Si hier, Movistar menait la danse, les classements ont évolué cette nuit, et l’on retrouve au dernier relevé les deux ABN AMRO aux avant-postes : Sanderson pointe 9 milles devant Josse, lui-même talonné à 3 milles par Ericsson. Ericsson dont le navigateur Steve Hayles expliquait, dans un de ses premiers messages envoyés du bord : "De retour en course, la situation est normale; on avance à plus de 20 nœuds, en bataille serrée contre les Pirates qui sont justes à quelques centaines de mètres à notre vent. Je les vois clairement sur le radar, et je fais des commentaires en direct aux gars sur le pont pour leur expliquer comment on s’en sort. Nous n’allons pas mettre le pied à terre avant 6800 milles, et cela semble un peu dingue de se bagarrer pour quelques dizaines de mètres, mais on ne sait jamais quand une petite avance va se transformer en un gros avantage". Régate planétaire, donc…
Cela signifie également que nous allons revivre un second 20 février… mais pour nous, c’est tout ! Le vent n’a pas changé lorsque nous avons coupé cette ligne symbolique, donc cela ne nous a pas affectés plus que ça. Nous ne touchons pas à nos montres, et de toute façon la majorité de l’équipage ne sait même pas quel jour on est, alors… Notre vie est aussi simple que ça !
Aujourd’hui nous naviguions à vue avec Ericsson. C’était amusant et je suis sûr que chacun de nous a appris des choses. ABN AMRO 1 continue à faire preuve d’une vitesse impressionnante. Le reste de la flotte est assez homogène, et on voit bien quand l’un des bateaux réussit un beau coup météo. ABN 1 est tout simplement plus rapide, le bateau va environ 1 nœud plus vite que tout le monde dans les mêmes conditions. Au reaching, ils sont dans leur élément grâce à leur importante stabilité de formes.
Les conditions du jour ont été plaisantes, avec 17 à 20 nœuds de vent, entre 125 et 145° du vent réel, ce qui nous a permis de tenir 17 à 18 nœuds de moyenne. En réalité, la plupart du temps nous étions à 125° du vent réel, ce qui est idéal pour ABN AMRO 1, mais désormais nous sommes sous grand spi, et peut-être allons nous pouvoir gagner un peu sur eux (…)
Mission réussie puisque l’équipe de Mathieu Richard a remporté l’épreuve et s’est ainsi qualifiée pour le "JP Morgan Final" qui aura lieu à Londres du 10 au 12 mars. A cette occasion, le skipper du Team Saba évoque les différentes épreuves de la saison, avec comme principal objectif un retour dans les 5 premiers mondiaux.
Comment s’est déroulée la compétition de ce week-end à Londres ? Mathieu Richard : "C’est la première fois que nous allions sur le "Queen Mary Réservoir" qui est un plan d’eau situé à une trentaine de kilomètres au Sud-Ouest de Londres. Ce week-end, il y avait un très beau plateau avec notamment des skippers comme Ian Williams (GB / n°5 mondial). Nous terminons 2ème du round robin (matchs de qualification), ce qui nous a permis d’accéder directement à la final où nous gagnons 2-0 contre l’anglais Marc Campbell James. Notre bilan du week-end est donc très positif puisque nous repartons avec 8 victoires en 10 rencontres, et une qualification pour la finale du JP Morgan."
Quels sont tes objectifs pour la saison 2006 ? M.R. : "Nous sommes actuellement au 6ème rang mondial, et notre principal objectif est de réapparaître dans les 5 meilleurs mondiaux. Si nous voulons récupérer le classement qui était le nôtre en 2005, nous devons réaliser des performances sur les grandes épreuves, ce qui se traduit par des victoires ou au minimum des podiums. Sinon, il y a 3 épreuves importantes cette année auquel nous allons participer en tant que membre de l’Equipe France de Match Racing : la "Nations Cup" à Cork, le Championnat d’Europe à Hambourg et le Championnat du Monde de match racing aux Bermudes."
