mercredi 26 novembre 2025
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Vendée Globe. L’option Golfe de Gascogne pour Charlie

ATLANTIC OCEAN, FRANCE - SEPTEMBER 3: French skipper Charlie Dalin is training on APIVIA for the Vendee Globe sailing race on the Atlantic ocean, France, on September 3, 2020. (Photo by Vincent Curutchet/Alea)

A moins de 24 heures de l’arrivée Charlie Dalin a basculé en mode Figaro avec comme objectif de couper en premier la ligne d’arrivée le plus vite possible.

Charlie distille ses empannages au millimètre calculant ses trajectoires, tantôt plein Ouest, tantôt au Nord et double le Cap Finisterre Espagnol. L’objectif : avoir le meilleur cap/ vitesse sur ces prochaines 24 heures, mener APIVIA à 100% et… couper en premier cette ligne d’arrivée distante ce matin 9 heures de 473,96 milles (877,77 km). Et à ce jeu, APIVIA est une vraie machine de guerre mené par un guerrier qui refuse depuis quelques temps tout contact avec la terre, focalisé, concentré, appliqué à définir la meilleure trajectoire. Il suffit de regarder les vitesses moyennes bâbord amures pour constater l’appétit du foiler.

Nul doute et preuve à l’appui que lorsque Charlie peut appuyer la coque sur son foil intact et opérationnel, les vitesses d’APIVIA tutoient des records. Et si la vitesse est là sur un bord, Charlie travaille encore et toujours sa vitesse tribord amures (vent venant de la droite), soit sur son bord affaibli. Ce matin 9 heures, deux options s’offraient encore à Charlie, soit une option Sud par le Golfe de Gascogne en multipliant les empannages, soit une option Nord, à l’ouest du golfe de Gascogne, en remontant suffisamment avant un dernier bord pour rejoindre les Sables d’Olonne dans un flux d’Ouest/Sud-Ouest forcissant. « Il y a un groupe avec celui de Yannick (Bestaven) et de Thomas (Ruyant), pour qui la situation est claire détaille Antoine Carraz (Directeur technique d’APIVIA). Ils vont faire deux bords en montant très Nord, puis bifurquer vers Les Sables d’Olonne en s’appuyant sur les vents générés par une dépression. Alors que pour Charlie, il reste deux options : faire la route comme eux très Nord ou alors couper par le Golfe de Gascogne, ce qui raccourcie la route, même s’il peut y avoir un vent moins stable. Si lui à ses deux options, les autres non… Il a encore le choix de la route qu’il veut faire en fonction des conditions météo qu’il étudie non-stop, sachant qu’il va certainement essayer de favoriser son côté favorable bâbord amure. On voit qu’il y a un delta de 2 à 3 nœuds de vitesse entre les deux bords et c’est à prendre en compte dans son choix stratégique. ».

A 14h le choix semblait clair c’était le Golfe de Gascogne. Un terrain qu’il connait particulièrement bien pour l’avoir traversé à maintes reprises sur la Solitaire du Figaro. Cela pourrait clairement l’aider pour distancer Boris Herrmann qui a décidé de le suivre.

Antoine Carraz (Directeur technique d’APIVIA) : « La situation météo est un peu complexe, ce que nous trouvons plutôt intéressant car Charlie est certainement un de ceux qui a le plus d’expérience en matière de stratégie météo dans le groupe de tête, d’autant plus dans ces endroits qu’il connaît très bien, comme le Cap Finisterre ou le Golfe de Gascogne. »

Charlie en mode stratège !

