Le départ de la septième édition du Vendée Globe approche à grand pas ! Ce sera le 10 novembre 2012 au Sables d’Olonne. Conséquence logique, le plateau des concurrents se profile. Douze skippers ont confirmé à ce jour leur participation. Il s’agit de Jean-Pierre Dick (FRA, Virbac-Paprec 3), Vincent Riou (FRA, PRB), Kito de Pavant (FRA, Groupe Bel), Bernard Stamm (SUI, Cheminées Poujoulat), Marc Guillemot (FRA, Safran), Armel Le Cléac’h (FRA, Banque Populaire), Arnaud Boissières (FRA, Akéna Verandas), Mike Golding (GB, GAMESA), Dominique Wavre (SUI, Mirabaud), Alex Thomson (GB, Hugo Boss), François Gabart (FRA, MACIF) et Javier Sanso (ESP, sponsor non communiqué).
Treize autres marins ayant pour ambition d’ajouter leurs noms à ce casting alléchant sont également à la recherche de partenaires financiers. Parmi eux, certains animateurs des éditions précédentes à l’instar de Jean Le Cam (FRA), Yann Eliès (FRA), Dee Caffari (GB), Samantha Davies (GB), Jérémie Beyou (FRA), Raphael Dinelli (FRA), Steve White (GB) et Jean-Baptiste Dejeanty (FRA), mais aussi des navigateurs qui rêvent, pour la première fois, de se mesurer à l’Everest des mers : Alessandro Di Benedetto (ITA), Marc Emig (FRA), Louis Burton (FRA), Juan Merediz (ESP) et Boris Herrmann (ALL). Tous ces candidats étaient présents ce jeudi à Paris, à l’exception de Samantha Davies et de Jérémie Beyou.
L’échange entre skippers, sponsors, prospects et organisateurs a démontré qu’il reste de belles opportunités de partenariats à saisir pour des marques désireuses de s’engager dans le sponsoring voile. «On ne peut imaginer un Vendée Globe sans ces marins qui ont tous des parcours exceptionnels ou prometteurs. Nous souhaitons que cette liste d’attente devienne rapidement une liste d’inscrits » a insisté Jean-Pierre Champion, Président de la Fédération Française de Voile.
Luc Talbourdet, Président de l’IMOCA, l’association des monocoques Open de 60 pieds, a expliqué l’intérêt d’investir maintenant dans le Vendée Globe : « Des skippers à forte notoriété sont encore disponibles et il reste de bons bateaux sur le marché. Ils sont plus accessibles financièrement que des bateaux neufs et demeurent suffisamment performants pour espérer remporter l’épreuve. Enfin, nous attendons entre 15 et 20 concurrents au départ en 2012, contre 30 lors de la dernière édition.»
A l’issue des différentes interventions, les skippers ont pu rencontrer les prospects et les agences pour échanger sur leurs projets, dans l’espoir que de futurs partenariats découlent de cette initiative et des ses prises de contacts.



