Equipage : Mathieu Richard (skipper), Greg Evrad (tactique et régleur de GV), Olivier Herlédant (régleur voiles d’avant) et Mathieu Renault (n°1).
Prochaines épreuves* : Marseille Match Race (du 22 au 26 mars) – Congressional Cup (du 11 au 16 avril à Los Angeles / USA) – JP Morgan Final (du 25 au 29 avril à Londres / GB) – Challenge Trombini (du 7 au 11 juin en Italie) – Internationaux de France (du 2 au 6 août à Pornichet) – Nations Cup (du 5 au 10 septembre à Cork / Irlande) – Championnat d’Europe (du 27 au 30 septembre à Hambourg / Allemagne) – Championnat du Monde (du 16 au 22 octobre aux Bermudes).
* des épreuves pourront s’ajouter à ce programme en fonction des invitations.
Très légers, ces nids d’abeilles structurels, à cellules hexagonales, ont une épaisseur allant de 5 à 150 mm. Ils possèdent de très bonnes propriétés mécaniques, notamment en résistance en compression et aux chocs. Ils sont imputrescibles et sont isolants thermiques et phoniques. Recyclables, ils sont chimiquement inertes et non polluants.
Comme le souligne Richard Filippi, Directeur Marketing et Développement : « Le marché des composites utilise de plus en plus les produits thermoplastiques », l’association du nid d’abeilles polypropylène à un renfort, type Twintex en est un exemple. Ces produits sont très adaptés aux grandes séries, du fait de la facilité et de la rapidité de leur mise en œuvre. Déjà très présents dans le secteur automobile, ils devraient trouver de plus en plus d’applications dans le bâtiment, le nautisme ou les transports ».
« Aujourd’hui nous concevons pour et avec nos clients des solutions nid d’abeilles très spécifiques ». A titre d’exemple ces deux produits sont utilisés : – dans le Bâtiment, pour des portes, panneaux décoratifs et des panneaux de façades à parements métalliques. Ces derniers, qui peuvent atteindre jusqu’à 6 m de long et 0.9 m de large sont légers, rigides, plans, facilement manipulables et ne se déforment pas sous l’effet de la température; – dans le Nautisme, ils servent a réaliser des cloisons structurelles dont l’atout principal est l’amortissement des bruits notamment dus aux vibrations du moteur.
Nidaplast Honeycombs propose des solutions pour l’environnement :
Dans un domaine totalement différent de celui des panneaux sandwichs structurels, nidaplast Honeycombs a développé depuis quelques années un concept breveté de nid d’abeilles, les blocs nidaplast EP, pour le stockage des eaux pluviales. Devenu aujourd’hui, «la référence», ce système est destiné à stocker temporairement les eaux pluviales, les infiltrer ou les envoyer dans les réseaux d’assainissement avec un débit contrôlé. La très grande capacité de stockage des nids d’abeilles alliée à sa forte résistance en compression permet la création de bassins de rétention couverts sous parking, routes, pelouses, chemins piétonniers…
La société Nidaplast Honeycombs :
Leader sur le marché des nids d’abeilles plastiques, nidaplast Honeycombs, filiale du groupe international Etex, double son Chiffre d’affaire tous les 4 ans et réalise plus de 60% de celui-ci à l’export. Installé dans le nord de la France, à Thiant, nidaplast Honeycombs est concepteur et spécialiste du nid d’abeilles extrudé en polypropylène. Depuis 20 ans, l’entreprise développe ses produits pour trois grands marchés : l’Industrie (bâtiment, transports, construction navale & équipements industriels), les travaux publics et les aménagements paysagers.
Nidaplast Honeycombs vous accueillera au Jec Composites Show 2006 au Stand N° F47
Au début des années 30, Paul Sperry se découvre une passion pour la voile. Surpris par la stabilité de son chien sur un lac gelé, il découvre les rainures sous les pattes de ce dernier.
Sur un morceau de caoutchouc, il dessine ces rainures en forme de chevron et les entaille au rasoir… Ainsi est née l´authentique Top Sider, traversant les modes et le temps pour naviguer des quais à la ville.