« Charlie s’est mis dans son mode régatier et s’est isolé de tout poursuit Antoine. Il se concentre vraiment sur les dernières heures et passe beaucoup de temps à travailler sa météo, même en ce moment. Je pense que la stratégie est prépondérante et il y a plus à gagner à aller au bon endroit, plutôt que de gagner 0,2 nœuds en réglant bien sa voile ». Alors, quel sera le choix de Charlie ? Que lui aura apporté ses dernières prévisions et analyses météo de ce matin ? Est-ce que ce sera au large ou le Golfe de Gascogne ? « Quand on s’approche des côtes, le vent est plus complexe et n’a rien à voir avec le large où les systèmes météo sont plus clairs et très étendus. Charlie doit trouver le bon passage au milieu de toutes ces informations. On sait aussi que l’avantage des nouveaux bateaux est de ne pas avoir besoin de beaucoup de vent pour aller très vite. C’est surtout la mer qui est prépondérante et il suffit d’une quinzaine de nœuds de vent pour avoir les vitesses les plus rapides pour APIVIA. S’il est sur son bon bord dans 18 nœuds de vent, APIVIA est capable d’aller très vite. Rien n’est joué… Les hommes et les bateaux sont fatigués et il peut se passer encore beaucoup de choses en mer et avec cette météo complexe ».

Oui, demain mercredi sera donc une dernière journée incroyable puisque APIVIA et Charlie boucleront ce tour du monde en solitaire et sans assistance de la plus belle des manières et de la plus belle des façons : soit en ayant jamais rien lâché. APIVIA terminera-t-il premier aux Sables d’Olonne ? APIVIA terminera-t-il premier au classement général de ce tour du monde unique au monde ? Nul ne le sait après 80 jours de mer, et bien devin qui peut aujourd’hui dire ce que sera l’ordre d’arrivée et le classement de ce 9e Vendée Globe, avec ou sans bonifications d’ailleurs… Incroyable scénario, formidable finish d’APIVIA, exceptionnel Charlie !

Source Apivia

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Vendée Globe. Damien Séguin révolté par les bonifications qui pourrissent l’arrivée


Damien Séguin reste concentré pour les prochaines heures qui s’annoncent compliquées jusqu’à l’arrivée. Le premier skipper handisport, né sans main gauche, qui a fait un Vendée Globe exceptionnel avec son bateau à dérive Groupe Apicil est encore 6e de ce Vendée Globe.
Il donne son avis sur cette arrivée et ne mâche pas ses mots. Il se dit révolté par les bonifications qui pourrissent l’arrivée. “Le jury s’est un peu précipité sans prendre en compte le contexte particulier. C’est dommage. J’en ai parlé avec d’autres coureurs... Les décisions ne sont pas toujours bonnes.

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The Ocean Race Europe. Inscriptions ouverte ,Yoann Richomme premier inscrit

MARC BOW | Mirpuri Foundation Racing Team

The Ocean Race Europe devrait se tenir à la fin du printemps prochain si celle-ci n’est pas annulée pour raison sanitaire. La course est ouverte aux VO65 ainsi qu’aux équipes IMOCA. L’évènement offrira une course allant de la côte Atlantique de l’Europe, vers la Méditerranée, avec un maximum de quatre étapes. Le parcours complet sera dévoilé d’ici peu.

Basée à Cascais, au Portugal, la Mirpuri Foundation Racing Team est la première équipe inscrite. Elle participera avec son VO65 Racing for the Planet skippé par Yoann Richomme. « Nous sommes heureux de confirmer notre participation à The Ocean Race Europe, » a confié Yoann Richomme, le skipper de la Mirpuri Foundation Racing Team. « Cette course sera un vrai challenge, et mérite toute notre attention et notre application. Notre approche envers The Ocean Race Europe ne change pas de celle que nous adoptons pour The Ocean Race. Nous sommes ici pour gagner, comme le reflète notre préparation. Nous assemblons une équipe expérimentée côté marins et équipe technique, et nous avons vraiment hâte d’être sur l’eau. »

