Dimitri Nicolopoulos, Coordinateur du Design Team, revient sur les points qui ont marqué les étapes de l’élaboration de FRA93 :
« Nous avons commencé par poser les « premières briques » en 2003, c’est-à-dire choisir l’équipe, et préparer les outils (logiciels de calcul, bassin de carène,…). Puis en 2004, nous sommes entrés dans le vif du sujet, avec l’arrivée de FRA57, puis de FRA60, (ex- NZL57 et NZL60), ainsi que du design package de Team New Zealand qui les accompagnait. Ce design package a été utilisé comme un point de départ pour bâtir notre réflexion. Cela nous a permis de nous inscrire dans une démarche plutôt que de partir de zéro. Team New Zealand a été « finaliste » des trois dernières éditions de l’America’ Cup (une fois en tant que challenger, deux fois en tant que defender), et ils avaient de très bons bateaux depuis 1992). Notre démarche créative s’est ensuite particulièrement concentrée sur l’année 2005. Pendant l’hiver 2005-2006, nous avons traversé une période très dure au moment où l’équipe cherchait son sponsor principal. Mais personne n’a baissé les bras, le Design Team ne s’est jamais arrêté de travailler, et a continué à calculer, tester, pour rendre les plans définitifs à la date prévue. Ce numéro de voile, c’est un rêve qui se concrétise. Nous sommes vraiment impatients de voir arriver FRA93 à Valence fin octobre, et de le développer ensuite pour les navigants. Nous aurons quatre mois de développement devant nous, ce qui nous laisse le temps de refaire quelques modifications si nécessaire. »
Stephane Kandler, Directeur d’AREVA Challenge, ajoute au sujet de cet événement : « L’attribution du nouveau numéro de voile est une étape importante pour notre équipe, car elle lui permet de matérialiser la construction de notre nouveau bateau. Pour nous, qui évoluons depuis 2004 avec un bateau vieux de 1999, c’est une source supplémentaire de motivation en attendant l’arrivée définitive de notre nouvelle "monture". Entre temps, nous continuerons de travailler et tester de nouvelles choses sur FRA60 qui nous serviront sur le nouveau bateau. Dans FRA93 il y a le chiffre 13 et je suis certain qu’il nous portera chance, car ce bateau a été conçu dans de très bonnes conditions depuis avril 2004.
J’en profite pour remercier tous ceux, qui dans l’équipe se sont impliqués dans le design et la construction de FRA93 et en particulier le shore team, grâce à qui le planning de construction est parfaitement respecté. »
En attendant son arrivée de France, (un Class America doit obligatoirement être construit dans le pays d’origine du yacht club qu’il représente-Le Cercle de la Voile de Paris en ce qui concerne AREVA Challenge), l’équipe va donc encore s’entraîner avec FRA60 dès le mois de septembre à Valence.
Source Areva Challenge
Areva Challenge = FRA93
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L´arrivée en fin de matinée
Le comité de course prévoit une ETA entre 11h et 11h30. Prochain pointage dans la baie de Quiberon.
La flotte des Mumm30 s’est élancée hier soir à 19h20 de la baie de Camaret pour rejoindre La Roche Bernard dans l’embouchure de la Vilaine (Morbihan). Le vent devrait souffler de secteur nord-nord-ouest autour de 10 noeuds et offrir aux concurrents une belle descente sous spi le long des côtes de la Bretagne Sud. Un premier pointage a été effectué à 1,7 milles du départ. CÔTES D’ARMOR était en tête, suivi de DÉFI PARTAGÉ MARSEILLE et de CENTRALE PARIS EPF.
Hier à Camaret…
Une seule manche suffit parfois à bousculer les classements. Ce fût le cas hier à Camaret-sur-mer où la flotte des Mumm30 du Tour de France à la Voile a couru un parcours en aller-retour dans la baie. Si les deux leaders ILE DE FRANCE et DÉFI PARTAGÉ MARSEILLE ne réalisent pas une très belle course (15e et 19e), ils se disputent désormais la première marche du podium au général, à égalité de points. Derrière, les écarts se resserrent. CÔTES D’ARMOR et JOE FLY SAILING TEAM terminent comme lundi deuxième et troisième de la manche et grignotent quelques points supplémentaires au classement général pour gagner du terrain sur les quatre premiers. La victoire du jour revient à NOUVELLE-CALEDONIE, qui signe son premier podium depuis le début de cette 29ème édition.
