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François Gabart avec Tom Laperche à bord du trimaran SVR – LAZARTIGUE pour la Transat Jacques Vabre

François Gabart embarque Tom Laperche à bord du trimaran SVR - LAZARTIGUE Photo MerConcept_G.Gatefait

Le nouveau trimaran SVR-Lazartigue de François Gabart sera mis à l’eau le 22 juillet prochain à Concarneau et s’élancera pour sa première course, la Transat Jacques Vabre, le 7 novembre prochain au Havre. C’est Tom Laperche qui embarquera avec François Gabart. Une reconnaissance du talent du Morbihanais âgé de 24 ans.

Originaire du Morbihan, Tom Laperche est un jeune ingénieur et un marin solide. Il a une culture de la course au large exceptionnelle pour son âge et un palmarès déjà riche sur plusieurs supports : un titre de champion du monde d’Open Bic décroché en 2008, un titre de vice-champion de France de planche à voile Bic Techno 293 en 2011, deux titres nationaux en Open 5.70 en 2013 et 2014, des succès en Flying Phantom au sein du Team France. Il se fait remarquer en Figaro en remportant le Challenge Espoir Bretagne – CMB en 2018, la Solo Maître Coq en 2020 et en terminant 3ème de la Solitaire du Figaro en 2020.

François Gabart et Tom Laperche dompteront ensemble l’Ultim SVR-LAZARTIGUE, leur nouvelle monture de 32 mètres, en conditions de course à l’issue d’une préparation active qui débutera après la mise à l’eau du bateau le 22 juillet prochain. Ils partagent avec leur partenaire, l’objectif commun d’aller de l’autre côté de l’Atlantique le plus vite possible.

À propos du choix de Tom Laperche, François Gabart souligne « Je suis très heureux d’embarquer Tom à bord du Trimaran SVR-LAZARTIGUE. C’est un jeune marin talentueux, qui a un très bon sens de la navigation, une excellente maturité et un état d’esprit très positif. Il a de réels atouts pour naviguer sur ce type de bateau qui vole à haute vitesse. Son dynamisme, ses qualités de marin et ses compétences d’ingénieur font de Tom un vrai partenaire de confiance. Je me réjouis de partager prochainement les entraînements à ses côtés et relever le challenge d’être prêts pour le départ de la Transat Jacques Vabre le 7 novembre prochain. Nous ferons le maximum pour naviguer au meilleur niveau sur cette première course du Trimaran SVR-LAZARTIGUE et porter haut notre engagement environnemental en faveur de la protection de l’Océan en soulignant notamment les premières actions menées par le Fonds de dotation Kresk4oceans.“.

« Le Groupe Kresk, au travers de ses marques SVR, Lazartigue et Fillmed, est fier de partir pour cette aventure maritime avec François Gabart et Tom Laperche, deux marins aux profils complémentaires. Ils porteront les valeurs d’innovation et d’engagement qui nous sont chères, incarnées dans nos marques de clean beauty et dans le fonds de dotation Kresk4Oceans dédié à la protection des océans. Nos 700 collaborateurs au travers le monde vibreront avec eux au rythme de la houle et du vent, » a déclaré Didier Tabary président du Groupe Kresk.

Tom Laperche témoigne « C’est à la fois une fierté et une reconnaissance d’avoir été choisi par François Gabart et Didier Tabary. Savoir qu’ils me font confiance pour cette course au large est très fort pour moi. Le Trimaran SVR-LAZARTIGUE est un véritable défi technologique, celui de toute une équipe. On va devoir maintenant le prendre en mains et bien le connaitre. Je me sens prêt aujourd’hui à relever ce challenge aux côtés de François. J’ai eu la chance de tirer des bords avec lui quand j’étais plus jeune, il se pose toujours les bonnes questions pour être le meilleur et développe une organisation intense à bord pour se dépasser. Je suis impatient de prendre la mer pour démarrer l’aventure. »

Le trimaran SVR-LAZARTIGUE, actuellement en cours de finalisation dans le chantier de MerConcept, sera mis à l’eau jeudi 22 juillet prochain à Concarneau.

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Soirée VDH, monsieur longue route

Ne manquez pas ce jeudi 1er juillet à 20h30, les Ecrans de l’Aventure rendent hommage à Jean-Luc Van Den Heede avec la diffusion du film VDH, Monsieur longue route (sélection officielle Ecrans de l’aventure 2020) de l’excellent Nicolas Raynaud suivi d’un échange interactif avec le skipper, en direct depuis Les Sables d’Olonne.

