La Class30 Association est fière d’annoncer la première édition du championnat national C30, qui réunira une impressionnante flotte de 15 Sun Fast 30 One Designs identiques venus du monde entier. Avec des concurrents représentant 5 pays et 4 continents, cet événement unique en son genre met en avant l’esprit véritablement international de la classe.
Le Sun Fast 30 One Design s’est rapidement imposé comme une plateforme de course au large moderne et accessible. Conçu pour rendre la navigation hauturière de haut niveau plus inclusive et durable, ce bateau et sa classe en pleine expansion attirent déjà des marins d’horizons et de régions diverses.
Le championnat national C30 sera organisé à Cherbourg sous la direction sportive du Yacht Club de Cherbourg, avec le soutien de la Class30 Association.
Le projet Class30 est soutenu par ses « pères fondateurs », trois des clubs nautiques les plus prestigieux au monde :
Le Yacht Club de France (YCF)
Le Royal Ocean Racing Club (RORC)
Le Storm Trysail Club (STC)
Ensemble, ces clubs contribuent à ouvrir la course au large à un public plus large, tout en renforçant la portée internationale et le prestige de cette discipline.
Cette première édition du National C30 marque une étape importante : un nouveau championnat dynamique dans une nouvelle classe dynamique, conçu pour inspirer une nouvelle génération de navigateurs au large.
Perspectives d’avenir : le marathon de voile à Cowes
Plus tard en septembre, le calendrier Class30 se déplacera à Cowes (Royaume-Uni) pour un autre temps fort de la saison : le marathon de voile (championnat du monde en double mixte – #ODHWC2025).
Unique par son format, cette course d’endurance au large verra les équipes repousser leurs limites dans des défis de longue distance sans escale à bord du Sun Fast 30 One Design. Tout comme un marathon sur terre, elle exige de l’endurance, de la stratégie et de la résilience – un véritable test des compétences en course au large.
Avec Cherbourg qui accueille le tout premier championnat national C30 et Cowes qui organise le Sailing Marathon 2025, la Class30 affiche déjà ses ambitions internationales : rapprocher la voile au large des marins et des fans du monde entier.
Faits marquants de l’événement :
15 Sun Fast 30 One Design sur la ligne de départ
5 nations, 4 continents représentés
Organisé à Cherbourg sous la direction du YCC
Soutenu par les clubs fondateurs de la Class30 : YCF, RORC, STC
C’est un défi hors norme vers lequel avancent Ian Lipinski et le Class40 Crédit Mutuel, parés à prendre la mer ce dimanche 31 août pour le prologue de la Globe 40 La Grande Route, direction Cadix en Espagne. Première destination de cette deuxième édition de ce tour du monde en Class40, en double et avec escales. C’est un nouveau monde qui s’ouvre au skipper lorientais et à ses coéquipiers, à bord de son fidèle partenaire de courses au large.
L’espace et le temps, voilà le luxe selon Ian Lipinski, comme bon nombre de marins. Avec Antoine Carpentier une partie du temps, puis avec Amélie Grassi, Ian Lipinski fait route vers un tour du monde long de huit mois, séquencés par six étapes, destinations et découvertes dans le même temps, toutes aussi attirantes les unes que les autres : Cadix (Espagne), Mindelo (Cap-Vert), La Réunion, Sydney (Australie), Valparaiso (Chili) et Recife (Brésil) avant un retour à Lorient, où sera consacré le vainqueur.
Des horizons éloignés des engagements habituels du team skipper Crédit Mutuel avec la Class40. Mais pour Daniel Baal, président de Crédit Mutuel Alliance Fédérale : « C’est bien connu…Ensemble, on va plus loin et nous comptons bien sur Ian, Amélie et Antoine pour nous le rappeler. Ce tour du Monde est une occasion unique dans la vie d’un marin. Et je ne doute pas qu’à l’issue de cette aventure humaine et sportive, nous retrouverons un équipage ayant une vision différente du monde sur lequel nous vivons tous. Quelle fierté de les voir porter nos couleurs ainsi, tout autour du monde ».
À 43 ans, Ian Lipinski offre une nouvelle séquence de son histoire d’amour avec l’océan et le vent. Habitué des transatlantiques et des régates européennes, il aborde la Globe 40 comme un changement d’échelle radical : « Ce qui me stimule le plus, c’est de faire un voyage, de vivre les étapes, de voir d’autres endroits tout en me donnant à fond dans une compétition, une expérience que je n’ai jamais vécue », confie le skipper aux douze podiums en vingt et une courses en Class40.
D’autant plus que Ian ajoutera une mission supplémentaire à son objectif sportif. Comme le rappelle Eric Petitgand, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale : « Ian aime partager et faire vivre ses aventures sportives avec tous les collaborateurs, élus et sociétaires de Crédit Mutuel. Cette course autour du Monde sera pour lui une opportunité d’élargir ce cercle et de convier bon nombre de jeunes à partager leur vision de la mer et des océans. Parrain du prochain concours de dessins Eurojeunes, Ian aura à cœur de donner un coup de projecteur personnel sur différentes réalités qui placent les océans au cœur des enjeux sociétaux de notre monde. C’est une dimension supplémentaire qu’il nous fera vivre au gré des différentes étapes et des rencontres faites sur place ou en mer. Nous avons tous hâte de vivre cette course avec lui et avec toute son équipe ».
Pour transformer son Class40 pensé pour les traversées transatlantiques en coureur de tour du monde, Ian Lipinski et son équipe ont renforcé la structure, deux cloisons étanches ayant été ajoutées.
Le matériel embarqué est également plus fourni : « Déjà, il y a un amendement de sécurité qui est à rajouter par rapport au matériel obligatoire des courses habituelles des transatlantiques. On embarque un deuxième radeau de survie, une deuxième balise de détresse, on a installé un chauffage, obligatoire pour les mers du sud, et une nouvelle petite voile de gros temps. Ensuite, tout le matériel qui permet de réparer en mer a été augmenté. On a de quoi faire plus de composite, de quoi plus réparer les voiles ».
L’autonomie énergétique constitue également un enjeu majeur. Ont été rajoutés deux hydrogénérateurs pour sécuriser la fourniture d’énergie, et une attention particulière a été portée à la production d’eau douce, les étapes étant plus longues. « On essaie de ne pas s’alourdir en emportant trop d’eau, mais en même temps d’avoir un bon degré de fiabilité pour produire de l’eau douce », résume le skipper.
Une aventure humaine à trois voix
L’originalité de cette Globe 40 réside dans sa formule en double avec la possibilité de changer un coéquipier à chaque escale. Ian Lipinski s’est entouré d’Antoine Carpentier, 50 ans, navigateur morbihannais au palmarès imposant (cinq victoires sur la Rolex Fastnet Race, trois sur la Transat Jacques Vabre) avec qui il fait équipe depuis 2023, et d’Amélie Grassi, 31 ans, qui a notamment participé à The Ocean Race et sur The Ocean Race Europe sur l’Imoca de Paul Meilhat, brillant depuis le départ de ce tour de l’Europe.
