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America’s Cup. Team New Zeland gagne la 36e America’s Cup

America's Cup

Team New Zeland remporte cette 36e America’s Cup à domicile ce mercredi 17 mars après avoir assuré une solide défense face au Challenger italien Luna Rossa 7 à 3.
Plus rapide, chanceux, les kiwis sont restés sereins de bout en bout sur ce Match face à des italiens qui avaient des arguments avec Jimmy Spithil et Francesco Bruni notamment sur les phases de départ. Team New Zealand avec Peter Burling a toujours été solide et c’est bien le bateau le plus rapide qui gagne. Tout un pays peu laisser éclater sa joie.

Course 10
Un départ réussi des italiens mais sur un parcours très shifthy n’était pas forcément un avantage. Les kiwis partent à droite et prennent l’avantage dès le premier croisement. Les italiens restent au contact recroisent une fois devant mais ce sont les kiwis qui virent en tête. Les bateaux splittent. L’écart reste stable entre 90 et 120m. Au portant, Tnz reste dans le contrôle. Les kiwis acceptent de perdre du terrain et passent la 2e marque en tête avec 9s d’avance. L’écart passe à 270 m sur le 2e bord de près. Les kiwis s’échappent et contrôlent la course. Les italiens sont obligés de splittés à nouveau et perde du terrain. L’écart passent à 440 m. Les Italiens n’ont aucune chance sur cette course. TNZ reste le plus rapide. Au passage de la marque 5 l’écart est de 37s. Les kiwis s’envolent vers la victoire dans la défense de leur Coupe de l’America.

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La classe Multi50 devient la classe Ocean Fifty et lance son circuit Pro Sailing Tour

La classe des trimarans Multi50 devient la classe OCEAN FIFTY et lance le PRO SAILING TOUR, son circuit professionnel de courses. Ce circuit, créé et organisé par UPSWING PROD, société spécialisée en production événementielle et audiovisuelle, sera l’occasion de proposer au grand public une série documentaire immersive filmée au cœur de la vie des équipages.

Pour sa première année en 2021, le PRO SAILING TOUR, inscrit au calendrier officiel de la Fédération Française de Voile, se déroulera de mai à août, en France et en Espagne. Il a pour ambition de faire vivre les courses en immersion totale par le grand public, grâce à une implantation originale au cœur des villes et à la mise en œuvre de moyens de production audiovisuelle inédits de qualité cinéma. Le concept est bien d’immerger le grand public dans le quotidien des équipages et de mettre en lumière ces aventures humaines hors du commun, avec sincérité et réalisme.

Au programme du PRO SAILING TOUR : 5 épisodes sous un format innovant et spectaculaire avec la participation de 6 bateaux et 30 membres d’équipages expérimentés, et proposant des courses Inshore et Offshore. Chaque épisode du circuit est fortement soutenu par des territoires d’accueil séduits par l’originalité du concept et souhaitant rapprocher le monde de la course au large du grand public, en privilégiant une forte dimension sociale et environnementale.

À chaque épisode, le scénario sera le même : tout commencera par le défi 24h, sur environ 400 miles nautiques (départ le jeudi pour une arrivée le vendredi) suivi de 8 manches en baie ou en rade, en mode régates côtières, sur deux jours, le samedi et le dimanche. La finale, sous forme d’une course au large, se déroulera en mer Méditerranée et en Atlantique, durant sept jours, au départ d’un port de Méditerranée avec une arrivée à Brest autour du 7 août. Ainsi la boucle sera bouclée et le vainqueur du Circuit déclaré !

Le PRO SAILING TOUR donnera lieu au tournage puis à la diffusion d’une série documentaire de création originale en 5 épisodes de 50 minutes totalement dédiés non seulement au suivi de l’ensemble des équipages en course, mais aussi aux territoires d’accueil et à leurs acteurs liés à la mer et au nautisme. UPSWING PROD assure intégralement la production et la réalisation de cette série documentaire, intitulée simplement « Ocean Fifty », et pour laquelle une quinzaine de médiamen et de techniciens seront mobilisés.

L’objectif visé par la classe OCEAN FIFTY et par UPSWING PROD est de toucher un nouveau public et de démocratiser la voile de compétition en dévoilant le quotidien des hommes et des femmes qui vivent de leur passion pour leur sport, pour la mer et les océans. Des marins qui sont à la fois des sportifs professionnels de haut-niveau mais également des défenseurs passionnés de l’environnement, des citoyens engagés dans des causes sociétales, inspirants et déterminés.

Le programme annuel de la classe OCEAN FIFTY est donc composé du circuit PRO SAILING TOUR et d’une grande transat, Route du Rhum ou Transat Jacques Vabre.

Les chiffres clefs du PRO SAILING TOUR OCEAN FIFTY 2021 :
• Un format compact et annuel : en 3 mois du 5 mai au 7 août 2021
• 6 bateaux & skippers engagés accompagnés de 30 équipiers (au 16 mars 2021)
• Un circuit en 4 épisodes & 1 finale
o Brest du 5 au 9 mai 2021
o La Rochelle du 24 au 30 mai 2021
o Las Palmas de Gran Canaria du 30 juin au 4 juillet 2021
o Marseille du 21 au 25 juillet 2021
• Une course au large : au départ d’un port de Méditerranée le week-end du 1er août et reliant BREST en 7 jours

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America’s Cup. Team New Zealand mène 6 à 3 à 1 point de la Coupe après un match magnifique

Quel match ! La 9e course est sans nul doute le plus beau match de cette Coupe de l’America. Celui que l’on attendait de vivre avec ces extraordinaires AC75.

