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Brasil premier à Rotterdam

Brasil 1
DR

C’est donc une victoire faite de patience, de talents régatiers  et de beaucoup de combativité. Cette première place sur la plus haute marche du podium a été conquise de haute lutte contre deux poursuivants particulièrement combatifs, Ericsson et ABN AMRO ONE qui n’ont pas lâché les Brésiliens depuis le nord de l’Ecosse, alors que les trois autres concurrents, Pirates, ABN AMRO TWO et Brunel se laissaient définitivement distancer alors qu’il restait encore plus de 500 milles à parcourir.
Pour l’équipage de Brasil 1 qui compte à son bord la fine fleur de la voile olympique du Brésil, cette victoire a une saveur particulière. En effet, remporter une étape de haute mer devant tous les bouffeurs d’océan embarqués sur les autres V0 70 a un parfum de petit pied de nez.
ABN AMRO ONE prend la seconde place de cette étape qui arrive à domicile puisque cet équipage, tout comme ABN AMRO TWO, bat pavillon hollandais. Mais ayant déjà course gagnée au général, Mike Sanderson et ses hommes  se réjouissent de la victoire de Brasil 1.
Ericsson, arrivé en 3ème position, 26 minutes et 10 secondes après ABN AMRO ONE, savoure sa seconde place de podium consécutive et fait une sérieuse OPA sur la 4ème place au général provisoire de ABN AMRO TWO. Les trois autres concurrents sont attendus en milieu de journée, dans un ordre encore incertain.
 
Prochaine épreuve : la régate in shore de Rotterdam, demain. 15ème manche et avant-dernière épreuve de cette Volvo Ocean Race 2005-2006.

Classement général provisoire après 14 manches (sur 16) :
1 – ABN AMRO ONE : 84,5 points + 6 = 90.5 points / 1er au général provisoire
2 – Pirates des Caraïbes : 59.5 points / 2ème au général provisoire
3 – Brasil 1 : 52    points + 7 = 59 / 3ème au général provisoire
4 – ABN AMRO TWO : 48.5 points
5 – Movistar : 48 points DNS / DNF
6 – Ericsson : 45 points + 5 = 50 points           
7 – Brunel : 8 points

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Charles Caudrelier, leader hier à Gruissan

Charles Caudrelier / Bostik
DR

Gruissan constituera-t-il un  tournant dans cette édition 2006 de la Solo Méditerranée ? Après l’éclatante victoire de Kito de Pavant entre Cassis et Gruissan, seul le Briochin Yann Eliès paraissait en mesure d’entamer la superbe du Montpeliérain. Las ! A l’entame du premier bord de portant du parcours banane mis en place par Gilles Sabin et son équipe, Yann Eliès, second du classement général, déclarait son abandon de la manche et rentrait au port, souffrant d’une blessure au dos que l’on espère superficielle. Loin devant à ce moment de la course, Charles Caudrelier enchaînait virements et empannages comme un métronome ; parti en milieu de ligne, Charles protégeait sa gauche lors de la première remontée au vent et envoyait le premier son spi, tout en gardant le génois à poste, afin d’anticiper le bord de près et afin de s’épargner une manoeuvre supplémentaire à l’avant. La descente sous spi donnait l’occasion aux virtuoses du genre l’occasion de se mettre en évidence. Gildas Morvan, Kito De Pavant ou Eric Drouglazet, droits dans leur cockpit, écoute de spi en mains, téléguidaient dans la posture du dresseur de pur-sang leur Figaro Bénéteau 2 sur la crête d’une houle en certains points du plan d’eau très prononcée. La ligne d’arrivée consacrait un Charles Caudrelier parfaitement remis de sa déception de la course offshore d’avant-hier. Christopher Pratt lui a disputé jusqu’au bout la victoire finale. Il exorcise lui aussi devant Gruissan la frustration ressentie entre Cassis et la cité languedocienne. Après sa victoire à Marseille, le skipper d’Espoir  Crédit Agricole démontre à nouveau son impressionnante aisance entre trois bouées.
 Gildas Morvan revient de loin. Le « géant vert » a effectué un retour tonitruant sur la tête de la course après un départ plus que moyen du mauvais côté du plan d’eau. Il termine dans le tableau arrière d’un Eric Drouglazet que l’on avait pas vu à si belle fête depuis sa 5ème place à Marseille.
 Le classement général subit les soubresauts de cette journée un peu particulière. L’infortuné Yann Eliès chute à la 5ème Place. Kito De Pavant est désormais un solide leader devant Nicolas Troussel (Financo) impressionnant de régularité aux places d’honneur. Gildas Morvan pointe à nouveau sa haute taille sur la troisième marche du podium devant Pietro D’Ali (Nanni Diesel), lui aussi très en vue aujourd’hui. Le vainqueur du jour Charles Caudrelier est 6ème.

