mercredi 12 novembre 2025
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Sill & Veolia de nouveau à l´eau

Sill & Veolia Roland Jourdain
DR

Bon timing
La mise à l’eau du Sill et Veolia a eu lieu hier en début de soirée, à la faveur d’un fort coefficient de marée : « C’était parfait comme timing car nous avons eu ainsi l’après-midi entière pour préparer la manœuvre et tout organiser dans le détail », raconte Nicolas de Castro. Le voilier a été mâté dans la foulée, et l’équipe de Roland Jourdain va procéder dans les jours à venir au réarmement du bateau : « nous allons gréer les voiles, remettre le moteur en état de marche, finaliser l’installation de l’électronique, etc. Il nous reste une foule de petits détails à régler avant de pouvoir faire les premières sorties en mer. »

« Nous formons une bonne équipe »
L’équipe va mettre les bouchées doubles pour que tout soit prêt dès le début de la semaine prochaine : « nous formons une bonne équipe et nous sommes nombreux : le travail avance vite et bien. » poursuit le boat-captain. Pas moins de huit hommes s’activent en effet autour du 60 pieds de Roland Jourdain : Olivier Cusin (gréeur), Luis Galvez (électronique), Thomas Lebee (logistique), Yoann Richomme (informatique) et Thierry Sabin (mécanique-hydraulique) sont venus prêter main forte au noyau dur de l’équipe Sill et Veolia composée d’Albert Bargués (directeur technique), Nicolas de Castro (boat-captain) et Sebastien Guillou (composite).

« Aucun stress… »
Ainsi, dès lundi prochain ou mardi au plus tard, le 60 pieds Sill et Veolia retrouvera la mer : « une fois sur l’eau, nous allons procéder pas à pas afin d’effectuer toutes les vérifications et réglages nécessaires » explique Nicolas. « Le bateau était déjà prêt avant le chantier du mois d’août, il n’y a pas eu de gros travaux effectués, il n’y a donc aucun stress pour cette remise en route ! » conclut le boat-captain de Sill et Veolia.

Source Sill & Veolia

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Classiques en vue !

Régates Royales Trophée Panerai
DR

Ils glissent sur tous les océans du monde depuis des années… Ils déploient leurs voiles avec élégance au gré des vents se jouant des brises et bourrasques… Ils s’amarrent aux pontons des quatre coins du globe… Et c’est sur les eaux scintillantes de la magnifique baie de Cannes, qu’ils croiseront l’étrave en cette première semaine automnale. Lulworth, Mariquita, Oriole, Moonbeam III of Fife, Tuiga… faut-il tous les citer pour témoigner de la qualité du spectacle qui s’offrira au public, toujours plus charmé par la magie qui s’opère sous ses yeux ? 120 Dragons, 82 Traditions, et 25 Métriques sont déjà annoncés… Yachts classiques ou bateaux olympiques de légende, tous s’apprêtent à entrer dans la valse envoûtante rythmée par les brises fantasques et le Mistral de la baie cannoise.
 
Des catégories variées, près d’une trentaine de nationalités différentes, et pourtant tous ont en commun cette passion dévorante pour les belles choses, qui les conduit chaque année à se rassembler toujours plus nombreux sur l’incontournable scène méditerranéenne. En mer c’est avec élégance que les équipages porteront les couleurs de leurs bateaux, hissant les voiles avec fierté et jouant d’habileté et de fair-play pour remporter la victoire. Chez les Dragons, on sait déjà que le vainqueur de l’an dernier, BB Queen, avec à sa barre son skipper allemand Markus Wieser, remettra son titre en jeu face aux vainqueurs des éditions 2003 et 2004, respectivement, le Danois Paul Richard Hoj-Jensen (vice-champion d’Europe 2005) à bord de Danish Blue et le Breton Louis Urvois sur Ar Youleg. Coté Traditions, Bona Fide, Mariette, Cambria… tous seront là pour défendre leurs titres.
 
