Thomas Coville : « il réagit vite et offre de belles accélérations. Comme le bateau n’est pas large, il monte rapidement sur une coque. Vive le mât basculant ! On n’a pas encore testé les ballasts. Bien toilé, le bateau est très facile à manœuvrer seul malgré sa taille qui exige une excellente forme physique. Quand tu roules les voiles, tu sens la différence avec le trimaran 60 pieds (18m). Je suis également très satisfait de l’équilibre de barre. Le bateau est parfaitement dans ses lignes ».
Après des premières navigations réussies en baie de Sydney, dimanche le maxi Sodeb’O quittera l’Australie direction Nouméa. Première étape d’un convoyage exceptionnel via Darwin, Bali, les Seychelles, la remontée de la mer rouge, le canal de Suez, la traversée de la Méditerranée. Le bateau devrait atteindre les Sables d’Olonne début septembre.