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Anne Liardet et Karen Leibovici au départ de la Transat Jacques Vabre

Anne Liardet : 11ème du Vendée Globe
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Depuis quelques semaines, le monocoque vainqueur du Vendée Globe skippé par Vincent Riou, est devenu la propriété du Groupe Quiksilver. Avec ce fabuleux monocoque, Roxy s’offre de nouvelles ambitions. Actuellement en chantier sous le contrôle attentif d’Anne Liardet et de son équipe, l’ex PRB sera bientôt fin prêt pour prendre le départ de la course transatlantique de légende entre Le Havre et Salvador de Bahia au Brésil. « La Jacques Vabre est une course magnifique, à la fois difficile et technique. Il faudra gérer les dépressions hivernales en Atlantique Nord puis saisir l’alizé au bon endroit… négocier habilement le passage au large des côtes africaines… C’est une course tactique où la gestion de la météo sera déterminante. Pour autant, je suis plus instinctive que les hommes dans ma manière de naviguer. Je n’ai pas l’habitude de tout calculer » analyse Anne Liardet avant d’ajouter, enthousiaste, « ce bateau est un véritable… engin de guerre ! Il est très rapide mais pas très compliqué à manœuvrer, il a un potentiel énorme… » Et de conclure, « je suis impatiente de naviguer, de prendre mes marques sur ce bateau. J’espère que Karen et moi pourrons très vite nous mettre à l’entraînement… »

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Le Cam- Peyron : duel sur …optimist

Grand Prix Petit Navire : Jean le Cam
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Grand Petit Navire Optimist : Il était un petit navire
Alors que les Dragon partaient à nouveau hanter la baie de Douarnenez, les trois écoles finalistes du Grand Prix Petit Navire Optimist, se sont retrouvées Digue du Birou. La classe de M. Noury (école Laënnec), celle de Mme. Balcon (école Marie-Curie) et celle de Mme Messager de l´école Jules-Verne, qui détient la coupe depuis l´an passé, se sont affrontées autour de joutes toujours aussi ludiques. Les épreuves d´aujourd´hui étaient similaires à celles des deux premières journées, en un peu plus complexes. Tandis qu´une partie des enfants participaient à des régates, d´autres se réunissaient autour d´épreuves portant sur la connaissance maritime avant d´échanger les rôles. Pour l´occ asion, Robert Joncour patron du bateau SNSM de Douarnenez, a fait visiter le Jean le Gall. Comme un symbole au centenaire de l´écrivain, c´est une nouvelle fois l´école Jules Verne qui s´est vue remettre le trophée par Jean le Cam. « Lorsque le responsable du centre nautique de Tréboul, Jean-Pierre Laïlic, m´a invité, je n´ai pas pu refuser. Les enfants ont beaucoup suivi le dernier Vendée Globe et sont les meilleurs ambassadeurs de ce sport. Je dois pourtant avouer être un peu novice en matière d´optimist. J´ai dû en faire en tout et pour tout trois fois dans toute ma carrière maritime.» Cela n´a pourtant pas empêché le récent deuxième du dernier Vendée Globe de se lancer dans une régate « du trophée Jules portuaire » le long des quais du port de Tréboul en compagnie du détenteur du trophée Jules Verne : Bruno Peyron, rentré plus tôt que les autres pour avoir volé le départ de la dernière manche Dragon. De à à voir dans l´Optimist un nouveau support pour établir de nouveaux records, il n´y a qu´une encablure…

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Début du championnat Orma dimanche