« Dans ce contexte, explique Ian Lipinski, nous avons cherché à créer un système équilibré en ménageant pour moi une phase de récupération. Je ne voulais pas tout faire, parce que cela aurait fait beaucoup, sur huit mois. Il est important que chacun de nous garde de l’énergie et de l’envie. Antoine avait très envie de passer le cap Horn. Même pour moi, c’était un peu compliqué de ne pas vivre ce moment-là ! »
Pour Amélie Grassi, l’enthousiasme est total : « Avec Ian, nos chemins se sont souvent croisés, en Mini en 2018, en Class40 dès 2020, et on s’apprécie. Assez régulièrement, quand il me racontait ses projets à venir, je lui glissais ‘N’oublie pas que ça peut m’intéresser !’, jusqu’au jour où ça s’est réellement présenté. »
Antoine Carpentier partage cette excitation : « Je vais faire ‘quelques milles’ avec des gens sympa sur un bateau qui va vite ! L’exercice sera différent de ce que nous avons l’habitude de pratiquer : nous serons dans un mode course au large, plus que dans un mode régate. Il y a une partie du parcours que je connais très bien, jusqu’au Cap Vert, puis ce sera le saut dans l’inconnu lors de l’étape entre Sydney et Valparaiso. J’ai hâte de naviguer dans le Pacifique, de sentir sa longue houle. Et je vais aussi cocher une deuxième case : passer le cap Horn ! »
Si Ian Lipinski s’avoue « ravi de vivre quelque chose de différent, qui tient autant de l’aventure que de la compétition », cette Globe 40 La Grande Route représente bien plus qu’un simple changement d’horizon. C’est l’occasion pour le Skipper Crédit Mutuel de s’aventurer dans l’inconnu, de découvrir de nouveaux océans et de vivre cette sensation de plénitude que seuls les grands espaces marins peuvent offrir. Un tour du monde à la force du vent. Une inestimable tranche de vie pour les marins.
Bonne nouvelle pour le jeune talentueux Tom Goron de 19 ans.Après une saison 2024-2025 remarquable aux côtés de Sébastien Simon, avec qui le partenariat s’amplifie avec la construction d’un nouvel IMOCA, le groupe Dubreuil renforce son engagement dans la course au large. Il annonce son soutien à Tom Goron pour la Solitaire du Figaro 2025. Une nouvelle étape qui illustre sa volonté de soutenir la nouvelle génération de skippers.
À seulement 19 ans, Tom Goron affiche déjà un palmarès impressionnant. Plus jeune membre du prestigieux Pôle Finistère Course au Large, où s’entraînent de grands navigateurs français, il s’impose comme l’un des espoirs les plus prometteurs de sa génération. Passionné de voile et de sports de glisse depuis l’enfance, il nourrit depuis toujours une fascination pour la mer.
Il débute la régate à 7 ans sur Optimist et ne quittera plus jamais les plans d’eau. Vice-champion de France dans cette catégorie, il poursuit sa progression en classe 29er, décrochant un titre de champion d’Europe et une place de vice-champion du monde U17. Attiré par le large, il participe au Tour de Bretagne en double, avant de s’engager sur le Championnat de France de Course au Large en Figaro 3.
En 2024, pour sa première participation à La Solitaire du Figaro, le plus jeune skipper de l’édition signe une performance remarquée : 14ème au classement général et 2ème bizuth.
Une audace qui ne date pas d’hier ! À seulement 12 ans, il défie la Manche en la traversant seul en Optimist, en 14 heures et 21 minutes, battant même le record jusque-là détenu par Violette Dorange.
« La Solitaire du Figaro est un défi personnel pour moi. Le soutien du groupe Dubreuil me permet de franchir une étape clé, de structurer davantage mon projet et de continuer à progresser. C’est une marque de confiance que je souhaite honorer sur l’eau. Mon objectif sportif est de terminer parmi les dix premiers au classement général. Je veux montrer qu’avec du travail, de la passion et une équipe solide avec le groupe Dubreuil, on peut accomplir de grandes choses, même très jeune. » s’enthousiasme Tom Goron.
Le soutien du groupe Dubreuil pour l’aider à franchir la vague
La rencontre entre le groupe Dubreuil et Tom Goron repose sur des valeurs communes : détermination, exigence et humilité. Fort de ses 6 800 collaborateurs et de ses 52 filiales, le Groupe s’attache à soutenir les talents émergents, qu’ils soient dans ses métiers ou sur les mers.
En supportant Tom, le Groupe souhaite contribuer à l’essor d’un jeune navigateur prometteur, lui permettre de vivre sa passion et atteindre des objectifs sportifs et humains ambitieux.
« Donner sa chance aux jeunes, les aider à grandir et à se perfectionner est une volonté forte du Groupe. Nous sommes heureux d’accueillir Tom dans notre vivier de jeunes talents de la course au large. Seb visait un Top 10 lors du Vendée Globe et a finalement décroché la 3e place sur le podium. Je souhaite le même succès à Tom pour sa deuxième participation à la Solitaire du Figaro ! » explique Paul-Henri Dubreuil, Président-directeur général du groupe Dubreuil.
Dans la lignée de l’IMOCA Groupe Dubreuil skippé par Sébastien Simon, lors du Vendée Globe, le Figaro 4 de Tom Goron arborera fièrement les couleurs du Groupe. French bee s’affichera à tribord, Air Caraïbes à bâbord, tandis que l’ensemble des filiales du Groupe seront représentées sur le mât et la bôme du bateau.
Palmarès de Tom Goron
2025 • Tour Bretagne Voile (Double) : 5ème • Solo Maître CoQ : 1er • Solo Guy Cotten 2025 : 2ème 2024 • Championnat de France Elite de Course au Large 2024 : 18ème & 4ème Bizuth • La Solitaire du Figaro Paprec 2024 : 14ème et 3ème Bizuth • Le Havre – Allmer Cup 2024 : 11ème • Trophée Banque Populaire Grand Ouest : 21ème (en double avec Vincent Biarnes) • Solo Maître Coq 2024 : 27ème • Trophée Laura Vergne : 10ème (en double avec Yvon Larnicol) • Solo Guy Cotten 2024 : 24ème 2023 • Tour de Bretagne à la voile : 19ème (en double avec Lilian Mercier) • Vice-champion de France 29er 2022 • Championnat de France 29er : 3ème • Vice-champion du monde U17 29er • Champion d’Europe 29er • Champion d’Europe U17 29er 2020 • Vice-champion de France en Optimist • Intégration du pôle France en 29er 2018 • Traversée de la Manche en Optimist
Allagrande Mapei a terminé troisième de cette 3e étape et offert son premier podium en IMOCA à Ambrogio Beccaria. Retour sur cette première étape 100% méditerranéenne.
Carthagène – Nice : Dès le départ, la flotte s’est retrouvée piégée dans les petits airs de l’archipel des Baléares sous un vent faible de Nord-Est, obligeant les IMOCA à enchaîner les manœuvres. Dans ce ballet de virements au ras d’Ibiza et de Majorque, Allagrande Mapei s’est accroché, souvent en 3ᵉ ou 4ᵉ position derrière Biotherm, Ambrogio Beccaria et l’équipage soignant chaque trajectoire pour ne pas se laisser distancer.
Le lendemain, la régate s’est transformée en casse-tête au large de Majorque : molles, zones déventées et même quelques reculs forcés ont ralenti la flotte. Allagrande Mapei a retrouvé son duel du leg 2 avec Malizia, tous deux contraints de gérer un retard qui s’élevait à une trentaine de milles. Mais à l’aube, une bascule et un renforcement du Nord-Est ont permis de relancer la machine.
La Méditerranée a ensuite offert son lot de contrastes : beaucoup de près dans une mer hachée, puis quelques précieux bords de reaching permettant à Allagrande Mapei de recoller au duo de tête. Au large de Porquerolles, l’équipage a même osé venir titiller Biotherm et Holcim – PRB, mais l’infernal tandem est resté imprenable.