Menés 5 à 3 les Italiens devaient impérativement gagner pour rétablir l’équilibre après la journée d’hier où ils avaient perdu deux courses après avoir remporté les départs. Emirates Team New Zealand pouvait faire un pas de plus quant à eux vers la victoire de la Coupe.

Dans un vent de 12-13 nds et sur un parcours réputé pour être shifhty, les deux bateaux partaient lancés avec un léger avantage pour les Italiens qui parvenaient à conserver un écart latéral. Après un premier virement à la bondary, les 2 AC75 se retrouvaient bord à bord à 30 nds.

Les Italiens meilleurs et plus hauts en cap poussaient les kiwis à virer les premiers. La suite fut un vrai récital de match racing des Italiens qui réussirent à compenser leur manque de vitesse par une tactique judicieuse sur chacun des bords. Le summum fut l’approche de la marque 2 où Francesco Bruni poussait les kiwis hors layline. Toujours très proches à chacun des croisements à moins de 70-80 m les Kiwis se montraient menaçants. Les Italiens parvenaient à les contenir mais ils commirent une toute petite faute à la fin de l’avant dernier bord en choisissant de partir à droite laissant les kiwis profiter d’une légère bascule. Peter Burling ne laissa pas l’occasion passer. Les kiwis passèrent la marque 5 en tête et s’échappaient pour gagner un 6e point. Ils disposent désormais de 3 balles de match. Les Italiens vont devoir encaisser cette défaite cruelle.

Faute d’un vent suffisamment établi la deuxième course a été reportée.

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America’s Cup. Team New Zeland mène 5 à 3, à deux points de la victoire

Pour la première fois, le Defender Team New Zealand est parvenu à faire le break sur ce 36e Match de l’America’s Cup et mène 5 à 3 devant les Italiens. Les kiwis pourraient dès cette nuit remporter à nouveau l’America’s Cup.

Si les 6 premières manches ont été assez similaires avec une victoire à chaque fois pour celui qui prenait le meilleur départ, le reste de la manche étant assez insipide, les deux manches assez dingue de la nuit dernière ont changé la donne.

Dans la course 7, dans un vent oscillant entre 9 et 12 nœuds et une variation d’environ 25 degrés, les Italiens ont réussi à prendre un meilleur départ devant les Néo zed et à mener la course sur les deux premières marques avec une courte avance de 50 m. Mais dans le deuxième bord de près les kiwis profitant d’une vitesse légèrement supérieure ont réussi à passer devant alors que les Italiens semblaient avoir un problème pour border leur jib. Une fois devant les kiwis n’ont cessé de creuser l’écart.

Dans la course 8, le vent a légèrement faibli. Les Italiens prenaient encore un meilleur départ et contrôlaient parfaitement la course. A l’approche de la porte 2, ils avaient 4:08 mm d’avance sur les kiwis après que ceux-ci se soient reposés sur l’eau. Mais à leur tour les Italiens se retrouvaient en mode archimédien après une erreur de manœuvre. Les Kiwis en profitaient pour voler à nouveau, refaire leur retard et passer la marque devant les Italiens toujours à la peine. Les Italiens auront clairement été malheureux sur cette manche.

Le Defender compte désormais 5 points et il est à 2 points de remporter à nouveau la Coupe. Si son bateau est plus rapide rien n’est encore joué pour autant face à des Italiens qui ont des arguments notamment sur les phases de départ.

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Décès de Patrick Rieupeyrout, patron de Harken France pendant 35 ans

Patrick Rieupeyrout

Patrick Rieupeyrout le patron d’Harken France est décédé à l’âge de 69 ans des suites d’un cancer.

C’est avec une profonde tristesse, que nous vous annonçons le décès de notre ami et collègue Patrick Rieupeyrout, après une bataille courageuse contre le cancer. Il nous a quitté paisiblement aujourd’hui 11 mars entouré de ses proches dans sa ville natale de La Rochelle. Il avait 69 ans.

Patrick était un pilier de l’industrie nautique française, dirigeant de Harken France pendant près de 35 ans. Il était venu rencontrer Peter et Olaf Harken tout abord en tant que concurrent, représentant Barlow. Peter, Olaf et Art Mitchel l’ont ensuite recruté pour diriger leur filiale française en 1987 en tant que directeur général.

Patrick a toujours su garder son esprit de compétition et il a usé de toutes ses compétences pour hisser Harken «At the Front » de l’industrie nautique française avec le soutien de son équipe, dont il était si fier. Il n’y a pas un seul marin français – que ce soit chez les plus grands constructeurs de bateaux ou chez les concurrents de la Mini Transat, du Vendée Globe, de la Route du Rhum et des Ultimes qui n’ait pas ressenti le véritable impact du travail de Patrick.

Il était incroyablement fier de ses familles. Il en a eu deux: sa famille, les Rieupeyrout et l’équipe de Harken France. Il laisse dans le deuil son épouse bien-aimée Marie-Luce et ses deux garçons Julien et Thomas. Julien et Camille, Thomas et Jeanne ont agrandi à leur tour la famille Rieupeyrout et ont formé de jolies familles qui vivront en son honneur.