Source Tour Voile
Géant poursuit son effort
Tous partent donc sur un pied d’égalité même si Mich Desj se souvient d’avoir fait escale en 2004 au retour du Grand Prix de Marseille dans le port qui accueillera la flotte ce week end. Dès aujourd’hui, il va tenter de prendre ses marques pour un premier entraînement dans un régime de brise classique pour la région soit un vent quasiment nul le matin et du thermique se levant vers 12h00/13h00.
Pour cette sortie, l’équipage est au complet. Et seuls deux changements sont à noter. Jean-Christophe Mourniac, qui dispute actuellement le championnat du monde de F18 à Hyères, sera remplacé au réglage de Grand’Voile pour un autre tornadiste de talent : Christophe Espagnon. Quant au poste de numéro 1, il sera assuré par David Forveille. Dans les deux cas, Mich Desj a choisi des équipiers familiers de Géant puisque Christophe Espagnon a déjà effectué plusieurs grands prix à bord du multicoque de Port La Forêt et David Forveille assure depuis le début de la saison, le rôle de boat captain.
Géant qui a montré à plusieurs reprises sa capacité à venir titiller Groupama voire même à lui voler la vedette sur certaines manches, a donc mis tous les atouts de son côté pour continuer à jouer les trouble fêtes au Portugal. Vainqueur d’une manche à Nice puis de deux manches respectivement à Trapani et Marseille, Mich Desj en veut plus ! Stabilité, expérience et motivation seront les ingrédients de la recette de Géant ce week end. Spectacle garanti !
ITV de Michel Desjoyeaux :
« Je n’ai jamais eu l’occasion de naviguer en course à Portimao. Par contre, nous nous étions arrêtés en 2004 en revenant de Marseille. Nous avions fait une halte de quatre jours. Au niveau des conditions de vent, nous avons pu observer que le thermique est assez soutenu l’après-midi et que cela peut être assez cafouilleux. Donc on verra … Il faudra lire le plan d’eau au moins en même temps que les autres. Par contre, une chose est sûre, Portimao est un site très touristique, nous devrions donc avoir pas mal de spectateurs ! Les garçons sont à fond. Notre objectif est de continuer sur la même lancée que depuis le début de saison.»
La chronique de Capian : Des jours avec… et d’autres !
Dans les jours précédant le départ les journées se sont immanquablement divisées entre préparation du bateau le matin et en fin de journée, et entraînements sur l’eau l’après-midi, avec Pierre Lallemand, qui sera mon compagnon de route sur cette épreuve.
Le programme est constitué de deux étapes. Un aller retour Port Camargue-Ajaccio, via une porte devant hyères, à Porquerolles. La première étape s’est parfaitement déroulée pour nous. Sortis premiers du parcours en baie, nous devrons lutter au reaching à la nuit tombante avec d’autres bateaux plus puissants pour rester dans le bon wagon. Nous garderons notre première place à la porte de Porquerolles après une première nuit où nous aurons été bien inspirés. Nous aborderons les côtes de la Corse dans la même position et la baie d’Ajaccio sera notre dernière épreuve.
Alors qu’à l’entrée de la baie nous voyons à peine les spis de nos poursuivants, ils vont revenir sur nous avec du thermique qui avance avec eux, alors que nous sommes dans du vent faible en avant de cette zone. Je suis sûr que vous visualisez bien le cas. Nous conserverons une demi heure d’avance sur le second et plus de 50 minutes sur le deuxième. De gros écarts se sont creusés sur cette étape et les arrivées se succéderont toute la nuit et jusqu’au petit matin pour les derniers.
Aprsè une journée off occupée par la chasse au cyber café (un seul pour 50 ministes ça fait tout de suite du chahut), nous voici repartis pour l’étape retour qui s’annonce difficile, du point de vue météo justement. Nous avons trois modèle météo différents, qui, bien sûr, ne sont pas d’accord entre eux.. Il va falloir choisir ! Nous choisirons de faire la route directe avec un décalage vers le nord pour attraper un flux d’est au dessus de la Corse.
A la tombée de la nuit, nous sommes sur le devant de la flotte, au coude à coude avec un autre concurrent en train de nous décaler peu à peu vers le nord. Tout se déroule comme prévu. D’autant plus que nous avons pris nos repères à deux, avec Pierre, et que ce qui était une rencontre sur la première étape est devenue une jeune amitié motivante. Sauf que, dans la nuit, nous voyons des éclairs d’orage au sud, imprévisibles, mais qui nous envoient un vent froid mais fort qui permettent à une bonne partie de la flotte sous notre vent de nous passer par le sud. Soit toute une compagnie de feux de mat, verts puis blancs, qui accélèrent et disparaissent vers l’avant.