25 juin 2021 : après avoir bouclé six tours du monde, dont un contre vents et courants, et doublé douze fois le Cap Horn, Jean-Luc Van Den Heede envoie un dernier message sur son site officiel : « Bonjour, Je vais cesser mes activités de skipper professionnel et clôturer ma société le 30 juin prochain. L’envoi de message n’aura, par conséquent, plus de raison d’être et celui-ci sera mon dernier (…) Je profite de ma mise à la retraite de coureur pour remercier tous ceux qui me suivent depuis si longtemps et dont vous faites naturellement partie. Pour autant je n’abandonne pas la mer qui est, vous le savez bien, mon autre espace vital. Je continuerai de naviguer à bord de mon “After 8” et nous aurons peut-être l’occasion de nous croiser en escale ici ou là ! »

Souhaitant rendre hommage à un grand coureur aux idées libres, incarnation de l’esprit d’aventure, le festival Écrans de l’aventure propose en exclusivité la diffusion du portrait sélectionné en 2020, VDH, Monsieur longue route.

La soirée est gratuite sur réservation :
https://watch.eventive.org/ecransdelaventure/play/60d9f72609942d003e8d8aca

Cela marque aussi le lancement de la plateforme de films du festival, qui propose une sélection de films primés depuis 30 ans.

Résumé du film : Jean-Luc Van Den Heede est l’un des grands noms de la course au large. Sportif accompli, cet athlète a dédié toute sa vie à la mer, bouclant six tours du monde, dont un contre vents et courants, et doublant douze fois le Cap Horn Ce documentaire est le récit d’un homme, le portrait d’une personne ouverte et attachante, capable de sans cesse réinventer sa vie. De sa première Mini Transat en 1977 à sa victoire sur la Golden Globe Race en 2018, histoire d’un marin qui n’a jamais hésité à naviguer contre les vents dominants.
Réalisation : Nicolas RAYNAUD
Production : Bleu Iroise
52 minutes – 2010

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Transat Jacques Vabre. Damien Seguin avec Benjamin Dutreux

Damien Seguin skipper de l’IMOCA Groupe APICIL et son co-skipper Benjamin Dutreux, à l’entrainement au large de Lorient le 24 juin 2021, photo © Jean-Marie Liot / Groupe APICIL

Damien Seguin a choisi d’embarquer Benjamin Dutreux pour disputer la Transat Jacques Vabre. Damien est un habitué de la course avec trois participations à son actif. Chaque fois, il a tracé son sillage sur l’Atlantique en double avec Yoann Richomme. C’était en 2011 (2e) puis en 2013 (7e) à bord d’un Class 40. Lors de la dernière édition, ils avaient terminé 14e à bord de Groupe APICIL. Benjamin a quant à lui participé une fois à la Transat Jacques Vabre, c’était aussi en 2019 en IMOCA avec Thomas Cardrin. Cette traversée constituait un pan important de sa préparation pour le Vendée Globe. Ils avaient terminé 19e.

Damien Seguin et Benjamin Dutreux reviennent cette fois en fins connaisseurs de la catégorie IMOCA. Eux qui s’apprêtent chacun à prendre en mains des 60’ à foils en vue du Vendée Globe 2024 s’offriront comme un dernier tour de piste en bateau à dérives. L’occasion pour les deux hommes de se faire plaisir mais aussi de performer ! Ils ont un objectif en tête : finir premier des bateaux à dérives pour porter toujours plus haut le message en faveur de l’inclusion.

Damien Seguin :
« J’ai jusqu’à présent fait toutes mes transats en double avec Yoann (cf Yoann Richomme) mais il avait d’autres projets et c’est bien aussi de changer. J’ai découvert Benjamin sur le Vendée Globe. Il n’y a pas eu de calcul, c’était juste une question humaine. C’est le cœur qui a parlé quand j’ai fait ce choix. »

Benjamin Dutreux :
« J’ai accepté de partir avec Damien car comme lui, je suis dans l’humain. Notre Vendée Globe s’est bien déroulé. Je vois en Damien un côté compétiteur que j’apprécie particulièrement car je suis aussi comme ça. Nous avons tous les deux la même envie de bien faire et la niaque. J’adore son profil…son parcours olympique. Il bascule les codes et j’aime ça. Son projet m’attirait … et avec nos deux côtés performeurs, humainement ça devrait bien se passer. »

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Les Sables – Horta – Les Sables. Début de course compliqué, 2 abandons

C. Breschi

Partis ce dimanche à 13h des Sables d’Olonne avec un bon flux d’ouest entre 13 et 14 nœuds, les 23 duos toujours en lice dans la 8e édition de la Les Sables – Horta – Les Sables ont connu un début de course compliqué alors qu’un premier équipage a du abandonner.