Ces classements sont donnés sous réserve. Une pluie de drapeaux rouges, 7 au total, synonymes de demande de réclamation s’était abattue sur le comité de course à l’issue de la manche. Trois seront en définitive recevables et soumises à l’examen du jury.

Classement provisoire de la course du jour (les 6 premiers) :

 1 – Charles Caudrelier (Bostik)
 2 – Christopher Pratt (Espoir Crédit Agricole)
 3 – Eric Drouglazet (Malongo)
 4 – Gildas Morvan (Cercle Vert)
 5 – Nicolas Troussel (Financo)
 6 – Kito de Pavant (Groupe Bel)

(Source Solo Méditerranée).

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Vers la ligne d’arrivée

Mini Fastnet bato 422
DR

Au dernier pointage, c’est Vecteur plus (265) qui prend la tête de la flotte. À une dizaine de milles à l’est du peloton de tête, le prototype de Didier Le Vourch et Aloys Claquin pourrait avoir fait le bon choix si le vent, annoncé mollissant, bascule comme prévu au Sud-Est dans la nuit. Derrière lui, plus à l’ouest, PCO Technologies – Set – Environnement (424), Mini-Minx (196), Brossard (198), Ecover (618) et Déphémérides (291) suivent dans un mouchoir de poche. Entre ces 6 concurrents, qui semblent désormais inaccessibles du reste de la flotte, tout va se jouer dans les prochaines heures.
Derrière eux, un deuxième groupe de prototypes se détache : Adria Mobil (510),  Crédit Agricole – Skipper Challenge (417), Adrénaline (346), Areas assurances (454), Micromegas (159). Puis viennent les série, avec en tête DIJS Net-1 (422), talonné par French Kiss (522).
À ce rythme, les premiers devraient franchir la ligne aujourd’hui en milieu de journée.
 
Dans la flotte
La première fille : Marine Chombart de Lauwe, Esprit 93 (481) – 9e en série
Sur le pogo Esprit 93, les Chombart naviguent en famille. Marine s’est embarquée avec son père Pascal pour courir le mini-Fastnet. Cette jeune journaliste a déjà à son palmarès une 10e place dans la Transat 6,50 2005 (1ère féminine).
 
In extremis : Laurent Bourgues, Adrénaline (346) – 9e en proto
Laurent Bourgues a fait ses armes en laser avant de succomber à l’appel du large. Le jeune marseillais a auto-financé l’achat de son plan Manuard et pu embarquer in extremis dans la dernière Pornichet Sélect ; il a terminé 14e pour sa première épreuve en solo, dans le trophée Marie-Agnès Peron, et se classe actuellement 9e au classement général.
 
Auto-construction : Sébastien Picault et Aymeric Garrant, Groupe Royer (573) – 44e au général
Ces deux copains d’enfance, pas vraiment des enfants de la mer (l’un est Lorrain, l’autre du centre-Bretagne), ont dessiné et construit eux-mêmes leur prototype, avec l’aide des amis et de la famille… engagés malgré eux dans une aventure où les maîtres-mots sont débrouille et ingéniosité.
 
