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Nouvelle réponse de ACM au Golden Gate Yacht Club

Final America s Cup team New Zealand  Alinghi
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Selon le directeur général de l’ACM, l’objectif est de faire de la Coupe une épreuve populaire, qui comme le football, attirerait un public plus large. Michel Hodara: "Tout ce qui concernait la Coupe jusqu’ici touchait un public trop haut de gamme. En attirant des partenaires plus grand-public, nous voulons élargir la popularité de l’événement." Hodara comprend que certains veulent garder la Coupe telle qu’elle est, mais il estime que ces gens-la sont détachés de la réalité et ne comprennent pas les attentes du public.
Très critique envers Larry Ellison, qui "perturbe tout le projet", il estime que la requête récente du Golden Gate Yacht Club devant la Cour Suprême de l’Etat de New York pour accélérer le dossier est la conséquence d’une malentendu sur les dates : "Bien que le GGYC ait déposé sa plainte devant la Cour Suprême de New York le 20 juillet, la Société Nautique de Genève n’a officiellement reçu les papiers que le 17 août. Elle devait ainsi réagir à cette plainte avant la mi-septembre et la SNG était justement en train d’étudier la requête. Cependant, cinq jours plus tard, le GGYC est allé devant le tribunal pour demander l’accélération de l’examen du dossier. Le 22 août dernier, la cour a seulement fixé une date pour examiner cette demande d’accélérer les choses. La SNG doit répondre avant le 5 septembre et la Cour examinera le dossier le 10 septembre prochain. Ce n’est pas une victoire pour le GGYC, comme cela a été suggéré. Rien n’a été décidé et le tribunal n’a pas tranché sur quoi que ce soit. Il a seulement établi une date pour l’examen du dossier. Personne ne sait ce qui sera décidé ce jour-là. Le tribunal pourrait accepter ou refuser la requête du GGYC."
Affaire à suivre…

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Danfoss s´associe au défi de l´Atlantique.

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Un nouveau soutien pour Bertand Delesne qui s’élancera à la mi septembre dans la course majeure de la classe Mini : la Mini-Transat.

"Le 16 septembre 2007 la transat 6,50 s’élancera de Fort Boyard vers le Brésil, emportant sur de tout petits voiliers un homme seul.
Danfoss Industrial Automation a décidé de s’associer à l’un de ces hommes, Bertrand Delesne, et de lui apporter son soutien logistique, financier et moral.
Pourquoi ?
– Parce que cette course est le test ultime : Un homme, un Bateau et l’Océan.
– Parce que nos produits, en bons Viking, ont toujours été associés à la navigation, et que la quasi-totalité des navires marchands utilisent des contrôles Danfoss.
– Parce que la course, le bateau et l’homme choisis correspondent à nos valeurs d’efficacité, de respect de l’environnement et de courage.

Pour toutes ses raisons et par passion, l’équipage du département Industrial Automation est heureux et fier d’apporter son soutien à Bertrand Delesne qui court dans la catégorie bateau de série.
Bertrand nous a séduits par sa modestie, sa volonté, et son professionnalisme. Il s’investit depuis plusieurs années pour préparer cette course, point de départ de ce qu’il souhaite être une carrière de coureur au large. Il pourra compter sur Danfoss à ses cotés.

Avec son parcours de plus de 4200 milles marins (7750 kms), cette course respectueuse de l’environnement, sélective mais accessible à tous, correspond aux ambitions de Danfoss Industrial Automation.

Danfoss Industrial Automation et ses distributeurs s’associent pour souhaiter bonne chance à Bertrand."

Source : Danfoss Industrial Automation

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Les Tycoons à la Rolex Maxi Yacht Cup

Konica Minolta
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Quelques stars du business, comme Lindsay Owen Jones, PDG de L’Oréal, Hasso Plattner, fondateur de SAP ou le président de Pirelli, Marco Tronchetti Provera vont retrouver de grands noms de la Coupe de l’America, comme James Spithill, Tommaso Chieffi, Karol Jablonski, Morgan Larson, et Tiziano Nava.
Une nouvelle bataille des géants est en perspective entre le Wild Oats XI de Bob Oatley et l’Alfa Romeo de Neville Crichton, qui voudrait sûrement mettre derrière lui les problèmes techniques, qui l’ont obligé à se retirer de la Rolex Fastnet. Et justement il ne faut pas oublier le Rambler de George David, qui a réussi lors de la Fastnet à arriver à Plymouth peu après le vainqueur en temps réel, ICAP Leopard. A 145 pieds, le plus grand bateau de la flotte sera le plan Dubois, Salperton, mis à l’eau seulement en mars dernier. Belle bataille en vue aussi entre les J Boats, Ranger, triple vainqueur de la Semaine d’Antigua, et l’Américain, Velsheda, qui auront fort à faire face au 118 pieds, Dolphin Viriella de Vittorio Morretti, dans la classe maxi-croisière.

