« Nous avons un bateau de sécurité, un bateau pour tourner les images et un jet ski, » disait Alex avant de sortir dans le Solent pour tenter de marcher de nouveau sur la quille de son monocoque gîté. La première difficulté était de trouver la bonne vitesse pour sortir la quille de l’eau pendant assez longtemps. Il fallait 18 noeuds de vent, une mer peu agitée et un skipper bien préparé.
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« A plusieurs reprises, on pensait que les conditions étaient réunies. On commence à tout mettre en place, les bateaux, le photographe, le jet ski, l’équipe de tournage…. Je mets mon costard et à ce moment-là le vent faiblit... » Alex précise qu’il fallait être bien patient pour pouvoir profiter des conditions idéales.