Et ce n’est que tard le soir que le rideau s’abaissera sur la scène, car une fois les régates achevées, ces oiseaux rares viendront exposer leurs parures sous les projecteurs du quai Laubeuf. Acajous vernis, cuivres rutilants… chacun s’appliquera à briller démontrant que ces conceptions à l’épreuve des années sont à l’image de ces Régates Royales : hors du temps.

Source Régates Royales

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La Rolex Swan Cup monte en puissance

Rolex Swan Cup Artemis Russell Coutts Swan 601
DR

Malgré des prévisions météorologiques peu optimistes, les 114 Swans engagés dans la Rolex Swan Cup ont bénéficié de conditions presque idylliques. C’est sous un soleil radieux et un vent de 8 à 10 nœuds d’est que la première manche a été lancée. Mené par l’Italien Sandro Ricetto, le comité de course du Yacht Club Costa Smeralda avait sélectionné pour les participants des classes “Grand Prix“, “Classic“ et “Swan 601“, un parcours côtier de 29 milles autour de l’archipel de la Maddalena. Les Swan 45 avaient, quant à eux, l’opportunité de s’affronter dans deux parcours bananes (… ) En tête après le passage du détroit, Fantasticaaa s’est solidement accroché à sa première place et achève le premier parcours côtier en première position.
 
Propriétaire et barreur de Fantasticaaa, Lanfranco Cirillo jubilait à son arrivée sur cette belle victoire : « C’est une grande joie d’être le premier à revenir au port. Je pense que nous avons vraiment bien navigué aujourd’hui, que ce soit d’un point de vue tactique ou bien de vitesse du bateau. Le fait d’être devant les Swan 601 qui sont de vrais bateaux de course est une satisfaction supplémentaire. Les conditions ont été parfaites et le vent ni trop fort, ni trop faible. Le seul handicap dont nous souffrons est notre difficulté à manœuvrer lors des phases de départ. Fantasticaaa est un voilier assez lourd qui demande de l’anticipation. J’aimerai vraiment pouvoir gagner le trophée des propriétaires barreurs cette semaine et pourquoi pas le titre dans notre catégorie. J’espère juste que nous aurons assez de marge en temps compensé. Après cette régate, nous allons voyager autour du monde pour pouvoir régater sur d’autres mers et savoir si nous sommes le Swan le plus rapide du monde ! »
 
Véritable course dans la course, la catégorie “Swan 601“ a finalement été remportée par Artemis de Torbjorn Tornquist avec Russel Coutts à la tactique. L’américain Monneypenny termine, quant à lui, deuxième, suivi de peu par Cuordileone. A bord de ces deux bateaux, de nombreux talents de la voile officient comme tacticiens à l’image de Paul Cayard sur Cuordileone mais aussi Dee Smith sur Monneypenny. « La course a été intense. Nous étions vraiment proches les uns des autres et nous n’espérions pas un meilleur résultat », confiait Tornquist.
 
Russel Coutts, qui revient tout juste de Newport après avoir remporté le Rolex Farr 40 World Championship sur Mascalzone Latino de Vincenzo Onorato, se dit satisfait et heureux de cette journée de navigation en Sardaigne : « Naviguer dans ces eaux et dans cet archipel est un vrai régal. Porto Cervo est définitivement l’un des plus beaux endroits pour la voile au monde. Concernant la compétition, nous avons eu une course très proche avec Moneypenny et nous avons réussi à prendre l’ascendant à Monaci Rocks lors d’une variation du vent qui nous a favorisés. »
 
La compétition dans la catégorie des Swan 45 a offert le spectacle escompté. La flotte des 29 monotypes a été menée par DSK Comifin qui s’impose d’entrée de jeu comme le plus sérieux concurrent de cette 14e édition de la Rolex Swan Cup. Avec une place de premier et de quatrième, DSK devance, avec un total de 5 points, le champion du monde de Swan 45, Massimo Ferragamo sur Bellicosa avec 6 points et Plenty d’Alexander Roepers avec 8 points.
 