Dilemme. Recalage contrôle vs Option pas certaine-certaine ? Nous plongeons vers le sud avec l’idée que nous arriverons à revenir ensuite. Las. Le vent tombera après l’orage et nous resterons de longues heures collés sans vitesse, à 0 noeuds 0 centimes. Un grand plouf et radio mini animant les ondes de paris sur le résultats de la finale permettront de supporter la chaleur. Dans cette situation, les écarts seront conservés et le vent rentrant par l’avant n’arrangera pas notre cas. D’autant que le directeur de course a décidé, à raison, d’arrêter la course à la porte de Porquerolles, pour cause d’avis de vent fort sur la fin de parcours. Exit la possibilité de se refaire.
Bilan : 3èmes au général après cette deuxième manche au goût d‘inachevé. Et vous savez quoi ? Celui qui a gagné est le bateau que nous avons laissé seul en plongeant au sud la première nuit ! Après une pasta party sur les pontons d’Hyères, histoire de laisser passer le coup de grisou, nous repartirons par grappes vers Port Camargue. La plupart en solo, dernier entraînement avant les Açores.
Une mauvaise nouvelle gâchera la remise des prix. Manu, qui ramenait Totem en solo, s’est fait faire un super câlin par un cargo qui n’avait vraisemblablement pas la même définition de l’affection.
Son bateau est assez endommagé et il a démâté. C’était censé être une nav’ de répétition pour sa qualif solo dans 15 jours…
Tiens bon, Manu, nous avons une transat à partager ensemble en 2007!
Tommy Hilfiger : accessoires et victoire en Volvo Extreme 40.
Tout s’est joué entre les bateaux Basilica, Motorola-CHR et Team Tommy Hilfiger qui se sont battus pour la victoire lors de trois manches passionnantes. Une forte brise d’environ 15 nœuds (environ 30 km/h) s’est levée pour le plus grand plaisir des équipages des catamarans, mais les pluies torrentielles ont mené la vie dure aux spectateurs.
Les catamarans ont, grâce au vent qui se faisait attendre, vraiment pu montrer tout leur potentiel pour clore le Grand Prix en beauté.
Dans la première manche, Basilica, Motorola-CHR et Tommy Hilfiger ont disputé une course tactique au coude à coude. Les britanniques, sur Basilica, sont finalement sortis en tête, suivis par Tommy Hilfiger et Motorola-CHR. Conrad Humphreys, le skipper de Motorola-CHR a déclaré « Nous sommes restés cloués sur place au début de la course, ce qui était regrettable, mais nous sommes revenus par la suite ».
La deuxième manche de la journée s’est avérée décisive : deux réclamations, déposées par Basilica et Tommy Hilfiger et présentées au jury en fin de course, ont finalement décidé du vainqueur au classement général du Grand Prix. Les deux parties et ont été entendu : Basilica a été disqualifié pour un incident sur la ligne de départ. La deuxième réclamation a été rejetée, faute de preuves.
Motorola-CHR s’est imposé dans la troisième manche. L’équipe, deuxième avant le dépôt de plainte, est passé en première place des séries de Rotterdam après les délibérations du jury. Conrad Humphreys, euphorique, a remercié toute son équipe et les organisateurs pour leur aide et leur soutien.
Les membres de l’équipe Tommy Hilfiger, avec Randy Smyth à la barre, ont dignement fêté leur victoire, le trophée du Grand Prix Volvo Extreme 40 brandi très haut sur le podium. Smyth et son équipe avaient déjà gagné les séries de Baltimore et de Portsmouth, mais il a fallu attendre le dernier jour et la fin des délibérations avant qu’ils n’obtiennent leur titre : « C’était le jour le plus important. Personne n’aime gagner dans la salle de jury. J’aime gagner sur l’eau, mais on a dû en arriver là et je suis vraiment heureux d’avoir gagné. Nous avons une super équipe et un sponsor formidable. En plus, nous nous entendons tous très bien et nous avons vraiment apprécié ces derniers mois ».
Tommy Hilfiger présente des accessoires de voile variés : sacs, chaussures de pont, lunettes de soleil et leur montre VX 10 destinée à tous les passionnés…
en plus des vêtements, bien entendu, à vous présenter très bientôt.