The Transat
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Les années se suivent et ne se ressemblent pas puisque pour la première fois depuis la création du Championnat Orma en 1996, ce sont cinq Grand Prix qui alimentent le Championnat des Multicoques 60′, tous au même coefficient (1), la course IB-Group Challenge de Bretagne en Alpes-Maritimes comptant pour 3, la Giraglia pour 0,5 et la Transat Jacques Vabre pour 4. Au total donc, 12,5 de coefficient dont 5 pour les Grand Prix, ce qui implique une grande régularité sur ces week-ends toniques pendant lesquels neuf manches peuvent être disputées. De fait, la flotte sera un peu moins étoffée en début de Championnat puisqu’ils seront sept bateaux pour les deux Grand Prix de Méditerranée (GP de Calvi : 9-12 juin ; GP de Marseille : 24-26 juin) et le nouveau Grand Prix de Vigo (Espagne : 15-17 juillet). La fin de saison s’annonce plus animée avec l’ex-Sergio Tacchini qu’Yvan Bourgnon vient de racheter et remet actuellement en configuration avec ses nouveaux partenaires officiellement annoncés dans quinze jours. Thomas Coville sera aussi de retour à l’issue de ses tentatives de record en solitaire sur Sodebo (Route de la Découverte, traversée de l’Atlantique). Enfin, il est probable que Stève Ravussin (ex-Covefi) revienne en septembre après un été de régates en Scandinavie, tout comme Antoine Koch qui a repris Sopra Group cette année.

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Les “Gitana”” au départ de l´IB Group Challenge”

Gitana X - Thierry Duprey du Vorsent
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Parcours atypique et routage interdit… Les navigateurs vont devoir appréhender à bord toute la gestion de la météo qui s’avère sur le papier, plutôt complexe sur certaines parties du parcours. Un parcours qu’il est possible de diviser en quatre tranches : une sortie du golfe de Gascogne (Lorient-cap Finisterre = 370 milles), une descente le long des côtes portugaises et espagnoles (cap Finisterre-Gibraltar = 545 milles), une longue traversée de la Méditerranée occidentale (Gibraltar-Malte = 1 000 milles) et un grand bord vers le Nord-Est pour laisser la Sicile à tribord, puis vers le Nord dans la mer Tyrrhénienne (Malte-Nice = 600 milles).

L’analyse a priori de ce parcours atypique démontre que rien ne sera joué avant Nice car la Méditerranée, patrie d’Eole, a ses caprices. Une fois le détroit de Gibraltar embouqué, la météo peut être très rude et le matériel particulièrement mis à contribution : a contrario de l’Atlantique où les tempêtes génèrent des mers fortes mais relativement régulières, la Grande Bleue peut lever des vagues très courtes et très casse-bateau. Appréhender la météo, anticiper sur les bascules de vent, intégrer les effets de côtes et de brises thermiques seront les plus difficiles des tâches attribuées aux navigateurs du bord…

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Grand beau temps pour le Petit Navire

Dragon au GP Petit Navire 2005
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«Comme on est en Bretagne, on a déjà vécu trois saisons dans la même journée. Je pense qu’après les grains d’automne, la fraîcheur de l’hiver et à présent ce magnifique temps de printemps, nous allons vivre quelques belles heures d’été en fin d’après midi » raconte Henry Bacchini, le président du comité de course des Dragon. « Les conditions sont idéales pour les Dragon, 15 à 18 nœuds de sud/sud ouest, du soleil et peu de mer. Les dragonistes ont le sourire, tout va pour le mieux ». Optimiste, Henry Bacchini en tout début de journée, devra revoir ses prévisions poètiques au cours des heures qui suivirent. Ce n’est pas un temps d’été qui marquera la clôture de la coupe internationale, mais bien le début d’une dépression musclée. Alors que l’équipage irlandais de Shimaera, vainqueur des manches hier, n’a pas pu participer aux régates du jour à cause de l’absence d’un de ses équipiers, un autre grand favori, Poul Jensen sur Danish Blue, s’est vu disqualifier de la première manche de la journée pour avoir volé le deuxième départ donné sous pavillon noir. «La coupe de Bretagne sert de test entre le comité et les coureurs. Nous ne sommes dupes ni les uns ni les autres » s’amuse Henry Bacchini. «Ils ont été huit à voler le départ, je les ai attrapés, mais ils sont très fair play et n’ont manifesté aucune émotion visible… » Le spectacle magnifique offert par les navigateurs, petits et grands a été quelque peu troublé par l’arrivée d’une gigantesque barge transportant une énorme grue. En route vers Brest, le remorqueur italien qui a en charge la barge est en effet venu se réfugier en baie de Douarnenez à la demande de la Préfecture Maritime de Brest alors qu’une grosse dépression est annoncée pour demain. Cette invitée surprise est tellement imposante qu’elle coupait le vent à des Dragon finalement pas mécontents de ce léger répit. Avec au moins trente quillards de retour au port avant la fin des épreuves, cette journée aura en effet été marquée par de nombreuses dégats parmi les Dragon dont Dirastarc’h, le bateau de Yann Kersalé. Le célèbre plasticien français a en effet dû faire face à une avarie d’ étai et a évité de peu le démâtage. Quelques « accrochages » ont également eu lieu…