Patrick était heureux de voir l’équipe de Harken France progresser. Il était fier de voir son successeur Pierre Massé devenir un leader. Patrick travaillait avec Pierre en tant que co-directeur général.

L’équipe de Harken France et toute l’organisation de Harken Inc sont prêtes à continuer, At The Front, en l’honneur de Patrick.

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Solitaire du Figaro. Une 52e édition plutôt musclée

Depart de la 3eme etape de la Solitaire du Figaro entre Dunkerque et Saint Nazaire - le 12/09/2020

Cette 52e Solitaire du Figaro s’annonce plus exigeante que celle de l’année dernière et c’est tant mieux pour le spectacle. Avec quatre étapes copieuses, un tracé de presque 2 500 milles alternant chevauchées hauturières et flirts côtiers sous haute tension, cette édition sera complète.

Elle partira le dimanche 22 août de Saint-Nazaire et s’achèvera dans ce même port mariligérien le 19 septembre. Entre ces deux temps forts, les solitaires auront de quoi satisfaire leurs attentes de figaristes : se confronter les uns aux autres mais aussi au chronomètre, implacable juge de leurs joutes engagées et des écarts qui se font et se défont étape après étape ! De Lorient à la Baie de Morlaix, en passant par une grande première à Fécamp, du Golfe de Gascogne au tricotage le long des côtes anglaises, via le Pays de Galles et le Fastnet, les équipes d’OC Sport Pen Duick ont réuni tous les ingrédients d’une Solitaire du Figaro qui s’annonce d’ores et déjà comme une édition d’exception.





Un territoire et des partenaires engagés aux côtés des organisateurs et des skippers
En 2020, Saint-Nazaire avait connu l’épilogue d’une Solitaire du Figaro qui avait des allures de résistante tant le contexte sanitaire avait, jusqu’au bout, rendu son organisation incertaine. Au lendemain du sacre d’Armel Le Cléac’h (Banque Populaire), le département de Loire-Atlantique, par la voix de son président Philippe Grosvalet, annonçait un engagement historique en devenant partenaire majeur de la course jusqu’en 2026 et accueillant chaque grand départ et arrivée finale de l’épreuve dans l’un de ses ports : « De La Solitaire du Figaro naissent des légendes, nous les verrons grandir en Loire-Atlantique. Terre maritime par excellence, la Loire-Atlantique bénéficie d’une situation exceptionnelle avec sa façade littorale ouverte sur le monde. Il existe ici une véritable synergie pour développer des projets maritimes et nautiques. Une forte ambition portée par le Département avec ses partenaires. » Un enthousiasme légitimement partagé par Joseph Bizard, directeur général d’OC Sport Pen Duick, alors que cet engagement, inédit en 50 ans de course, l’ancre pour la première fois durablement dans un territoire en conservant ses fondamentaux historiques : « Pour nous organisateurs, la Loire-Atlantique est le territoire et le grand partenaire qui possède toutes les qualités pour permettre à cette grande course de poursuivre son développement. Associés aux villes escales et aux collectivités qui nous font l’honneur de nous recevoir et fondent un parcours riche et ambitieux, engagés aux côtés de nos partenaires fidèles, nous nous projetons avec enthousiasme dans le déploiement de cette 52e édition de La Solitaire du Figaro. »

Renouer avec les fondamentaux !
2021 marquera donc l’entrée en vigueur de ce format offert par la présence du département de Loire-Atlantique en tant que partenaire majeur et c’est avec un plaisir non dissimulé que les marins et les équipes d’organisation retrouveront Saint-Nazaire pour s’élancer sur une édition de presque 2 500 milles… 2 488 milles pour être précis ! Un menu co-signé par Francis Le Goff, directeur de course, et les équipes d’OC Sport Pen Duick, en concertation avec la Classe Figaro Bénéteau : « Nous sommes heureux de présenter aujourd’hui un tracé qui propose trois étapes de plus de 600 milles et une seule d’un tout petit peu moins de 500 milles qui sera à dominante côtière et forcément encore plus exigeante. Cette édition 2021 ne concerne que des villes françaises compte tenu de la situation sanitaire qui reste ce qu’elle est, mais le parcours est finalement construit comme s’il intégrait des escales étrangères. » Qu’on se le dise, La Solitaire du Figaro 2021 s’est attachée à préserver ses fondamentaux et ce qui fait sa richesse depuis plus de 50 ans : des étapes hauturières, poussant les marins à aller puiser au fond d’eux-mêmes et un classement au temps qui reste un marqueur fort et incontournable.

Une volonté de satisfaire autant les marins que les partenaires institutionnels et privés que prône Alex Picot, chef de projet OC Sport Pen Duick de cette Solitaire du Figaro : « Quand cela est possible, nous aimons pouvoir proposer aux coureurs solitaires des grandes étapes de large et plus de jours en mer. C’est en ce sens que nous avons travaillé avec nos collectivités partenaires et que nous dévoilons un beau parcours de quatre étapes. Ces 2 500 milles que nous proposons aux skippers, avec ces longs tronçons sans marques de parcours qui ouvrent la tactique, correspondent à ce qu’ils recherchent. Ils le disent eux-mêmes, ils viennent sur La Solitaire du Figaro pour se faire mal ! Nous avons donc fait ce choix d’une édition longue, dure et exigeante, qui va permettre également, pour sa troisième année de service, de montrer ce que le Figaro Bénéteau 3 a dans le ventre. »