Pietro D’Ali, marin de talent qui officie à la tactique sur DSK, résume la course : “Nous sommes vraiment positifs après une telle journée et sommes satisfaits de notre résultat. Le nombre important de participants apporte un plus à la course et la rend vraiment intéressante.” La dernière catégorie, la “Classic“ avec 45 inscrits, a effectué un parcours côtier le long de l’archipel de la Maddalena. Le Swan 36 Tarantella, le premier Swan fabriqué par les chantiers Nautor’s Swan en 1966 mais également le premier vainqueur de la Rolex Swan Cup en 1980, Black Swan, fait office de légende dans cette catégorie.
 
Source Rolex Swan Cup

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Un grand week-end pour Slam.

Slam
Slam

Un week-end glorieux même : 4 victoires prestigieuses le même jour :

Mascalzone Latino-Capitalia (propriété de Vincenzo Onorato) avec Russel Coutts à la tactique a battu les autres concurrents dans le Championnat du Monde de Farr 40 à Newport (USA); Alfa Romeo et Roma ont recolté d´incroyables victoires dans leurs classes respectives “Racing”” et “”Cruising”” à la Maxi Yacht Rolex Cup à Porto Cervo et enfin Clan des Team, l´acrobatique Classe Libera du lac de Gardes est reparti victorieux de la 56ième Centomiglia !

Un week-end de succès et de satisfaction pour la marque italienne de vêtements techniques qui se rejouit d´être partenaire des équipes les plus déterminées et des bateaux les plus innovants techniquement sur la scène vélique internationale.

Plus d´infos : www.slam.com

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Les monos 60 repartent à l’assaut des îles Britanniques

Prologue Calais Round Britain
DR

L’IMOCA et Royale Production- l’organisateur de l’épreuve, ont déjà recueilli le souhait d’une douzaine de skippers d’en découdre sur ce parcours majestueux et difficile à la fois. Parmi eux, on retrouve les deux premiers vainqueurs de la course, Vincent Riou (PRB) en 2003 et Roland Jourdain (Sill et Veolia) en 2005. Il faudra aussi compter sur Jean Le Cam (VM Matériaux), qui aura soif d’effacer la déception de l’an dernier lorsque son monocoque avait démâté au large de l’Ecosse. Brian Thompson, qui connaît bien le parcours, Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) sur le premier 60 pieds Farr de l’histoire (l’ex-Virbac-Paprec) et Jérémie Beyou (Delta Dore) seront également de redoutables adversaires. Sans oublier le futur skipper de l’écurie britannique Offshore Challenge, dont le nom n’est pas encore connu.  

Cerise sur le gâteau, la Calais Round Britain Race 2007 sera peut-être l’occasion de découvrir quatre nouveaux monocoques flambant neufs qui participeraient à leur première course.  
Le premier 60 pieds de Yann Eliès, du nouveau plan Farr de Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec), de l’attendu premier mono 60 signé Van Peteghem/Lauriot-Prévost – Verdier pour Marc Guillemot (Safran) et nous l’espérons, le retour de Michel Desjoyeaux sur une seule coque.
 
 En 2005, le suspense pour la victoire entre l’équipage de Mike Golding et celui de Roland Jourdain n’avait pris fin qu’aux premières lueurs du dernier jour de course. Avec un plateau aussi exceptionnel l’année prochaine, nul doute qu’ils seront encore plus nombreux à jouer des coudes au passage de la dernière marque de parcours, devant Douvres. Le dernier bord, entre Douvres et Calais, fait l’objet d’un record toujours détenu depuis 2003 par Charles Hedrich (Objectif 3) en 1h18’50” (vitesse moyenne 14,62 nœuds). Quant au record de l’épreuve, il appartient depuis la dernière édition à Roland Jourdain (Sill et Veolia) en 6 jours 16 heures 43 minutes 21 secondes (vitesse moyenne 11,29 nœuds).  