Le modèle Authentic est l´incontournable chaussure de yachting, sobre, chic et universelle. Confortable et robuste, elle porte les couleurs du nautisme. Ses caractéristiques techniques : • Une semelle étudiée pour le meilleur amorti du pied • Une semelle ergonomique tout confort • Un cuir imperméable • Des finitions main pour le confort et la résistance • Une semelle qui sèche très rapidement pour une meilleure adhérence
Sperry Top Sider propose également une collection féminine, acidulée et pleine de douceur.
Commercialisée en France depuis 8 ans, la marque Musto présentera désormais ses collections de vêtements, chaussures, bagageries ou accessoires nautiques dans son showroom du 11 rue Labie dans le 17ème arrondissement.
La marque Musto est vendue à travers une centaine de points de vente en France. En 2002, la marque a ouvert deux magasins en nom propre à La Trinité et à Paris. Ce showroom exprime la volonté de la marque britannique de s´installer sur le marché français.
Fidèle à la navigatrice britannique depuis ses débuts, Musto continue d´habiller Ellen Mc Arthur en 2006. Sur la Volvo Ocean Race, 5 équipages sur 6 sont habillés en Musto. D´une manière générale, tous les navigateurs des grandes courses choisissent la performance des équipements Musto. Cette performance et la qualité des produits Musto sont disponibles dans une gamme de produits de plaisance, pour toutes celles et ceux pour qui le bateau est un plaisir. Pour tous vos équipements nautiques :
Showroom Musto 11, rue Labie 2, square Gaston Bertandeau 75017 PARIS Métro : Argentine
Heureusement, ces conditions draconiennes ne s’appliquent pas au changement d’équipage. Sébastien Josse a donc pu remplacer pour cette longue étape le Hollandais Gerd Jan Poortman, son n°1 blessé à la tête et au dos dans la manche précédente. C’est un jeune équipier de réserve, le Brésilien Lucas Brun (21 ans), le plus jeune des marins embarqués sur cette course, qui mettra son sac à bord d’ABN AMRO TWO pour cette étape. “Bien sûr, je suis vraiment désolé pour Gerd Jan, indiquait Lucas après cette décision, mais je suis heureux pour moi, car quand j’ai commencé cette campagne, je savais qu’il y avait une forte possibilité pour que je n’embarque jamais, ce qui me frustrait un peu car j’avais vraiment envie de naviguer. Etre sur cette étape qui arrive à Rio, rend la chose pour moi encore plus excitante car Rio est la ville où je suis né et où j’ai vécu jusqu’ici. Mais avant d’y arriver, nous allons avoir beaucoup de milles à faire et il va falloir que je m’intègre dans un équipage soudé depuis le départ de Vigo en novembre dernier. »
Pirates des Caraïbes annonçait également un changement d’équipage de dernière minute, Jeremy Smith (NZ) remplaçant Curtis Blewett (CAN) qui s’est blessé pendant le pit-stop.
Movistar n’a pas eu d’autre choix que de mettre son VO 70 au sec pour réparer sa coque endommagée. Il se voit donc infliger les 2 heures de pénalité qui l’oblige à prendre un départ différé de ce même laps de temps, soit à 16h30 local.
Ericsson a lui fait le choix de tirer le meilleur parti possible du règlement en suspendant sa course devant Wellington dont il a finalement franchi la ligne 48h après le vainqueur Movistar. Pendant ce temps, l’équipe technique du team suédois a réparé un problème électrique sans tomber sous le coup de l’interdiction d’aide extérieur, et a empoché les deux points de sa 6ème et dernière place sur l’étape Melbourne-Rio.
Devant les étraves des 6 VO 70, plus de 6 700 milles via le Cap Horn, situé sur le 56° parallèle Sud. D’abord le Pacifique Sud avec deux “Ice gates” , l’une située sur 48° parallèle Sud entre le 143° et le148°Ouest, puis une seconde, toujours sur le 48° Sud entre le 125° et le 130° Ouest. Ces deux portes obligeront les concurrents à rester au Nord de ces deux portes afin d’éviter au maximum toute mauvaise rencontre avec les glaces.
