années, au cœur de cette aventure. Acteur fort de cette dynamique, Cap l’Orient a contribué à l’essor d’une nouvelle activité économique.
 
Aujourd’hui, le milieu a évolué, l’aventure a changé de nature. De nouvelles grandes courses ont été créées, de nouveaux ports ont pris leur place dans ce panorama maritime.
 
Pen Duick, qui organise depuis plus de 20 ans une partie de ces courses, est placée au centre de cette activité. Elle a accompagné et contribué à l’évolution normale et la mutation de ce sport en organisant la Course de l’Europe, plusieurs transats au départ de Lorient, le Challenge Mondial Assistance, la Transat Jacques Vabre, etc.
 
Alors que la tendance générale va plutôt, dans les courses actuelles, vers la restriction à une seule classe de bateaux, l’idée est de relancer la notion de course open, c’est-à-dire ouverte au maximum de classes de bateaux océaniques. Dans le calendrier international des grandes courses océaniques, la Transat Lorient – les Bermudes – Lorient se disputera tous les deux ans  et pour la première fois en mai 2007.
 
Retour vers les Bermudes donc pour une course toujours en équipage, toujours Open, ouverte aux monocoques de 40, 50 et 60 pieds et aux multicoques de 50 et 60 pieds. Toujours sans escale mais avec la possibilité d’un arrêt technique aux Bermudes, soit 5 780 milles. Toujours au printemps (mai-juin), soit une période « météorologiquement » parlant assez imprévisible à cause de l’anticyclone des Açores qui a tendance à monter sur l’Europe.
 
Bref, tous les ingrédients qui ont fait le succès de la Transat Lorient – Les Bermudes – Lorient, seront au rendez-vous grâce au soutien de Cap l’Orient et du Conseil Régional de Bretagne. De quoi proposer de nouveaux défis, des batailles inédites aux monocoques IMOCA et aux multicoques ORMA, mais aussi mettre sur le devant de la scène, les nouveaux 50 pieds multicoques et monocoques, ainsi que la Classe 40, cette toute jeune série en pleine expansion.
 
Source Pen Duick

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Tour de chauffe au mondial Melges 24

Melges 24-Championnat France 2005
DR

Philippe Kahn, à bord de Pegasus 575, monte donc sur la seconde marche après deux courses disputées… aux côtés de Russell Coutts à la tactique ! Le team Pegasus ne manque en effet pas de moyens, ni de talent, car du côté du fils Samuel "Shark" (qui on s’en souvient avait été sacré champion du monde de la discipline à seulement 14 ans en 2004), un résultat de 4ème n’est pas négligeable non plus. Mais honneur au leader, Morgan Reeser de Fort Lauderdale en Floride : l’Américain n’est pas un inconnu sur le circuit, puisqu’il a déjà été sacré champion US de la série.

En troisième position, on retrouve James Spithill, qui navigue pour l’occasion en compagnie des frères McKee sous les couleurs de Luna Rossa. Charlie et Jonathan McKee, de Seattle, ont brillé en 49er (médaille de bronze à Sydney, champions du monde 2001) et ont déjà un passé "fourni" sur la Cup. Les conditions légères et variables rencontrées hier ont manifestement réussi à cet équipage de choc.

Côté tricolore, l’équipage Partner & Partners, champion du monde en titre, occupe la dixième place au général après une 22ème et une 14ème place. Les troupes françaises, avec François Brenac, n’ont naturellmement pas dit leur dernier mot mais vont bien sûr être sous haute surveillance de la part de leurs adversaires.

JB (source mondial Melges 24)

Les 10 premiers après 2 manches, sur 59 inscrits

1. Morgan Reeser, Mfatic, Ft. Lauderdale, Fla., 2-8, 10 points;

2. Philippe Kahn, Pegasus 575, San Francisco, Calif., 10-6, 16;

3. James Spithill, Luna Rossa, Genoa, Italy, 5-12, 17;

4. Shark Kahn, Pegasus, San Francisco, Calif., 492, 19-3, 22;

5. Nicola Celon, Ale Ali, Verona, Italy, 1-22, 23;

6. John Pollard, Xcellent, Torquay, England, 17-7, 24;

7. John Bertrand, Fusion M, Annapolis, Maryland, 9-15, 24

8. Brian Porter, Full Throttle, Winnetka, Ill., 26-2, 28;

9. Martin Kullman, New Wave, St. Petersburg, Fla., 18-11, 29;

10. Francois Brenac, Partner & Partners, La Rochelle, France, 22-14, 36

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Le Desafio dans ses murs

Luna Rossa Challenge contre Desafio Espanol
DR

“Nous sommes pleins d’espoir. Notre défi a été monté en très peu de temps et nous sommes quatrième au classement Louis Vuitton des challengers. Si nous maintenons ce rang, nous serons en demi-finale (des challengers), ce qui est notre objectif”, a déclaré à l’AFP Pablo Luiz Rodriguez, porte-parole du Desafio.

Le Desafio, après le tenant suisse Alinghi, est la deuxième équipe à ouvrir officiellement sa base nautique à Valence, où se déroulera mi-2007 la 32e édition de la Coupe de l’America. Le budget du challenger espagnol (60 millions d’euros), que dirige Agustin Zulueta, est d’ores et déjà “couvert à 80 %”, principalement par la compagnie d’électricité Iberdrola, a précisé le porte-parole. Un nouveau bateau (ESP-88) sortira des chantiers navals de Valence en avril prochain et un deuxième voilier sera ensuite construit. La base espagnole, qui a coûté 4,5 M d’euros, est constituée de deux bâtiments ultra-modernes de couleur verte et d’une superficie totale de 4500 mètres carrés, l’un pour abriter les voiliers et l’autre pour la technique et l’administration, a constaté lundi un photographe de l’AFP.