Réactions :   
Vincent Riou (PRB)  , premier vainqueur en 2003 : "  J’ai beaucoup de plaisir à revenir sur cette course qui est magnifique et exceptionnelle. J’ai eu la chance en 2003 de la gagner dans du petit temps avec un bateau de petit temps. J’aimerais bien refaire la même chose avec plus de vent pour mon nouveau 60 pieds. Ce qui est bien avec ce parcours, c’est qu’en tournant autour d’une grande île, il y a tout le temps des transitions qui relancent la course. C’est vraiment intéressant tactiquement.  "  
 
 Roland Jourdain (Sill et Veolia)  , deuxième vainqueur de l’épreuve en 2005 : " On y retourne avec grand plaisir, d’abord parce qu’on a un titre à défendre, mais aussi parce qu’on a découvert un parcours génial. Sportivement, c’est une semaine de bagarre intense. On se retrouve à chaque pointe, à chaque cap. C’est un parcours à l’esthétique superbe, avec du côtier, du large, des paysages somptueux, de la brume, du chaud, du froid, des cargos, enfin, tout ce qu’on peut trouver sur l’eau aujourd’hui.  "

Source Calais Round Britain Race

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La Multicup 60 donne rendez-vous

Grand Prix de Fécamp
DR

Franck Cammas (Groupama 2) :
«Il y a de l’activité au programme de l’année prochaine : quatre Grands Prix, un Trophée et deux courses au large. Jamais le programme ORMA n’a été si complet. J’espère juste qu’il sera réalisable. Cela implique qu’il y ait des bateaux, au moins six. C’est vrai qu’il ne faut pas faire des régates s’il n’y a pas assez de concurrents parce que ce n’est pas très intéressant, ni pour les skippers, ni pour le public et encore moins pour le partenaire financier. Cependant, il faut être optimiste. A mon sens, la Multi Cup est un super produit sportif aussi bien pour les sponsors que pour les marins : c’est pourquoi je ne comprends pas qu’il n’y ait pas plus de monde qui vienne sur ces épreuves. C’est un peu dommage d’avoir de si beaux bateaux et de ne courir qu’une course par an. »

Loïck Peyron (Gitana 11) :
« Le programme de l’année 2007 est intéressant même si j’aurais bien aimé qu’on fasse le Fastnet en fait. Mais la bonne nouvelle de l’histoire, c’est qu’il y a des gens qui y travaillent depuis des mois, qui ont pris les choses en main depuis janvier. Aujourd’hui, on voit tout le fruit de ce travail, malheureusement pas dans le nombre des bateaux et c’est tout le problème. Le problème des armateurs et des skippers qui ne veulent pas jouer le jeu alors que certains se sont engagés à le faire. C’est sûr, à titre personnel j’ai une énorme rancoeur envers les absents. Il y a onze ans ici, je disais exactement la même chose d’un bateau d’ailleurs qui portait le même nom et d’un autre : ils n’étaient pas là parce qu’ils avaient autre chose à faire. Comme quoi, c’est unéternel recommencement. En dix ans, ça n’a pas évolué et ça ne changera pas tant qu’une organisation digne de ce nom ne comprendra pas qu’il faut être intransigeant. Même quand on est demandeur, à un moment ou un autre, il faut être ferme pour faire progresser les choses et c’est ce qui manque. En fait, il y a toujours trop d’intérêts différents, parfois divergents mais il me semble que ce qui est proposé pour l’an prochain est assez positif. Concernant la contrainte des six bateaux, je suis optimiste. Plusieurs arguments mécaniques et éthiques pourraient rapidement faire venir des bateaux. Quand je propose un système de handicap, ça en fait fuir un éventuellement mais ça peut
peut-être en faire venir cinq autres. C’est une question de choix. »
    
