Le constat est simple, sans réparation, Geronimo ne peut pas affronter en toute sécurité les mers du sud et Olivier de Kersauson se voit contraint de mettre le cap sur l´Australie.
Geronimo n´a pas trahi son équipage, l´avarie n´a rien de structurel. “Quand on heurte même une simple planche à plus de 25 nœuds, l´impact est violent “”. Quant au bruit qu´aurait pu faire le choc, impossible de l´entendre dans le brouhaha incessant qui règne sur ces géants.
“”Le choc a eu lieu à la courbure du bras de liaison tribord. L´amorce de rupture fait 30 centimètres, les deux peaux sont séparées et les dégradations autour montrent bien qu´il s´agit d´un choc et pas de problèmes de tension “”. “
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