Il ne restait plus qu’à défendre la troisième marche du podium face à la pression constante de Paprec Arkéa. L’équipage d’Allagrande Mapei a réussi à conserver l’avantage jusqu’à l’arrivée, dans la Baie des Anges, au terme d’un dernier bord très léger et particulièrement incertain. À 06h32 précises, après 2 jours, 17 heures, 32 minutes et 19 secondes de course, Allagrande Mapei coupa la ligne d’arrivée à la 3e place. La Méditerranée aura tenu toutes ses promesses : exigeante, imprévisible et le théâtre d’une belle confirmation pour Ambrogio Beccaria, Thomas Ruyant, Morgan Lagravière, Abby Ehler et Pierre Bouras, récompensés par 5 points et un premier podium.
Ambrogio Beccaria : « Après un début particulièrement compliqué, voici enfin le premier podium d’Allagrande Mapei. Et nous l’avons atteint de la meilleure manière, en y allant crescendo, étape après étape. C’est toujours plus agréable de monter que de descendre, et il reste encore deux marches… ce serait un rêve de continuer sur cette progression. La Méditerranée est une mer anarchique, imprévisible mais incroyable. Il faut beaucoup d’instinct, parfois oublier l’ordinateur et regarder les nuages. C’est la mer où j’ai grandi, et cette étape méditerranéenne a encore été une leçon. L’équipage a mis une énergie de dingue sur cette étape. Thomas, hors quart, a géré la navigation en permanence ; Morgan a réglé et barré comme un fou ; Abby a été impressionnante et inspirante, super solide à chaque manœuvre ; moi, j’étais un peu le couteau suisse, à l’aise en vitesse et en trajectoire, avec ce rôle de motiver et de remettre du charbon quand il faut. Notre système de quart a mieux fonctionné, et on a su gérer notre énergie. Le bateau a encore des trous de performance, mais on le connaît bien, on sait quand dégainer pour avoir une aisance que d’autres n’ont pas. Heureusement il y a eu du vent, et ça nous a permis de faire un beau résultat. »
Thomas Ruyant : « Étape intense et pleine de défis ! Les phénomènes météo venus de l’Atlantique ont rendu la Méditerranée particulièrement dynamique, avec des orages qui ont compliqué la lecture de la mer, ce qui a été encore plus intéressant. Tout au long de l’étape nous avons su nous adapter avec ce que nous avions et avec nos concurrents pour être toujours dans le match. Allagrande Mapei est un bateau conçu pour le large et le portant, plus adapté pour le format Vendée Globe. Face à nous, nous avons des bateaux très polyvalents menés par des équipages solides : une belle motivation pour exploiter au mieux nos forces. A bord, le système de quart progresse, et nous continuons à l’affiner. À quatre, l’organisation est un défi, surtout dans une météo aussi changeante Les étapes sont courtes, les escales aussi, et c’est peut-être là le piège. La course est encore longue, toutes les étapes comptent, et on repart déjà dimanche pour Gênes où nous nous savons attendus.” Nice – Gènes : départ dimanche 30 août à 17h Pour cette étape, le leg jumper d’Allagrande Mapei est Stefano Deri, directeur des ventes de MAPEI Italie. Né et ayant grandi à Savone, il est passionné par la mer et navigue depuis sa tendre enfance : « En grandissant, j’ai continué à vivre la mer sous toutes ses formes : depuis le petit bateau pilote dans le port de Savone, jusqu’aux dériveurs, au windsurf, aux régates, pour finalement devenir armateur de petits voiliers. » « Lorsque l’on m’a proposé de participer en tant que jumper, je n’ai pas hésité : c’était une occasion unique de monter à bord d’un IMOCA 60 et de faire partie d’une équipe de super-voileux. Le projet “Allagrande Mapei” est un projet que je suis avec enthousiasme depuis le début. J’aime qu’une grande entreprise choisisse la voile pour se raconter : c’est un sport qui enseigne des valeurs universelles comme la planification, l’adaptation, la résilience, le travail d’équipe et la responsabilité. » « La voile est bien plus qu’un geste technique : c’est une métaphore de la vie, de la capacité à faire face à l’imprévu, du respect de la nature, de la force de se mettre en jeu chaque jour. À cet égard, il me semble pouvoir apporter, même par un petit geste comme le saut du bateau au départ, ma contribution à une aventure extraordinaire. » Le départ de la quatrième étape entre Nice et Gènes (Italie) sera donné ce dimanche 30 août à 17h et l’équipage composé d’Ambrogio Beccaria, Thomas Ruyant, Morgan Lagravière, Manon Peyre et Pierre Bouras.
L’équipe Malizia de Boris Herrmann a terminé vendredi matin la troisième étape de The Ocean Race Europe, se classant cinquième après un sprint de 650 milles nautiques entre Carthagène, en Espagne, et Nice, en France. L’équipe a dû faire face à des vents changeants, une chaleur étouffante et d’intenses duels tactiques avec ses rivaux, arrivant deux heures et demie derrière le vainqueur de l’étape, Biotherm. Elle se concentre désormais sur sa récupération pendant une courte escale avant le départ de la quatrième étape vers Gênes.
L’équipe Malizia de Boris Herrmann a franchi la ligne d’arrivée de la troisième étape de l’Ocean Race Europe 2025 à la cinquième place vendredi 29 août. Après un sprint intense de 650 milles nautiques depuis Carthagène, en Espagne, l’équipage est arrivé à Nice, en France, à 9 h 42 heure locale (7 h 42 UTC) après 2 jours, 18 heures, 42 minutes et 53 secondes en mer. Face à six concurrents de taille, le skipper Boris Herrmann (GER) était accompagné des co-skippers Francesca Clapcich (ITA/USA), Cole Brauer (USA), Loïs Berrehar (FRA) et de la journaliste embarquée Flore Hartout (FRA/NED) pour cette étape exigeante à travers la Méditerranée.
« Cela n’a peut-être pas toujours été évident vu de l’extérieur, mais cela a été intense et très difficile tout au long de la course », a commenté Boris Herrmann après son arrivée à Nice. « Les manœuvres par vent faible peuvent parfois être encore plus difficiles que par vent fort. Nous avons tout eu : des conditions difficiles avec de petites voiles d’avant aux spinnakers. Nous avons utilisé toutes les voiles, ce qui n’est pas le cas sur la plupart des étapes, donc l’action était constante et la course vraiment agréable. »
Le skipper allemand ajoute : « Je suis vraiment fier de l’équipe. Ils ont travaillé incroyablement dur et nous avons été en vue de nos concurrents tout au long de la course. Au final, cela n’a pas suffi, mais nous aurions pu monter sur le podium. Ce fut une étape fantastique, très amusante, et je suis vraiment fier de l’esprit qui a régné à bord et de la façon dont nous avons travaillé ensemble. »
Dès le départ à Carthagène, la pression de la troisième étape était palpable. Avec une ligne de départ courte et un premier tronçon au vent, l’équipe Malizia de Boris Herrmann a dû rester vigilante pour bien se positionner. « Nous avons été pleinement concentrés dès les premiers instants », explique-t-il. Espérant un changement de vent favorable, l’équipe Malizia a opté pour une route plus au sud vers la porte de pointage, mais cela n’a pas suffi pour obtenir des points. Au cours des 650 milles nautiques suivants jusqu’à Nice, Malizia – Seaexplorer est resté dans le top 5, échangeant fréquemment ses positions avec ses rivaux, avant que Biotherm et Team Holcim-PRB ne se détachent finalement, laissant une grande partie de la flotte dans le calme plat près des îles Baléares, sous une chaleur étouffante.