Un Golfe de Gascogne dans toute sa longueur, une première à Fécamp et une marque inédite en mer Celtique !
Une fois l’embouchure de la Loire saluée, les marins mettront le cap sur Lorient et la fidèle Région Bretagne pour le plus long chapitre du parcours, 689 milles, et un grand triangle dans le Golfe de Gascogne, via BXA et une cardinale à laisser à tribord devant La Corogne. « Ce choix de tracé permet de faire le Golfe dans toute sa longueur, avec très peu de marques à respecter. Il présente également l’avantage d’être lancé dans un sens comme dans l’autre en fonction des conditions. Ce sera un très gros morceau d’entrée de jeu ! », avise Francis Le Goff. Après une relâche dans le port morbihannais, cœur de la discipline qui n’avait pas accueilli la course depuis 2009, les marins pointeront leurs étraves vers Fécamp, une première en plus de 50 années d’existence de cette grande classique et une rencontre attendue avec ce port qui a marqué les grandes heures des plus impressionnantes confrontations des trimarans Orma. Mais avant d’aller goûter l’accueil normand, il leur faudra avaler 490 milles en passant par le plateau de Rochebonne, la pointe Bretagne et le Cotentin… Un grand classique de La Solitaire du Figaro qui regorge de pièges, de passages à niveau, fait généralement le bonheur des observateurs et met les nerfs des marins à rude épreuve.

Depuis les falaises normandes, impossible ensuite de ne pas envisager une traversée de la Manche pour aller jouer le long des côtes anglaises et surtout, autre grande première, aller virer une marque à Saint-Gowan, à la sortir du canal de Bristol, avant une arrivée en Baie de Morlaix. « Les concurrents feront une première traversée de La Manche en respectant la cardinale South Pullar, à l’est de l’île de Wight, à l’atterrissage sur les côtes anglaises, cap ensuite sur Land’s End, puis l’île Lundy et la marque de Saint-Gowan en mer Celtique, avant une descente vers les Scilly, détaille le directeur de course. Tous les ingrédients anglais seront réunis : les baies piégeuses, les effets de sites et un beau segment pour finir. »
Enfin, comme un clin d’œil à Armel Le Cléac’h, tenant du titre et triple vainqueur, le départ de la quatrième et dernière étape sera donné dans son jardin de la Baie de Morlaix, pour un retour à Saint-Nazaire, port qui l’avait sacré l’année passée… via l’Irlande et le Fastnet pour une Solitaire du Figaro complète, riche, exigeante, enthousiasmante !

Le parcours de la 52e Solitaire du Figaro en bref :
Étape 1 : Saint-Nazaire/Lorient (689 milles) – du 22 au 26 août
Étape 2 : Lorient/Fécamp (490 milles) – du 29 août au 1er septembre
Étape 3 : Fécamp/Baie de Morlaix (624 milles) – du 5 au 9 septembre
Étape 4 : Baie de Morlaix/Saint-Nazaire (685 milles) – du 12 au 16 septembre

Ils ont dit :
Éric Savant-Ros, directeur général de Figaro Nautisme
« Le Groupe Figaro est très fier de supporter depuis 52 éditions un événement sportif et populaire qui redonne de l’espoir et reste la référence incontestée des marins.
Nous tenons à remercier l’ensemble des communautés et spécialement le département de Loire-Atlantique qui œuvrent avec passion pour organiser cette Solitaire du Figaro 2021.
Notre reconnaissance va aux skippers et aux villes qui vont accueillir toutes les étapes avec toujours autant d’enthousiasme et de bienveillance. »

Hervé Favre, président d’OC Sport Pen Duick : « Nous sommes très heureux de lancer officiellement notre partenariat inédit avec le département de Loire-Atlantique en dévoilant un parcours très relevé qui ne manquera pas de répondre aux attentes des marins. Nous nous réjouissons également d’écrire les premières lignes d’une histoire avec la ville de Fécamp et son port qui résonne encore des campagnes des terre-neuvas et des joutes des trimarans Orma. Les retrouvailles avec Saint-Nazaire, Lorient et la Baie de Morlaix seront, à n’en pas douter, de grands moments de sport et de partage. Enfin, si cette édition 2021 mobilise déjà naturellement nos équipes en interne, elle bénéficie également de l’engagement et du support indéfectibles de nos partenaires institutionnels et privés. Merci à eux de permettre de délivrer une Solitaire du Figaro 2021 qui s’annonce exceptionnelle ! »

Philippe Grosvalet, président du Département de Loire-Atlantique
« La Loire-Atlantique devient terre et mer d’accueil de La Solitaire du Figaro pour les six prochaines années ! Notre département est intimement lié au monde de la mer : paysages littoraux, biodiversité, savoir-faire industriels mondialement reconnus, innovations, patrimoine portuaire, sans oublier de grands skippers. De précieux atouts pour mettre le cap sur cette passionnante course au large ! »

Christelle Morançais, présidente de la Région des Pays-de-la-Loire
« Pour la première fois, La Solitaire du Figaro va s’ancrer durablement dans notre région puisque, pour les 6 prochaines éditions, les départs et arrivées se feront en Pays-de-la-Loire, confortant ainsi notre ambition d’être terre d’accueil des grands événements nautiques. Notre territoire va, cette année encore, pouvoir pleinement bénéficier du rayonnement de cette course porteuse de valeurs fortes et profondément tournée vers l’aventure et le dépassement de soi. »