Le Desafio emploie 85 personnes, dont 35 pour l’équipage, et vient d’embaucher comme “entraîneur” pour 2007 l’Anglais Eddie Owen, un vétéran de la Coupe. La bateau espagnol, comme Alinghi, a trois barreurs: Karol Jablonski (Pologne), Jesper Johansen (Danemark) et Santiago-Lopez Vasquez (Espagne). Malgré ses bons résultats dans les régates en flotte lors des derniers “actes” de la Louis Vuitton Cup à Trapani (Italie) en octobre, les media espagnols ont jugé ses performances irrégulières. Emirates Team New Zealand (NZ), BMW Oracle (US) et Luna Rossa (ITA) occupent actuellement les trois premiers rangs du classement général des challengers, devant le Desafio. Un millier de personnes, dont la maire de Valence Rita Barbera, était attendu dans la soirée sur le port pour les cérémonies officielles d’inauguration de la base.

AFP

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Spinlock : gilet médiatique et traitement de corde !

Spinlock - Gilet avec Harnais Deckware
Spinlock - Gilet avec Harnais Deckware

Directeur du Développement de Spinlock, Chris Hill explique pourquoi Deckware a progressé si vite avec les équipages professionnels: “La forme très proche du corps des harnais Deckware procure à l’équipage une liberté de mouvements beaucoup plus grande en bougeant et travaillant sur le pont, ce qui diminue la fatigue.” Les équipages de la Volvo savent qu’un ajustement sûr et approprié est essentiel pour leur sécurité, c’est pourquoi ils apprécient particulièrement le gilet avec harnais Deckware avec sa facilité d’enfilage et d’ajustement dans les moments critiques, où la vitesse de mise en place est cruciale.Après avoir navigué avec un harnais Deckware pour la première fois à la Nokia Oops Cup, Knut Frostad était convaincu et commentait : “Je ne porterai rien d’autre que ça quand j’irai dans les Mers du Sud cet hiver !”Cette saison, Deckware a été utilisé à la majorité des grandes régates, en particulier la Sydney Hobart, le Vendée Globe, l’Oryx Cup, la Runt Gotland, le Tour de France à la Voile, la Rolex Transatlantic, les Swan Europeans, Cowes Week, le Fastnet, la Mini-Transat et la Malta Middle Sea Race. Les favoris de la Transat Jacques Vabre portent aussi des gilets avec harnais Deckware.Ce qui marche parfaitement pour les régatiers est normalement bien pour les plaisanciers. Pour les courses comme le 2005 Atlantic Rally for Cruisers (ARC), les navigateurs expérimentés préfèrent utiliser leur propre gilet avec harnais, maintenu par leurs soins, plutôt que l’équipement du bord. Chris Hill explique: ”Nous connaissons, par notre rapport avec Petzl, l’attitude des alpinistes face à leur équipement personnel de sécurité. Avec Deckware, Spinlock demande aux navigateurs de commencer à prendre en charge leur propre sécurité.”Plus d’infos : www.spinlockdeckware.com

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SLAM en expansion !

SLAM
SLAM

SLAM a son principal business dans les produits techniques, à l´image de son représentant Russell Coutts.
Russell et son équipage porteront SLAM pour toutes les compétitions pour lesquelles ils seront impliqués dans les prochaines années. Mais surtout, à leur tour, ils fourniront à l´entreprise leur expérience de régate pour perfectionner par la suite la qualité des produits qui seront ensuite réalisés et commercialisés au public : on parle à ce propos d´”ingéniérisation”” des vêtements et de leurs procédés de production.

Les vêtements de la ligne Advanced possèdent un contenu technologique élevé et sont donc adressés aux sportifs, aux athlètes et à tous ceux qui ont la nécessité d´utiliser des vêtements très performants et capables d´être hydro-déperlants, transpirants, sûrs, ergonomiques, résistants à l´usure et protecteurs contre le vent.

Le département Research & Developement SLAM a réalisé un grand effort en terme de recherche de laboratoire sur les matériaux, tissus et solutions, en travaillant en étroite collaboration avec les différentes SLAM Sailing Teams engagées dans des régates dans le monde entier. Ce sont les athlètes qui, après les avoir testé “”sur le terrain””, contribuent avec leurs retours à perfectionner et modifier les vêtements.

La marque SLAM est née avec et pour la voile et veut rester solidement liée au monde des régates, même si les lignes d´habillement homme, femme et enfant sont en constante augmentation. L´entreprise transfert dans les collections “”sportswear””, de nombreuses solutions et matériaux utilisés sur des bateaux : c´est la philosophie de contamination entre technique et fashion, adoptée depuis toujours, qui a amené la marque à être identifiée au fil du temps comme synonyme de fonctionnalité, praticité et confort aux plus hauts niveaux.
La production SLAM se distingue par le contenu technologique élevé et le juste équilibre entre design, commodité et sécurité : vêtements réalisés en collaboration avec des entreprises prestigieuses et destinés à un public toujours plus compétent et exigeant.

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