Le duo Charles de Coquet – Thierry Duprey du Vorsent a officiellement abandonné dans la soirée après avoir constaté l’étendue des dégâts sur son Class40 à la suite de sa collision avec Milaï.
Ce lundi, aux alentours de 17 heures, Simon et Yannick Kervarrec ont signifié leur abandon à la Direction de course. Le duo père-fils, qui déplore une voie d’eau dans l’un des caissons arrière de son Class40 aux couleurs de Samsic – E. Leclerc, ne peut, en effet, envisager de parcourir 2 500 milles dans ces conditions. Il fait désormais demi-tour et pourrait rallier Port Olona.

La flotte qui, quelques heures seulement après le départ, a vu les conditions se corser avec tantôt des zones de molles, tantôt des passages de grains. « La nuit a été délicate. On a régulièrement traversé des zones de calmes. Ça a vraiment été compliqué de faire avancer le bateau et de gagner vers le but mais on est resté dessus. On n’a rien lâché. On fera les comptes une fois que l’on sera passé de l’autre côté de ce système », a indiquéValentin Gautier, skipper de Banque du Léman relégué, ce lundi après-midi, en 17e position au classement. Un classement qui donne, pour l’heure, l’avantage aux concurrents faisant route au plus près de la route orthodromique.

La raison ? Depuis ce matin, ils bénéficient de plus de pression que leurs concurrents plus au nord. Ainsi, quand le petit groupe emmené par le tandem Hervé Thomas et Gérald Veniard sur Saint-Yves Services, cavale entre 6 et 7 nœuds, la bande des « nordistes » (dont les plus extrêmes, Jonas Gerckens et Benoît Hantzperg (Volvo), ont passé une grande partie de la nuit à réparer leur spi déchiré sur près de 10 mètres de longueur lors du parcours de dégagement en baie hier) peine à dépasser les 4 nœuds. « On a tricoté un peu comme on pouvait toute la nuit, sous gennaker. On a dû pas mal barrer parce que le pilote n’arrivait pas du tout à gérer dans la pétole. Depuis ce matin, les dauphins sont là et ça glisse gentiment avec 5 nœuds de vent. On fait du sud, on fait de l’ouest… Bref, on essaie de s’en sortir », a commenté pour sa part Stan Thuret, skipper d’Everial.

La bonne nouvelle, c’est que la « délivrance » est proche car si, dans l’immédiat, les duos bataillent toujours dans les petits airs (ils n’ont parcouru que 120 milles depuis le départ !), ils vont récupérer le fameux flux de nord-ouest qu’ils attendent tous impatiemment, en fin d’après-midi. Les vitesses des uns et des autres, en premier lieu celles des plus au sud, vont ainsi s’accélérer avec ce nouveau vent d’une quinzaine de nœuds qui ne va faire que se renforcer sur la route du cap Finisterre. Un cap que, selon les derniers routages, les premiers devraient déborder demain, en fin de journée.

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Un nouveau bateau pour Yannick Bestaven pour remporter le Vendée Globe, une 2ème fois de suite

Yannick Bestaven à l’entrainement à bord de l’IMOCA Maître Coq au large de La Rochelle le 24 juin 2020, photo © Jean-Marie LIOT - www.jmliot.com

Un bateau neuf dans les moules du bateau du Team américain de Charlie Enright, 11th Hours 2, selon des plans signés par l’architecte Guillaume Verdier, et construit au sein d’un chantier historique CDK technologies, à Port-La-Forêt.

« Il nous est rapidement apparu qu’un bateau neuf s’imposait afin d’avoir les moyens de nos ambitions et de donner le change à une concurrence qui s’annonce encore une fois très relevée. Nous avons étudié plusieurs pistes et notre choix s’est porté sur un plan Verdier, dans les moules de l’IMOCA 11th Hours 2, » explique Yannick avant de poursuivre, « Tout d’abord, nous avons une relation privilégiée avec Guillaume Verdier depuis des années. Ensuite, 11th Hours 2 est une version améliorée des précédents plan Verdier. Il s’agit d’une évolution d’IMOCA type Apivia et LinkedOut. Et enfin, autre avantage notable, puisqu’il s’agit d’un sistership, non seulement nous bénéficions des études réalisées par le team américain mais aussi, nous gagnons un temps précieux ».

Yannick : « Comme dans la vie d’une entreprise ou la vie de tout un chacun, au cours de ces quatre prochaines années, il y aura des tribulations, des défaites, des réussites, beaucoup d’interrogations, beaucoup de travail et d’engagement humain, le cheminement ne sera pas un long fleuve tranquille. Mais qu’importe, avec humilité, osons repartir d’une page blanche, embarquons ensemble dans cette formidable entreprise, source d’inspiration, afin de tenter d’atteindre nos objectifs ! »

Rentrée des classes en duo avec Roland Jourdain sur la Rolex Fastnet Race en août et sur la Transat Jacques Vabre en novembre.