Un potentiel vainqueur : Tanguy De Lamotte et Ronan Deshayes, PCO Technologies Set environnement (424) – 2e au général
Après une 3e place en série dans la Transat 6,50 2005, Ronan Deshayes renouvelle l’expérience Mini mais cette fois en proto, sur un plan Tanguy De Lamotte… embarquant dans l’aventure le concepteur lui-même, qui s’était fait remarquer l’an passé en terminant toutes ses courses sur le podium et en coupant la ligne à Salvador de Bahia en 7e position.
 
 

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Phases finales aujourd´hui

Mondial 49er 2006 lac du Bourget
DR

Les surprenants grecs Athanasios PACHOUMAS et Athanasios SIOUZIOS continuent dans la régularité (1 fois 1er, 3 fois 2ème, 2 fois 3ème !) Derrière eux, les allemands Marcus BAUR et Max GROY se sont fait remarquer avec 4 premières places, une place de 3ème et malheureusement une 7ème place qui les pénalise lourdement.

Enfin les champions du monde en titre Rodion Luka / George Leonchuk se placent idéalement en 3ème position. C’est la déception du coté des équipages français qui ne compteront aucu représentant dans le rond or malgré de belles manches de Manu Dyen et Yann Rocherieux (2ème et 5ème ) ainsi que de de Julien D’Ortoli et Ulysse Hoffman (une fois 3ème et deux fois 5ème).

Aujourd’hui les phases finales commenceront avec une flotte de 25 bateaux dans le rond or, 33 bateaux dans le rond argent et 34 dans le rond bronze.

Les épreuves du rond or se dérouleront face aux tribunes au plus proche des spectateurs. A ne pas oublier « Sport spectacle et sensations » ! le rendez vous des « World Games 49er » samedi soir de 20h 30 à 22h30  Les meilleurs 49er en démonstration sur des matchs très courts (10mn avec 10 participants par groupe : les 5 meilleurs étant qualifiés pour le tour suivant)

Visibilité maximum depuis les tribunes et commentaires en direct ! Rendez vous aujourd’hui vendredi, pour le début des phases finales de ce Championnat du Monde qui promet une lutte extrêmement serrée !

Source Mondial 49er

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Bientôt le 12 !

Act 10 à Valence : Challenge
DR

 De fait, les conditions météo ont bien changé par rapport à celles vécues lors des Louis Vuitton Acts 10 et 11 il y a quelques semaines. Avec l’augmentation des températures dans la journée, le régime de brise thermique est désormais bien établi et les équipages qui s’entraînent quotidiennement au large du Port America’s Cup profitent d’un vent de sud-est qui souffle entre 10 et 16 nœuds.

 Le rythme ne s’est pas ralenti depuis la fin des régates en mai dernier. Une grande majorité des 12 équipes se prépare intensément sur le plan d’eau de Valencia, à bord de leur Class America ou sur de plus petits bateaux, afin de peaufiner leur pratique du match racing.

De nouveaux arrivants dans la flotte ?
 Pour trois de ces syndicats, ce laps de temps entre les compétitions a été l’occasion de travailler sur les nouveaux Class America. Ainsi, depuis le baptême de son bateau -le dernier dimanche de l’Acte 11- l’équipe suisse a régulièrement navigué à bord de SUI 91. En tant que Defender, Alinghi continue sur la lancée de ses performances passées. A priori, les Suisses ont moins de raisons que leurs concurrents de dévoiler leur nouvelle monture pendant l’Acte 12. Il sera intéressant de voir quelle sera leur décision à ce sujet.

 L’équipe locale du Desafío Español 2007 a également profité de cet intermède pour mettre au point ESP 88. Le bateau a subi ses premiers tests et Agustin Zulueta, directeur technique du syndicat Espagnol, a annoncé qu’il espérait pouvoir utiliser ESP 88 dans l’Acte 12.