David Samzun, maire de Saint-Nazaire
« L’expérience réussie de 2020 et l’engouement du public venu en nombre sur le port nous ont confortés dans notre volonté d’accompagner La Solitaire du Figaro sur le long terme. Saint-Nazaire a l’ambition, les atouts et les infrastructures pour devenir une place reconnue de la course à la voile. »

Loïg Chesnais-Girard, président de la Région Bretagne
« Nous sommes heureux d’œuvrer à nouveau au côté d’OC Sport Pen Duick pour l’organisation de La Solitaire du Figaro. Une édition 2021 très bretonne, avec des étapes à Lorient, Roscoff… mais aussi un départ et une arrivée à Saint-Nazaire. Nous mettons tout en œuvre dans nos ports pour réserver le meilleur accueil aux organisateurs, skippers et publics. »

Fabrice Loher, maire de Lorient et président de Lorient Agglomération
« Nous sommes très heureux d’accueillir la première escale de l’édition 2021 de La Solitaire du Figaro à Lorient – La Base. Cette course réunira en Bretagne Sud l’élite de la course au large et confirmera la place de Lorient comme capitale de la voile. Cette course populaire permettra de faire découvrir au plus grand nombre un défi sportif, humain et technologique qui met également en lumière les multiples excellences de notre territoire, sa capacité à organiser et à innover, sa vitalité et son savoir-faire. Cette escale de La Solitaire du Figaro est une nouvelle étape pour conforter le positionnement de Lorient Agglomération comme port d’accueil de grandes courses de voile océaniques. »

Marie-Agnès Poussier-Winsback, maire de Fécamp
« Nous nous réjouissons d’accueillir, pour la première fois, une escale de la 52e édition de La Solitaire du Figaro, du 1er au 5 septembre prochain.Cet évènement populaire et sportif marquera la programmation des animations estivales et sera de nature à renforcer l’attractivité touristique de notre ville. »

Jean-Paul Chapalain, président de la CCIMBO Morlaix
« Du 6 au 12 septembre, La Solitaire du Figaro fera escale en Baie de Morlaix au port de plaisance de Roscoff. L’accueil de cette course prestigieuse est l’occasion de valoriser notre destination sur le plan national, de renforcer son attractivité, mais aussi de prolonger la saison touristique. Nous pourrons mettre en lumière nos compétences en matière de nautisme, de recherche en biologie marine et nos richesses en produits de la mer et de la terre. »

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SailGP. Hélène Noesmoen sélectionnée par SailGP France

A l’occasion de la journée internationale des droits de la femme, l’équipe de France SailGP est fière d’annoncer la sélection d’Hélène Noesmoen comme première athlète féminine pour accompagner l’équipe lors de la 1ère étape des Bermudes. Elle sera accompagnée d’une seconde athlète annoncée à la fin du mois de mars et toutes deux participeront alors, sur une durée de 15 jours, à la dernière phase de sélection pour tenter de rejoindre l’équipe pour le reste de la saison.

Au-delà du sport, SailGP, qui a pour ambition de devenir le premier événement sportif international à impact environnemental positif, souhaite à travers d’autres initiatives de son programme « Race For The Future » autour de la mixité et de l’inclusivité, ouvrir ce circuit professionnel de haut niveau à des femmes athlètes afin de leur permettre d’avoir la formation adéquate sur ces bateaux nouvelle génération.

Championne du monde 2020 de Formula foil et passionnée de planche à voile, Hélène Noesmoen est la première femme sélectionnée pour tenter de rejoindre l’équipe France SailGP pour cette saison 2.

Pour parvenir à ce choix, Bruno Dubois, le team manager, et Billy Besson, le barreur de l’équipe de France SailGP ont organisé deux sessions de sélection à l’École Nationale de Voile et des Sports Nautiques de Saint-Pierre-Quiberon (ENVSN). Préparation physique, entretiens, entraînements sur les Waszp de l’ENVSN… En tout ce sont huit navigatrices françaises – pour la plupart issues de la voile olympique – qui ont participé en janvier et février, à toute une série de tests, parfois dans un froid polaire et par 25 nœuds de vent !

« Lors des sessions de sélection, on a essayé de regrouper le maximum de potentiels. Le but sera ensuite de faire un apprentissage progressif pour qu’elles deviennent de plus en plus performantes sur ce genre de bateaux. » déclare Billy Besson, le barreur de l’équipe de France.

« Hélène Noesmoen et une seconde athlète féminine vont pouvoir tourner à tous les postes pendant les entrainements aux Bermudes et se retrouver notamment derrière notre barreur Billy Besson pour travailler sur la tactique et la stratégie. Cette formation et échange d’expérience se poursuivra avec l’athlète féminine qui sera retenue. C’est notre objectif en 2021, et je suis sûr que ça va fonctionner et que cela va être une expérience extraordinaire » explique Bruno Dubois, le team manager.

