vendredi 19 septembre 2025
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Swedish Match Tour 2005 : un danois pour le Danish Open!

Danish Open:J Bank-United Internet Team German
DR

Après les rounds éliminatoires, United Internet Team Germany, composée de J.Bank, H.Blaksbaer, T.Jacobsen, M.Mottl et J.Schoepe, rencontrait en finale l’équipe de BMW Oracle Racing skippé par Gavin Brady.C’est d’ailleurs ce dernier et son équipe qui remportent la première course de cette finale malgré une pénalité pour départ anticipé. Cependant Bank et son équipage reviennent vite dans la compétition puisqu’ils gagnent les deux manches suivantes. D’ailleurs ils ont bien failli gagner la quatrième course du fait que Brady a été contraint de recouper la ligne de départ pour avoir franchi celle-ci trop tôt. Pourtant, grâce à une excellente stratégie, Brady refait son retard et emporte cette 4ème course.L’absence de vent a par la suite obligé les organisateurs à stopper cette finale sur le score de 2 à 2. C’est toutefois l ‘équipe de Bank qui a été déclaré vainqueur, du fait de sa victoire lors du tête-à-tête (manche 1, course 3) qui l’avait préalablement opposé à Brady jeudi dernier.

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Solitaire Afflelou Le Figaro, un classement bien tassé

Pietro D´Ali - Nanni Diesel
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– A moins de trente minutes,
on trouve le groupe des huit chasseurs immédiats, emmenés par Fred Duthil (Brossard), Jérémie Beyou (Delta Dore) et le très régulier Thierry Chabagny (Lèbres-Bermudes) qui se hisse à la 5e place à 22’29’’. Le Top Ten est complété par les deux derniers vainqueurs Armel le Cléac’h (Foncia-TBS) et Charles Caudrelier (Bostik), puis Michel Desjoyeaux (Géant), Laurent Pellecuer (Cliptol Sport) et enfin Erwan Tabarly (Thales), 10e à 29’47. Tous menaceront très directement le leadership de Pietro d’Ali sur la route de Crosshaven.

– A moins d’une heure,
un autre groupe de sept bateaux est encadré par trois ex-vainqueurs de La Solitaire : Kito de Pavant (Groupe Bel, 11e à 32’14’’), Dominic Vitttet (16e à 53’02’’) et Eric Drouglazet (Crédit Maritime, 17e à 53’34’’). Entre ces trois « monstres » de la course au large, quatre jeunes loups aux dents longues : dans l’ordre Gérald Véniard (Scutum), Romain Attanasio (MrBookmaker.com), Nicolas Bérenger (KONE Ascenseurs) et Benoît Petit (Défi Santé Voile). Eux aussi demeurent excessivement dangereux ….

– De une heure à trois heures de retard,
on trouve d’abord un des grandissimes favoris, « déçu mais pas abattu » : Yann Elies, (Groupe Generali Assurances) 18e à 1h10’33’’. Un retard que le deuxième de l’édition 2004 ne trouve pas encore rédhibitoire. « Il faut y croire encore, il reste beaucoup de route et si je pars battu, ce n’est pas marrant. Tout est toujours possible dans La Solitaire ». Dans ce groupe on trouve les trois filles de la flotte : Jeanne Grégoire (Banque Populaire, 19e à 1h27’’58), Liz Wardley (Sojasun, 22e à 1h50’’15) et Samantha Davies (Skandia, 23e à 2h03’’37). Les filles sont accompagnées dans l’ordre par Oliver Kraus (Espoir Crédit Agricole), Cyrille Rognon (ENO & Navy Line), Marc Emig (Total), Nicolas Troussel (All Mer), Marc Lepesqueux (Maisons Pierre), Etienne Svilarich (Sogeti) et les deux derniers vainqueurs de la Transat 6.50 : Armel Tripon (Gedimat) et Yannick Bestaven (Aquarelle.com, 29e à 2h54’’56).