« Annoncer officiellement notre inscription à The Ocean Race Europe est une étape importante pour la Mirpuri Foundation Racing Team, » a ajouté Paulo Mirpuri, le fondateur de la Mirpuri Foundation Racing Team. « Nous avons fait face à de nombreux challenges ces douze derniers mois, mais le sport continue de jouer un rôle important pour nous aider à nous relever. Tandis que nous continuons notre lutte contre le Covid-19, nous ne pouvons oublier la bataille contre le changement climatique, dans laquelle nous sommes tous engagés. Pour nous, le message ne change pas, nous naviguons pour la planète ‘Racing For The Planet’.
« Nous accueillons Paulo Mirpuri, Yoann Richomme et la Mirpuri Foundation Racing Team comme la toute première équipe à s’inscrire pour The Ocean Race Europe, » a déclaré Phil Lawrence, le Directeur de course. « C’est une équipe qui a l’ambition de performer au plus haut niveau, à terre et sur l’eau, puisqu’ils ont un fort engagement. Nous sommes impatients de les voir sur la ligne de départ au mois de mai prochain. »
The Ocean Race Europe est prévue pour se tenir aux mois de mai et juin cette année.

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Vendée Globe. Aux Sables on s’organise, soirée brouillard pour Boris

Arrivée du Vendée Globe ES SABLES D’OLONNE, FRANCE - 25 JANVIER: L’esplanade du PC Course est en cours d’installation pour les arrivées du Vendee Globe, aux Sables d’Olonne, le 25 Janvier 2021. (Photo by Olivier Blanchet/Alea)

L’effervescence commence à gagner les Sables ou du moins le PC course à 24h de l’arrivée où l’on commence à se faire une raison sur le vainqueur qui pourrait ne pas être celui qui arrive en premier sur la ligne.

Boris Herrmann deuxième au classement général pense que ce sera très proche à l’arrivée entre les 5 skippers et entre lui et Yannick Bestaven avec les bonifications de temps. La température a bien baissé à bord de SeaExplorer alors que l’allemand se rapproche du cap Finisterre dans du brouillard et visant une trajectoire plus sud que nord, plus proche de celle empruntée par Charlie Dalin que de celle de Louis Burton qui lui a fait route au nord. Seaexplorer compte 82 nm de retard sur Apivia au classement de 18h. Charlie a passé le DST et file à 15 nds.
Plus au nord, Louis Burton peut désormais faire route directe vers les Sables et arrondir sa trajectoire. Il a 100 mille d’avance sur Thomas Ruyant et Yannick Bestaven qui devraient revenir sur lui en étant plus proche du front.
Cela devrait se jouer à pas grand chose. Les dés sont désormais lancés.

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Vendée Globe. Statu quo en tête ?

Photo envoyée depuis le bateau STARK pendant le Vendee Globe, course autour du monde à la voile, le 25 Janvier 2021. (Photo prise par le skipper Ari Huusela)

Les écarts n’ont pas trop bougé cette nuit. Charlie Dalin reste en tête suivi par Louis Burton et Boris Hermann. Avec une route plus nord, Yannick Bestaven et Thomas Ruyant sont allés vite au nord et se situent maintenant à la hauteur des Sables.

L’arrivée avec l’heure exacte ne se précise toujours pas encore même si le statu quo persiste dans les routages donnant Apivia, Bureau Vallée et SeaExplorer comme trio gagnant et qui devraient couper la ligne mercredi dans la journée suivis par LinkedOut et Maitre CoQ dans la nuit. L’incertitude demeure sur les écarts et le calcul des compensations de temps. Le scénario où Maitre CoQ avec sa compensation de 10h15 serait le gagnant de ce Vendée Globe est celui qui l’emporte pour l’instant mais cela peut encore changer.
Au dernier classement à 9h, Charlie Dalin qui optionnait vers le cap Finisterre comptait 85 milles d’avance sur Boris Herrmann et Louis Burton.
Damien Seguin et Giancarlo Pedote devraient arriver jeudi puis se succèderont Jean Le Cam et Benjamin Dutreux. Ce dernier a fortement ralenti et préserve son bateau jusqu’à l’arrivée après avoir rencontré des problèmes avec son safran. Il passe ce matin les Açores.