Le navigateur Loïs Berrehar n’a pratiquement pas dormi, car les orages et les conditions météorologiques changeantes l’ont obligé, lui et Boris Herrmann, à repenser constamment la meilleure stratégie. « Nous avons couru à portée de vue l’un de l’autre pendant longtemps, cela a été très intense », a déclaré Loïs Berrehar. Lorsque le vent s’est enfin levé jeudi, l’équipe a filé à toute allure dans des conditions très rapides sur une mer agitée vers un point de passage au large de Saint-Tropez, avant de mettre le cap sur la Corse.
Jeudi après-midi, le comité de course a publié une modification du parcours qui a déplacé la dernière marque de virage de la troisième étape de l’île de Giraglia (un îlot rocheux au nord-ouest de la Corse) vers un point de passage virtuel situé 20 milles plus au nord-ouest. Cette modification a permis de maintenir la flotte à une distance sûre d’un contournement nocturne potentiellement dangereux du « rocher », dans des conditions météorologiques annonçant des orages et des vents violents.
Après avoir contourné le dernier point de passage au milieu de la nuit, Team Malizia a mis le cap au nord-ouest en direction de Nice. Après deux jours et demi de course intense, l’équipage de Malizia a franchi la ligne d’arrivée 2 heures et demie après Biotherm, vainqueur de la troisième étape, et seulement 21 minutes derrière Team Paprec Arkéa, quatrième, s’assurant ainsi la cinquième place d’une étape où le classement final ne reflétait pas pleinement les efforts et la détermination sans faille de l’équipage.
« Nous avons eu un peu de tout, avec des vents de 0 à 30 nœuds, et certaines autres équipes ont même eu plus », a déclaré la co-skipper Francesca Clapcich. « Nous avons vraiment tout donné, et à la fin, nous n’étions qu’à environ un mille derrière Team Paprec Arkéa, essayant de les rattraper jusqu’à l’arrivée. C’est comme ça, nous avons poussé le bateau, nous nous sommes poussés les uns les autres pour donner le meilleur de nous-mêmes, mais au final, chapeau bas aux autres équipes. Elles ont mieux navigué à quelques moments clés, elles ont été un peu plus rapides et elles nous ont battus. C’est le sport, et c’est ce qui rend la compétition si passionnante, d’accoster presque en même temps après une lutte si serrée pendant ces journées difficiles en mer. »
L’équipe profite maintenant d’une brève escale dans le sud de la France avant de mettre le cap dimanche sur la quatrième étape vers Gênes. Peu après le départ, les bateaux s’affronteront pour être les premiers à franchir la porte de pointage à Monaco, où l’équipe Malizia espère marquer des points dans ses eaux territoriales. Loïs Berrehar quittera le bateau après deux étapes, et le cofondateur de Team Malizia et vice-président du Yacht Club de Monaco, Pierre Casiraghi, rejoindra l’équipage à bord du Malizia – Seaexplorer. « Je suis très impatient de courir avec Pierre », a commenté Boris Herrmann. « Il va apporter une énergie nouvelle, nous aurons un équipage solide avec Francesca et Cole, et passer devant Monaco sera sans aucun doute un moment fort de cette étape. » La 4e étape débutera le dimanche 31 août à 17h00, heure locale, à Nice.
Team Biotherm, skippered by Paul Meilhat, winner of Leg 2 of The Ocean Race Europe 2025 in Cartagena, Portugal, on August 23, 2025. (Photo by Jean-Louis Carli / The Ocean Race Europe 2025)
L’équipage de Biotherm a remporté la 2e étape de The Ocean Race Europe. Après une fin d’étape au ralenti sous la côte espagnole, l’équipage de Paul Meilhat s’offre une nouvelle victoire sur The Ocean Race Europe et s’envole au classement général.Cinq jours et demi après avoir quitté Portsmouth, le Biotherm (FRA), skippé par Paul Meilhat, a remporté le maximum de sept points. Après les vents violents dans le détroit de Gibraltar, c’est dans les conditions presque calmes de la Méditerranée qu’ils ont réussi à dépasser les leaders, le Team Paprec Arkéa. Ils ont ensuite conservé leur avance en longeant la côte jusqu’à Carthagène, en Espagne.
Après le Fly-By à Matosinhos, au Portugal, Team Paprec Arkéa (FRA), mené par Yoann Richomme, a pris un excellent départ et a réussi à dépasser Biotherm en tirant parti des vents forts du sud. Dans les vents forts d’ouest du détroit de Gibraltar, ils comptaient plus de 22 milles nautiques d’avance sur Biotherm, deuxième, et Team Holcim – PRB (SUI), troisième. Cependant, une erreur coûteuse a permis aux deux poursuivants de rattraper et finalement de dépasser l’équipe de Richomme. Team Paprec Arkéa a terminé troisième, près de trois heures et demie après Biotherm.
Dans la nuit noire, Biotherm a franchi la ligne d’arrivée de cette deuxième étape à 4h53, heure locale, après 5 jours, 10 heures, 53 minutes et 49 secondes de course depuis Portsmouth. Sur cette étape qui compte double, et après avoir été premier à l’escale intermédiaire mercredi au Portugal, le bateau français rafle à nouveau la mise. Auteurs d’un sans faute depuis le départ de Kiel, Paul Meilhat, Amélie Grassi, Sam Goodchild, Jack Bouttell et leur OBR Gautier Lebec, cumulent actuellement 25 points, en tête du classement général provisoire.
Premiers mots de Paul Meilhat à quai : “C’est une joie immense. Nous avons une bonne dynamique, cela se passe super bien à bord. L’étape était très longue, la plus longue de The Ocean Race Europe, avec les deux tiers de la course au portant dans du vent soutenu, autour de 20 nœuds. Ce ne sont pas les conditions que l’on affectionne pour Biotherm qui est plutôt un bateau de reaching, de près ou de vent médium, mais on a réussi à pas lâcher, même si Paprec Arkea allait plus vite que nous et nous a bien distancés à un moment. On savait que cette course allait se jouer dans les transitions, il y en a eu plein, au cap Finisterre, ce qui nous a permis de gagner à Porto. Ensuite, après Gibraltar, nous avons eu aussi une grosse transition en entrant en méditerranée, ce qui nous a aussi permis de repasser devant la flotte, puis de contrôler, avec des conditions plutôt favorables pour nous sur la fin.”
Paul est ensuite revenu sur le moment où ils ont pu reprendre l’avantage sur l’équipage de Yoann Richomme : “Au sud du Portugal, Paprec Arkéa était décalé à un mille dessous et nous avait bien distancés. Heureusement, on a eu un vent d’ouest incroyable en sortant de Gibraltar. On naviguait à 30 nœuds sur mer plate et puis, d’un coup, on s’est tous arrêtés et il fallait essayer de savoir un peu où ça allait repartir. Ça a marché là pour nous mais cela s’est joué à pas grand chose. On savait que sur cette étape, même si il y avait du retard à un moment, tout allait peut être se jouer sur la fin.“
Amélie Grassi commentait à son tour : “C’est incroyable d’avoir mis trois fois sept points au classement, plus les deux “Scoring Gate”, j’ai encore un peu du mal à le croire mais c’est excellent et on va savourer. Parfois, tu gagnes mais cela n’est pas simple à bord mais là tout est fluide, très constructif. On apprend les uns des autres et aussi sur le bateau, un peu plus à chaque étape. On sent que l’on repousse à chaque fois un peu plus de curseur et tout cela en faisant de plus en plus de blagues. On ne se connaissait pas forcément tous au départ mais là on sent qu’il y a une amitié qui se crée avec une bonne énergie, c’est top.”
