vendredi 12 décembre 2025
- Publicité -
Accueil Blog Page 1520

Le nouveau Bolero de Secumar.

Secumar
Secumar

La clé du succès du gilet Bolero ? Sa coupe courte, serrée au corps et ergonomique, et une chambre à air d’un très grand volume, bien protégée sous une enveloppe. Une fois gonflée, la chambre à air se déploie en flottabilité de 275 Newtons. Navigateurs et navigatrices en apprécieront le confort et pourront avoir entière confiance dans cette technologie de pointe.

Le nouveau design du Bolero 275 ne se limite pas au modernisme, et met en avant tous les aspects pratiques. Une fermeture éclair parcours en diagonale l’enveloppe de protection et facilite ainsi le pliage serré du gilet avec sa chambre à air de 275N. Idéal et confortable pour les longues navigations hauturières.

Répondant à la philosophie Secumar, les autres composants du gilet de sauvetage ont également un niveau de qualité optimal. Le système de gonflage automatique Secumatic 4001S, visible grâce à une fenêtre d’inspection, permet de voir en un seul coup d’oeil si le gilet de sauvetage est prêt à l’emploi. Ainsi, il est possible de savoir si la cartouche de CO2 est pleine et vissée, et si la pastille de cellulose est en bonne position.
De plus, le système de gonflage automatique et sa cartouche se situent dans une petite poche facilement accessible, sans avoir à ouvrir l’enveloppe de protection et à déplier la chambre à air. Le gilet est équipé d’un verrouillage manuel qui permet de limiter le fonctionnement du dispositif de gonflage au mode semi-automatique. Dans ce cas, le gilet de sauvetage ne peut être gonflé qu’en tirant sur la poignée de
déclenchement.

Le gilet est équipé de bandes réfléchissantes 3M, d’une fixation pour un feu de détresse, d’un col polaire amovible et lavable, d’une boucle de fermeture « Click » sur la sangle harnais, d’un sifflet, de fixations pour sous-cutales, et d’une petite poche zippée à l’avant. Il est livré dans une sacoche transparente.
Ce nouveau gilet sera disponible dès février 2010, disponible en 2 coloris : marine/rouge et gris/jaune fluo

Source : Secumar
www.secumar.com

- Publicité -

Nouvelle victoire de Masirah

Masirah à Singapour
DR

La journée avait commencé avec seulement deux noeuds de vent et les six équipages ont dû chercher la moindre petite risée pour boucler les parcours sous la Grande Roue de Singapour. Au milieu de l’après-midi, le vent s’est stabilisé à une dizaine de noeuds, mais tout allait changer de nouveau en fin d’après-midi avec l’arrivée d’un orage. Avec la visibilité réduite sous une pluie battante et des éclairs qui lézardaient le ciel, le Comité de Course n’avait pas de choix que de mettre fin aux courses. Ensuite il fallait sortir les calculettes, car la dernière épreuve de la journée devait compter double. La position de Masirah était bien solide et l’équipe est de nouveau récompensée après son titre de champion dans le circuit européen et sa victoire récente à Hong Kong.

Au classement général de la Série Asiatique, Masirah dispose ainsi de douze points (le maximum) avec quatre équipes en lice pour la seconde place – avec BT et China Team sur sept points et Red Bull et The Wave, Muscat sur six points.

Ils ont dit :
Paul Campbell-James, The Wave, Muscat: « C’est la première fois que nous effectuons des départs au portant et nous avons éprouvé des difficultés cette semaine. Mais on apprend. C’est pour cela que nous sommes ici! »

Hugh Styles, China Team: « On a tout vu ici. Une pluie battante, des orages et une forte chaleur. On est passé de l’absence de vent à de fortes rafales, au point où on a failli chavirer car le vent était trop fort. »

Pete Cumming, Masirah : « C’était une épreuve spéciale pour nous. Notre nouveau recru Nasser, qui fait partie de l’équipe d’Oman Sail depuis huit mois a pu rencontrer quelques-uns des meilleurs marins au monde. Il a vraiment apporté quelque chose de positif à l’équipe et on voit bien le niveau des marins formés chez Oman Sail. Nous avons hâte maintenant de disputer la dernière épreuve du circuit à Oman. Une occasion pour courir chez nous devant notre public. Nous essayons d’inspirer les jeunes Omanais et cette étape à Muscat sera fabuleuse ».