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La Chronique de Capian : ko au premier round, victoire aux points.

Girolet - Roi du Matelas
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La Transgascogne est une épreuve phare du circuit 6.50. Elle tient lieu, tous les deux ans, de dernier match avant la Transat 6.50. Nombreux sont ceux qui viennent s’y jauger et caler leur jeu de jambes avant le grand départ. Elle était, cette année, doublement attendue du fait de l’annulation du Fastnet. Elle a, à sa manière, tenu ses promesses.

Il faut dire que lors du premier round le golfe de Gascogne nous a décoché sa botte secrète. Que la flotte a reçu plus ou moins au niveau de la ceinture…
Pour tout vous dire, trois ris-solent arisé, j’ai fini par passer tourmentin quand le bateau est resté couché. Comme beaucoup, j’ai alors choisi de naviguer de manière conservatrice. Ce qui m’a permis de me placer 5ème à Santander, conservant mes chances pour le retour et ne déplorant que l’envol de ma girouette. Qui a dû, de concert avec ses congénères sur zone, partir vers des climats plus hospitaliers. Les ships espagnols ont été surpris de nos achats en nombre, mais je vous laisse leur expliquer que c’est la saison des grandes migrations.
Inévitablement, pour des bateaux en course dans ces conditions, il y a eu démâtages et avaries. Les plus sérieuses principalement dues à des vagues dopées par le plateau continental. Malgré tout, il faut retenir la capacité de la flotte à « passer » des ces conditions. Je crois d’ailleurs bien avoir entendu un skipper de class 40’ qui accompagnait la course, et ancien ministe, quasiment avouer qu’il aurait préféré son mini dans ces conditions. Qu’ajouter ?
Si ce n’est que c’est une confirmation du travail de la classe, qui est déjà en train de décortiquer les rapports de mer, pour améliorer encore notre sécurité. Que, tous saufs, l’étape à Santander n’en a été que plus appréciée. Et, enfin, que l’avantage d’arriver déphasé par une nav en solo c’est que l’on se met facilement à l’heure espagnole…

Les précédentes éditions allaient à Gijon, et l’accueil m’avait été vanté par tous comme exceptionnel. A peine débarqués, nous avons certes investi, en caleçons longs et bottes, la salle à manger du RCM de Santander. Mais, ce moment d’égarement n’était pas voué à durer. Dès le point du jour, les coureurs qui se présentaient en short et tongs au cerbère se sont heurtés à l’étiquette toute britannique qui sied à ces lieux : pantalon et chaussures fermées. Le blazer est dur à caser dans un mini et ce décalage manifeste a fini par être comique. Sauf quand, sortant juste de l’hopital après son hélitreuillage, bateau quasi coulé, le malchanceux qui expliquait tout cela et aussi souhaiter se rendre au bureau du comité de course, a lui aussi été refoulé parce que ne satisfaisant pas au dressing code. Accueil : Bourgenay 1- Santander 0.

La seconde étape, dans des conditions bien plus maniables, a permis à la compétition de reprendre ses droits. La pétole de la première nuit est même venue nous interdire de fermer l’œil et remettre en jeu les avantages acquis au match aller.
Au matin, je ne vois plus aucun de mes concurrents directs. J’ai le sentiment d’avoir fait une bonne opération. Je suis seulement au contact avec un autre bateau, futur vainqueur en double, qui s’échappera un peu à chaque fois que je prendrais quelques minutes de repos sous pilote en prévision de la nuit à venir. Tout le reste de la course se passera à changer spi pour genaker, pour spi médium, pour genaker…au moins, on est sur la route directe.
J’ai parlé trop vite. A 5 milles de l’arrivée, toujours sous genaker, grosse bascule à droite, je le roule, vire et rentre dans le refus. Mais ça va s’arrêter quand? Quand le vent sera pile dans l’axe du parcours. Je m’en serais bien passé, et coupe la ligne, 3ème, aux premières lueurs du jour. Avec suffisamment d’écart pour prendre la même place au général.

Tous les marins arriveront à bon port, avec tous leurs canots cette fois, tous ensemble vainqueurs aux points de ce nouvel épisode d’une saison 2007 décidément…exceptionnelle.