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GP Petit Navire : les vainqueurs en Mumm 30 racontent

Belvédère - EDC - EBSCO Mumm 30
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« La baie de Douarnenez est magnifique, les conditions météo rendent la course passionnante, et puis l’accueil aussi chaleureux que celui offert ici… Je vous promets que nous reviendrons l’année prochaine !»

Micro à la main, Vincent Portugal avait le sourire dimanche en fin de journée, sur la plus haute marche du podium de ce Grand Prix Petit Navire disputé sous un soleil éclatant.

Il faut dire que lui et sa bande venaient de jouer un bon tour aux favoris et autres Teams professionnels, en décrochant la Victoire finale, malgré un excellent plateau : Berthet, Pahun, Jean-Albert, Trenteseaux, Basset …

Pour sa 1ère sortie Atlantique, le team n’était pourtant pas venu avec de fortes ambitions affichées, mais plutôt le soin de faire le point et se situer par rapport à la concurrence, après 2 mois axés sur la préparation du bateau et le fonctionnement de l’équipage.

VP : « Nous sommes venu à Douarnenez avant tout pour valider les choix que nous avons fait ces 2 derniers mois : Choix techniques et humains qui concernent le bateau, les voiles et l’équipage. Par exemple, c’était la 1ère fois que Xavier Rohart venait naviguer avec nous. Même si son talent est indéniable, nous devons apprendre à fonctionner ensemble. Idem pour Bernard Mallaret dont nous découvrions les dernières évolutions quant aux voiles. Nous sommes donc ravis, rassurés, mais on ne va pas s’emballer non plus. »

Ne pas s’emballer, mais continuer à travailler et progresser, tels sont les maîtres mots de l’équipage. Pourtant, on ne peut s’empêcher de remarquer qu’avec 3 victoires de manche (dont une ocs) et une 2ème place sur 6 disputées, ils ont semblés irrésistibles en baie de Douarnenez, même si l’issu finale se jouait à terre lors d’une ultime réclamation dont se sortait admirablement l’immense Xavier Rohart :

Xavier Rohart : « Je ne retiens que le plaisir pris à bord tout le week-end, les bonnes sensations, l’esprit extraordinaire qui anime cette équipage. C’est ma 1ère course avec eux, et j’ai l’impression de faire partie du Team depuis des années. Vivement le Tour de France à la Voile ! »

Il oublie de dire qu’à la tactique, il a tout simplement réalisé un sans faute.

Prochaine sortie du bateau Belvédère – EDC – EBSCO : Grand Prix de l’Ecole Navale de Brest, du 5 au 8 Mai.

Source : Vincent Portugal

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GENERALI SOLO 2005, A UN MOIS DU COUP D’ENVOI !