Michel Desjoyeaux (Géant) :
«L’année prochaine, je ne serai pas sur la Multi Cup en tant que skipper sur un trimaran. Peut-être en tant qu’équipier mais pour l’heure, je n’en sais rien. Il me parait néanmoins indispensable de poursuivre les efforts pour médiatiser et internationaliser la Multi Cup sans pour autant oublier qu’aujourd’hui sur le circuit, les sponsors sont français, intéressés par le marché français. Ils ne sont donc pas forcément prêts à aller en Italie ou en Suède même si ce sont de beaux plans d’eau et qu’il y a du public. Etre sponsor d’un bateau est avant tout une démarche économique. Maintenant, si on arrive petit à petit par l’internationalisation à trouver des sponsors de plus grande dimension que ce qu’on a déjà actuellement, cela permettra effectivement aux étrangers de s’intéresser à ce circuit et à ces bateaux qui sont des machines exceptionnelles. A mon sens, leur potentiel n’est pas assez exploité. Il faut travailler encore, trouver d’autres solutions. »

Thierry Duprey du Vorsent (Gitana 12) :
« C’est un programme qui me va tout à fait, avec deux course off-shore qui sont loin de me déplaire. S’il convient à mon armateur, moi je suis prêt à le suivre. Reste la contrainte des six bateaux. Je pense toutefois qu’aujourd’hui elle est nécessaire pour obliger les skippers, les partenaires et les organisateurs à faire le maximum pour redynamiser le circuit. Il en vaut la peine mais il faut que chacun y mette un peu du sien. »

Source Multicup 60

Programme de la Multi Cup 2007 :
*12-21 mai : Londres-Marseille (2 500 milles)
*24-26 mai : Trophée de Marseille
*14-17 juin : Grand Prix d’Espagne (Palma)
*12-15 juillet : Grand Prix du Portugal (Portimao)
*28 juillet-10 août : Bordeaux-Stockholm ( 2 500 milles)
*16-19 août : Grand Prix de Suède
*début septembre : Grand Prix / ville à déterminer

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Les J80 ont rendez-vous à La Trinité

Team MEAMEAMEE vainqueur Finale des Trophées 2005
DR

Après la Rochelle en 2002, ce sera ainsi la seconde fois que la France accueillera à l’occasion d’un championnat du Monde la très dynamique Classe Internationale des J 80. Ce petit (8,50m) monotype connaît en Europe et dans le Monde un engouement spectaculaire depuis son lancement en 1991.  Plus de 800 unités naviguent actuellement sur tous les océans de la planète, dont une grande partie issue du chantier J Europe d’Olonne sur mer en Vendée. Le J 80 est un support reconnu par l’ISAF (International Sailing Federation).

"33 bateaux étaient cette année en lice à Corpus Christi au Texas pour l’attribution du titre mondial" raconte Ludovic Gilet. "Nous avons su attirer 53 J 80 lors du dernier Spi Ouest France à la Trinité sur mer. Nous serons près de 50 fin septembre au Crouesty pour notre national et nous pensons raisonnablement pouvoir compter sur une participation record l’an prochain de 70 bateaux pour le Mondial." Les pays scandinaves, Suède en tête, connaissent à leur tour une véritable frénésie autour du J 80. Frénésie que partagent l’Angleterre, l’Italie et l’Espagne dont les commandes ne cessent d’affluer chez J Europe, constructeur du voilier pour le Vieux continent.

"La SNT, qui a récemment organisée les Championnats du Monde de Mumm 30, est pour nous synonyme de sérieux et de rigueur, sans pour autant négliger l’aspect convivial d’une telle réunion" poursuit Gilet. "Nous tenons à conserver cet esprit fraternel qui règne au sein de la Classe française et à le partager avec nos compétiteurs étrangers."