Matthieu Girolet

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2ème étape des 1000 milles : Cap sur Santander

1000 milles Brittany Ferries
DR

Dominic Vittet mène la flotte
C’est à 10 heures hier matin que les huit monocoques sont partis de Saint Malo à l’assaut des 1000 milles. « Les conditions de cette traversée étaient vraiment très agréables : vent medium, mer plate et après, une magnifique lune. On a beaucoup de chance d’avoir un temps aussi magnifique et agréable, ça risque de ne pas durer! » confiait ce matin Cécile Poujol (Merci les amis). Un vent moyen qui est finalement retombé en baie de Plymouth, laissant les bateaux totalement « empétolés » à l’abord des côtes anglaises. Une approche interminable dont le résultat s’est immédiatement fait ressentir dans les écarts : « toute l’avance a fondu en deux coups de cuillère à pot. » explique Dominic Vittet, premier à avoir franchi la ligne d’arrivée, à 5 heures 49 minutes et 32 secondes (heure française). Une minute et 57 secondes plus tard c’est Damien Grimont sur Chocolats Monbana qui pointait le bout de son étrave, suivi de Peter Harding (40 Degrees), à 15 minutes et 24 secondes du premier.
Instructions de course obligent, les compétiteurs ont dû effectuer une pause de six heures minimum avant de repartir vers Santander. « Cette escale nous a permis de nous reposer. On est maintenant prêts à en découdre. » affirme Eric Galmard sur Dimension One Spa.

Cap sur Santander
Ainsi, après avoir effectué chacun les 6 heures de pause réglementaires, les skippers sont repartis en fin de matinée pour un run de 430 milles jusqu’à Santander. Les conditions au départ étaient sensiblement les mêmes qu’à l’arrivée avec une mer très calme au sortir de la baie. Miranda Merron qui navigue aux côtés de Peter Harding confirme : « Nous voilà repartis dans le petit temps. Après une année de baston, ça nous paraît très light ! »
Ce nouveau round des 1000 milles Brittany Ferries provoquera sans doute plus de bouleversements au classement que ne l’a fait la première manche. Les conditions de navigation sont optimums pour ce run de vitesse avec une accélération du vent prévue dans la soirée ; de quoi creuser quelques écarts en fonction des options choisies.

Verdict mercredi avec l’arrivée prévue des premiers.

Saint-Malo- Plymouth-Ordre d’arrivée (HF) :
1) Dominique Vittet – Atao Audio System – arrivé à 5h 49min 32s
2) Damien Grimont – Chocolats Monbana – à 1min 57sec
3) Peter Harding – 40 Degrees – à 15min 24sec
4) Cécile Poujol – Merci les amis – à 23min 11sec
5) Yvan Noblet – Appart City – à 26min 35sec
6) Benoît Parnaudeau – Jardin Bio Prévoir- à 35min 27sec
7) Eric Galmard – Dimension Spa – à 42min 6sec
8) Jean-Edouard Criquioche – Choice Hotels – à 1h 3min 40sec

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17 multi M2 au Grand Prix de Saint-Prex

M2 sur le Lac Leman
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Une fois de plus le spectacle était au rendez-vous des curieux venus se masser sur les rives. Chacun a pu ainsi profiter d’une météo magnifique et assister à de superbes passages à la bouée sous le vent, idéalement mouillée à quelques dizaines de mètres du bord. Les bateaux, lancés à vive allure malgré ces conditions faibles de vent, ont su maintenir le suspens avec de nombreux chassés croisés en tête de course. Le jury de course sur l’eau veillait au grain et s’assurait du bon déroulement de la régate.
Si les deux premières places du classement général du SAFRAM M2 Speed Tour semblent promises à Team New Wave et Banque Héritage, la bataille promet d’être rude pour la troisième marche du podium et les places d’honneurs puisque sept M2 se retrouvent avec moins de 14 points d’écart entre la troisième et la neuvième place. Une bonne dose de suspens en perspective…
La suite du programme amènera le SAFRAM M2 Speed Tour 2007 en rade de Genève, pour une ultime étape de la saison, à la Société Nautique de Genève (SNG), les 22 et 23 septembre prochain.

 

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Top départ des 1000 milles !

