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Top départ de l´IB Group Challlenge

Top départ de l´IB Group Challenge
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C’est toujours bon, un départ canon et une entrée dans l’Atlantique en tête. Surtout quand l’avance atteint plus d’un mille après seulement une heure de course… Groupama-2 a renouvelé son départ de la veille dans une brise sensiblement identique (secteur Ouest 12-15 nœuds) : au vent de la flotte, bâbord amure avec Banque Populaire et Gitana 11 par le travers, auquel s’ajoutait cette fois, Gitana X. Géant partait encore en retrait tout comme Foncia, et donc dans l’air perturbé des leaders, Michel Desjoyeaux ne pouvait pas tenir la position sans perdre du terrain et décida donc de virer de bord vers l’île de Groix. Le reste de la flotte continuait sur le même bord vers la pointe du Talus, ce qui apparaissait le meilleur choix…

Mais lorsqu’au bout de cinq milles, il fallut envoyer sur l’autre amure pour aller chercher la bouée de dégagement à contourner, le vent tourna du Sud-Ouest ! Et tous ceux qui avaient prolongé au maximum ce bord, perdaient tout l’avantage acquis au départ. Franck Cammas avait judicieusement opté pour un recadrage pas trop tardif qui lui permettait de virer en tête la marque au vent, suivi par… Michel Desjoyeaux ! Géant avait en effet comblé son retard grâce à son bord vers Groix (du côté où le vent venait de tourner) et arrivait à glisser ses étraves devant celles de Gitana 11 et de Banque Populaire obligés d’enchaîner deux petits bords pour atteindre la marque au vent. Joli coup ! Derrière, Foncia et Gitana X n’étaient pas très loin et choisissaient d’empanner tout de suite pour le retour vers la bouée de départ qui s’effectuait sur un seul bord tribord amure sous gennaker.

Groupama-2 augmentait sensiblement son avance puisqu’il avait plus d’un mille d’avance quand il enroulait sa voile pour repartir au près vers l’extrémité Ouest de l’île de Groix. Le passage à la bouée était nettement plus « chaud » pour les suivants puisque Géant arrivait tout juste à prendre l’intérieur sur Banque Populaire suivi dans son tableau arrière par Gitana 11… et moins de trente secondes plus tard par Foncia puis Gitana X. Il fallait ensuite effectuer un louvoyage vers Pen Men avant de choquer les écoutes vers le cap Finisterre. Derrière Franck Cammas largement en tête, le peloton était très groupé avec Frédéric Le Peutrec, Pascal Bidégorry, Armel Le Cléac’h, Michel Desjoyeaux et Thierry Duprey du Vorsent. Avec une brise de secteur Ouest de 15-18 nœuds, les trimarans vont rapidement descendre vers le Sud pour aller chercher le flux de secteur Est 15, puis 20, puis 25 nœuds qui les attend et les propulsera jusqu’au cap Finisterre. Il y a encore de la route !

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Des runs pour le fun à Saint-Quay-Portrieux

Franck Yves Escoffier
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Escoffier, le plus rapide
En attendant, les six multicoques de 50 pieds (5 trimarans et 1 catamaran) engagés n’ont pas boudé leur plaisir de se retrouver entre eux. Même si Anne Caseneuve a finalement renoncé à participer à l’épreuve, les autres skippers se sont précipités en baie de Saint-Brieuc. Le Malouin Franck-Yves Escoffier a répondu présent, non pas à la barre de son tout nouveau «Crêpes Whaou», récemment mis à l’eau, mais aux commandes de «l’ancien».
Et l’ancien en a toujours sous la pédale, comme en témoigne sa belle performance lors des runs de vitesse effectués, hier après-midi, entre le port de Saint-Portrieux et celui du Dahouet.