Team Holcim – PRB a pu suivre Biotherm dans des conditions de vent favorables et a également dépassé Team Paprec Arkéa pour terminer à seulement 90 minutes des leaders. Après un début de course difficile, empêchée de participer à la première étape en raison d’une collision, l’équipe Holcim – PRB a réussi à remonter au classement grâce à une troisième place au Fly-By de Matosinhos, suivie d’une impressionnante deuxième place à Carthagène. Aux premières lueurs, Franck Cammas revenait sur cette manche qui fait du bien au moral et au classement : “Nous allons très bien et cette deuxième place à Carthagène est un très bon résultat pour nous, surtout après ce qu’il s’est passé à Kiel, c’est un bon retour. Troisièmes, seconds, j’espère qu’on pourra encore faire mieux en arrivant à Nice. Nous sommes dans le match, avec les meilleurs bateaux et équipages de la flotte. Biotherm est rapide tout le temps, ils n’ont pas de points faibles, au près bien sûr et ils vont aussi de mieux en mieux au portant. Paprec Arkéa est vraiment très rapide au portant. Pour la suite de la course, ce sera surtout du près et du vent léger, cela va être difficile de battre Biotherm mais la course est encore longue.“
Le marin revient également sur la deuxième moitié de l’étape : “Depuis Porto, nous sommes partis très vite au portant, avec des vitesses supersoniques, notamment la première journée. Nous étions très contents car c’est dans ces mêmes conditions que l’on avait perdu une place en arrivant sur Porto. On a réussi à trouver des solutions et c’est satisfaisant. Après, les conditions ont totalement changé, en approche de Gibraltar. Dans le petit temps, on avait une position favorable de chasseurs plutôt que de chassés donc on avait toujours l’espoir de grappiller dans chacune des transitions pour revenir et c’est ce qu’il s’est passé.”
Avec un maximum de 25 points récoltés à chaque étape, Biotherm reste le bateau à battre. Mais alors que la course fait une pause et se dirige vers Nice pour la prochaine étape, les conditions de navigation ont changé et toutes les équipes ont désormais l’occasion de se démarquer dans les dernières étapes de la course.
9 équipages prendront le départ du prologue de la 2e édition de la GLOBE40 le dimanche 31 août, dont 8 feront le tour du monde. Cela représente 37 skippers à ce jour inscrits dans les différentes étapes, 12 nationalités distinctes. C’est le grand rêve autour du monde, un projet qui dépasse tout en durée, en engagement, en exigence et leur seule présence sur la ligne de départ est déjà une réussite : 8 projets avec chacun une forte personnalité, une détermination affichée d’aller jusqu’au bout, et un niveau de préparation technique et sportive élevée.
Pour saluer le pays hôte du Grand Départ de Cadix, l’organisation a invité au prologue la skippeuse espagnole Aina Bauza Roig et sa co-skipper française Axelle Pillain lauréates de la 3ème édition de Cap pour Elles, programme de féminisation de la course au large, sur leur Class40 n° 175 ENGIE – Dessine – moi la High – Tech; une belle mise en valeur dans une épreuve ou le quart des skippers – chefs de projet sont des femmes et ou plusieurs skippeuses d’avenir seront présentes comme Amélie Grassi , Djamila Tassin, ou Julia Virat.
Les équipes engagées
N°93 : WILSON AROUND THE WORLD : Lisa Berger /Jade Edwards – Liney (Autriche): C’est l’histoire d’une skippeuse autrichienne qui après sa mini-transat en 2023 s’est dit qu’elle ne pouvait pas en rester là avec la course au large et que le rêve de tour du monde s’imposait. Certes le n°93 est ancien mais avec une belle renommée ( vainqueur de la CIC Normandy Channel Race avec Sam Goodchild ) et surtout avec l’expérience de professionnel du nautisme de Jade au Pays de Galles a subi une refonte complète de près d’un an. Ces deux-là ont sacrément envie et ” nous serons peut être l’un des bateaux les plus anciens mais sachant que tout est possible dans ces longues courses au large, cela ne fait que renforcer notre motivation à bien faire et aller vite”. Et WILSON c’est qui dans tout ça ? une belle sensibilité de sa skippeuse pour donner un nom et une âme à ces quelques tonnes de résine, et on dit que le chien de Lisa qui a fait un tabac sur les réseaux sociaux pourrait bien essayer d’embarquer lui aussi..
N°128 : WHISKEY JACK de retour ! (Canada) Mélodie Schaffer et son incroyable team de revenants de la 1ère édition ! pot-pourri de toutes les autres équipes : l’américain Craig Horsfield, le hollandais Ysbrand Endt ( vainqueur en titre) , le champion de multicoque australien Paul Stratfold et au milieu de tout cet aéropage cosmopolite une guide de haute – montagne, récente et passionnée coureuse au large, Julia Virat. C’est l’histoire d’une skippeuse canadienne, égérie de la 1ère édition, qui a forcé l’admiration de tous en 2022/2023 par sa détermination, et par sa tenacité surmontant de multiples difficultés sur un projet et un bateau qui a connu à peu prés toutes les avaries possibles et imaginables. Et qui par un beau soir dans le plus grand club du Canada à Toronto a fini par être récompensée comme Canadian Rolex Sailor of the Year, devant l’équipe canadienne de Sail GP..Elle revient avec un projet plus structuré mais probablement avec pas moins d’envie pour celle qui détient le record des 24 heures en mer sur l’épreuve et gagné une étape. Le seul problème dans tout ça c’est qu’il va falloir revoir tous les horaires car les effusions d’adieux au ponton de Melodie aux autres équipes à chaque départ sont des moments d’anthologie dont le photographe Jean-Marie Liot ne perd jamais une miette..
N° 139 : FREE DOM : Thibaut Lefevere / Maxime Bourcier / Victor Jost / François Martin (France): L’Océan Indien s’invite sur la GLOBE40 ! C’est l’histoire d’un skipper, Thibaut Lefevere, chef d’entreprise vivant à la Réunion , qui après une première expérience réussie sur une transat Jacques Vabre , retourne travailler sur la belle ile de l’Océan Indien mais murit un projet encore plus fou : faire le tour du monde ! et réussit à convaincre à nouveau son partenaire, une radio hors norme, FREE DOM, en quasi-monopole sur l’ile et à qui on dit tout, en créole très souvent, pour s’engager dans l’aventure. Et qui en plus se met en tête de convaincre l’organisateur de faire une étape sur l’ile, grande première, et lequel au final dit oui. Bref “l’ile intense” va nous produire une équipe “intense” et très certainement une “étape intense” avec un grand programme d’animation avec la couleur et la chaleur de ce bout de France, de ce magnifique morceau du bout monde, malmené par les cyclones comme récemment le Cap- Vert, et qui baigne dans les cultures européenne, africaine, indienne, chinoises…
N°151 : BARCO BRASIL : José Guiherme Caldas / Luiz Bolina (Brésil) De la médecine de haut vol à la course au large ! C’est l’histoire d’un angolais devenu brésilien et un des neurochirurgiens les plus connus au brésil et dans le monde, arpantant les conférences internationales et medecin personnel du Président Lula du Brésil. Et qui depuis toujours a choisi la mer comme antidote à son autre vie dans les hopitaux : coureur au large déja renommé, il a gagné en particulier CapeTown / Rio et la Refeno, plus grande course au large au Brésil entre Recife et l’archipel Fernando de Noronha . Alors progressivement l’ambition monte et on vend le Class40 n° 107 pour acheter le 151 pour être compétitif sur la GLOBE40 car il arrive un moment ou le coureur au large ne peut s’acomplir qu’en montant la marche ultime , le tour du monde.. projet préparé de longue date, rupture dans une vie chargée, accomplissement personnel, passion de la course.. Monsieur le Professeur on ira pas vous demander si vous avez passé le certificat ” First Aid”… et derrière ce projet une volonté de communication forte sur un projet aux couleurs du pays pour populariser la course au Brésil, le Barco Brésil ; et les couleurs sont chaudes comme devrait l’être l’escale à nouveau au Brésil à Recife, au coeur du Nordeste.