Pourquoi favoriser l’intégration de femmes au sein de l’équipe SailGP ? Pour Billy Besson, multi médaillé en Nacra 17 avec sa coéquipière Marie Riou, la mixité et ses bénéfices dans la voile sont une évidence :

« C’est une chance que l’on a dans la voile, car c’est réellement un sport mixte. Quand on voit des athlètes femmes, certaines sont très fortes. J’ai beaucoup navigué avec des femmes ces dernières années et franchement, je ne voyais pas la différence. Et ça c’est génial. On ne parle que d’athlète, point. On essaye de casser des codes et on espère que, dans le futur, la sélection ne se fera que par un bilan de compétences que tu sois homme ou femme. Et là, on touche à la performance pure ».

Hélène est une jeune femme sportive, athlétique, ingénieure, championne du monde de Formula Foil. Elle va tenter de transférer son expérience de la tactique à grande vitesse au format de course SailGP. Ses qualités d’ingénieure sont aussi bénéfiques à tout ce qui concerne l’analyse de performance.

Elle a une volonté clairement affichée de performer et de participer à la vie de l’équipe que ce soit sur l’eau ou à terre. Hélène a de grandes qualités qui peuvent véritablement aider l’équipe et le projet. Cette expérience la fera également progresser en foil puisqu’elle vise les JO 2024 en iQFoil. Autour de Billy Besson, Hélène Noesmoen complètera aux Bermudes l’équipe qui sera annoncée prochainement.

Hélène Noesmoen : « Une formidable opportunité de montrer que les femmes peuvent faire aussi bien que les hommes ! »

Que pensez-vous de l’initiative de SailGP de recruter des femmes athlètes ?

Là-dessus on peut dire un grand merci à Marie Riou et à toute l’équipe de France SailGP car sur la saison 2019, ce sont les seuls à avoir eu une femme à bord et Marie a montré que c’était possible de faire aussi bien peut être en faisant différemment. C’est également une super opportunité pour prouver que les femmes peuvent performer aussi bien que les hommes. J’espère qu’il y aura de plus en plus d’initiatives dans ce sens, notamment sur les navigations à foils qui peuvent paraître impressionnantes mais qui requièrent aussi d’être très fins et tactiques.

Que représente pour vous le circuit SailGP ?

Si je devais dire en un mot, je dirais que cela fait rêver ! Mais pour moi c’est le circuit qui a réussi à amener la voile au plus proche du public pour faire partager l’aspect spectaculaire de notre sport et en faisant rêver les gens. En foil, on a des sensations assez exceptionnelles mais c’est assez dur de transmettre cela au public. Pour moi c’est le circuit qui arrive à proposer : innovation, performance et partage avec le plus grand nombre. C’est aussi un circuit de compétition qui s’est construit autour de valeurs d’entraide avec notamment le partage de toutes les données entre les équipes.

Quels sont les ponts entre votre spécialité, la planche à voile, et SailGP ?

Mon sport actuel est principalement la planche à voile sur foil et particulièrement de l’iQFoil, c’est le support olympique des JO 2024. Le principal parallèle qu’il y a entre les deux, c’est la navigation sur foil, une navigation qui est assez fine. Techniquement cela permet de naviguer à très haute vitesse mais c’est un équilibre super instable qu’il faut garder en permanence donc cela demande beaucoup d’attention et d’être assez pointu au niveau sensation et technique. L’autre pont c’est que même si nous on est tout seul sur notre planche à voile, pour progresser dans ces sports là on a besoin de travailler énormément en équipe et SailGP permet cela.

Quelle est votre sentiment au moment de rejoindre SailGP ?

Comme je l’ai dit précédemment, déjà cela me fait rêver, les bateaux sont impressionnants et cela donne vraiment envie de naviguer dessus. L’idée de passer les 50 nœuds ou de pouvoir y prétendre sur la saison à venir me fait rêver aussi. Après il y a tout le côté humain qui est autour : de voir comment fonctionne l’équipe qui est composée d’experts chacun dans leur domaine. Faire partie de ce team donne envie et de pouvoir construire ensemble un projet, c’est top ! C’est aussi pour moi une opportunité de pouvoir rejoindre la voile professionnelle car en venant de la planche à voile, on a rarement des passerelles entre notre circuit olympique et la voile professionnelle.

Que pensez-vous pouvoir apporter à l’équipe ?

Je pense pouvoir apporter un regard neuf en fait. En foil, on ne sait pas encore tout et on ne peut pas non plus encore tout expliquer et il y a pas mal de choses qui passent par des sensations, du vécu, de l’expérience. Je vais pouvoir faire des parallèles, et amener des choses que j’ai apprise pendant mes entrainements en planche à foil que ce soit technique, tactique, trajectoire.

HELENE NOESMOEN, 28 ANS

∙ Trois fois championne du monde de planche à voile jeunes (2007, 2008, 2012).
∙ Vainqueur de la Coupe du monde de Miami 2018 sur RSX Windsurfing.
∙ Championne d’Europe 2020 sur iQfoil Windsurfing.
∙ Championne du monde 2020 de planche à voile sur foil

SailGP, c’est la voile redéfinie. Créé en 2018, basé à Londres et New York, SailGP est un championnat international annuel qui met en avant l’audace, la technologie de pointe et la performance athlétique. Les régates, qui placent les fans au centre de l’action, se déroulent sur des plans d’eau iconiques à travers le monde et se concluent par un match-race (duel) final dont le vainqueur remporte le championnat et un prix d’un million de dollars. Les équipes nationales rivales s’affrontent à bord de catamarans volants, tous identiques, survitaminés et pensés pour des courses de la plus haute intensité à des vitesses électrisantes dépassant les 50 noeuds (+90 km/h). Rendez-vous sur SailGP.com pour plus d’informations.