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Grand Prix de l´Ecole Navale : 100% sport

Grand Prix de l´Ecole Navale
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Magistral à la barre de son Open 6, 50, Christian Ponthieu, dominateur dans sa série, a surtout pris un plaisir énorme à prolonger de bord en bord les longues glissades de son plan Finot. “Les conditions étaient idéales et le bateau ne demande qu´à s´envoler”” raconte le champion du monde de Melges. Apparemment simple d´utilisation, dixit Ponthieu, l´Open 6,50 exige beaucoup du barreur ; “”Je suis un peu “”cassé”” ce soir”” admet Ponthieu, “”Il faut vraiment être tout le temps sur la barre pour garder le planning le plus longtemps possible. Mais à partir de 15 noeuds de vent, le bateau part tout seul…””

Sur un plan d´eau à peine agité d´un léger clapot et sur lequel le vent n´a cessé de monter au rythme des passages nuageux, les Sportboat ont spectaculairement mérités leur nom. “”L’Open 5.70 est une petite luge des Mers très amusante » explique le skipper Jean-Luc Perard « l’équipage a beaucoup de place sur le pont ce qui simplifie énormément les manœuvres. La lutte a été très serrée. Nous terminons tout de même deux fois premiers ce qui est satisfaisant. La flotte des Open 5.70 est très dense puisque nous sommes 20 voiliers, c’est de la régate pure ».

« Notre navigation sur le tout nouveau Sportboat, le Mach 6.50, a été moyenne. Il nous faut le temps de s’adapter à la manœuvre, spécifique sur ce genre de monotypes. Nous gagnons, tout de même, une manche. Demain, on sera beaucoup plus performant » souligne Antoine Carpentier, régleur de Grande voile sur le Mach 650 emmené par la Rochelaise Christine Briand.   

Ultra légers, surtoilés, intelligemment conçus pour offrir espace et manoeuvrabilité à leurs équipages, les Sportboat offrent, aux mains de régatiers accomplis, un extraordinaire spectacle d´équilibre nautique. 

Au large de la pointe d´Armorique évoluent les concurrents du “”rond B””, 16 Mumm 30,  8 Open 7,50 et 15 J80. Si Nicolas Groleau (adonnante.com) poursuit sa domination dans la classe des Open 6,50, il est ce week end titillé par Philippe Legros (Coincidences), champion de France de match racing. Même âpreté au sein de la flotte des 16 Mumm 30. Les Dunkerquois confirment leur montée en puissance au gré des Grand Prix. Le maître Daniel Souben (Dunkerque Plaisance) a donné la leçon aujourd´hui, s´imposant sur trois des quatre manches, ne s´inclinant qu´une fois face aux Dieppois de Romain Gibon (Dieppe Seine Maritime). Jimmy Pahun place son Région Ile de France en deuxième place avec un équipage spécialement réuni dans une configuration “”Championnat du Monde””.

La flotte des J 80 est menée par l´équipage de Christophe Espagnon, membre de la section de régatiers de haut niveau de l´Ecole navale. Il est suivi de près par le “”Jiotoo”” de Jean Baptiste Bernard et par un autre prétendant au championnat du monde militaire de la discipline,  le Lorientais Nicolas Pauchet.”

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Sélective Internationale d´Optimist

International Optimist
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Sept minutes entre le 1er et le 87e
Malgré leur jeune âge (11 à 14 ans), certains ont déjà des réflexes de pros. Preuve du niveau de performance de l´ensemble de la flotte, vendredi, lors d´une manche, il n´y avait guère plus de 7 minutes entre le premier et le dernier. Une misère quand on sait qu´une manche dure environ une heure.
En tête depuis la première journée, le licencié du YC Basque, Kevin Peponnet s´est, de nouveau, régalé, samedi, avec deux victoires en quatre manches. Sur l´eau, il impressionne : sens tactique, bonne lecture du plan d´eau, bon toucher de barre. S´il continue ainsi, il est bien parti pour suivre les traces de son père Daniel, son entraîneur, ancien régatier de très haut niveau (deux préparations olympiques, l´une en 470, l´autre en Tornado), et de son oncle Thierry Peponnet qu´on ne présente plus. C´est clair, le garçon est à bonne école.