– De trois heures à 5h41 de retard,
les 16 derniers de la flotte devront tout tenter pour revenir dans le match. Parmi ces premiers déçus de la mi-course, on trouve deux colosses de la course au large, au propre comme au figuré. D’abord le barreur d’Orange 2, recordman du Trophée Jules Verne autour du monde, Sébastien Audigane (D’Aucy Cultive la vie, 31e à 3h52’). Puis le vainqueur de la Whitbread et de La Solitaire 83 Lionel Péan (L’Esprit d’Equipe, 35e à 3h50). Personne n’a a rougir dans cette bande, ni la lanterne rouge Sébastien Thétiot (Déclic Morbihan, 45e à 5h41), ni le doyen Jean-Paul Mouren (M@rseille entreprises, 32e à 3h10). Franck Legal (Lenze), l’Allemand Jorg Rierchers (Germanytoo), l’amateur Stéphane Sevaux (Sarthe), Eric Defert (Amiral de Bretagne – Suzuki) et Gaël Bigot (Team 117) sont à moins de quatre heures. Mais derrière, ni Laurent Nabart (Corsica), Amaiur Alfaro (pays-basque-entreprises.com), Patrice Bougard (Kogane), Thierry Fournier-Foch (Cortal Consort) et Christian Bos (Raynal et Roquelaure, 44e à 5h31’) ne sont forcément éliminés. Tous le disent : à Crosshaven, où la flotte arrivera dans des coefficients de marée supérieurs à cent, il peut y avoir des écarts énormes. Petit rappel à ce sujet : 5h41 c’est à 20 minutes près le temps moyen d’une marée…

Source Solitaire Afflelou Le Figaro

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En duels vers la Rochelle

Pietro D´Ali - Nanni Diesel
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Cette deuxième étape de La Solitaire Afflelou Le Figaro constituera-t-elle un tournant dans la course ? Autrement dit risque-t-elle de se solder avec son lot de bouleversements au classement général provisoire : les premiers qui prennent leurs aises et leurs distances, tandis que les autres rétrogradent ? Une dorsale à négocier avec un changement de rotation de l’air hier, et c’est la course qui semble basculer en même temps que le vent. Samedi en plein golfe de Gascogne, il y a ceux qui ont le mieux géré leur itinéraire pour rejoindre La Rochelle en ce jour de grande affluence, le 15 août. Dans le groupe de tête, Pietro D’Ali, qui n’en finit pas de susciter des commentaires élogieux dans son sillage, a mis la poudre d’escampette en virant au bon moment. Seulement, le skipper de Nanni Diesel n’était pas seul et aujourd’hui, le jeune talentueux Frédéric Duthil menace de lui voler les honneurs de la victoire d’étape…

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Le bizuth italien Pietro d’Ali mène le bal

Prologue de la Solitaire Afflelou Le Figaro
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Au dernier pointage de midi, le skipper Italien de Nanni Diesel devançait Frédéric Duthil (Brossard) de 0,4 milles, Oliver Krauss (Espoir Crédit Agricole), de 0,7 milles et Michel Desjoyeaux (Géant) de 1,3 mille. Une heure plus tard, à 13 h, les observations de la direction de course sur l’eau donnaient un ordre différent pour les poursuivants immédiats du bizuth italien : Michel Desjoyeaux avait repris la 3e place et Oliver Krauss la deuxième… Au final la seule chose immuable depuis la nuit était le leadership de Pietro d’Ali. La flotte s’est resserrée et on ne peut plus véritablement parler d’options Ouest et Est. « Tout le monde est tribord amures et a choisi de tirer le bord à l’Ouest, il y a juste eu de petits coups pour négocier des molles par exemple », explique le directeur de course Christian Gout, «mais l’écart latéral entre concurrents s’est considérablement réduit », passant d’une quinzaine de milles à l’aube à seulement trois milles ce midi. Autrement dit, les écarts au classement sont cette fois pertinents, tout en demeurant limités : les dix premiers qui se tiennent en moins de 2 milles.

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Pour Patrice Carpentier sur VM Materiaux: un “beau Fastnet””!”