 "Nous projetons de régater avec ESP 88 (dans le Louis Vuitton Act 12) si le résultats de nos navigations sont assez bons et jusqu’à présent, tout va très bien" a-t-il déclaré il y a quelques jours.

 Même combat pour les Italiens de Mascalzone Latino-Capitalia Team qui travaillent actuellement sur leur nouveau ITA 90.

 Equiper et préparer un Class America fraîchement sorti de chantier et le rendre opérationnel pour les compétitions exige des équipes beaucoup de temps et d’attention. Il s’agit de tester et de ‘tirer’ sur chaque système mis au point sur le bateau, mais aussi d’être capable d’exploiter toutes ses capacités en terme de performance. Les gains en vitesse prédits sur les planches à dessin des architectes doivent être mis en évidence sur l’eau et cela peut prendre plusieurs semaines d’essais, voire plusieurs mois. La preuve, tous les bateaux ayant participé à la dernière Coupe – et utilisés actuellement – sont bien plus rapides aujourd’hui qu’ils ne l’étaient en 2003.

 Source ACM – P.R./Ceb

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La chronique de Capian : Sur le chemin de l’école

Matthieu Girolet Capian
DR

Si l’on considère souvent que la Transat 6.50 est le bac de la course au large, alors on peut dire que la première course 2006 est la rentrée des classes pour ce qui sera la promo 2007.

Et cette école là on y va plutôt avec envie. C’est vrai qu’à force de lire en temps réel sur le net les exploits des pros au large et leurs pointes à mach2, l’aventure se rapproche tellement de nous qu’elle semble accessible, qu’on la pense presque facile. Et la Classe Mini, à la fois porte d’accès et déjà mythique, bénéficie à fond de cet engouement. « Puisque je les vois tous les jours le faire devant mon ordi, moi aussi j’en suis capable, et même j’y vais ! »

Et cette année en Méditerranée, la rentrée s’est opérée en deux temps :

20 mai : Triangle du soleil 2006. Et comme c’est le premier jour, un copain pouvait vous tenir la main. Ce seront donc 500 milles en double.

Et la maîtresse a été vache ! 25 bateaux au départ et 11 à l’arrivée, soit 14 abandons, dont trois démâtages et surtout beaucoup pour cause de gros coup de moins bien. Qui ont existé aussi sur les bateaux qui ont fini. Les copains ont  cafté ? ! Pleins de bateaux neufs au départ, peu à l’arrivée et beaucoup des nouveaux en ont bavé. La qualité des canotes n’est pas en cause, ni forcément celle des hommes.

Je crois simplement que le « large », même 4 jours, c’est déjà bien autre chose que 3 manches en baie. C’est déjà une autre discipline, qui peut déjà être une aventure. Et en mode à donf’ c’est bien souvent déjà chercher profond en soi. Il faut déjà vraiment se gérer : se protéger, se nourrir, dormir. Oh, bien sûr, c’est le métier qui rentre quand le casse-croûte sort. Et sur les pontons biens stables, il n’en paraît plus rien.

J’ai déjà une saison sur mon bout de bois, mais à force de sorties hivernales ne dépassant pas le week-end, j’avais un peu oublié ces fondamentaux. Il y a  quand même eu quelques séances amusantes avec du vent forcissant progressivement. Du genre : Tapis puis retapis sous grand spi. Bon, le médium alors, même résultat. Avec le ris ? Non plus ! OK, gennak, et zou 14 nœuds à bloc GV haute dans la nuit noire. Sauf qu’à un moment le bout-dehors a dit que c’était tard et que, lui, il préférait rentrer. Cela s’est terminé, à la scie à métaux et la frontale, par un manchonnage sauvage avec l’aviron par Rémi Bricol’tout et une deuxième moitié de course sur la pointe des pieds dès que la bulle était en l’air. Mais au moins je sais à quoi sert l’aviron maintenant.