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Fin de la sixième édition du Grand Prix Petit Navire

Grand Prix Petit Navire
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Ce matin, pour l´unique course de la journée, septième et dernière du Grand Prix Petit Navire, les conditions étaient semblables à celles d´hier : un petit clapot et à peine une dizaine de nœuds de secteur ouest/nord ouest. «L´apothéose », s´exclamait Yann kersalé au petit déjeuner. «Un peu froid, un peu mouillé et presque pas de vent ». L´homme des lumières n´en restait pas moins extrêmement joyeux en embarquant à bord de son noir « Dirastarc´h » (« déchiré » en breton).
Les ténors semblaient tous bien fatigués, de Xavier Rohart en passant par Bruno Peyron ou Sébastien Audigane : « c´est plus fatigant que 24 heures à fond sur Orange II dans le Pacifique » lâchait l´équipier de Bruno Peyron, tandis que ce dernier s´étonnait encore de la concentration et de l´attention nécessaires sur un Dragon. «Tu avances à cinq nœuds, mais tellement tendu et concentré que tu en sors rompu. C´est une usine à gaz, compliquée qui demande des réglages au millimètre près. Je n´en peux plus, mais je reviendrai, j´ai adoré.»
Un autre dragoniste ne manquera sûrement pas de revenir à Douarnenez, la chance lui souriant avec insolence. Mikhail Apukhtin, le skipper russe de Godfather (Rus 1) a en effet remporté la BMW à la loterie hier soir. L´an passé, un Dragon était gagné par le même Apukhin… «J´aime Douarnenez, j´aime le Grand Prix Petit Navire »
Vers 13 h 30, la dernière course s´est achevée et la flotte a regagné le port de Tréboul. Cette ultime manche n´a pas apporté de changement au classement d´un Grand Prix Petit Navire Dragon qui voit la victoire finale revenir au Danois Jorgen Schonherr sur African Queen.

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Claire Leroy,  numéro 1 mondial de Match Racing féminin.

Equipage féminin de Match Racing
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Premier coup de tonnerre dans l´univers du match racing féminin ,Claire et son équipage de  costarmoricaines, Dorothée, Ingrid et Elodie dès la  demi finale de cette régate internationale de grade 1  battaient  3 manches à 1  Marie Björling numéro 1 mondiale en titre depuis 3 ans.
Dans la foulée la finale de Calpé opposait Claire et ses équipières à l´équipage hollandais de Klartje  Zuiderbann Malgré une lutte acharnée de 5 heures les costarmoricaines devaient s´incliner de justesse par 3 manche à 2 .Ce qui n´empêchait pas une seconde mini révolution puisqu´avec cette  seconde place l´équipage Français et Breton devenait  le nouveau numéro 1 mondial  de la discipline.
 
Cet équipage Breton, parmi les plus jeunes du Circuit International, 23 ans de moyenne d’âge, a réalisé en deux ans une progression régulière et remarquable qui l´a porté logiquement au plus haut niveau international. Rappelons pour mémoire que  la  saison 2004 dernière reste exceptionnelle, puisque sur 9 régates internationales courues, contre l´élite des équipages mondiaux du Match Racing ,aux USA, en Suède ,en Italie,en Espagne ,en Angleterre,aux Bermudes les costarmoricaines ont réussi un troisième exploit celui de monter  8 fois en 9 régates  sur le podium. Avec les progrès réalisés  et constatés par tous les observateurs présents à Calpé, dans tous les domaines, tactiques et techniques, la nouvelle saison  s´annonce bien, avec cet excellent résultat devant les 6 meilleurs équipages mondiaux : Nina Braestrup, Marie Björling, Christelle Philippe, Christine Briand, Jenny Axhede.