Patrice Carpentier / VM Matériaux
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Certes, cette édition du Fastnet fut longue, à tel point que le trajet aller jusqu’au fameux phare eût presque mérité le sobriquet de « Slownet »… Il a donc fallu prendre patience, jouer avec chaque maigre risée, avant de pouvoir enfin profiter du formidable potentiel de vitesse du Pogo 40 au portant. « Après le Fastnet, nous devions aller virer une marque positionnée dans le sud, et certains bateaux, qui avaient doublé le rocher après nous, ont avalé cette fameuse marque avant que nous n’y parvenions ! C’était disons plutôt… mistouflard », explique ce matin Patrice Carpentier. « Le vent est néanmoins rentré peu après, et nous avons mis du charbon : sous grand spi, VM Matériaux déboulait et nous ne cessions de doubler d’autres concurrents ! Parfois, Géry et moi-même nous mettions à l’intérieur, et les autres équipages voyaient notre 40’ les passer avec aisance, sous pilote », souligne le navigateur non sans malice. Joint brièvement hier soir alors que le duo n’était plus qu’à 20 milles de l’arrivée, Patrice prenait manifestement un plaisir intense à faire parler la puissance du plan Finot-Conq, pour parvenir à Plymouth en 46ème position en temps réel. « C’est bien ce seul juge de paix qui compte pour nous, car avec notre handicap, le temps compensé n’est pas significatif (VM Matériaux termine 53ème en IRC 0 avant jury, ndlr). La remontée a été très efficace, car nous sommes arrivés environ 9 minutes après le Jumbo 40 Shere Khan, qui nous avait précédé de 5 heures au Fastnet… Notre classement en temps réel est satisfaisant – il y avait tout de même près de 300 bateaux – et Géry a pu se rendre compte du potentiel du Pogo 40 . » Le compère de Patrice a en effet l’intention de se porter acquéreur d’un exemplaire de ce plaisant coursier, qu’il mènera notamment en solo, « et courir en double, cela équivaut quasiment à être deux solitaires à bord », ajoute Patrice, « l’expérience est concluante pour lui. Et même si c’est anecdotique, terminer premier duo en temps réel est une satisfaction. »

VM Matériaux prend dès ce matin la route du retour vers La Trinité, « si toutefois nous parvenons à sortir du port, note le skipper, car il y a un monde fou et nous sommes à couple avec au moins 5 autres bateaux ! J’espère que nous nous retrouverons bientôt pour d’autres aventures. »

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Ciao Getxo-Bilbao, à bientôt aux Birvideaux…

Prologue de la Solitaire Afflelou Le Figaro
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Midi pile, bon départ. Eole a beau menacer de faire la girouette et souffler des airs erratiques à même de donner du fil à retordre au Comité de Course de Michel Vialet, la flotte des solitaires s’est élancée à l’heure prévue dans un flux très, très léger de nord soufflant péniblement à 4-5 nœuds. Mou, mou, mou… mais c’est bien parti pour 368 milles aux détours d’une dorsale anticyclonique qu’il faudra vite traverser, et du phare des Birvideaux au Nord de Belle-Ile qu’il ne faudra pas trop tarder à parer.A Getxo-Bilbao, à 12 heures sonnantes mais pas trébuchantes, l’honneur de prendre le meilleur départ revient aux yeux de Gilles Chiorri, à bord du bateau accompagnateur Ecole Navale, à Erwan Tabarly. Le skipper de Thales, ponctuel, s’est élancé dans un timing parfait, bien accompagné sur la gauche par Kito de Pavant, le capitaine de Groupe Bel et de la vache rouge. A droite, le chacal, à la barre de Foncia-TBS, entame aussi ce parcours côtier dans les eaux basques espagnoles aux meilleures places.  On se souvient soudain, que deux ans plus tôt, Armel Le Cléac’h avait non seulement remporté La Solitaire à 13 secondes devant Alain Gautier, mais qu’il s’était aussi adjugé au passage l’étape Getxo-Bilbao/La Rochelle via les Birvideaux.