Ce titre mondial de plus en plus envié sera ainsi convoité par nombre de russes, de belges, d’allemands, anglais ou italiens. Les américains Glenn Darden ou John Kolius, sacrés à Corpus Christi devraient venir défendre leur titre. Un vrai Challenge pour les spécialistes Français, Eric Brezellec ou le récent champion d’Europe  Benjamin Diouris (équipe de France militaire) en tête.

Source mondial J80

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Trophée BPE : sur un air connu…

Eric Drouglazet - Crédit Maritime/Zerotwo
DR

Sur le papier, l’histoire est belle et fait écho à la célèbre chanson de Laurent Voulzy. En effet, les marins engagés sur cette épreuve devront parcourir près de 3500 milles, en solitaire, sur un bateau d’un peu plus de 10 mètres ! Un programme long de près de trois semaines, qui réclamera endurance, courage et talent.
 
Alors que cette transat en solitaire et à armes égales ouvre de nouveaux horizons à la course au large, elle contribue également au rapprochement de deux îles qui ont su conserver toute leur authenticité. Quand, en juillet dernier, les autorités de Marie Galante et Belle Ile en Mer se sont rencontrées pour la première fois à l’instigation de Pen Duick, l’idée d’un jumelage entre les deux îles était déjà dans l’air depuis longue date. Le rapprochement, désormais scellé, apporte tout son bien fondé au nouveau parcours du Trophée BPE.
 
Le départ aura lieu de Belle Ile en Mer le 25 mars. Une vingtaine de Figaro Bénéteau 2 est attendue pour participer à cette traversée vers Marie Galante (3436 milles). Le parcours est libre, sans aucune marque. Ainsi, les skippers auront toute latitude pour exprimer leur talent de stratège au fil des trois semaines de course.

Source Trophée BPE

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Le Frontline Communicator d’Eclipse SatCom.

EclipseSatCom
EclipseSatCom

Une nouvelle société, , Eclipse SatCom, est née en région parisienne.

Eclipse SatCom commercialise les services et produits de télécommunications par satellite des réseaux INMARSAT, IRIDIUM, THURAYA et GLOBALSTAR.

A la tête d´Eclipse SatCom, on retrouve Grégoire ASSE, bien connu des teams managers et skippers, puisqu´il a été ces cinq dernières années l´interlocuteur privilégié dans les domaines des télécommunications par satellite pour une majorité des multicoques et monocoques IMOCA.

Aujourd´hui, Eclipse SatCom propose, en plus des services et produits de télécommunications par satellite, un équipement de vidéo communication et de Visioconférence portable : le FRONTLINE Communicator. Cet équipement est composé d´un micro-casque caméra, d´un boitier émetteur/récepteur WiFi et d´un soft de lecture PC. Facile d´emploi et surtout très léger, il permet à un équipier où au skipper solitaire de pouvoir communiquer avec son équipe à terre tout en continuant à faire avancer son bateau. Un large choix d´accessoires est proposé, et le FRONTLINE Communicator est compatible avec tous type de caméras et de micros.

Cet équipement est compatible avec les INMARSAT FLEET77, très en vogue sur les bateaux de courses actuels.

Pour joindre Eclipse SatCom et son équipe, un numéro de téléphone 01.56.34.27.10, demander Grégoire ou par mail, gregoire.asse@eclipse-services.com.

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Planning d’automne du SeaCart 30.

SeaCart
SeaCart

Le chantier Oceanlake Marine, et son patron Calle Hennix nous on fait part du programme d´automne de leur trimaran monotype de régate signé Marc Lombard : le SeaCart 30.

Le but : faire essayer le bateau à un maximum de personnes et vendre quelques uns des 5 exemplaires aujourd´hui disponibles à la livraison.

– Salon de Cannes du 8 au 13 Septembre
– Salon de Monaco (sous réserve) du 22 au 25 Septembre
– Régates Royales du 24 au 30 Septembre
– Les Voiles de Saint Tropez du 1er au 8 Octobre
– Salon de Gênes : 9 au 15 Octobre

Plus d´infos : www.oceanlakemarine.com

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