Sur ce parcours, les concurrents auront deux séries de points à conquérir. Ceux distribués lors du passage du Cap Horn (3.5, 3, 2.5 etc…) puis ceux de l’arrivée (7, 6, 5 etc…).
Tous les espoirs sont donc permis aux adversaires d’ABN AMRO ONE, leader du classement général provisoire, jusqu’à présent peu contesté dans cette course. Sur la dernière étape, on a en effet pu constater que la concurrence avait retrouvé tout son punch après les modifications de structure et d’appendices apportés pendant la longue escale de Melbourne.
Départ de la flotte dans la nuit de samedi à dimanche … pour une arrivée à Rio vers le 9 mars.
C’est à 16 heures hier, au large de Double Bay, que s’est élancée la première manche du J J Giltinan International Championship 2006. Au milieu d’une activité nautique assez folle, où se croisaient lasers, modestes ou imposantes vedettes, répliques de 18 pieds historiques, voiliers grands et petits et autres incontournables ferries, les 31 équipages engagés dans cette prestigieuse compétition se sont repris à trois fois pour couper dans les règles la ligne de départ. Il faut dire que le niveau général proche de l’excellence faisait grimper en flèche le prix des meilleures places. La configuration du site, le vent, les courants, imposaient de partir à gauche.
C’est ce qu’a réussi à faire parfaitement l’équipage américain, habitué du site puisqu’il participe régulièrement aux nombreuses régates australiennes. Au terme d’un long bord de près, il virait en tête Shark Island. Privilégiant la gauche du plan d’eau pendant toute la régate, il parvenait à conserver la tête et maintenir dans son tableau arrière les australiens de Casio Seapathfinder, augmentant même légèrement son avance sur le dernier bord.
Les Anglais de Radii, premiers européens, réalisaient quand à eux une très belle course malgré un départ médiocre, en 24ème position. « Il est très difficile de prendre un bon départ ici car non seulement les bateaux sont plus nombreux qu’en Europe – où ils dépassent rarement la quinzaine, ndlr – mais ils sont tous compétitifs. Les américains sont partis au bout de la ligne et n’ont plus été inquiétés ensuite. Nous avons dû nous battre pendant toute la course pour parvenir à remonter un à un les concurrents, ce dont nous sommes assez fiers puisque nous finissons en 11ème position », expliquait le skipper Andy Richards après la course.
Leurs compatriotes et traditionnels concurrents de Barron & Smithers se plaçaient juste dans leur sillage. Côté français, la satisfaction vient principalement de la progression dans la mise au point du bateau qu’ils ont loué pour l’occasion. « Nous sommes également content de n’avoir rien cassé dans des conditions orageuses instables », précisait Philippe Vallée, équipier d’avant. « Sans compter que nous avons pris un pied énorme dans la deuxième descente sous spi ! ».
Le très haut niveau homogène de la flotte, son importance inhabituelle, la capacité de chaque équipage à progresser rapidement, un système de classement imposant de ne négliger aucune régate, la fierté des équipages australiens promettent de belles batailles…
Incontestablement, le 18 pieds est une belle invention…australienne ! Même si chaque année, et dans des proportions croissantes, le J J Giltinan International Championship accueille des concurrents des quatre coins du monde, la culture vélique et la maîtrise spécifique de la glisse qu’exige le roi des dériveurs planants semble être le fait des navigateurs australiens. Sans oublier qu’ils ont régulièrement dû partager cette suprématie avec leurs voisins néo-zélandais jusqu’au milieu des années 70, sans oublier non plus que les hold-up se sont multipliés ces dernières années (l’anglais Tim Robinson en 1999, l’américain Howie Hamlin en 2002 et 2003 et un autre sujet de sa majesté Rob Greenhalg), il reste très difficile de rivaliser avec des skiffers qui régatent quasiment tous les week-end.