Derrière, Maxime Sorel, 10e, continue sa course exceptionnelle. Il est toujours devant Armel Tripon. 12e, Clarisse Cremer s’est fait peur en remplissant son bateau d’eau avec l’un de ses ballasts dont la pompe était déconnectée. Jérémie Beyou, lui est en proie à un pot au noir difficile. En fin de flotte, Sam Davies, Alexia Barrier et Ari Huusela ont passé le cap Horn.

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Vendée Globe. Jean Le Cam : ” J’ai très hâte que cela se finisse ! “

Jean Le Cam lors du convoyage en direction des Sables d'Olonne, pour le départ du Vendée Globe 2020 (Photo Chris ASKOLL). DATE

Jean Le Cam est à la hauteur des Açores. Le temps change, le beurre est plus compact ! Il a très hâte que cela se finisse. Il a été impressionné par Louis Burton qui n’aura pas manqué de culot en allant plein sud à plusieurs reprises. Il suit la régate en tête de course avec intérêt.

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Vendée Globe. Louis Burton : ” Il va falloir s’arracher !”

Louis Burton s'entrainant sur l'imoca Bureau Vallée 2 pour le Vendée Globe 2020 (Photo Stephane MAILLARD)

Louis Burton a hâte d’arriver. Il essaie d’aller le plus vite possible selon l’état de la mer. Un compromis à trouver pour mener une régate au contact après 78 jours de mer.

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Vendée Globe. Yannick Bestaven : “J’ai récolté ce que je suis allé chercher ! “

Yannick Bestaven s'entrainant à bord de Maitre Coq, pour le Vendee Globe. (Photo Jean-Marie LIOT / Maître Coq)

Yannick Bestaven évite de penser à l’arrivée mais plus celle-ci se rapproche, plus ses chances de victoires augmentent. Il peut se servir de ses voiles creuses et cravache en allant chercher du vent à l’avant d’un front.

Avec 10h15 de temps de compensation, il est pour l’instant le futur vainqueur de ce Vendée Globe d’après les derniers routages qui le voient arriver 5h après Charlie Dalin. Mais il ne veut pas y penser pour l’instant.

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Vendée Globe. Alexia Barrier au cap Horn

Photo envoyée depuis le bateau TSE - 4MYPLANET pendant le Vendee Globe, course autour du monde à la voile, le 25 Janvier 2021. (Photo prise par le skipper Alexia Barrier)

Alexia Barrier, skipper du bateau TSE-4myplanet, a franchi le cap Horn ce dimanche 24 janvier et n’a pas caché sa joie d’avoir réussi à franchir les 3 caps du Vendée Globe, en course. Elle aura mis 77 jours 8 heures et 35 minutes de course.


La navigatrice méditerranéenne aura mis 77 jours 8 heures et 35 minutes de course. Passée en 25e position, Alexia a pu voir au loin le mythique rocher 22 jours 08 heures 12 minutes après le premier, Yannick Bestaven (Maître CoQ) et a exprimé sa joie :
« Je suis tellement heureuse, j’en avais tellement rêvé, et je l’ai fait !! Depuis que je suis enfant, je rêve du Vendée Globe, je ne pouvais espérer mieux. C’est le bonheur d’être là, d’avoir passé les 3 caps avec mon bateau, qui va bien, qui est en bon état, c’est une belle victoire ! C’est mon premier cap Horn, la fin de l’Indien, du Pacifique, la fin de 10 jours tellement, tellement dur, c’est derniers jours, 10 jours de baston, j’avais hâte d’y arriver, même si je sais que la suite du parcours est aussi compliquée, mais qui va m’amener aux Sables d’Olonne. A moi maintenant la remontée de l’Atlantique ! »
Les conditions de ses derniers jours étaient très éprouvantes pour Alexia, Alors que les premiers concurrents sont en passe de terminer leur tour du monde, Alexia, elle, commence la remontée de l’Atlantique. Son objectif est de maintenir à distance son poursuivant, Ari Uusela, et de réduire la distance sur ses concurrents de devant.
Sur le Vendée Globe 2016, Romain Attanasio avait mis 75 jours 8 heures 41 minutes de course pour atteindre le cap Horn et 109 jours 22 heures 44 minutes pour rejoindre Les Sables d’Olonne. La navigatrice de TSE-4myplanet a donc 32 jours et 14 heures pour battre le temps de Romain. Souhaitons-lui que l’Atlantique soit plus clément !