N°152 : JANGADA RACING : Richard Palmer / Rupert Holmes (GB): Du Solent au tour de la planète. C’est l’histoire d’un citoyen de sa majesté ténor de la voile IRC, champion du RORC 2022, vainqueur de la Transat du RORC, actuel Vice-Commodore du célébrissime RORC avec son compère Rupert Holmes, journaliste régulier de Yachting World, 1ère magazine mondial nautique au monde en diffusion, excusez du peu, et qui aurait pu jusqu’à la fin de ses jours nautiques parcourir le Solent dans tous les sens et aligner les Fastnets ; et au lieu de cela le team se lance un incroyable nouveau défi, passer en Class40, traverser la Manche pour voir ce que font ces frenchies sur leurs drôles de machines et surtout faire un tour du monde.. ça tombe bien une nouvelle épreuve à peu prés sérieuse vient de se terminer, a ramené toutes ses équipes.. alors on achète dés 2023 le 152, Class40 Tyker trés performant, et on se lance en Class40, en particulier sur la Normandy, expérience un peu brutale la 1ère fois, l’épreuve ne se laisse pas amadouer comme ça, avec une vraie satisfaction pour la seconde, “finisher” d’une édition 2025 particulièrement sévère. Mais une bonne expérience à prendre en attendant les mers du sud sur un bateau qui aura aussi comme la plupart des autres concurrents passé un long hiver en chantier avec un haut niveau de préparation.
N°187 : BELGIUM OCEAN RACING – CURIUM : Jonas Gerckens / Renaud Dehareng / Benoit Hantzberg / Djamila Tassin (Belgique) La Belgique à l’assaut du monde ! C’est l’histoire d’un skipper belge, Jonas Gerckens, à qui la course au large a apporté un mélange de fortes satisfactions mais aussi d’épreuves dans l’adversité ; de celle qu’il a vécu sur une Route du Rhum contraint à l’abandon suite à une infection puissante il en a fait un trés beau film, sans doute avec autant de contenu que le récit d’une victoire, comment encaisser, se reconstruire et repartir de l’avant.. et là une autre histoire se mêle, celle d’un chef d’entreprise brillant, Renaud Dehareng, développant une société de pointe dans la médecine nucléaire, Curium, et qui fait la une des magazines internationaux de business… mais on est aussi passionné de mer et de course au large; et quand l’un rencontre l’autre ça fait le Belgium Ocean Racing team et comme on a peur de rien on part autour du monde pour ne pas faire comme les autres des circuits classiques..on ajoute à cette cuisine d’autres ingrédients comme la talentueuse belgo-espagnole Djamila Tassin, récente propriétaire d’un Class40, et le skipper pro Benoit Hanztberg, voilier de son état. Un projet conçu comme un quatuor, actant l’arrivée des fameux scow sur la GLOBE40 avec le n° 187, donnant déjà des migraines à la direction de course pour estimer le niveau de l’augmentation des vitesses moyennes entre les deux éditions.. vite en tout cas, y aurait bien dans l’air quelque chose du genre du record sur 24 heures en Class40 dans les mers du sud, à moins que l’on choisisse la prudence pour durer.. oui mais que ferons les autres ? voyage certes mais beaucoup de course aussi au programme.
N° 189 : NEXT GENERATION BOATING AROUND THE WORLD – Lennart Burke / Melvin Fink (Allemagne) C’est l’histoire de deux jeunes skippers, 26 et 23 ans, qui après un parcours déjà riche au large ( Mini-Transat, Jacques Vabre, CIC Normandy) , ont l’opportunité , 4 mois avant le départ et à la veille exactement de la clôture des inscriptions, de se lancer dans le grand défi autour du monde. Avec l’ambition de marcher dans les traces d’un grand ancien – quoique encore jeune – Boris Hermann, a qui véritablement “emballé” l’Allemagne avec ses exploits autour du monde. C’est l’ambition d’être le plus jeune équipage en course autour du monde et de penser “social” et “non seulement de naviguer pour la victoire mais aussi pour montrer ce qu’il est posssible de réaliser lorsque des jeunes choisissent de diriger, de persévérer, et de rêver à l’échelle mondiale”. Un défi qui semble passionner les foules allemandes car ces jeunes skippers sont aussi très bons communicants et capable comme ces dernières semaines – avant même le départ- de générer plusieurs millions de vues sur leurs réseaux sociaux.. la course va être là aussi entre 8 projets qui non seulement ont de belles histoires à raconter mais en plus savent les raconter dans une forme moderne et attrayante.
N°202 – CREDIT MUTUEL – Ian Lipinksi / Antoine Carpentier / Amelie Grassi (France); “last but not least” le n° du Class40 affole les compteurs : 202 .. à 10 numéros à peine du dernier Class40 mis à l’eau en 2025. Mais qu’allait donc faire dans cette galère ? Aprés avoir collectionné pendant des années les victoires ( Mini-Transat en proto et en série -Transat Jacques Vabre – CIC Normandy – 2ème sur la Transat CIC ) un coureur de premier plan décide d’abandonner ses petits camarades à leurs jeux habituels et de raconter une autre histoire.. une autre histoire ? un tour du monde, pensé comme une aventure sportive, les réflexes seront toujours là, mais aussi familiale, personnelle.. comme si sa passion du planeur avait conduit Ian à regarder les choses de haut… regarder l’essentiel et revenir avec une expérience de coureur océanique autour du monde et avoir pris de l’épaisseur sur tous les autres plans. Quant au bateau, aprés avoir révolutionné le marché avec le premier scow – le 158 en 2019 – ce nouveau plan a prouvé sur la dernière Normandy après un travail de mise au point qu’il était bien dans le top niveau de la Class40.Des petits camarades de jeu comme Antoine Carpentier – pas assez de place pour le palmarès – et Amelie Grassi – récente vainqueur du Fastnet sur l’ultime VSR – ne devraient pas faire baisser le niveau de l’équipage.
