vendredi 19 septembre 2025
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Fastnet 2005 : résultats provisoires

ICAP MAXIMUS
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Chez les Maxi-yachts, qui étaient moins de dix à être arrivés en début d’après midi, et bien qu’il reste de nombreux bateaux sur l’eau ayant mathématiquement une chance de gagner, il semble à présent très probable que ICAP Maximus double sa victoire en temps réel d’une victoire en temps compensé. En effet, après Skandia Wild Thind, c’est Patches, le TP52 d’Eamon Connely qui a failli à sa tâche : en arrivant peu avant 9h30 ce matin, il a raté de trois heures la possibilité de battre le 100 pieds skippé par Charles St Clair Brown.
Toujours en temps compensé, on retrouverait pour le moment à la troisième place CityJet.com – Solune, le Nacira 60 de Jean-Philippe Chomette, suivi du maxi allemand UCA. Skandia Wild Thing qui a particulièrement subi l’absence de vent en fin de parcours est 7ème tandis que le VO70 Movistar occupe la huitième position.

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A l´aube d´une nouvelle aventure

Gildas Morvan - Cercle Vert
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Michel Desjoyeaux, le premier l’a dit quand il a posé le pied à terre au Pays basque espagnol mardi : « Vous savez que la Solitaire démarre vendredi ! » Une boutade lancée en l’air par le skipper de Géant qui en dit pourtant long. La première étape à peine bouclée, alors que les arrivées au port se succèdent à tout va, le constat saute aux yeux entre les lignes du classement : les si petits écarts qui séparent les gros bras du circuit laissent grandes ouvertes les portes du large à de nouveaux rebondissements. Et c’est tant mieux : pour les marins, comme pour les terriens qui se réjouissent de suivre de nouveau le sillage de ces pros du solo, qui se surpassent quoi qu’il advienne. Qu’il vente, qu’il tempête ou qu’il pétole. Rien n’est joué, tout est encore possible. Clap, on prend les mêmes et on recommence ! Evidemment, le premier « run » entre Perros-Guirec et Getxo-Bilbao a mis un beau coup de projecteur sur les hommes et les femmes du moment, sur ces têtes d’affiche qui n’ont pas fini de se donner la réplique. Mais dans ce scénario, le gros de la flotte à encore son mot à dire. La prochaine scène va se dérouler entre l’Euskadi et La Rochelle, via le phare des Birvideaux au nord de Belle-Ile. Les premiers 248 milles à travers le long du golfe de Gascogne seront suivis d’un parcours entre côtes bretonnes et deux îles : celles d’Yeu et de Ré. Le tout doit faire 368 milles.

Dorsale et bascule
D’ici là et à la veille du départ qui sera donné ici demain vendredi à midi, les acteurs de la Solitaire n’ont pour l’heure d’yeux que pour elle. Il l’étudie sous toutes les coutures, l’épient sur tous les modèles. Ils l’observent par ordinateurs portables interposés, qu’ils connectent depuis le bureau des skippers sur tous les sites de routage possibles et imaginables. Alors, de quelle humeur est-elle ? Plutôt tonique et extravertie, du genre à semer la brise à tout vent ? Ou au contraire timide, discrète, capricieuse ? Madame Météo, après avoir cédé en Euskadi aux avances d’une brise thermique aux grands airs, retrouve ses schémas de saison. Sur le golfe de Gascogne en plein mois d’août, place à une belle et franche situation anticyclonique. Richard Silvani de Météo France détaille la situation : « Les coureurs vont devoir traverser une belle dorsale et éviter les pièges et les embûches que cette situation météo induit. Il leur faudra rentrer la bascule du vent – de nord-est dans son sud au nord-ouest dans son nord – sans se laisser coller, avec qui plus est le risque de se laisser piéger par des micro-bulles de pétole. » Et le météorologue de temporiser : « Mais il y aura toujours du vent : 5-10 nœuds dans le nez au départ et 10-12 nœuds de l’autre côté de la dorsale, au portatif quand il s’agira de redescendre vers La Rochelle. Si cette tendance se confirme, les premiers peuvent être attendus dimanche dans la nuit ou lundi la matinée. »