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La chronique de Capian : du rêve… et de la réalité

Mini Solo 2005
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Juste une semaine après la Course des Lions, je suis au départ d’une nouvelle régate, la première en solitaire pour moi. La Mini Solo, boucle de 110 milles au départ de Port Camargue.Je suis dans de bonnes dispositions. J’ai déjà beaucoup appris depuis le début de la saison et Eole est décidé à être clément. Ce ne devrait être que du bonheur.Départ dans la pétole et après la bouée de dégagement j’accroche le bon wagon. C’est parti ! Sauf que je m’allonge quelques instants sur le pont et patatras ! Un casier s’est pris dans ma quille et nous stoppe brutalement. Marche arrière- marche avant, affalage, rien n’y fait. Et les autres qui s’échappent ! Un peu dépité, mais très motivé, j’arriverai finalement à recoller une partie du groupe. Avant de commettre une nouvelle erreur. Pendant je suis en train de phosphorer sur la position des parcs ostréicoles interdits et l’évolution météo probable pour chercher un bon coup à jouer, ceux que j’avais recollé virent et s’échappent dans une veine de vent. Je reste scotché.Je passerai la bouée de mi-parcours avec plus de deux heures de retard sur le gros de la flotte !Je n’arrête pas de me dire « c’est pas possible ! » et je suis bien décidé à continuer à me battre.Pas très convaincu d’une option à terre, je tire au large des parcs ostréicoles et donne tout ce que je peux, pour une nuit qui sera sans sommeil (à l’arrivée, pensant n’avoir pas du tout dormi, j’apprendrai qu’un bateau accompagnateur m’a doublé au moteur en m’appelant et m’éclairant de leurs torches et que je n’ai pas bronché, affalé sur ma barre. Il paraît qu’on barre pas si mal en dormant !)De toute façon, le réveil tout neuf s’est cassé quand je l’ai fait tomber durant la première heure de course.

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Défi Petit Navire – Record Penn Ar Bed, Finistère : les 50 pieds d´attaque!

50´ Cr�pes Whaou!
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Lors de l´édition 2004, seul Pascal Quintin, sur Jean Stalaven, était venu goûter aux joies de la navigation en baie de Douarnenez. « J´avais vraiment apprécié le week-end. Dommage que les conditions idéales n´aient été réunies que lors de la première journée » nous avoue le skipper, aujourd´hui installé à proximité de Saint-Brieuc, au port du Légué. Une remarque dont l´organisation a tenu compte en proposant au comité de course de choisir le parcours parmi trois bouées installées à cinq milles de la ligne du Rosmeur. Depuis l´édition 2004, Pascal Quintin a lui conquis un autre record de la baie, celui de la baie de Saint-Brieuc. « C´est important pour nous, skippers de multicoques 50 pieds, de se retrouver autour de ce type de compétitio n. Comme nous l´avons vu lors du trophée des multicoques de la baie de Saint-Brieuc, en mai dernier, cela crée une certaine émulation auprès du grand public. En plus, j´ai la chance d´avoir un bateau performant au portant. Ce qui peut être un avantage pour le Défi. »

Souvent considérés comme les “parents pauvres” de leurs grands frères de 10 pieds plus longs, les multicoques 50 pieds cherchent à s´organiser. « Nous sommes de plus en plus nombreux » nous explique Hervé Cléris, président de la classe 50 pieds et également inscrit au Défi sur son multicoque C.L.N. « Pour la prochaine Transat Jacques Vabre, qui reliera Le Havre à Bahia, en novembre prochain, nous serons au moins six et sans doute une quinzaine pour la Route du Rhum 2006. Nous cherchons également à développer des épreuves propres à la classe, un peu sur le modèle du Défi, avec un classement final et un programme allégé. Il ne faut pas oublier que nous sommes avant tout des amateurs. » Un circuit d´amateurs éclairés, qui fait parfois office de tremplin à l´image du projet de Franck-Yves Escoffier sur Crêpes Whaou. Baptisé le quatre juin dernier, aux pieds des remparts de Saint-Malo, ce bateau, dernière génération, permet à des PME, dans la limite d´un budget accessible et raisonnable, d´épauler de jeunes navigateurs.
Avec la très expérimentée Anne Caseneuve sur Acanthe Ingenierie, ils seront quatre 50 pieds au port du Rosmeur. L´occasion de se mesurer aux 60 pieds et de relever ainsi le “défi”.