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Grand Prix Petit Navire : Des couleurs et de la rigueur

Grand Prix Petit Navire
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Ils n’en finissent pas de s’exclamer sur les tonalités de la baie : «Devant Crozon la mer était kaki », et quand on est rentré, elle était mauve et le ciel en feu», un dragoniste danois a même lâché : «les couleurs sont dramatiques !». Toute la palette y passe et ces évocations colorées ne manquent pas de rappeler les tableaux d’un certain Mathurin Méheust ou les œuvres de Henri Rivière. Tant qu’on ne connaît pas la baie de Douarnenez, les nuances de leurs toiles semblent sortir tout droit de l‘imagination de ces deux artistes amoureux de ce coin de terre.
Loin de ces émotions picturales, le jury international du Grand Prix Petit Navire à fort à faire. Ils sont cinq membres pour arbitrer les réclamations des dragonistes : Johan Devacht (Belgique), John Lewis (Angleterre), Bertrand Roquebert (France), Cesar Sans (Espagne) et Yves Léglise (France). « Le Grand Prix Petit Navire Dragon est une épreuve internationale où il faut obligatoirement un jury de cinq personnes composé de trois juges internationaux et de deux juges nationaux » nous précise Yves Léglise, président du jury. « Je suis jury sur l’épreuve de Douarnenez depuis la première année et c’est toujours avec autant de plaisir que je viens sur le port de Tréboul. » Ce marin d’Arcachon a beaucoup navigué sur dériveur, class 8 et J 24, avant de devenir jaugeur de Dragon, puis jury international. « J’avais la chance d’avoir une bonne connaissance des règles de navigation, de maîtriser parfaitement l’anglais et de pouvoir traduire les règles internationales de la classe Dragon qui sont parfois complexes. » Il est vrai qu’avec plus de 100 bateaux sur l’eau, les demandes d’arbitrage ne manquent pas, notamment au moment des départs, où chacun cherche à couper la ligne dans un timing optimum. « Sur les cinq manches de la Coupe Internationale de Bretagne, il n’y a pourtant eu que cinq réclamations. » Comme quoi, à terre comme en mer, les marins restent avant tout des gens courtois.

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Test grandeur nature pour Armel Le Cléac’h

Grand Prix de la Trinité sur Mer 2004
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Quel est ton état d’esprit à la veille de cette première épreuve du championnat ?Je n’ai pas vraiment d’appréhension. Ce sera le premier test grandeur nature pour le bateau. On part dans l’objectif d’arriver à Nice sans rien casser. Et puis, il est encore nécessaire de tester le bateau, cette course va nous être utile pour apprendre à mieux le connaître, mais bien sûr, si on est dans le rythme, si on accroche bien la tête de la flotte, on jouera pour gagner. On a vraiment hâte d’être au départ parce que jusqu’à maintenant on n’a pas pu véritablement se confronter aux autres multicoques.Que penses-tu du « nouveau* » trimaran FONCIA ?Après la première mise à l’eau fin mars, FONCIA a dû retourner au chantier pour des problèmes de dérive, ce fut autant d’heures de navigation en moins. En fait, nous n’avons eu qu’une semaine d’entraînement et une navigation de nuit, c’est peu. On n’a pas navigué autant qu’on aurait aimé c’est vrai, mais on a quand même testé pas mal de choses. Le point positif, c’est que nous avons de bonnes sensations par rapport au potentiel de vitesse du bateau, on a pu constater que les travaux effectués cette année (*changement de coque centrale) avaient porté leurs fruits : FONCIA est plus véloce que l’année dernière. Malheureusement, on n’a pas réellement pu s’évaluer par rapport aux autres multicoques. Le trimaran a du potentiel, c’est encourageant, mais on ne l’a pas encore poussé à 100%.Comment envisages-tu cette course ?Le départ s’annonce plutôt calme, et ce n’est pas pour me déplaire, je préfère un départ relativement tranquille plutôt qu’avec 40 nœuds de vent. La descente du golfe de Gascogne devrait se faire assez vite au portant, puis le passage du cap Finisterre s’annonce assez musclé, et je pense qu’il faudra lever le pied, ce ne sera pas le moment de casser. En Méditerranée, il y aura sans doute des coups à jouer, et il se peut qu’il y ait des regroupements. Il faudra rester vigilant jusqu’à Nice, une baie réputée pour son manque de vent, il se pourrait bien que la course se termine par une régate entre 6 bateaux jusqu’à l’arrivée. En résumé, l’objectif, c’est de naviguer au mieux jusqu’à Gibraltar et de profiter de la Méditerranée pour jouer des coups.Pour cette toute première course, quels sont vos points forts ?C’est vrai que nous sommes très motivés, et que nous formons un équipage soudé qui se connaît bien. FONCIA a un réel potentiel, mais nous ne sommes malheureusement pas encore tout à fait à 100%. Nous avons des objectifs à plus long terme : les Grand prix et la Transat Jacques Vabre où j’aurai plus de pression au niveau sportif. Alors oui, je suis serein, et nous avons à l’esprit d’y aller pas à pas, sans brûler les étapes, on est encore là pour apprendre.Les équipiers du Trimaran FONCIAThierry Chabagny / 33 ansRonan Le Goff / 34 ansDamian Foxall / 36 ansNicolas Troussel / 30 ans / navigationThierry Briend / 35 ans / Boat captain