PROGRAMME SAILGP SAISON 2
24-25 avril 2021 Grand Prix des Bermudes presented by Hamilton Princess
5-6 juin 2021 Grand Prix d’Italie | Tarente
17-18 juillet 2021 Grand Prix de Grande Bretagne | Plymouth
20-21 août 2021 ROCKWOOL Grand Prix du Danemark | Aarhus
11-12 septembre 2021Grand Prix de France | Saint-Tropez
9-10 octobre 2021 Grand Prix d’Espagne | Andalousie
29-30 janvier 2022 Grand Prix de Nouvelle-Zélande | Christchurch
26-27 mars 2022 Grand Prix des Etats-Unis | San Francisco (Grande Finale Saison 2)

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Leyton lance un programme pour faciliter l’accès des femmes à la navigation en multicoque

Leyton, 14 September, 2017. Navigation

Le Leyton Sailing Team s’est associé au Magenta Project pour créer une série de formations exclusivement destinées aux femmes.

Les formations Leyton x Magenta se dérouleront sur trois jours et proposeront notamment une navigation de 24 heures au large avec Sam Goodchild, le skipper de Leyton, et son équipage à bord du Multi50. Les navigatrices pourront également profiter d’une série d’ateliers et de séminaires animés par des invités issus du milieu du sport. La première formation aura lieu à La Trinité-sur-Mer du 20 au 22 avril 2021 et sera menée par Elodie-Jane Mettraux. Cette navigatrice spécialisée dans la course au large et le match race est également une des fondatrices du Magenta Project.

Les formations Leyton x Magenta sont ouvertes à toutes les navigatrices qui souhaitent s’engager dans la course au large, notamment en multicoque. Deux autres formations sont programmées pour les mois de juillet et septembre, en Méditerranée et au Royaume-Uni. Cette initiative a été lancée par Sam Goodchild, skipper de Leyton, qui commente :

« Je sais combien c’est compliqué de percer dans la voile et surtout dans la course au large en multicoque. Je suis donc vraiment ravi que l’on puisse travailler sur ce projet avec le Magenta Project. Il y a de super navigatrices dans notre sport qui méritent qu’on leur offre cette opportunité. Nous espérons que, grâce à ce projet, nous pourrons dans le futur trouver des navigatrices pour rejoindre notre team ».

Abby Ehler, du Magenta Project, ajoute : « nous sommes vraiment contents de nous associer à Leyton pour monter ce projet. Il complète très bien notre programme d’accompagnement et de formation Magenta. L’opportunité offerte à ces femmes par Leyton, Sam et le team est incomparable. L’un des plus grands obstacles pour ces navigatrices est le manque d’opportunités. Le fait de proposer des formations comme celles-ci ouvre la porte à celles qui se battent pour se faire une place dans notre sport. L’initiative est portée Sam et Leyton et nous sommes ravis de les aider à organiser cela. »

Chaque formation accueillera trois participants. Les inscriptions se termineront le 26 mars et les candidates sélectionnées seront annoncées le 2 avril 2021.

Caroline Villecroze, directrice marketing, communication et RSE du groupe Leyton, conclut : « nous sommes ravis que ce projet initié par Sam puisse voir le jour aux côtés du Magenta Project. La mixité est au cœur des enjeux du groupe Leyton. Nous devons continuer à travailler à tous les niveaux pour faciliter l’émancipation des femmes. Ce projet de voile en est le parfait exemple. Ces formations vont permettre à des navigatrices talentueuses d’acquérir de l’expérience en multicoque. Nous intégrerons également cette saison une femme au sein de l’équipage Leyton que nous annoncerons prochainement. »

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Mini Transat. Lancement de l’opération Label Bleue

Opération Label Bleue ©Christophe Breschi

Depuis 1987, chaque Mini Transat s’accompagne de l’opération Label Bleue. Dans ce cadre, les coureurs de l’épreuve s’engagent, d’une part, à adopter une conduite totalement respectueuse de l’environnement puis, d’autre part, à créer un lien avec une classe de jeunes élèves avant, pendant et après la course. En ce sens, les organisateurs proposent aux enseignants un livret pédagogique illustré abordant différentes thématiques telles que les mathématiques avec les calculs de positions des bateaux, la géographie bien évidemment, mais aussi des informations sur la vie à bord, la faune marine ou encore les énergies renouvelables. Pour cette 23e édition, ces fiches seront destinées aux élèves de CM1 et CM2 et seront disponibles avant l’été mais les inscriptions, réservées aux instituteurs, ouvrent officiellement ce lundi 8 mars 2021.