Les inscrits catégorie multicoques 50 pieds
• Acanthe Ingénierie (Anne Caseneuve)
• C.L.N. (Hervé Cl éris)
• Jean Stalaven (Pascal Quintin)
• Crêpes Whaou (Franck-Yves Escoffier)

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Rolex Fastnet: Dick premier Open 60 à Plymouth!

Jean-Pierre Dick - Virbac-Paprec
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Jean-Pierre Dick : “Cette victoire, on a été la chercher car au rocher du Fastnet, Pindar était en tête et on s´était fait rattraper par la flotte. Heureusement, on a fait une super option la dernière nuit avec Bernard et on a pu creuser l´écart. Après on a misé sur la vitesse du bateau dans les 50 derniers milles pour prendre la tête de la course dans les dernières heures à Cheminées Poujoulat. Le bateau avance bien, on le savait déjà et cette victoire le confirme ! Cette arrivée me rappelle l´arrivée de Lorient – Les Bermudes – Lorient lorsque Riguidel a dépassé Tabarly ! On est passé sous son vent au final mais cela n´a pas été facile.
 

Il y a le bémol du départ et on va faire un rapport au comité de course. On a failli s´échouer sur les bancs de Hurst Castle dans le Solent et on a du se faire déhaler pour éviter les rochers. Quoiqu´il arrive, on a gagné sur l´eau et tout l´équipage a fait un super boulot, les deux barreurs Bruno Jourdren et Jim Schmicker de chez Farr, mais aussi Dominique Conin à la météo, Jean-Yves Gau et Pierre-Yves Lautrou aux manœuvres avec moi derrière pour aiguillonner tout le monde !

Cela fait 3 courses d´affilée que je gagne, après le national Open 7.50, le trophée SNSM et le Fasnet, c´est plutôt une bonne série ! “”

Equipage : Jean-Pierre Dick, Dominique Conin, Bruno Jourdren, Jim Schmicker, Jean-Yves Gau et un invité journaliste Pierre-Yves Lautrou.

Plus d´informations dans la matinée…”

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Sill et Veolia 3ème des Open 60´ à Plymouth.

Roland Jourdain - Sill et Véolia
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Roland Jourdain, skipper de Sill et Veolia :
 
« Pour des bizuths de la Rolex Fastnet Race, on est plutôt content ! Jean-Yves Bernot en est un adepte, tant et tellement qu’il ne sait plus combien de fois il a participé ! Mais, pour nous autres, c’était une première. Nous sommes ravis ! Par contre, niveau météo, c’est clair que ces 608 milles ont été très calmes ! Autant de pétole, si longtemps, c’est bizarre. Il n’y a même pas une vague qui a réussi à mouiller le pont ! »
 
« Côté résultat, Sill et Veolia termine troisième derrière deux autres français ! Un tiercé français sur les terres anglaises, pas mal, non ? En ce qui nous concerne, il est clair qu’on a souffert d’un déficit dans le petit temps. Mais, nous sommes partis avec notre jeu de voiles du Vendée Globe alors que les autres arboraient tous, leurs nouvelles voiles. Je ne me fais donc pas trop de soucis pour l’avenir ! C’est vrai aussi que la carène de Sill et Veolia est un peu “pâlote”” et qu’une bonne couche d’anti-fouling va être nécessaire. Nous sortons le bateau de l’eau samedi de façon à lui faire une grande toilette estivale avant la Jacques Vabre ! »
 
Jourdain et ses hommes ont franchi la ligne devant Plymouth et sont repartis directement vers la Bretagne, direction Concarneau. A 10h00 ce jeudi matin, Sill et Veolia était à 60 milles du phare du Four.

* Bémol concernant Virbac-Paprec : Au moment du départ, le monocoque de JP Dick a failli s’échouer sur les bancs de Hurst Castle dans le Solent. Le skipper niçois a fait un rapport au comité de course qui sera seul juge. (source Virbac-Paprec)
Pénalité, déclassement… ? Affaire à suivre…
 
Equipage de la Rolex Fastnet Race à bord de Sill et Veolia : Roland Jourdain, Gaël Le Cléach, François Sheeck, Philippe Legros et Jean-Yves Bernot.”

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