Etape complète et complexe
Du près dans des petits airs majoritaires pour débuter et du vent portant plus soutenu à l’heure de laisser les Birvideaux dans le dos, d’envoyer les spis en tête et de filer jusqu’à La Rochelle : le décor est planté dans ses grandes lignes. Il s’ouvre sur une étape aussi complète que complexe, tout aussi tactique que stratégique, où il faudra jouer le tempo des oscillations du vent. « C’est très intéressant », se réjouit Yannick Bestaven. « Dès lors que l’on tricote au près, il faut choisir son camp et son bord : à droite ou à gauche. La flotte va se diviser. La situation est claire et il va falloir que j’envoie du gaz. J’occupe ici la 27è place et c’est pas joli, joli même si en temps je ne suis pas complètement à la rue. Cette situation météo, c’est une belle occasion de se refaire », insiste le skipper d’Aquarelle.com. On veut bien le croire : le solitaire aux fleurs joue souvent avec les vents pour composer sa route. Et il aime aussi le dire avec de la tactique. Tout comme Nicolas Troussel, d’ailleurs. 37ème, celui qui a remporté la dernière Transat AG2R aux côtés d’Armel Le Cléac’h, ne fait pas de mystère. Il s’est raté sur la première : « Je craignais ce genre d’étape : une chevauchée musclée, où c’est avant tout la vitesse qui prime. Les options de navigation étaient plus que réduites. »
Le skipper de All Mer se rassure sur ce qui l’attend au tournant de ce deuxième parcours. « Aux allures de près, comme au portant, on retrouve vite ses repères. Et puis, la tactique prend une part déterminante. Une étape de vents faibles peut amener rapidement des bouleversements dans le classement. A moi de prendre le bon wagon et de réussir une bonne manche… » Le skipper de D’Aucy Cultive La Vie l’a bien compris aussi. Sébastien Audigane a beau avoir tourbillonné autour du monde à des vitesses folles avec l’équipage d’Orange 2, il ne boude pas non plus son plaisir de faire de nouveau appel à ses réflexes de solide solitaire : « A priori il y aura du jeu au moins jusqu’à Belle-Ile, au près dans des vents faibles et ça me va bien. Il y aura davantage de stratégie et le point le plus positif, c’est que mon retard au leader de 35 minutes n’est rien du tout au regard des trois belles étapes qui restent à courir. »

En route donc pour un nouveau départ. Et si tous placent de beaux espoirs dans ce nouveau parcours, beaucoup se souviennent qu’il ressemble trait pour trait à celui qui avait conduit la flotte de Getxo-Bilbao à La Rochelle, il y a deux ans. En passant aussi par là-haut, par le Birvideaux ! L’étape s’était conclue par une arrivée au suspense inégalé, alors qu’un certain Pascal Bidégorry menait la danse. Un filet de pêche pris dans sa quille à une jetée de mille de l’arrivée en avait décidé autrement. Armel Le Cléach, Michel Desjoyeaux et Erwan Tabarly lui avaient volé la vedette sur le fil. Alors le chacal de Foncia-TBS, est-il paré pour ré-éditer le scénario ? A ses yeux, pas la peine de tirer des plans sur la comète de La Solitaire : « La répétition d’un scénario, pourquoi pas ? Mais cela dépend du vent, forcément. Et chaque nouvelle étape, c’est un nouveau départ… » Une nouvelle histoire aussi.