1000 milles Brittany Ferries
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Tanguy de Lamotte sur Novédia Set-Environnement a appris vendredi soir après la jauge de son bateau, la mauvaise nouvelle de son déclassement. A l’issue de ces tests, il s’est avéré que le couple de redressement du bateau était 5% au-dessus de la limite imposée. « Je suis évidemment très déçu. Je vais faire ma course sans possibilité de gagner. Ceci étant, cela va me permettre de me mesurer aux autres et de tester mon bateau. Et puis, ça reste une qualif pour la Jacques Vabre et un super exercice dans des conditions de course » déclarait-il ce matin.
Une course qui se fera donc à huit compétiteurs, tous motivés par le bel entraînement qu’offrent les 1000 milles. Peter Harding sur 40 Degrees confirme: « C’est toujours bon d’avoir la possibilité de réviser une dernière fois ces classiques à l’approche d’une grande Transat comme la Jacques Vabre. On commence en plus à être nombreux sur la Class 40 donc il faut bien identifier le potentiel d’un maximum de skippers. »

La baie du Naye avait fière allure ce matin avec la présence du ‘Bretagne’, navire de Brittany Ferries encadré par tous ces monocoques de 40 pieds. Les conditions météorologiques étaient très clémentes avec un temps très ensoleillé et un vent plus faible que prévu de 5 à 6 noeuds, de secteur Nord-Est. Depuis le Bretagne, la marraine de la course Martine Jourdren, PDG de la compagnie maritime, a pu saluer une dernière fois les skippers via la VHF avant que ces derniers ne forment la ligne. C’est le rochelais Benoît Parnaudeau et son co-équipier Jean-Christophe Caso qui ont, les premiers, dépassé la ligne. A signaler également, Tanguy de Lamotte, qui bien que déclassé, a lui aussi effectué un très beau départ.
Une fois sortis des passes de Saint-Malo, certains comme Dominique Vittet ont envoyé le Spi. Cependant, l’allure n’étant pas des plus rapides, la majorité des skippers sont quant à eux restés sous Génois.
Selon la première cartographie diffusée à 14 heures sur le site de la SNBSM*, se trouve en tête Dominique Vittet sur Atao Système Audio, suivi par Damien Grimont sur ‘Chocolats Monbana’. C’est Yvan Noblet à bord d’Appart City qui arrive en troisième position avant la jeune marseillaise, Cécile Poujol sur son bateau ‘Merci les Amis’. Le groupe reste cependant assez compact et les écarts relativement faibles. Tout reste évidement possible sur ce rail montant, qualifié de véritable autoroute des mers. Les Class 40 devront rester extrêmement vigilants jusqu’à leur arrivée dans la baie de Plymouth.

Straight on Plymouth!
Les premiers skippers sont attendus à Plymouth en début de nuit. Patrick Morvan, qui barre Appart City aux côtés d’ Yvan Noblet, semblait ce matin perplexe face à l’approche des côtes anglaises: « Si on en croit les cartes météo, on va se retrouver dans une sacrée zone de calme en baie de Plymouth. J’ai peur que ça ne dure un bon bout de temps.» En effet, les prévisions météorologiques de ce matin annonçaient un vent très faible. « Ça va se lever en fin d’après-midi » confiait quant à lui, Patrick Celton, directeur de course. Les marins vont effectuer un premier pit-stop de 6 heures qui pourrait coïncider pour certains avec la marée. Il sera sûrement difficile pour certains d’entre-eux de repartir à la fin de l’arrêt. Suspense donc autour de cette première escale des 1000 Milles. La règle du pit-stop reste quant à elle très claire: les écarts entre les bateaux seront maintenus et les navigateurs ne seront pas autorisés à se ravitailler, ni à consulter la météo à terre.
Rendez-vous demain pour les résultats de cette traversée Saint-Malo/Plymouth sur cette première édition des 1000 milles désormais bien lancée.

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Trophée Jean Stalaven dominé par Crêpes Whaou

Trophée Jean Stalaven
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Malgré son déclassement lors de la première manche, jouée vendredi, à cause d’une erreur à un passage de bouée, Crêpes Whaou ! skippé par Franck-Yves Escoffier a rattrapé son retard. Il arrive premier au classement général, suivi par ses dauphins Laiterie de Saint-Malo de Victorien Erussard et Déléage et Diazo de Loïc Escoffier. « Quand Victorien aura un bateau comme le Crêpes Whaou !, lui aussi gagnera quelques manches », plaisantait Franck-Yves Escoffier lors de la remise des prix. « Je navigue sur un formule 3000 alors que les autres ce sont des 4×4, alors c’est normal que j’arrive devant ! »
 
Une bataille serrée s’est jouée aujourd’hui dans des conditions de vent légères (5 à 10 nœuds) entre les trois trimarans les plus performants. Le troisième au classement général, Deléage et Diazo skippé par Loïc Escoffier, le fils du leader de la Class 50’Open, a réussi à mettre en difficulté Laiterie de Saint-Malo. « C’était une belle bagarre », a commenté Victorien Erussard, qui reprend la mer dès ce soir, à destination du Fastnet, pour faire les 1000 miles nautiques nécessaires à sa qualification pour la Transat Jacques Vabre qu’il effectuera en duo avec son co-équipier Fred Dahirel.
 