Classement à Singapour

Oman Sail Masirah 121 points
Red Bull 111 points
The Wave – Muscat 100 points
China Team 92 points
BT 87 points
Rumbo Almeria 77 points

Classement de la Série Asiatique après deux étapes

1. Oman Sail Masirah 12
2. BT 7 points
3. China Team 7 points
4. The Wave – Muscat 6 points
5. Red Bull Extreme 6 points
6. Rumbo Almeria 4 points

- Publicité -

ICAP Leopard vise la victoire

Icap Leopard - Mike Slade
DR

Bien que Slade et ses hommes ne souhaitent pas rencontrer des conditions dantesques comme celles de 1998, lorsque six marins ont perdu la vie, ils espèrent néanmoins pouvoir profiter d’une bonne brise pour révéler le potentiel du 100 pieds face aux maxis plus légers comme Alfa Romeo et Wild Oats XI, qui sont favorisés lorsque le vent reste faible. Cela dit, il ne faut pas oublier non plus que l’équipe a obtenu ses victoires dans la Fastnet et la Middle Sea Race avec un vent faible. Mais l’équipage ne sous-estime pas le défi face au grand favori, Wild Oats XI, qui vise une cinquième victoire.

Le skipper et propriétaire d’ICAP Leopard, Mike Slade : « Nous avons hâte de disputer notre seconde Sydney-Hobart (En 2007 Leopard termine en seconde place en arrivant moins de trente minutes après Wild Oats XI -NDLR). C’est une des courses les plus connues au monde. Le triplé est possible, même si nous nous trouvons face aux meilleurs bateaux de l’hémisphère sud. Ce que je veux comme cadeau de Noël est une bonne brise et une traversée express vers Hobart! »

A bord d’ICAP Leopard, on retrouve essentiellement le même équipage que lors des courses au large précédentes de 2009. Des stars de la Volvo Ocean Race (Justin Slattery, Rob Greenhalgh, les frères Salter et Brad Jackson) côtoient une des vedettes de la Coupe de l’America, Ray Davies.

Equipage pour la Sydney Hobart 2009

Equipiers D’avant
Zane Gills
Justin Slattery
Rob Waddell
Nipper Salter
Mât
Josh Clark
Dylan Clarke
Volkan Dikmen
Piano
Kelvin Rawlings
Tim Sellars
Jim Turner
Regleurs
 Jez Elliot
Jason Carrington
Bob Wylie
Tim Burnell
Chef De Quart /Wincheur Mark Thomas
Barreur/Tacticien Ray Davies
Skipper / Barreur Mike Slade
Chef De Quart / Performer Brad Jackson
Performer / Navigateur Jules Salter
Boat Captain/Barreur Chris Sherlock
Performer / Navigateur Hugh Agnew
Chef De Quart Rob Greenhalgh
Wincheur Hugo Slade

- Publicité -

Les deux équipes d´Oman Sail en tête

Les Extreme 40 à Singapour
DR

Parmi ces courses, une nouveauté : un run de vitesse où les Extreme 40 avaient 6 minutes pour choisir la meilleure fenêtre de départ pour boucler un parcours de 1,1km. Finalement c’était Red Bull, qui a réalisé le meilleur temps en arrivant après trois minutes et une seconde avec Masirah en seconde place avec deux secondes de plus au chrono.

Le double médaillé d’or des J.O., Hans-Peter Steinacher, tacticien sur Red Bull ne cachait pas sa joie, « C’était fabuleux! Cela fait du bien de faire quelque chose d’un peu différent. Cela nous permet d’apprendre des choses. On n’a jamais fait ce genre de course, mais en fait cela nous a bien réussi! Il faut certes un peu de chance, mais il faut également être très vigilant. Il faut se battre jusqu’au bout. Rien n’est encore joué. Tout restera à faire demain, ce qui est bien ».

La satisfaction était évidente aussi du côté de The Wave, Muscat. Son skipper, Paul Campbell-James : « Nous avons eu une journée magnifique. On a gagné trois courses. (…) C’est ce qu’il nous fallait après une journée médiocre hier et maintenant on est de nouveau un concurrent sérieux pour la victoire. Tout pourra arriver demain avec une dernière course, qui comptera double ».

Pour la dernière journée de cette seconde étape asiatique les courses débuteront de nouveau à 14 h avec la perspective d’un après-midi passionnant à Singapour.