Sensibiliser les plus jeunes à l’école est un sujet qui tient à cœur aux représentants de la classe Mini 6.50 qui ont bien compris, et depuis longtemps, que les courses à la voile et en particulier la Mini Transat, étaient une excellente occasion pour illustrer les thèmes abordés dans le programme scolaire. En ce sens, avec le concours des organisateurs de la 23e édition de la course, des fiches pédagogiques et des exercices sont élaborés par des enseignants pour travailler en classe dans différentes matières (français, géographie, histoire, mathématiques…) autour des thèmes de la voile, de la mer et de l’exploration du monde. Une véritable mine d’informations destinée, cette année, aux élèves de CM1 et CM2, qui, en retour, peindront sur du tissu à voile une fresque que chaque solitaire emportera dans sa grand-voile. « Le livret que nous proposons pour ce cru 2021 de la Mini Transat comporte près de 60 fiches. Une large majorité d’entre elles sont d’ores et déjà librement téléchargeables et nous invitons tous les enseignants qui souhaitent prendre part à l’opération avec leurs classes à s’inscrire dès aujourd’hui sur le site https://minitransat.fr/fr/label-bleue-decouvrir/ », indique Marc Chopin, organisateur de l’évènement pour les trois prochaines éditions, qui, avec une équipe d’enseignants de métropole et de Guadeloupe, a mis en place un journal avec des exercices, de courts textes explicatifs et des jeux sur sept thématiques fortes parmi lesquelles la course, le planisphère terrestre, les skippers, les grandes découvertes, la sécurité et la vie à bord, le code de la mer ou encore la gestion des déchets.

Un évènement pour sensibiliser
Ce dernier sujet, particulièrement d’actualité, a été élaboré avec l’aide des équipes de la Water Family qui se sont fixées pour mission d’éduquer à la préservation de l’eau, de notre santé et de l’ensemble du vivant avec une approche d’éducation positive et une valorisation des bonnes pratiques. « Notre objectif est d’agir bien en amont des problèmes pour éviter de polluer et de trop consommer l’eau qui est rare et précieuse. Notre action prioritaire vise l’éducation des jeunes générations, qui sont la clé pour un changement durable de société et de nos modes de vie, dès aujourd’hui », explique Alice Potiron, responsable Water Family en Loire-Atlantique, association qui sera représentée sur le village de la course, lors de la phase de départ en septembre prochain, afin de sensibiliser le jeune public à ces problématiques écoresponsables au travers d’ateliers autour des thèmes de l’eau, de l’environnement en partenariat avec Trivalis, syndicat mixte départemental d’études et de traitement des déchets ménagers et assimilés de la Vendée. « Depuis 2009, Water Family développe des programmes pédagogiques complets pour les scolaires, les entreprises et les événements. Sur cette édition de la Mini Transat, notre but est clairement de réduire au maximum notre impact environnemental et celui des coureurs. La Water Family et Trivalis vont nous accompagner en ce sens puis nous proposer des clés et ainsi trouver des alternatives », termine Marc Chopin qui souhaite faire de l’évènement un vrai projet pédagogique afin que chacun devienne acteur du changement.
Texte Perrine Vangilve

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The Race Around. Ouverture d’une catégorie solo

Les organisateurs de The Race Around, le tour du monde officiel de la Class40 annonce la création d’une catégorie solitaire aux côtés de la catégorie en double déjà annoncée.

Ces deux classements feront de The Race Around le digne successeur du courses historiques telles que le BOC Challenge et Around Alone. Les organisateurs ont également profité de l’occasion pour augmenter le nombre d’inscrits de 25 à 35, dont cinq “wild-cards” dont les critères seront bientôt dévoilés.

Sam Holliday, directeur général de The Race Around : “Depuis le lancement de The Race Around fin de 2019, nous avons été impressionnés par l’intérêt suscité par la course. Nous avons pris le temps de parler avec un certain nombre de ceux qui cherchent à concourir et il est devenu clair que vu l’essor de la Class40, nous devions prendre en compte la tendance croissante de ceux qui veulent participer à cette course en solitaire. The Race Around est donc parfaitement adapté aux coureurs qui ont terminé la Mini Transat et la Route du Rhum, et qui auront peut-être un jour le souhait de courir un jour le Vendée Globe.

L’inclusion de la catégorie solo a créé une course avec deux trophées : la catégorie solitaire courra pour le Race Around Trophy et la flotte en double pour le Race Around Cup.

Hugh Piggin, co-fondateur de The Race Around : “Notre idée a toujours été de fournir une course aux standards internationaux pour des amateurs et des professionnels, et The Race Around est exactement cela. La possibilité de choisir la catégorie qui convient le mieux aux concurrents respectifs permettra un mélange varié et intéressant entre des professionnels en quête de performance et des amateurs chevronnés à la recherche d’une aventure hors du commun face à des skippers reconnus.”

Les organisateurs ont également signé un accord de partenariat sur le long terme avec la Class40. Cet accord garantira à The Race Around une continuité au-delà de la première édition en 2023. Il prévoit aussi une collaboration approfondie et constructive entre les coureurs de la classe et l’organisation de course concernant la R&D, la durabilité, la sécurité, la qualification pour la course et plus encore.

Halvard Mabire, président de l’association Class40 : “Nous sommes très heureux d’avoir signé un accord de partenariat à long terme entre nos deux organisations. Il est clair que The Race Around cherche à s’imposer comme l’une des grandes courses au large et nous, en tant qu’association de classe, sommes fiers de travailler à leurs côtés dans un véritable partenariat. L’inclusion d’une classe solitaire permet de rêver à un retour de l’âge d’or des courses autour du monde avec escales comme le BOC Challenge et Around Alone, des courses difficiles aux aventures incroyables. Cette catégorie solo offrira une opportunité aux concurrents professionnels de rester dans la classe, aux partenaires et aux sponsors de se faire connaître à l’échelle mondiale tout en offrant aux coureurs amateurs la possibilité d’atteindre leur rêve : faire le tour du monde.

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