Source Solitaire Afflelou Le Figaro

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Roland Jourdain : “une course riche d´enseignements”””

Roland Jourdain / Sill & Véolia
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Partis dimanche de Cowes ( île de Wight), à 12h30, Sill et Veolia a su accrocher le paquet de tête très rapidement pour ne plus le lâcher. En effet, le bateau finistérien navigue depuis le début non loin des grosses unités constituant la flotte. ICAP Maximus, l’Open 70 Movistar, le VOR 60 ABN Amro ou encore Skandia Wild Thing sont bien évidemment devant, mais les hommes de Sill et Veolia ont longtemps vu leurs spis, pas si loin, à l’horizon, ce qui satisfaisait le skipper du plan Lombard.
Parmi les 288 concurrents de la Rolex Fastnet Race, on comptait une flotte de 13 monocoques 60 pieds IMOCA. A l’heure actuelle, il ne sont plus que 12 puisque Benoît Parnaudeau, victime d’une avarie, fait route vers Brest. Où en est-on du match dans le match ? Un bilan à la mi-parcours Monsieur Jourdain … ?

Au niveau météo et chance de battre le record dans la catégorie IMOCA ? « De ce point de vue, c’est une vraie catastrophe… Je crois que Catherine Chabaud va conserver son titre ! La tendance, depuis le début, est à la pétole, franchement molle ! Le système de haute pression génère des vents très faibles, ce qui, je pense, va nous faire battre un vrai record de lenteur ! »

Vous venez de franchir la marque de la mi-parcours ? « Oui, Sill et Veolia a franchi le rocher du Fastnet à 13h47 GMT derrière Pindar, Virbac et Ecover. C’était superbe. Nous n’avons pas vu le phare qui était perdu dans la brume. Mais, c’était magique quand même. Peu avant, deux énormes orquals d’au moins 18 mètres de long sont venus nous saluer ! Joli spectacle ! »

Que penses-tu de ta position à l’heure qu’il est ? « Je suis content de notre trajectoire jusqu’à hier. On livrait depuis le début un beau combat contre Pindar. Ce dernier a repris la main au classement hier après-midi dans du tout petit temps. Le bateau de Mike Sanderson est vraiment typé pour ça. Il a un grand genaker que nous n’avons pas et sa carène est très, très propre ; ce qui explique son avantage de vitesse sur nous. D’ailleurs, hier, alors qu’il parvenait à descendre, au portant, sous spi, plus dans le sud, nous n’arrivions pas à le suivre ; d’où notre décision de monter un peu plus dans le nord. Les autres comme Virbac-Paprec sont revenus par derrière à la faveur d’un vent plus soutenu. C’est très frustrant de les voir revenir alors qu’on les avait gardés au chaud, loin derrière ! Actuellement, on voit Ecover à 20 mètres sous notre vent et Virbac est à 2 milles devant quand Pindar est à 5 ! Malgré notre frustration, on apprend beaucoup dans cette course qui est vraiment riche d’enseignements et qui, surtout, n´est pas finie !”

Equipage du monocoque Sill et Veolia :
Roland Jourdain
Gaël Le Cléach
François Sheeck
Philippe Legros
Jean-Yves Bernot

Source Sill & Veolia”

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Maximus premier à Plymouth !

Bill Buckley et Charles St C Brown - Maximus
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En effet, si Maximus a réalisé une magnifique course, le 100’ signé Greg Elliott reste 15 heures en deçà du temps de référence établi en 1999 par Fujicolor II. Pour autant, et à l’occasion de sa toute première saison, l’engin fait preuve d’un potentiel impressionnant – malgré quelques petits ratés à l’allumage (divers contretemps de préparation au printemps), Maximus a prouvé depuis le Rolex Transatlantic Challenge qu’il était à la fois performant et déjà fiable.

Il sera intéressant de voir comment l’engin sera classé en temps compensé, même s’il est bien évident que les honneurs de la ligne restent l’objectif premier pour un Maxi de cette trempe. Maximus inscrit aujourd’hui son nom derrière celui du « Serial Winner » Alfa Romeo, qui s’était brillamment adjugé l’édition 2003.