Le trimaran Jean Stalaven de Pascal Quintin n’était pas en état de rivaliser avec ses concurrents : repêché au large des Açores le 15 mai dernier, le Jean Stalaven participait au Trophée avec un mât de fortune et une coque endommagée. « J’ai hâte d’être au 4e trophée l’année prochaine : on sera là, et beaucoup plus performant ! » annonce le skipper originaire de Plérin.
 
La troisième et dernière journée s’est déroulée dans des conditions de vent légères (5 à 10 nœuds), sur une mer plate et avec un beau soleil. De nombreux spectateurs sont venus à la rencontre des équipages à leur retour au ponton, vers 16h, puis lors de la remise des prix à 17h.
 
Classement général
    1     Crêpes Whaou ! (16 points)
    2     Laiterie de Saint-Malo (19 points)
    3     Deléage et Diazo (19 points)
    4     Avocet 50 (38 points)
    5     Négocéane (38 points)
    6     Delirium (45 points)
    7     PiR2 (58 points)
    8     Jean Stalaven (69 points)

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Vittet – Chabagny au départ des 1000 milles Brittany Ferries

Atao Dominic Vittet Akilaria 40 Class 40
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Parcours alléchant, plateau haut de gamme et diversifié, entraînement grandeur nature… autant d’atouts qui ont séduit Dominic et Thierry pour leur première course en duo. En effet, les 2 compères ont partagé la barre qu’une seule fois, en juillet dernier à l’occasion du Mondial 40’ qu’ils ont emporté haut la main.
« C’est vraiment très excitant pour moi. C’est une toute nouvelle aventure. Je n’ai jamais navigué au large avec quelqu’un à bord de mon ATAO. Cela va nous permettre de tester notre fonctionnement, par exemple : « qu’est-ce que tu manges ? » ironise Dominic.
« Sérieusement, c’est une belle course au large avec une partie côtière à St Malo et toute la pointe de Bretagne. Pour les 2 spécialistes figaristes que nous sommes Thierry et moi, c’est très intéressant. Enfin, nous avons effectué pas mal de travaux sur le bateau cet hiver. Cette dernière grande épreuve avant la Jacques Vabre va nous permettre de valider de nombreux détails et conforter les choix techniques pris. »
 
Aux côtés de 13 autres duos, ATAO Audio System® s’élancera dimanche à 10h00 devant la Cité d’Alet à St Malo. Un petit vent NE fraîchissant doucement dans la nuit devrait accompagner les concurrents pour atteindre 15-20 nœuds lundi et mardi en descendant vers la Bretagne et le nord du Golfe.

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Epilogue de la 38e Solitaire

Jean-Pierre Nicol
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Voilà, c’est fini. Le bon roi Michel est venu rejoindre dans les livres d’histoire maritime les non moins bons souverains Jean et Philippe dans la dynastie des triples couronnés. Il n’est pas certain que la simpliste et médiatique métaphore trop filée plaise aux Desjoyeaux, Le Cam et Poupon, principaux intéressés dans l’affaire (l’inverse est même vérifié, mais dans le genre faux problème ça se pose là), il n’empêche que cette Solitaire Afflelou Le Figaro 2007 a baissé le rideau ce vendredi après-midi en baie des Sables d’Olonne sur une Régate de clôture remportée pour la gloire par le bizuth Jean-Pierre Nicol (Gavotes), dans du tout petit temps – moins de dix noeuds de vent de ouest-nord-ouest et mer calme – très peu représentatif de cette Solitaire marquée par trois étapes sur quatre de conditions musclées.

Ce qui était en revanche plus représentatif de la motivation des marins était le rappel général, puis les rappels individuels ordonnés par le Comité de course lors de la pourtant deuxième procédure de départ. C’était pour rire, certes, mais ce n’était pas une raison pour ne pas être « dans le timing du start », comme ils disent, c’est-à-dire le mieux placé au départ.

A six par bateau, embarquant à leurs bords partenaires, préparateurs et amis, les Figaro Bénéteau II ont offert un joli spectacle en baie des Sables d’Olonne où l’été fait enfin une apparition bienvenue. Après un peu moins de deux heures de course conviviale dans des conditions de demoiselles idéales pour ce genre d’exercice, les équipages de Christopher Pratt et Nicolas Bérenger s’octroyaient les 2e et 3e places derrière Jean-Pierre Nicol, derniers accessits honorifiques de l’épreuve.

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