Un mot pour ceux qui ne partent pas : pourtant sérieusement engagés avec l’achat d’un Class40 dédié au projet les équipes VOGUE AUTOUR DU MONDE ( Class40 n°101 – Stéphane Hunot et Benoit Lequin ) et ESATCO de Nicolas Guibal ( Class40 n°141) ont du très récemment renoncer n’ayant pu boucler leur budget ; leurs cagnards qui ont même été produits les attendent pour la 3ème…
LE PROGRAMME DU PROLOGUE A LORIENT Lundi 25 août : arrivée de tous les Class40 – ponton A – Lorient la Base face à la Capitainerie Du lundi 25 au vendredi 29 : contrôle des équipements Du mardi 26 au vendredi 29 : accueil de 300 enfants et accompagnants des centres de loisirs des communes de l’aggloméraion de Lorient Jeudi 28 : webinaire Bretagne Sailing Valley ” les nouvelles ambitions de la Class40″ Vendredi 29 : briefing sécurité Samedi 30 : briefing départ
Le programme du départ le dimanche 31 août :
11.00 / 11.20 départ individuel de Lorient La Base de chaque concurrent – accompagnement musical par le Bagad de la Ville de Lorient ( à confirmer )
12.00 : départ symbolique sur le Scorff face à l’hôtel de l’Agglomération – départ parade un par un sous voile
12.45 / 13.00 à la sortie du chenal rencontre avec l’événement YAKA PADDLE à Larmor PLage – 400 paddles saluent le départ des “tourdumondistes” avec un globe géant de 6 m ( à confirmer)
14.00 – départ course sous les Courreaux de Groix – parcours côtier et marque à passer à la Pointe du Talud puis la pointe de Pen Men à babord
Ambiance sur le village de la Solitaire du Figaro Paprec 2024 - Rouen le 22/08/2024
Le village de la 56e édition de La Solitaire du Figaro Paprec ouvrira ses portes à Rouen, ville de départ pour les 35 solitaires du 30 août au 5 septembre. Une nouvelle édition qui devrait laisser les marins s’exprimer sur des parcours engagés, le long des magnifiques côtes normandes, bretonnes et espagnoles, avec de mythiques points de passage comme le rocher du Fastnet, la Pointe du Raz et le Cap Finisterre.
Tous trépignent d’impatience. Si cette période estivale semble plus propice au farniente, le mode solitaire est déjà enclenché dans l’esprit des 35 marins qui vont prendre le départ de la 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec le 7 septembre prochain. Les Figaro sont déjà à l’eau, certains s’entraînent dessus, d’autres s’emploient à parfaire leur préparation sur d’autres supports mais l’objectif de cette saison est bel et bien ce rendez-vous incontournable qui va alimenter les débats et susciter toutes les convoitises.
La ville de Rouen en fête Dès le samedi 30 août, les 35 skippers de cette nouvelle édition 2025 de La Solitaire du Figaro Paprec seront présents à Rouen pour une magnifique fête le long des quais de la Seine. Après avoir remonté le fleuve depuis Le Havre, c’est à 20h50, une fois que le pont Flaubert aura soulevé son tablier, que les marins prendront place pour 6 jours de festivités, d’animations et de rendez-vous avec le public. La ville de Rouen sera donc une nouvelle fois au cœur de la course. Des rendez-vous incontournables sont déjà planifiés à l’image de l’inauguration officielle du village qui se tiendra le dimanche 31 août à 14h30. S’en suivra la grande présentation des skippers, certainement le moment le plus attendu par le public à 15h30.
Chaque jour, à partir du lundi 1er septembre, des séances de dédicaces seront organisées entre les marins et le public. Un échange toujours particulier qui permet aux petits et grands de partager un moment avec ces marins hors du commun. (lien vers le programme du site). Le journal de La Solitaire, animé par Serge Herbin, se tiendra tous les jours avec de nombreux invités qui apporteront leur regard et leur analyse sur cette course qui fait intégralement partie du patrimoine maritime français. Outre les très nombreuses animations autour de la voile et de la mer, le point d’orgue de cette semaine de fête sera le grand départ des skippers le vendredi 5 septembre à partir de 12h30. Après une longue descente de la Seine, le long des méandres du fleuve, c’est au Havre que les marins vont s’amarrer pour, une dernière journée de briefing et de contrôles et enfin s’élancer pour la première des trois étapes de cette 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec.
35 solitaires pour un titre Pendant trois semaines, sur trois étapes d’une longueur totale de 1850 milles, 35 marins, dont 13 bizuths, 8 femmes et 5 étrangers vont s’affronter sur un parcours engagé, fruit de la réflexion du directeur de course Yann Château. Entre la difficulté de la Manche, le parcours quasi hauturier et le redoutable contournement de la pointe de la Bretagne, le mélange des genres offrira aux skippers, pléthore d’options afin de briller et d’espérer creuser l’écart pour bien figurer au classement général. Vainqueur en 2024, Tom Dolan (Kingspan) part avec un statut bien particulier, celui de favori, mais de nombreux marins espèrent accrocher leur nom à cette course où naissent les légendes, à l’image d’Alexis Loison (Groupe REEL), récent vainqueur de la Fastnet Race, Charlotte Yven (Skipper MACIF 2023) qui aimerait bien devenir la première femme à remporter cette épreuve. Si quelques skippers, grands acteurs de l’édition 2024, sont partis voguer sur d’autres supports, le Top 10 reste très ouvert et la physionomie de cette nouvelle édition devrait permettre à certains de s’exprimer. La Solitaire du Figaro se gagne en temps réel où chaque minute, chaque seconde est essentielle pour le classement général. Il faudra puiser au plus profond de ses capacités pour l’emporter.
Découvrez la liste complète des inscrits à la 56e Solitaire du Figaro Paprec et la liste des participants du Défi Paprec.
1/10/2024, Saint-Tropez (FRA), Les Voiles de Saint-Tropez 2024, Race Day 2
La tradition des Voiles de Saint-Tropez veut que chaque classe – 19 au total -reçoive sa récompense dans l’esprit corinthien hérité de la Nioulargue. Pas de prize money ici ! Du 27 septembre au 5 octobre prochain, les quelques 300 voiliers invités par la Société Nautique de Saint-Tropez régateront bel et bien pour la gloire. Dans cette avalanche de trophées promise aux vainqueurs, focus sur trois distinctions qui marquent chaque édition, décernées par les partenaires prestigieux des Voiles de Saint-Tropez, Rolex en tête. Trophée Rolex : Quelle histoire ! Les liens forts qui unissent la marque horlogère suisse et les Voiles de Saint-Tropez se sont noués dès 2006 et c’est la goélette aurique So Fong (25 mètres) datant de 1937, qui inscrivit le premier son nom au Trophée Rolex cette année-là. Jusqu’en 2016, la récompense fut d’ailleurs attribuée au meilleur voilier classique de plus de 16 mètres, sans autre critère distinctif. Depuis, le choix d’une catégorie de voiliers de Tradition élue par un comité a permis à Rolex de mettre chaque année à l’honneur une classe en particulier, rendant ainsi hommage à la diversité de ces unités de prestige, restaurées avec soin et menées avec passion. Ainsi, en 2023 on célébrait la victoire du Yawl Varuna (1939). L’an passé, les Epoque Aurique étaient célébrés et c’est Marga, le 10 m JI mené de main de maître par Torben Graël qui inscrivait son nom au palmarès. Pour sa vingtième édition en 2025, le prestigieux Trophée Rolex sera remis au meilleur des Big Boats, qui avaient été honorés pour la dernière fois en 2022 avec la victoire de Shenandoah of Sark (54,35m). Un choix conduit par la richesse du plateau où sont attendues plus d’une douzaine d’unités parmi lesquelles la prestigieuse goélette Atlantic dont ce sera la première participation officielle. Modernes et Maxis à l’honneur Dans ces deux classes, ce sont BMW pour les Modernes et Edmond de Rothschild pour les Maxis qui décorent la catégorie mise à l’honneur. Le Trophée BMW récompensera ainsi cette année les « IRC B », bande de rating intégrant les prestigieux TP 52, où l’on croise aussi bien des Wally Rocket, First, Solaris Club Swann, ou Code 1. De grandes unités, généralement optimisées pour la régate dès leur conception et menées par des équipages de haut niveau qui mêlent professionnels et amateurs. Des quatre catégories de Maxis, celle qui recevra le Trophée Edmond de Rothschild n’est pas encore connue. Pour rappel, Jolt, Lyra, Yoru et Six Jaguar se sont imposés respectivement dans leur classe en 2024. Corinthien : quand l’esprit souffle sur les Voiles Née du défi lancé par Pride à Ikra, l’ancêtre de la Nioulargue prenait ses quartiers dès 1981 au Club 55, le célèbre restaurant de Patrice de Colmont, installé sur la plage de Pampelonne et qui fête cette année ses 70 ans. Depuis 2003, chaque édition des Voiles de Saint-Tropez a connu une ou plusieurs « 55 cup ». Retour aux origines cette année, avec un seul défi baptisé « Club 55 Anniversary Cup » dont les participants n’ont pas encore été dévoilés. Une chose est sûre, l’esprit corinthien sera encore une fois de la partie, cet état d’esprit que décrivait impeccablement François Carn, ancien président du Yacht Club de France (1986-1996) et ami des Voiles de Saint-Tropez, disparu le 6 août dernier : « Le Corinthian spirit ne se résume pas au fair-play, il ne s’explique pas et pourtant, il manifeste sa présence par certains signes : faire preuve de discrétion et de modestie dans la victoire comme dans la défaite, rester courtois dans les manœuvres les plus désespérées, un brin d’élégance mais point trop car l’arrogance n’est pas loin, faire preuve de bonne humeur communicative, se rappeler sans cesse que la régate est un jeu et doit le rester » Pour Pierre Roinson, président de la Société Nautique de Saint-Tropez, « les 70 ans du Club 55 sont tout un symbole et nous le fêteront dignement. D’ailleurs cette date de 1955 marque aussi un tournant dans le développement de notre club ». C’est en effet en 1955 que la SNST organisait sa première grande régate, un aller-retour vers San Remo, ainsi que la première édition de Saint-Tropez-Porquerolles-Saint Tropez, parrainée par le couturier Dior.