La semaine dernière c’était le premier contrôle, seul devant sa feuille. Mini Solo, donc. Cette fois-ci, on s’est méfié et on a réussi à se faufiler entre deux questions surprise sur les BMS et le tourmentin. Il y a quand même eu quelques jolies figures dans la flotte quand le mistral s’est établi par l’avant à 20-25 nœuds d’un coup alors que la minute d’avant c’était la grosse molle quasi au portant. Gennaker et bout-dehors repliés en urgence et spis dans la figure au programme.

Un multi-récidiviste de la Mini m’avouait récemment qu’au début il avait tendance à pousser les gens à se lancer et qu’aujourd’hui, réflexion faite, il pense plus sage de laisser chacun se décider. Il ne s’agit pas de rebuter. Juste de livrer aussi cet aspect de la réalité. Alors, sincèrement, oui, je trouve que le Mini ça peut être dur. Et comme dans la très grande majorité, nous ne sommes pas des pros ni par le niveau, ni par le reste, les qualifs sont précieuses pour s’en rendre compte.

Peu après leur retour de la dernière transat, évoquant un autre coureur arrivé à Bahia, un ami disait  « il fait partie de la famille ! ». Et il faut bien quelques péripéties pour créer une famille !

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Océan tire ses premiers bords

Océan G.Leblanc première sortie sous voiles
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Première véritable journée de navigation pour ne pas dire de libération pour  Georges et son équipe qui ont enfin pu donner libre cours à leur envie brulante de naviguer réprouvée par un interminable hiver et  meublé par des milliers d’heures de travail à préparer le bateau en rêvant de cette première sortie.

Et pour cette grande occasion, le MacGregor-Smith de 65 pieds de Georges Leblanc s’est fort bien comporté. Il fût étonnement stable et a tout de même atteint 12 nœuds au près sous voilure réduite.

Mais la vitesse et la performance du voilier n’était pas le but de l’exercice. Cette sortie avait plutôt comme objectif de tester le comportement du bateau et de permettre à l’équipe qui effectuera le convoyage de ce dernier vers l’Europe de se familiariser avec les nouveaux équipements du coursier.

Somme toute, Georges Leblanc s’est déclaré fort satisfait de cette première journée. Pour ce baptême du feu, l’équipe bénéficiait de conditions de vents tournant autour de 15 nœuds de provenance nord-est, ce qui est une bonne brise dans ce coin ci de la vallée du St-Laurent situé juste en face de Québec. Quant au fleuve, il agrémentait la balade de sont clapot habituel. Malgré une pluie intermittente et le froid, le plaisir de naviguer était au rendez-vous.  

Daniel Lévesque

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Victoire de Vecteur Plus

Mini pavois 2005 : vecteur plus
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Que du bonheur !
« C’est dingue, génial, on a fait une super course dans une très bonne ambiance. C’est ma 3e victoire à Douarnenez (Trophée Marie-Agnès Péron et prologue de la Mini Fastnet) en deux semaines, je crois que cette baie me réussit bien. Avec Aloys, on ne s’est jamais dit que c’était dans la poche mais on y croyait bien depuis ce matin » confie Didier Le Vourch a son arrivée.
Pour Aloys, « c’est top, super…je ne trouve pas mes mots. J’ai pris vraiment beaucoup de plaisir à naviguer avec Didier, nous étions bien concentrés et jusqu’au bout, nous avons été au taquet, c’est vraiment une très belle victoire ».
 
Retour sur la course
Partis dimanche 4 juin, confiants après avoir gagné le prologue, Didier et Aloys redoutaient le petit temps annoncé. Toujours aux avants-postes et dans le match dans les premiers jours de course, à moins de 200 milles nautiques de l’arrivée, ils se sont emparés de la position de leader en réalisant option Est, option qui s’est avérée payante. « Nous ne nous sommes jamais posés de questions, nous sommes allés au bout de nos options sans suivre nos concurrents. On a bien bossé et bien géré la météo. C’est notre expérience qui a payé » explique Didier Le Vourch.
 