Et ce sera le cas visiblement encore cette année puisqu’au terme de cette première confrontation, ont trouve trois équipages australiens aux trois premières places (respectivement Asko Appliances, récent vainqueur du championnat australien, Casio Seapathfinder, aux avants postes de toutes les plus prestigieuses compétitions depuis trois ans et Fisher and Paykel, dont le skipper Andrew Cuddihy a été plusieurs fois champion du monde de 12 pieds – considéré par beaucoup comme support plus radical encore !).
Le premier « étranger », et non des moindres puisqu’il s’agit du bateau américain Pegasus Racing (qui compte tout de même deux équipiers australiens…), se place en cinquième position, juste derrière Rag and Famish. Viennent ensuite les australiens de Toshiba, Active Air, SSangyong Yandoo puis les premiers anglais d’Hermes/SELS, bientôt suivi en 13ème position des vainqueurs du circuit britannique Radii.
Le seul équipage français, qui a loué un bateau pour l’occasion, a profité de cette première régate pour faire le check list complet des bouts et autres manilles à remplacer. Il termine à une décevante 26ème place.
Mais c’est demain que commence la vraie compétition, avec chaque après-midi un parcours d’une quarantaine de miles, (il en existe six possibles – mouillés en fonction de l’orientation du vent) et des conditions météorologiques annoncées plus musclées. Avec un barème faisant correspondre nombre de point et classement (vainqueur = 1 point, second = 2 points, etc) et une seule manche enlevée si les sept sont courues, la bataille promet d’être rude pour ceux qui visent le haut du classement. Briguer les avants postes tout en se montrant régulier, en conservant une marge de sécurité raisonnable…cette logique sportive plutôt contradictoire trouve avec le 18 pieds l’un de ses développement les plus acrobatiques…spectacle garanti !
“Live Sailing””, l´application développée par Alcatel pour suivre la 32e America´s Cup sur téléphone mobile a reçu le prix ´Best Made for Mobile Sports Infotainment´ (meilleure application sportive pour mobile) de la GSM Association.
Cette récompense a été annoncée pendant la soirée de remise des prix du Congrès Mondial 3GSM (premier événement dans l´industrie de la téléphonie mobile) à Barcelone le 14 février dernier.
L´application “”Live Sailing”” est un produit qui permet aux passionnés de suivre les régates de la 32e America´s Cup de manière interactive, où qu´ils se trouvent dans le monde. Les images virtuelles des régates (sous différents angles), la trajectoire des bateaux, la direction du vent et des informations sur la course sont transmises directement sur l´écran du téléphone mobile.
“”Alcatel est honoré de recevoir ce prix”” a déclaré Etienne Fouques, le Président des Opérations pour les Activités de Communication d´Alcatel Mobile. “”Notre rôle comme fournisseur officiel de new media avec la 32e America´s Cup est l´occasion d´expérimenter et d´explorer de nouvelles solutions media avec les opérateurs et les diffuseurs. Notre mission est de continuer d´être à la pointe pour aider nos clients dans leurs affaires. C´est une preuve importante de notre capacité à fournir des services riches en contenu. “”
“”La 32e America´s Cup est fière de perpétuer la tradition en matière de technologie de pointe grâce à son partenariat avec Alcatel “” a poursuivi Paco Latorre, Directeur de la Communication de l´organisation de la Coupe. “”Depuis l´invention de la radio sans fil – lors du Match de 1899, Guglielmo Marconi fut le premier à transmettre les résultats des courses depuis le plan d´eau aux bureaux de presse de New York – l´America´s Cup a toujours contribué au développement de nouvelles technologies. Cette tradition perdure aujourd´hui avec notre fournisseur en media de nouvelle génération, Alcatel.””
La saison de compétition de l´America´s Cup débute avec les Louis Vuitton Acts 10 et 11, du 11 au 21 mai. Le Live Sailing d´Alcatel sera disponible et vous permettra de suivre toute l´action sur le plan d´eau.