Yann Eliès
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« Nous avons aujourd’hui 25 inscriptions fermes, et nous nous réjouissons de compter sur la ligne de départ les plus grands noms du circuit », explique Gilles Chiorri. Le coordinateur de la Generali Solo est d’autant plus enthousiaste qu’il vient de suivre avec un intérêt particulier le final haletant du Trophée BPE : « d’abord, c’était une course splendide. Mais naturellement, le fait de savoir que le vainqueur, Eric Drouglazet, ainsi que les grands animateurs de cette première transat en solo sur Figaro Bénéteau, seront sur la ligne de départ à la Grande Motte, c’est un grand motif de satisfaction. D’autre part, Yann Eliès, vainqueur l’an passé en Méditerranée et champion de France en titre, viendra défendre sa couronne après avoir conquis son second Trophée Jules Verne cet hiver ! Kito de Pavant sera bien sûr là aussi, ce qui porte à deux le nombre de vainqueurs de la Solitaire du Figaro (avec Drouglazet, ndlr), et nous avons également le plaisir d’accueillir un médaillé olympique, Pietro D’Ali, et un vainqueur de Mini Transat, Armel Tripon… Comme à l’accoutumée, la Generali Solo 2005 sera un savant mélange entre les fortes têtes de la série et la génération montante. » Par rapport à l’édition précédente, la Generali Solo millésime 2005 se caractérisera par une coloration plus côtière, qui répond mieux aux attentes des coureurs, mais aussi des organisateurs, ainsi qu’au programme du bateau. Organisée par le Yacht Club de La Grande Motte, l’épreuve s’élancera du plan d’eau de la baie d’Aigues Mortes et fera escale à Leucate, Gruissan, Hyères, Beaulieu-sur-Mer pour un traditionnel final sur l’île de Porquerolles. Comme le souligne Jacques Guillaume, directeur de course, « cette année l’accent est mis sur le large, faisant appel au sens marin, à la gestion de l’effort sur la durée… Il faudra bien sûr être fin manœuvrier car le niveau est très élevé, mais les qualités « athlétiques » qui s’expriment en général sur les parcours bananes ne seront peut-être pas suffisantes… ». Rendez-vous dès le 9 juin prochain à la Grande Motte pour la première régate !

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Lever de rideau jeudi à Hyères

Semaine de Porquerolles (D. Vankemmel)
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C´est une caractéristique de la Semaine de Porquerolles que d´être organisée par deux Yachts Clubs* amis, et c´est ce qui permet à ses heureux participants de profiter des avantages et de partager leur séjour entre les deux clubs ; à Hyères, l´accueil et l´accès sont faciles, l´ambiance est chaleureuse dans le véritable jardin d´Eden qu´est la ville a cette saison, à Porquerolles, le site est unique, la fête inoubliable. Après une année de travaux, qui avaient contraints les  organisateurs l´an dernier à tout transférer sur l´île, le port de Hyères est à nouveau à même d´accueillir les concurrents. Après les émois de la Semaine Olympique Française qui ont animé la rade la semaine dernière, place maintenant aux unités de prestiges dans une ambiance sportive et festive. L´année 2005 s´annonce sous les meilleures augures avec une participation atteignant la limite fixée par les organisateurs de 50 unités, battant pavillon de 8 nations différentes, et avec une flotte de dix First 40.7 Farr Yacht Design by Bénéteau, classe invitée de l´année. La course fait également le plein des meilleurs coureurs méditerranéens, mais on y croisera également des régatiers internationaux venus d´univers aussi différents que l´America´s Cup, la course au large, la solitaire du Figaro ou encore des transfuges de la voile légères et des sélectionnés olympiques.
C´est jeudi qu´aura lieu l´ouverture officielle de la 7ème édition, mais demain mercredi, les concurrents pourront participer à une manche d´entraînement dont le départ est prévu à 15 heures.
 
Le programme :

Mercredi 4 mai
9h à 19h : Confirmation des inscriptions (clôture définitive à 19h) à Hyères                     
15h00 : Manche d´entraînement
20h00 : Cérémonie d´ouverture officielle et pot d´accueil à l´Espace Nautique

Jeudi 5 mai
Régate au départ d´Hyères
11h : Mise à disposition en mer, banane ou côtier (plusieurs manches à suivre)                                                                           19h : Cocktail des sponsors à l´Espace Nautique hyérois

Vendredi 6 mai
Régate au départ d´Hyères
11h : Mise à disposition en mer, banane ou côtier, (plusieurs manches à suivre) Arrivée à Porquerolles
20h00 : célèbre "dîner des Vignerons",
Orchestre

Samedi 7 mai
Régate au départ de Porquerolles
11h : Mise à disposition en mer, banane ou côtier, (plusieurs manches à suivre) Arrivée à Porquerolles
Apéritif

Dimanche 8 Mai
Régate au départ de Porquerolles
11h : Mise à disposition en mer, banane ou côtier (pas de départ après 14 heures)
Remise des prix à Porquerolles après les courses du jour.
 