Heureux et satisfaits, Didier et Aloys vont se reposer avant le prochain rendez-vous, le week-end prochain à Saint Nazaire où ils prendront le départ de la Semaine du Record SNSM.

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Exposition : Sous la lumière des phares.

Pays royannais
Pays royannais

Parce qu´il est une presqu´île océane, le Pays Royannais se découvre, dans la lumière de ses phares et les repères de ses balises.
Les balises sur la mer sont dites « amers » sur la terre : entre les unes et les autres, laissez vous guider vers des lumières nouvelles…
Soyez les explorateurs singuliers d´un arc-en-ciel de curiosités et vous pourrez ainsi :

– Trouver Jules Verne et ses lanternes magiques au Musée du phare de la Coubre.
– Apprendre le char à voile et surfer sur la Côte Sauvage
– Accueillir les marins pilotes de la Gironde au phare de Saint-Georges-de-Didonne
– Percer les mystères de la grande rivière depuis la tour de guet du Parc de l´estuaire.
– Partager les trouvailles de chercheurs inspirés qui sortent du sommeil la cité enfouie du Fâ de Barzan écrivant le récit d´une histoire millénaire.
– Fréquenter les peintres en leurs œuvres choisies au Vieux Clocher de Saint-Palais-sur-mer : autrefois peint en noir, il répondait au phare de Cordouan, marquant pour les navires la route périlleuse qui menait à Bordeaux.
– Regarder le phare en bois s´allumer chaque soir, comme au Moyen-âge, sur le port de Mornac-sur-Seudre
– Reconnaître les villas balnéaires de Royan et les frondaisons exotiques des Jardins du Monde, avec ses plantes rares apportées autrefois par les voyageurs.

Devenez explorateur de territoires inconnus, à portée de pas, à hauteur de vue, à raison d´envie : les monuments s´ouvrent, les artistes s´exposent, l´histoire se raconte, les paysages se dévoilent.

Une exposition d´été au Palais des Congrès de Royan
Organisée par la Communauté d´Agglomération du Pays Royannais
Du 1er juillet au 4 septembre 2006 – entrée libre

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Hallberg-Rassy 43 : bateau de l’année 2006 en Australie.

Hallberg-Rassy 43
Hallberg-Rassy 43

Un grand nombre de bateaux a été évalué durant le plus grand Salon Nautique d’Australie, le Sanctuary Cove Boat Show 2006, sur le Queensland’s Gold Coast. Le Hallberg-Rassy 43 a été élu bateau de l’année 2006 en Australie dans la catégorie des bateaux étrangers.

Il y a plus de 20 modèles Hallberg-Rassy sur le marché Australien mais c’est la première fois qu’un Hallberg-Rassy est élu voiliers de l’année en Australie. HR avait précédemment gagné ce type de récompense en Europe et aux USA. Reconnus pour leur construction de qualité et leur comportement en mer, ces plans German Frers possèdent des lignes élégentes et des performences reconnues avec 8 modèles allant du 31 pieds au 62 pieds.

Peter Hrones, patron de Windcraft Australia, unique agent HR en Australie, commente :

“Etre nominé fut un honneur pour nous et pour le chantier. Il y a beaucoup de bateaux sur le marché mais Hallberg-Rassy est vraiment à part. Il y en a moins de 200 construits chaque année, il y a une longue liste d’attente car ce sont des produits longs à fabriquer.

Le Hallberg-Rassy 43 est un bateau pour propriétaire perspicace, quelqu’un qui sait qu’il a besoin de naviguer autour du monde et qui peut être tranquilisé quand à la capacité du chantier à lui garantir cela.”

Interrogé sur les attributs d’Hallberg-Rassy, Hrones répond :

“Excellence dans la fabrication, réputation mondiale de savoir-faire. Superbes réalisations rarement égalées dans la production de voiliers de nos jours.”

Plus d’infos : www.hallberg-rassy.se

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