Zoom sur : Les Voiles au couteau C’est une œuvre de l’artiste Jacques Cordier qui a été retenue cette année pour l’affiche des Voiles de Saint-Tropez. Une huile lumineuse et pleine d’intensité, bouquet de couleurs rappelant les empoignades de yachts au passage des bouées. Travaillée au couteau par ajouts et enlèvements successifs de matière, l’huile trouve ici une belle force d’évocation, aussi bien dans la profondeur des bleus du ciel et de la mer que dans les reflets des coques et des voiles. Né en région parisienne en 1937, Jacques Cordier a d’abord peint la ville à l’encre de chine avant de saisir dans chaque déplacement en bord de mer, l’opportunité d’exercer son talent dans une grande variété de techniques. Crayon et fusain pour décrire la plage de Pampelonne, aquarelle de l’entrée du port de Honfleur, huile sur le cap d’Antibes et le golfe de Saint-Tropez… Exposées encore cet été sur la place des Lices, ses œuvres rappellent la trajectoire riche mais courte de ce Tropézien d’adoption, marié à Simone, la fille des propriétaires de l’hôtel de la Ponche, qui n’eut de cesse, depuis le décès de Jacques en 1975 dans un accident de voiture, de continuer à rendre hommage à son art.
Programme des Voiles de Saint-Tropez 2025 Samedi 27 septembre : accueil des Maxis (plus de 18,28m) et des voiliers Classiques et Modernes jusqu’à 18,28 mètres Dimanche 28 septembre : accueil des Maxis (plus de 18,28m) et des voiliers Classiques et Modernes jusqu’à 18,28 mètres. Arrivée de la coupe d’Automne du Yacht Club de France (Cannes Saint-Tropez) Lundi 29 septembre : régates pour les Maxis les voiliers Modernes Mardi 30 septembre : régates pour toutes les flottes dont le Trophée Rolex Mercredi 1 octobre : régates pour les voiliers Modernes et les voiliers Classiques, dont le Trophée Rolex Day Off pour les Maxis Jeudi 2 octobre : journée des Défis et Club 55 Anniversary Cup pour les voiliers Modernes et les voiliers Classiques, régates pour les Maxis Vendredi 3 octobre : régates pour toutes les flottes, dont le Trophée Rolex Samedi 4 octobre : régates pour toutes les flottes, dont le Trophée Rolex, Remise des Prix pour les Maxis Dimanche 5 octobre : Remise des Prix pour les voiliers Modernes et les voiliers Classiques
Le Pantaenius Yacht Racing Image Award rassemblera une nouvelle fois les photographes de mer les plus talentueux au monde. Les 20 meilleures photos seront exposées au salon Metstrade, tandis que la cérémonie de remise des prix se tiendra en public lors du Yacht Racing Forum, le 21 novembre à Amsterdam.
Le Pantaenius Yacht Racing Image Award, concours de référence consacré à la photographie de voile et de régate, annonce la composition de son jury international, constitué de personnalités issues du monde de la voile, des médias et de l’industrie : -Samo Vidic (SLO), double lauréat du Yacht Racing Image Award en 2023 et 2024 -Anna Schroeder (GER), Directrice marketing du groupe Pantaenius -Ludovic Sorlot (FRA), Rédacteur en chef des magazines Course Au Large et CupLegend -Clare G. Harrington (USA), Vice-Commodore du New York Yacht Club -Holly Cova (GBR), Team Director, Team Malizia -Cécile Andrieu (FRA), CEO, Mer Concept -Niels Klarenbeek (NED), Directeur du salon Metstrade
A l’occasion de sa 16ᵉ édition, la compétition invite les photographes professionnels du monde entier à soumettre leur meilleur cliché pris entre le 14 octobre 2024 et le 12 octobre 2025. À l’issue de la sélection du jury, les 80 meilleures photos seront publiées sur le site officiel, le 20 octobre. Le public pourra ensuite voter en ligne jusqu’au 14 novembre pour élire son image favorite. Les 20 meilleures photos, sélectionnées par le jury international, seront exposés lors du salon Metstrade à Amsterdam, du 18 au 20 novembre, avant la cérémonie de remise des prix programmée le 21 novembre, dans le cadre du Yacht Racing Forum.
Deux distinctions principales seront décernées : -Pantaenius Yacht Racing Image Award – attribué par le jury international: 1er prix : 1 500 € 2e prix : 750 € 3e prix : 250 € -Prix du Public – décerné par les votes du public en ligne : Lauréat : 500 € Des prix supplémentaires pourront également être remis aux photographes présents lors de la cérémonie de remise des prix. La soumission des images est ouverte jusqu’au 12 octobre à minuit sur le site officiel du concours.
-Les soumission des photos est ouverte – www.yachtracingimage.com -Les photos soumises doivent avoir été prises entre le 14 octobre 2024 et le 12 octobre 2025. -Elles doivent être envoyées avant le 12 octobre 2025 à 23h59 (CEST / UTC+2). -Les 80 meilleures images seront publiées sur le site de l’événement le 20 octobre. -Le public sera invité à voter pour son image préférée entre le 20 octobre et le 14 novembre. -Les 20 meilleures photos, sélectionnées par le jury international, seront exposées lors du salon Metstrade du 18 au 20 novembre. -Les lauréats seront célébrés en public lors du Yacht Racing Forum, le 21 novembre.