Hyères gagne à Camaret
Déstabilisé dès les premiers jours de ce 29ème Tour
de France à la Voile suite à une affaire relative au matossage de son
radeau de survie, l’équipage de TOULON PROVENCE MEDITERRANEE COYCHYERES
avait du mal à entrer dans le jeu. Au terme d’un beau duel avec CÔTES
D’ARMOR, les Hyérois signent enfin la victoire tant attendue, et
peut-être libératrice, comme l’explique le skipper Fabien Henry, ému et
déterminé à son arrivée à Camaret-sur-mer : "la bataille était très
serrée avec Côtes d’Armor. Il ne fallait rien lâcher au rappel et être
dans le coup physiquement, car nous n’avons fait quasiment que du près.
Nous gagnons une belle étape ! Maintenant il va falloir continuer et
remonter les points de retard. Il reste encore pas mal de courses, donc
ce n’est pas fini. Il faut qu’on s’accroche". Septième au classement
général après cette étape, l’équipage de Fabien Henry devra notamment
défier les Costarmoricains, qui réalisent une jolie performance, malgré un peu de malchance sur les derniers milles : "nous
nous sommes bien amusés avec les Hyérois, confie Laurent Bréjon coach
de l’équipe et navigateur sur cette étape. Nous avons su nous détacher
du reste de la flotte avec eux, mais ils sont parvenus à nous doubler
au bon moment, lorsque nous avons accroché une algue, avant la Pointe
Saint-Mathieu !"
Au classement général, DÉFI PARTAGÉ MARSEILLE
devra patienter un peu plus pour prendre la place de leader tant
convoitée. Malgré sa cinquième place hier à Camaret-sur-mer
devant ILE DE FRANCE, l’équipage de Dimitri Deruelle reste second
derrière les Franciliens, suite à la décision du Comité de Course de
supprimer la plus mauvaise manche de chaque équipage, comme mentionné
dans l’article 30.9 des Instructions de Course 2006.
Saluons
enfin la troisième place des Italiens de JOE FLY SAILING TEAM hier après-midi, stimulés par la victoire de leur équipe nationale dimanche soir
face à la FRANCE en finale de la Coupe du Monde de Football. "Nous
avons appris le résultat du match à la VHF, expliquait ce matin l’un
des deux équipiers français du bord, Laurent Pages, lors de la vacation
radio officielle. Il y a eu évidemment de grands cris de joie à bord.
Jérémie Beyou et moi étions un peu déçus, mais il fallait un
vainqueur… Pour le bateau, c’est vraiment la cerise sur le gâteau !"
Source Tour Voile
Une étape française pour le circuit TP52
Cette étape du circuit BREITLING MED CUP aura lieu à Hyères du 10 au 15 septembre 2007.
L’événement sera la dernière rencontre du circuit 2007 après Castellon (13/ 17 juin), la Breitling Regatta et la Copa Del Rey à Majorque (18 / 22 juillet et 28 juillet / 5 août) et Portimao au Portugal (19/ 25 août) ; en 2007 aura lieu également le Championnat du Monde des TP 52 en octobre en Méditerranée.
Lancé en 2005, le circuit des voiliers TP 52 (pour Transpacifique 52 pieds ou 15,85m) connaît un succès fulgurant et s’impose comme le circuit de référence de la voile internationale de haut niveau en Europe dans la lignée de l’America ‘s Cup.
Avec 13 voiliers en 2005, prés de 20 en 2006, le circuit associe à la fois les propriétaires, les plus grandes stars mondiales de la voile, le prestige de personnalités de premier rang ( comme le Roi d’Espagne Juan Carlos ) et les meilleurs architectes mondiaux.
Bénéficiant d’un plan d’eau exceptionnel, et après une année 2006 chargée en événements nautiques d’envergure (Mondial F 18, arrivée du Tour de France à la Voile, Mondial Melges 24), la Ville de Hyères- Les Palmiers rentre ainsi dans le circuit des sites internationaux accueillant ces événements haut de gamme.
L’événement sera mis en œuvre par la Ville de Hyères, le coordonnateur en sera Edmond Bacci, délégué au Nautisme, ainsi que par la société Sirius Evenements dirigée par Manfred Ramspacher.
Les accords finaux sont en cours de formalisation avec le circuit Medcup.
La baie de Douarnenez va fumer ce week-end…
Si les armes sont inégales, l’enjeu est le même pour tous : Traverser la baie de Douarnenez le plus vite possible, la ligne du parcours de trois milles étant ouverte tous les jours du 14 au 16 juillet entre 11 heures et 19 heures. C’est un spectacle inouï qui s’offre alors aux spectateurs, les bateaux virant à quelques mètres de la digue du port du Rosmeur.