Classement provisoire
Oman Sail Masirah 96 pts
The Wave – Muscat 83 pts
Red Bull 82 pts
China Team 80 pts
BT 68 pts
Rumbo Almeria 54 pts

- Publicité -

Liz Wardley double le Cap Finisterre

Liz Wardley
DR

Liz a levé le pied en franchissant le Cap Finisterre en raison d’une mer "horrible" et d’un très grand nombre de cargos. Avec un moral au beau fixe, elle se prépare à affronter, dès ce lundi soir et coup sur coup, deux tempêtes au large du Portugal. Elle devra faire face à des vents de 45 à 60 nœuds (force 9 à force 12).

Liz Wardley a transmis dimanche soir son récit de ses premières heures de navigation sur la route du Tour du Monde de Référence de la SolOcéane :
«Je suis repartie de la bouée cardinale Est de Linuen à l’entrée de la baie de Port-La-Forêt samedi dernier à 12h00 TU. Il y avait 15 nœuds de brise de nord-est. Tout au long de l’après-midi et de la soirée, le vent s’est renforcé. J’ai continué à naviguer au portant en privilégiant le VMG (Velocity Made Good). J’avais de bonnes sensations avec le bateau et nous avancions rapidement vers le Cap Finisterre. J’ai réduit la voilure à temps, car le vent est ensuite monté à 30 – 35 nœuds avec des rafales à 38 nœuds. Le bateau a commencé à désobéir au pilote automatique et j’ai donc pris un deuxième ris pour la nuit, sous Solent à l’avant. Je naviguais régulièrement au-dessus de 15 nœuds, avec des pointes à 20 nœuds. »

«Tôt le matin, en approchant les côtes espagnoles, le vent a commencé à devenir irrégulier avec des bascules de vingt degrés et des rafales jusqu’à 40 nœuds. J’ai commencé à préparer mon empannage, mais j’ai décidé finalement d’attendre que le jour se lève pour faire mon premier empannage avec plus de 30 nœuds de vent réel. C’était une erreur, car je me suis trop rapprochée de la côte et j’ai été bien secouée dans des eaux moins profondes, avec une mer dans un état horrible. Je viens juste de traverser le dernier rail des cargos au large du Cap Finisterre. Je vais empanner à nouveau à 2200 UT ce soir pour commencer ma plongée vers le sud-ouest à la recherche d’eau plus chaude et du soleil… J’y vais tranquillement jusqu’à ce que j’empanne vers le sud car je suis toujours sur une voie maritime importante. Je devrais pouvoir accélérer en longeant les côtes portugaises dans les vingt-quatre prochaines heures ».

- Publicité -

Sous l’effet de la mousson

Série Asiatique à Singapour
DR

Grâce à sa régularité Masirah domine toujours au classement et a même creusé son écart à dix points ce dimanche sur Red Bull. A noter la bonne troisième place de China Team, la révélation de cette semaine. Même un expérimenté comme Nick Moloney, skipper de BT a parlé après des conditions extrêmement variables sur le plan d’eau ce week-end : « Des conditions complètement folles, un vent qui était très variable, un gros grain au milieu de la première course et des bascules importantes. J’ai même perdu mon chapeau ! »

Des conditions éprouvantes aussi pour les organisateurs, qui ont néanmoins réussi à mettre en place cinq courses avec de nouveau des invités d’honneur à bord des catamarans. Et encore une fois la réaction a été très positive. Sur Rumbo Almeria, le Président des Régates de Samui a souligné que « aucun autre sport ne vous offre ce genre de sensation incroyable ». Sur Red Bull, c’était le jeune pilote de l’équipe de GP automobile de Singapour, Hafiz Koh, qui était le cinquième homme à bord cet après-midi. « Absolument incroyable ! Je vais quitter le sport automobile pour faire de la voile ! »

Pete Cumming, skipper de l’équipe de Masirah avouait après qu’il sent la pression des autres cette semaine. « Encore une journée solide pour nous, mais avec des conditions très différentes. Sous l’effet de la mousson, le vent bascule dans tous les sens. On sait que ce qui compte est la régularité de la performance. Dans les cinq courses on a terminé dans les trois premiers, mais les autres équipes mettent la pression et peu à peu, elles arrivent à nous menacer ».

Demain se disputera l’avant dernière journée de cette seconde étape du circuit asiatique.