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Vendée Globe. A 48 heures du dénouement d’une course folle

#EN# Photo sent from aboard the boat VandB - Mayenne during the Vendee Globe sailing race on January 22, 2021. (Photo by skipper Maxime Sorel) Selfie #FR# Photo envoyée depuis le bateau VandB - Mayenne pendant le Vendee Globe, course autour du monde à la voile, le 22 Janvier 2021. (Photo prise par le skipper Maxime Sorel) Selfie

Le dénouement de cet incroyable Vendée Globe se rapproche inexorablement. Charlie a repris la tête devant Louis, Boris, Thomas, Yannick, Damien, Giancarlo, Jean et Benjamin pour ne citer qu’eux. On a envie de les appeler par leurs prénoms à force de les avoir suivi matin, midi et soir depuis maintenant 77 jours. C’est long et si peu tellement la course aura été intense. Dans 48 heures, ce sera la fin d’une course que l’on ne voudrait pas voir s’arrêter. Elle sera en tout cas le début d’une autre histoire pour chacun.

Charlie Dalin a retrouvé enfin ses ailes ce matin comme sa place de leader. Comme un canari blessé, il tentait de suivre le rythme imposé par Louis Burton depuis 4 jours en prenant la route la plus courte et sans pouvoir utiliser son foil. Bien appuyé sur son aile valide depuis son empannage hier à 250 milles à l’Est des Açores, Apivia a parcouru cette nuit 351 milles, la plus grande distance en 24h à 21,4 nds de moyenne. Il lui reste encore 823 mn devant son étrave dont plus de la moitié sur le bon bord. De quoi maintenir la distance avec Bureau Vallée de 23 mn ce matin au classement de 9h. Le jeu en revanche s’annonce plus difficile avec Boris Herrmann. Avec sa bonification de 6 heures, il reste un sérieux client pour la victoire avec son bateau à 100% de son potentiel dont les foils de nouvelles générations tous les deux intacts sont plus puissants que ceux de Bureau Vallée. Il a 71 mn de retard sur Charlie à 9h. Thomas Ruyant se bat comme il peut. Sa trajectoire après les Açores semblait compliqué avec plusieurs empannages. Il est à 160 mn du leader.

« Je suis en mode guerrier, dessus tout le temps, comme mes petits camarades. Tout le monde est à fond, c’est sûr. Il n’y aura pas de gros écarts à l’arrivée, et chacun se bat pour obtenir le meilleur. Je fais tout pour me rapprocher de Boris, mais je demeure sous la menace de Yannick» souligne avec lucidité le Dunkerquois.La mer est courte et LinkedOut glisse sans souffrir. « La bagarre est sympa car cette allure de portant vmg lisse les différences entre les bateaux. Je suis ainsi moins pénalisé sur mon bord sans foil qu’aux allures de reaching. Il est étonnant de constater combien chaque coureur semble avoir oublié les 52 000 kilomètres parcourus, pour ne plus se concentrer que sur le mille à venir. On est pressé d’arriver, mais le moment présent, aussi stressant qu’il soit, demeure jouissif. C’est un sentiment étrange, qui vient couronner une course d’une rare intensité. »

Yannick Bestaven a tenté hier la face nord à l’ouest des Açores. Avec sa bonification de 10h15, il joue placé également. Il n’est pas loin de la distance parcourue par Charlie et il file à 20 nds à 9h.

Les dernières ETA données par l’organisation donne une arrivée
– Le 27 janvier pour Bureau Vallée, Apivia, SeaExplorer, Maitre CoQ et LinkedOut
– Le 28 janvier, pour Prysmian Group, Apicil, Yes We Cam
– Le 29 janvier pour Omia – Water Family

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