NB : Pour plus d’informations concernant Maximus, consultez le N°14 de Course Au Large (actuellement en kiosque). Greg Elliott, architecte de l’engin, en commente la genèse et les choix technologiques.

JB

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Swedish Match Tour 2005 : début du Danish Open

B Ainslie & P Holmberg
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Une trentaine de skippers de haut vol participe régulièrement aux Swedish Match Tour. Les compétiteurs sont bien souvent issus de la voile olympique et sont des habitués des coupes de l’America et autres championnats du monde de match racing. Parmi eux, on retrouve Dean Barker, Peter Gilmour ou Franscesco de Angelis, mais aussi Russell Coutts ou Chris Dickson. Chez les français, sont présent les ténors de la série : Bertrand Pacé, Philippe Presti ou Luc Pillot mais aussi le talentueux Mathieu Richard qu’on a pu voir sur Bouygues Telecom dans le dernier Tour de France à la Voile.

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Escale à Getxo – Bilbao

Prologue de la Solitaire Afflelou Le Figaro
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Pas pour tout le monde : les préparateurs techniques s’activent au chevet des bateaux, l’équipe du bon Jean-Yves Chauve répare les petits bobos. Les quarante-cinq marins solitaires s’apprêtent à visiter le fabuleux musée Guggenheim. C’est le moment des pots et déjeuners amicaux entre adversaires et néanmoins amis, celui des anecdotes du grand large. Ces petits riens qui font que la voile ne sera jamais un sport comme les autres. Tant mieux.
« Je te jure. Tu peux l’écrire. J’ai vu des poissons volants. Dans le golfe de Gascogne !» Fred Duthil est catégorique. Il n’a pas eu la berlue, n’était pas fatigué au point d’avoir des hallucinations. Il a bien vu de ses yeux vus ces drôles de bestioles hybrides batifoler aux abords de son bateau. « Les autres vont me chambrer, mais c’est vrai. D’ailleurs, un moment le golfe de Gascogne c’était les Antilles. La mer était d’un bleu incroyable, les nuages comme ceux des Alizés, je me suis demandé si j’allais bien dans ma tête ».

Au Puerto Deportivo de Getxo-Bilbao, la nouvelle est énorme. On est à deux doigts de mettre les meilleurs spécialistes de l’Ifremer sur le coup et déclencher l’alerte rouge chez les psychiatres du Pays Basque pour s’assurer de la bonne santé mentale du skipper de Brossard. On se ravise car il y un autre témoin et pas le premier venu, Yann Eliès. Alors que ça ricane sévère dans les petits cercles de marins, le navigateur de Groupe Generali Assurances confirme : « si, si, Fred a raison ! J’en ai vu un moi aussi, de poisson volant, un seul ! Je me suis dit c’est quoi ce bazar, je vais pas bien ou quoi ? Et en plus il a décollé vent arrière… n’importe quoi, d’habitude, ça décolle face au vent ces machins là ! » On se marre franchement. Ca chambre sévère, à l’instar de Charles Caudrelier (Bostik) et d’Oliver Krauss (Crédit Agricole) : « des poissons volants dans le golfe de Gascogne ? J’en connais qui n’ont pas gagné la course et diraient n’importe quoi pour qu’on parle d’eux ! » Re-rigolade avec les principaux intéressés…

(…)

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Arrivées en accéléré

Gildas Morvan - Cercle Vert
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Aux abords des terres espagnoles, Eole n’en fait souvent qu’à sa tête. Pour cette première étape de la Solitaire Afflelou Le Figaro, il n’a pas calmé ses ardeurs. Mieux, il a soufflé à 30 nœuds, il a adonné aussi. Résultat : les spis ont fleuri cette nuit. A bord des Figaro Bénéteau, toutes les conditions sont réunies pour garder la pédale d’accélérateur dans le coin et se laisser griser par l’ivresse de la vitesse. Si sur les ondes VHF c’est silence radio, gageons en revanche que les leaders auront de belles anecdotes à raconter à l’issue de cette première étape disputée au pas de charge. Du grand art.