Classement provisoire:

Oman Sail Masirah: 70
Red Bull Extreme Sailing Team: 60
China Team: 59
BT: 57
The Wave, Muscat: 53
Rumbo Almeria: 38

- Publicité -

Des rafales déstabilisantes à Singapour

Red Bull à Singapour
DR

La journée avait commencé normalement avec des invités à bord des catamarans dont le médaillé d’or des J.O. Asafa Powell à bord de Rumbo Almeria, mais cet après-midi les conditions ont changé et ce même équipage de Shirley Robertson a dû bagarrer dur pour éviter un chavirage sous l’effet des rafales de vent, comme l’explique l’équipier d’avant, Steve Mitchell : « On a eu une forte rafale et le bateau s’est soulevé. J’étais parti sur la coque sous le vent. J’avais les chevilles sous l’eau et l’étrave était complètement immergée. Il y avait Nick Huttton qui criait, « Nous allons couler ! Nous allons couler ! » J’ai laissé tomber le spi et me suis précipité vers l’autre côté. Tout le monde s’accrochait en haut et enfin la coque est redescendue et nous sommes repartis. On ne s’attendait pas à cela ici ! Il faut rester vigilant. »

The Wave, Muscat, Red Bull et China Team ont retrouvé des sensations similaires avec ces rafales générées par les couloirs de vent entre les immeubles. Le héros local, Tan Wearn Haw, à bord de China Team a découvert comment tout peut rapidement basculer: « On a failli renverser le bateau. Nous étions vraiment à la limite et tout aurait pu arriver. On était stupéfaits ! Nous avons beaucoup appris aujourd’hui ! Hugh Styles à la barre disait que cela fait trois ans qu’il participe à ces épreuves, mais qu’il n’a jamais été aussi proche d’un chavirage ».

Cinq courses ont pu néanmoins être disputées et pour Hans-Peter Steinacher, tacticien sur Red Bull, c’était “une journée parfaite,” mais malgré ses bons résultats il a ajouté que son équipe était contente de ne disputer que cinq courses, car les conditions étaient très éprouvantes pour les équipiers d’avant.

Classement après deux journées de course:

Oman Sail Masirah: 45
Red Bull Extreme Sailing Team: 43
BT: 41
CHINA TEAM: 39
The Wave, Muscat: 38
Rumbo Almeria: 26

- Publicité -

Groupama 3 en route vers la Bretagne

Groupama 3
DR

Skippé par Fred Le Peutrec et mené par un équipage de 10 personnes, Groupama 3 en a donc fini avec son escale sud-africaine. Il aura fallu pas moins de trois semaines au maxi trimaran pour être à nouveau opérationnel suite à l’avarie survenue dans l’Atlantique Sud alors qu’il était en avance sur le temps de référence établi en 2005 par Orange dans le Trophée Jules Verne.

En effet, une fois la cloison de flotteur réparée puis renforcée par l’équipe technique du team Groupama, assistée par des sud-africain du team Shosholoza, c’est le générateur qui rendait l’âme. Contraint d’en commander un nouveau en France et de le faire descendre à Cape Town par avion, l’équipage de Groupama 3 n’avait d’autre choix que de patienter sagement à Cape Town.

« Tout cela est derrière nous aujourd’hui et nous sommes tous les dix très heureux d’être en mer. Nous avons du nous dégager de la côte pour trouver le vent qui nous a permis de retendre le gréement. C’est fait et nous naviguons actuellement avec deux ris dans la grand voile et sous trinquette dans un vent de sud-est de 25 à 28 noeuds pour une vitesse équivalente » relate Fred Le Peutrec, qui en l’absence de Franck Cammas, assume la responsabilité de Groupama 3.

Sur les dix équipiers qui étaient à bord lors de la tentative de Trophée Jules Verne, trois sont à bord pour ce convoyage puisque, outre Fred, l’on retrouve Ronan Le Goff et Jacques Caraës : « En ce moment, c’est Ludovic Aglaor qui est à la barre avec Ronan et Clément Surtel à ses côtés. Il découvre Groupama 3, lui qui connaît bien Orange 2 puisqu’il était à bord pour le Jules Verne victorieux de 2005. On a aussi quelques nouveaux comme Mayeul Rifflet qui est venu remplacer Lionel Lemonchois ou encore Nick Legatt et Thierry Duprey du Vorsent. D’autres connaissent déjà Groupama 3 pour l’avoir préparé : Eric Lamy, François Salabert qui officie à la navigation » ajoute Fred.

