Dernières déclarations des skippers

Stamm ponton 2012
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Bernard Stamm (SUI, Cheminées Poujoulat)
« Il y a beaucoup de monde et beaucoup de gens qu’on aime. C’est comme les mers du Sud, ce n’est pas parce qu’on y a été qu’on connaît. »

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Arnaud Boissières (FRA, AKENA Vérandas)
« Là, c’était les petites infos météo. Un peu de temps pour les proches la famille. Je suis déjà concentré sur larguer les amarres, le chenal. C’est tellement intense ce qu’on vit pendant ces trois semaines, de voir tout ce monde, c’est chargé d’émotion. Je suis super content de vivre ça à nouveau. »

Louis Burton (FRA, Bureau Vallée)
« Toute ma famille est là, mes meilleurs potes qui sont venus d’un peu partout. Il y a beaucoup d’émotion, c’est un grand moment et je crois que je n’ai jamais vécu ça ailleurs. Là je me concentre sur le départ. On est déjà dans les routages, savoir comment on va négocier le Portugal. »

Marc Guillemot (FRA, Safran)
« Je suis concentré, déterminé, un peu tendu mais serein et, surtout, pas mécontent de partir. »

Mike Golding (GBR, Gamesa)
« C’est fantastique, quelle atmosphère magnifique ! Je ne pense plus maintenant qu’au départ, mais on ne peut pas ignorer le public, c’est très spécial. Je pars confiant, je me sens prêt, mon équipe a fait un super boulot, nous sommes prêt, le team a fait un super boulot. »

Jérémie Beyou (FRA, Maître CoQ)
« Ça y est je suis en régate maintenant. Pour le départ je pense que le vent va tenir, on part tribord amure, ce ne sera pas trop au contact, on va voir sur l’eau, je pars déterminé. »

François Gabart (FRA, Macif)
« C’est super, la pression il en faut, je me sens serein, prêt à y aller, je suis dans ce j’aime faire. Le chenal, ça va être super, il va y avoir de l’émotion, de la tension mais de la bonne tension. S’il y a des larmes, ce seront des larmes de joie. »

Jean Le Cam (FRA, SynerCiel)
« Il y a des choses qui n’ont pas de mots. »

François Gabart (FRA, Macif)
« C’est super, la pression il en faut, je me sens serein, prêt à y aller, je suis dans ce j’aime faire. Le chenal, ça va être super, il va y avoir de l’émotion, de la tension mais de la bonne tension. S’il y a des larmes, ce seront des larmes de joie. »

Kito de Pavant (FRA, Groupe Bel)
« Il faut que je parte, que je largue les amarres, que je me concentre sur ce qui va se passer parce que j’ai vu la mer ce matin et ça ne va pas être simple. C’est sûrement la journée la plus compliquée. Contraste fort entre ce qu’on a vécu pendant trois semaines et la solitude qui m’attend. »

Vincent Riou (FRA, PRB)
« On en parle depuis tellement de temps qu’il faut y aller. On va se dépêcher de partir, après ce sera plus simple. Mais ce n’est pas la routine. »

Javier Sanso (ESP, ACCIONA 100% EcoPowered)
« Il y a du stress mais c’est du stress de marin. Le Vendée Globe est toujours magique, il y a beaucoup de gens ici et c’est un rêve qui devient réalité. »

Bertrand De Broc (FRA, Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets)
« C’est toujours émouvant de quitter le ponton mais on est prêt. Je vais essayer d’être plus performant que les autres fois, de ramener le bateau avec le temps qui faudra, prendre du plaisir à naviguer et faire quelque chose. »

Alessandro Di Benedetto (FRA-ITA, Team Plastique)
« C’est émouvant. Il y a trop de monde, c’est vraiment fantastique. C’est un beau rêve qui commence. On va essayer de raconter ça, je vais essayer de faire une belle navigation. Tout est prêt à bord, j’aurais bien aimé ramener un peu de soleil de Sicile mais ce sera pour une autre fois. »

Sam Davies (GBR, Savéol)
« C’est le même sentiment qu’il y a quatre ans. A chaque fois on part un peu dans l’inconnu. Je suis sereine parce que j’ai confiance. »

Alex Thomson (GBR, Hugo Boss)
« C’est un sentiment très profond, il y a beaucoup d’émotions. Je me sens humble, du fait que tant de gens soient venus nous souhaiter bonne chance. Ce sont des émotions positives. »

Tanguy de Lamotte (FRA, Initiatives-Cœur)
« C’est extraordinaire d’être là, de larguer les amarres pour le tour du monde. Chacun son histoire, on aura tous des choses à raconter et là dedans il y aura forcément des belles choses. »

Dominique Wavre (SUI, Mirabaud)
« Je suis déjà un petit peu dans ma course, en train de me répéter les virements de bords que je vais faire. Traditionnellement on dit ‘‘ merde ’’ mais il faut simplement souhaiter qu’on soit aussi nombreux avec autant d’émotions dans trois mois pour l’arrivée. »

Armel Le Cléac’h (FRA, Banque Populaire)
« Il y a beaucoup d’émotion. Ce n’est jamais évident de dire au revoir. Tout est prêt à bord de Banque Populaire depuis plusieurs jours. La sortie du chenal va être un moment très important. Il y a de l’impatience. »