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Fin de la 24ème édition de la Copa del Rey

Copa del rey
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Classement Final

Dans la catégorie des TP52, c’est Lexus, barré par Russel Coutts qui grâce à une superbe remontée dans la dernière régate l’emporte d’un tout petit point devant Atalanti XV de Paul Cayard et Movistar.de V Vascotto.
Pour les IMS 500, CAM, 5 fois premier termine logiquement en tête du classement. Juste derrière, la régularité tout au long de la semaine d’Azur de Puig – champion du monde de la série – a payé puisqu’il termine à la deuxième place un point devant l’équipage chilien de Maserati -Vina Mar.
En IMS 600, même si Forum Filatelico remporte la dernière manche, ce n’est pas suffisant pour empêcher Movistar – skippé par Lorenzo Bressani – de prendre la tête du classement final. A noter, la très belle performance d’Andalucia te Quiere, 3ème, qui prive de podium ONO et Fermax.
Enfin, chez les IMS 670, C’est l’équipage de Quum Sevilla mené par Sergio Llorca Lopez qui pour la deuxième année remporte la coupe, après avoir remporté neuf manches! Il est suivi par Movistar et Mutua Madrilena-Diversidad.

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Gildas Morvan remporte la première étape!

Gildas Morvan - Cercle Vert
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Le navigateur breton a parcouru les 390 milles de cette première étape de la Solitaire Afflelou Le Figaro en 1 jour, 23 heures, 49 minutes et 34 secondes à la moyenne de 8, 15 nœuds. Il a franchi la ligne avec 1 minute et 47 secondes d’avance sur le Delta Dore de Jérémie Beyou… qui n’avait lui-même que 17 secondes d’avance sur le Cliptol Sport de Laurent Pellecuer, troisième

Morvan, Beyou, Pellecuer, voici donc le trio de tête de cette première étape, où les arrivées se succèdent à un rythme effrenné : Yann Elies (Groupe Generali Assurances) a pris la 4e place, Kito de Pavant (Groupe Bel) est 5e. Michel Desjoyeaux (Géant) est 6 à 7’58’’ du vainqueur. Il termine devant Thierry Chabagny (Lèbres-Bermudes, 7e) et le premier bizuth Pietro d’Ali (Nanni Diesel, 8e). Le Top ten est complété par Gérald Véniard (Scutum, 9e) et Dominic Vittet (Atao Audio System, 10e). Jeanne Grégoire (Banque Populaire) est la première femme : elle a coupé la ligne à 11h03’13’, en onzième position.

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Pétole sur le Fastnet

Maximus-Fastnet 2005
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Maximus en tête

Le monocoque de 100 pieds ICAP Maximus a été le premier à virer le rocher du Fastnet à 3H33 du matin la nuit dernière. Skandia Wild Thing l’a contourné à 9h18 alors que les premiers Open 60 étaient au pointage de 11h à moins de 10 milles du phare.

Georges Hendy, skipper de Maximus se situait à 10 heures à 23 milles du rocher, engagé sur la route qui doit à présent mener le monocoques à Plymouth. Il avançait à une vitesse de 6 nœuds pour un vent établi à 4,5 nœuds. Vu l’instabilité du vent sur zone, il lui était très difficile d’estimer une heure d’arrivée sur le port anglais.
A la même heure, Skandia Wild Thing, lui aussi sur le retour, se situait à 3 milles du Fastnet, et progressait dans un vent très faible à une vitesse de 0,2 nœuds ! Joint à bord, Graham Taylor expliquait ne pas avoir parcouru plus de 40 milles ces 12 dernières heures.
Même son de cloche sur le VO70 Movistar : son skipper, Bouwe Bekking estimait à 9 heures ce matin que le bateau avait parcouru à peine 120 milles en 24 heures, ce qui est faible pour ce coursier qui détient, avec 530,19 milles, le record des 24 heures en catégorie monocoque…

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