Source : Organisation Semaine de Porquerolles

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Yann Eliès : « la prochaine fois, j’y vais seul ! »

Yann Eliès
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L’envie de partir seul autour du globe est-elle encore plus vive après ton second Jules Verne ?Plus vive, et encore plus concrète… J’ai ce rêve depuis longtemps, mais cette fois je suis vraiment remonté, je vais mettre toute ma motivation au service de ce projet. Le fait d’avoir vu des copains comme Jojo (Sébastien Josse, ndlr) – avec qui j’ai navigué sur Orange en 2002 – partir sur le Vendée Globe n’a fait que renforcer ma conviction : il faut que je sois au départ en 2008 ! Je m’intéresse de près au fonctionnement des écuries de course, qui à mon sens ont fait preuve d’une efficacité incontestable ces derniers temps… qu’il s’agisse de Mer Agitée ou d’Offshore Challenges, les résultats sont là. En ce moment, j’envisage un peu tout, sachant que mon but est de monter un projet gagnant : ce qui est longtemps resté un rêve de gosse est aujourd’hui un de mes premiers objectifs. Ce qui implique bien sûr de prendre mon bâton de pèlerin, et de me mettre en recherche de partenaires en plus de mon programme sportif très chargé.Il va aussi falloir multiplier les navigations en monocoque 60’ ?Oui, c’est au programme, et je peux déjà annoncer que je participerai en novembre prochain à la Transat Jacques Vabre, aux côtés d’un grand marin ! Pour l’instant, je n’en dis pas plus… Le mono 60’ est une formule très intéressante, qui offre des performances vraiment enthousiasmantes. Au fil de mes huit saisons en Figaro, j’ai beaucoup appris, j’ai progressé dans ma façon de gérer la machine et le bonhomme : il y a une logique imparable à vouloir passer à la catégorie supérieure. A partir de maintenant, sportivement, toutes mes démarches vont avoir un lien avec mon objectif de Vendée Globe. Si je travaille avec de nouveaux outils informatiques, ce sera avec l’idée d’exploiter cet acquis plus tard. Dans la même logique, mon second Jules Verne (en plus d’être avant tout une aventure collective fantastique) avait aussi pour but de confirmer ma première impression : en 2002 je m’étais dit que je me verrais bien faire cela tout seul, en 2005, c’était une évidence de tous les instants. Propos recueillis par JB

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Yvan Bourgnon monte une écurie !

Yvan Bourgnon
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On ne connaîtra les détails qu´à l´issue de la conférence de presse donnée lundi prochain, mais voici déjà ce que l´on sait : Team Océan regroupe pour l´heure le trimaran (qui s´alignera sur la Transat Jacques Vabre), mais aussi le Figaro de Fred Duthil et le Mini d´Adrien Hardy (proto 198, Karen Liquid) !

Trois bateaux ! Mais pourtant, le communiqué de presse en mentionne quatre… Nous avons donc posé la question à Olivier Hue, responsable de la communication de l´équipe.

"A terme, nous souhaitons intégrer un monocoque 60´ en vue du prochain Vendée Globe, mais pour l´heure les choses sont moins avancées de ce côté-là. Tous les bateaux de l´équipe auront une décoration identique, et chacun représentera l´ensemble de nos partenaires".

Yvan Bourgnon note pour sa part, afin d´expliquer le fonctionnement de son écurie : "En voile, il n´existe pas de catégorie reine, de hiérarchie – à l´inverse du football (Ligue 1),
du sport automobile (Formule 1) ou du cyclisme (UCI ProTour).
Ce sont les événements qui font rêver les français : Vendée Globe, Route du Rhum, Transat Jacques Vabre, Solitaire du Figaro, Transat 6.50… Grâce à une flotte composée de 4 bateaux, nos partenaires sont assurés de participer à tous les temps forts du calendrier.»

Rendez-vous a été donné le 8 juillet à La Trinité pour le baptême officiel des bateaux, par Patrick Poivre d´Arvor.

JB

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