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22e tresco trophée : Départ aujourd´hui

Spi Ouest France
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Comme d´habitude, ce matin, sur les pontons morlaisiens, ça va courir dans tous les sens. Peu après le briefing, la tension va monter d´un cran. Comme d´habitude, il va y avoir un peu de stress au moment du passage des écluses. Mais, avec Yvon Quillec aux commandes, ça ne va pas traîner : comme d´habitude, les sas seront plein à craquer. Ensuite, ce sera l´heure de la descente de la rivière, dernier moment de sérénité avant la haute mer.

Du vent au départ
16 h 30, les “côtiers”” seront les premiers à quitter ce si bel écrin. Quelques minutes plus tard, il faudra virer Stolvezen, dernière marque avant le large. Avant la nuit et ses mystères. Cap sur Guernesey, île distante de 75 milles.
D´après les dernières prévisions météo, il devrait y avoir du vent : 15-20 nœuds de nord-ouest, passant au nord et mollissant dans la nuit. Tant mieux, ce ne sera ni du près, ni du portant, mais ça devrait aller vite. Au petit matin (pour les plus rapides), les lumières de Guernesey apparaîtront alors. Comme par magie. Pour les plus lents, il faudra attendre l´après-midi, voire le soir.
“”Comme d´habitude, on attendra que le dernier concurrent ait passé la ligne pour aller manger du crabe””. Yvon Quillec, l´organisateur, ne se détendra que lorsque “”ses petits”” seront tous arrivés à bon port.

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Aloys Claquin vainqueur

Aloys Claquin - Vecteur Plus
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Il n´a pas perdu une minute lors des 60 derniers milles sur la concurrence alors que Tanguy de la Motte sur Set Environnement a été remonté par le très impressionnant Peter Laureyssens sur un bateau de série, le Pogo 2 n°438. Toujours aux avants postes depuis le début de la course, il finit en trombe en doublant 3 concurrents et leur reprend 50 minutes (en 60 milles!).

Mais le héros de la soirée reste Aloys qui a mis a profit son écurie de course du Team Vecteur Plus pour optimiser son bateau et sa préparation. La concurrence est prévenue sur ses ambitions en cette année 2005.

A noter également la performance du "pirate", le slovène Andraz Mihelin sur Adria Mobil qui termine 28 minutes derrière Vecteur Plus mais hors classement. Il est temps qu´il se mette en règle pour briller au grand jour.

Isabelle Joschke, première femme, 5e sur PAROLE n°276 est arrivée particulièrement lucide malgrè une absence quasi total de sommeil (de son propre aveu à la descente du bateau) pendant ces 60 heures de course.

28 solitaires sont arrivés à 8h30 alors qu´ils sont encore 11 en course. 17 abandons pour une course où toutes les conditions de vent leur auront été proposées : pétole, grain à 35 nœuds, du près, du portant, du soleil lourd, de la pluie… De quoi tester leur matériel dans toutes les conditions et préparer au mieux la saison Mini.

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