Sans pression
“Etre sollicité par des étrangers, c´est rare. Je n´ai pas envie de perdre ces connexions-là. Et puis, naviguer, c´est mon métier et mon plaisir””.
Frustré de n´avoir pu participer à l´aventure “”Cheyenne”” en 2004, Thomas Coville a donc sauté sur l´occasion. Et c´est avec une grande facilité que le skipper responsable d´un projet s´est mué en simple équipier : “”C´est génial de naviguer sans avoir la pression du skipper. Même si nous sommes à la bourre, et même si je n´ai tiré mes premiers bords que trois jours avant le départ, l´équipe est géniale. Les gens sont très compétents””.
Après un Trophée Jules Verne avec Kersauson, un Vendée Globe et une Volvo Ocean Race, Coville a donc entamé son quatrième tour du monde, “”mais ce sera mon 6e ou 7e Horn””, précise-t-il.
“
Coville l´Eclectique
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