« Nous allons naviguer dans ce vent portant assez fort pendant 36 heures. Après, il devrait mollir à une quinzaine de noeuds pour nous permettre de rejoindre l’équateur en neuf jours. Nous ne serons donc pas rentré pour les fêtes de Noël. Mais qu’importe, nous sommes là pour ramener Groupama 3 à bon port. Le bateau est aujourd’hui plus solide que jamais. Il faudra juste faire attention aux baleines. Ce matin, en quittant Cape Town, nous en avons croisé sept ou huit. C’était magnifique » conclut Fred Le Peutrec.

- Publicité -

Recherche gréement désespérément

Skandia Wild Thing Sydney-Hobart 2008
DR

Les circonstances concernant le démâtage laissent le skipper australien perplexe. L’incident s’est produit à 10 milles au large de l’île de Deal entre la Tasmanie et l’Australie lors du convoyage de Melbourne à Sydney. Les conditions n’étaient pas exceptionnelles et le maxi progressait à 25 noeuds au portant. Le gréement avec les voiles toujours attachées partaient rapidement à la dérive avec le courant et n’ont pas pu être récupérés. Heureusement aucune victime n’est à déplorer et les 20 membres de l’équipage sont sains et saufs.

Wharington a passé toute la journée au téléphone afin de trouver une solution. Et grâce à son concurrent direct Neville Crichton, le propriétaire d’Alfa Romeo, il pense avoir trouvé un gréement. Le seul souci est qu’il est actuellement au sud de la France. Le défi est alors de retrouver un avion dans les 48 heures qui pourrait transporter un gréement d’une longueur de 45 mètres et qui pèse 900 kg de la France à l’Australie.

En attendant le maxi fera escale à Eden pour déposer la moitié de son équipage et pour se ravitailler avant de poursuivre le convoyage – sous moteur – vers Sydney.

Ce n’est pas la première fois que Wharington subit un tel revers, mais l’Australien est connu pour sa ténacité. Après sa victoire en temps réel dans la Sydney-Hobart 2003 (sous le nom de Skandia / Wild Thing), le maxi a perdu sa quille et a chaviré l’année suivante alors qu’il était en tête de la course. L’année dernière il a terminé en seconde place derrière Wild Oats XI. L’équipe n’a pas participé à beaucoup d’épreuves cette année, préférant miser sur une optimisation en vue de la Sydney-Hobart avec notamment l’installation d’une quille de 7 m et d’un gréement de 41 mètres.

- Publicité -

J Europe : un nouvel élan pour 2010.

JEurope - J97
JEurope - J97

Fort du grand succès commercial du J 97, J Europe peut aborder 2010 avec optimisme.

Depuis septembre, l’ensemble du stock de J Boats du chantier européen a été commercialisé et les carnets de commande se remplissent désormais à allure soutenue. Le J 97, nominé à l’élection du voilier européen de l’année dans la catégorie Performance Cruiser, pointe bien évidemment en tête de ces nouvelles commandes mais les modèles J 80, J 109 et J 122, bateau de l’année 2008 (RORC), voient l’intérêt des acheteurs s’accentuer sensiblement cette année. Ces ventes permettent à J Europe de bénéficier d’une visibilité commerciale jusqu’au printemps 2010 et d’envisager le futur avec sérénité.
 
L’avenir de J Europe passe également par le prochain modèle J 111
Actuellement développé dans les bureaux d’études de Rhode Island, ce nouveau J Boat bénéficie d’un positionnement clair : la performance sans compromis. Doté de solutions techniques innovantes et d’une ligne épurée, le J 111 rencontre déjà un succès prometteur avec une douzaine de pré-commandes enregistrées à ce jour. Venant rejoindre prochainement le J 97 parmi les nouveautés significatives de la gamme, le J 111 offrira à coup sûr une assise supplémentaire à l’activité de J Europe.
 
J Boats en course
J Europe dispose désormais d’une gamme complète de bateaux performants et haut de gamme lui permettant non seulement de répondre à la demande des plaisanciers mais également de voir de nombreux J Boats engagés dans les régates. Le prochain Spi Ouest comptera ainsi parmi ses participants cinq J 122, trois J 97 et un centaine de J 80. Un succès incontestable qui marque un nouvel élan pour J Europe en 2010 !
 
Vous pourrez découvrir le J 97 ainsi que toute la gamme J Boats de J Europe au salon Nautique de Paris (Hall 1 Stand G 26) jusqu’au dimanche 13 décembre.
 

Source : J Europe
www.jeurope.eu.com
 

- Publicité -
- Publicité -