Une tournée avant le Rhum…
Pour Alain Gautier, skipper du trimaran 60 pieds Foncia, le Défi Petit Navire sera la première sortie officielle de son bateau, en course, avant la Route du Rhum. « Il vient tout juste d’être remis à l’eau après six mois de chantier » nous explique le vainqueur du Vendée Globe 1991 et de la Solitaire du Figaro en 1999, qui avait terminé deuxième de la Route du Rhum en 1998. « J’ai arrêté la navigation sur les trimarans parce que la forme actuelle du circuit ORMA avec ses Grands Prix ne me correspondait plus. Je préfère travailler avec une équipe réduite autour d’un objectif clairement défini. Dans ce contexte, je prends du plaisir à naviguer. C’est ce qui me guide et m’a toujours guidé et c’est aussi pour cette raison que je participe au Défi Petit Navire ». Le Défi Petit Navire sera pour l’équipe de Foncia l’unique moyen d’étalonner le potentiel du trimaran face aux concurrents directs que sont Sodebo et Brossard.
Du côté des monocoques 60 pieds qui seront pour la première fois présents sur le Défi Petit Navire, Jean Le Cam , fera également sa première sortie à la barre de son 60 pieds Open, baptisé VM Matériaux, celui-ci sortant tout juste de chantier de préparation pour la Route du Rhum. Enfin, Bernard Stamm, tout auréolé de son nouveau record à bord d’Orange II la semaine dernière, sera à la barre de Cheminèes Poujoulat pour affronter ses petits camarades avant de remettre en jeu son titre sur la Velux 5 Oceans, le tour du monde en solitaire avec escales qui s’élancera de Bilbao le 21 octobre prochain. Ces deux skippers talentueux se confronteront à l’homme de Sill et Véolia, Rolland Jourdain qui lui aussi est en pleine préparation de la Route du Rhum.
Cet été, 2win fait son show…
– Le TWINCAT 15, est le premier bateau en Twintex® de l´histoire de la voile légère.
Ce 15 pieds a tout pour plaire : résistant, écologique, accastillage soigné, design,…
Une technologie nouvelle pour des sensations de glisse intenses …
Fiche d´identité :
Nom : 2WIN
Prénom : Twincat 15
Matériau : TWINTEX®
Longueur : 4.60 m
Largeur : 2.30 m
Poids : 115 Kg
Grand-voile : Dacron 245G, 9m2
Foc : Dacron 245G, 2.4m2
Options : Version sport :
GV 12m2, double trapèze, cunningham 6 brins.
Spi : 10m2
Avaleur de spi
Signe particulier : bateau polyvalent, finesse de barre, redressement 1 personne.
Public : initiation et perfectionnement pour les clubs de voiles, hôtels-clubs de vacances et particuliers.
Le Twincat 15 a tout pour lui, des coques ultra résistantes et écologiques (recyclables à 100%), un volume bien réparti facilitant la navigation dans le clapot et pardonnant les “petites erreurs de navigation”, un plan anti-dérive performant pour la remontée au près et….un design soigné.
– Le PIXXY, premier bateau à naviguer sur le programme de l´optimist débutant.
Ce bateau est un prétendant sérieux au remplacement de la mythique “caisse à savon” : même longueur, même surface mouillé mais forme plus moderne, grand voile à ralingue (prise de ris facile),…
Apprentissage et fun de 7 à 14 ans …
Fiche d´identité :
Nom : 2WIN
Prénom : PIXXY
Matériau : Polyester
Longueur : 2.35 m
Largeur : 1.40 m
Poids : 35 Kg
Grand-voile : Dacron 210G, 3.78m2
Mât : 3.8m
Options : Version fun :
Mât rétreint, voile mylar, accastillage Harken.
Signe particulier : bateau autovideur, très stable (autant que l´optimist), large cockpit pour utilisation en double.
Public : jardins des mers, initiation voile et perfectionnement pour les clubs de voiles, hôtels-clubs de vacances et particuliers.
Le Pixxy rassure car il est d´une très grande stabilité grâce à sa forme de coque très large, son étrave “perce vagues” le rend très marin puisqu´elle facilite la navigation dans le clapot et la remontée au vent. Au portant, cette coque planante saura offrir aux utilisateurs aguerris des sensations en toute sécurité.
Ce bateau est aujourd´hui l´alternative à l´optimist débutant le plus répandu et de nombreux clubs français ou étrangers y ont adhéré.
Pour connaître la date des essais près de chez-vous, appelez au 05 46 34 22 82 ou connectez-vous sur www.2-win.fr, rubrique contact.