Yannick s’élancera cette saison sur deux courses en double la Rolex Fastnet Race dont le départ sera donné le 8 août prochain dans les eaux du Solent (Grande-Bretagne) et le 8 novembre sur la transat Jacques Vabre qui partira du Havre pour rallier la Martinique. Qui dit double, dit co-skipper, et pour cela, sans hésitation, Yannick a fait appel à un marin qui l’a épaulé depuis le début du projet Maître CoQ, Roland Jourdain.

Le planning de construction

Construction > Juin 2021 à janvier
Assemblage – Pontage – Finitions > Janvier à juin 2022
Mise à l’eau > Juin 2022

Le programme sportif

2021 à bord de Maître CoQ IV Fastnet Race (août) et Transat Jacques Vabre (novembre)
2022 à bord de Maître CoQ V Route du Rhum
2023 à bord de Maître CoQ V Transat Jacques Vabre
2024 à bord de Maître CoQ V Vendée Globe – départ dimanche 10 novembre

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Damien Séguin rachète l’IMOCA Maître CoQ

Photo JL Carli

Damien Seguin et Groupe APICIL repartent pour nouveau Vendée Globe avec l’envie de positionner encore davantage le curseur sur la performance. Ils ont racheté Maître Coq, le monocoque 60’ de Yannick Bestaven, vainqueur du dernier Vendée Globe.

Pour porter cette ambition, ils recherchent un co-partenaire. Si sportivement, le premier Vendée Globe de Damien a été une véritable réussite, le message porté autour du monde pour l’inclusion a aussi résonné très fort. Ce Vendée Globe 2024 agira encore comme porte-voix pour cet engagement mutuel de Damien et du Groupe APICIL qui mèneront donc aussi une course pour l’inclusion autour du monde.

Pour répondre aux nouvelles ambitions sportives, le marin a choisi d’acquérir un bateau doté de foils, capable de jouer aux avant-postes. Après une étude approfondie du marché des IMOCA ces derniers mois, Damien et son Team ont finalement opté pour un bateau qui a largement fait ses preuves sur le dernier Vendée Globe en montrant toute sa quintessence : Maître Coq, le monocoque 60’ de Yannick Bestaven, vainqueur du dernier Vendée Globe. Convaincu du potentiel de ce bateau, le triple médaillé paralympique ne tarit pas d’éloges à son sujet et nous explique les raisons de ce choix : « Si je retourne sur le Vendée Globe, c’est aussi et surtout parce que je veux faire encore mieux. Avec cette deuxième campagne Vendée Globe, avec le Groupe APICIL, nous misons sur des ambitions sportives à la hausse et pour cela il est nécessaire de naviguer rapidement sur un foiler afin d’appréhender au mieux ces nouveaux bateaux. Le Vendée Globe 2024 se joue dès maintenant car il est important d’arriver sur la ligne de départ en étant bien préparé. Nous avons donc choisi de faire l’acquisition d’un foiler pour respecter un budget maitrisé. Il n’était pas question de se lancer dans une construction car c’était trop onéreux. Notre choix s’est porté vers Maître Coq pour plusieurs raisons. D’abord il correspondait à notre capacité à investir sur un nouveau bateau sur le plan budgétaire. D’autre part, il a gagné le Vendée Globe et ça n’est pas rien. Sur le plan technique, il fait partie de la première génération de bateaux à foils qui ont vécu deux Vendée Globe et qui sont déjà fiabilisés. Sur cette deuxième campagne, je veux maximiser le temps de navigation car j’ai vu que c’était une des clés de la réussite. Sa coque est une bonne plateforme, on va pouvoir faire évoluer ce bateau pour gagner en performance sans que cela génère de gros temps d’immobilisation » explique Damien Seguin.

De son côté, le Groupe APICIL se dit pleinement enthousiaste de cet acquisition et impatient d’écrire cette nouvelle histoire, comme l’explique Philippe Barret, Directeur général du Groupe APICIL : « La question de l’objectif sportif est nouvelle pour le Groupe APICIL. Nous nous sommes engagés avec Damien avant tout pour nous faire connaître, raconter une histoire et porter notre message sur l’inclusion. Finalement, nous avons été très agréablement surpris de nous prendre au jeu de la compétition et de voir Damien s’épanouir dans ce contexte. Damien est un compétiteur et nous comprenons qu’il a besoin d’objectifs sportifs pour avancer. Nous avons convenu avec Damien de viser un Top 5 pour le prochain Vendée Globe, nous savons qu’il en est pleinement capable. Nous sommes heureux de l’accompagner pour cela car notre message sera encore plus partagé s’il est associé à une performance. Pour cela, il faut que Damien puisse bénéficier d’un bateau plus récent. C’est lui qui était à la manœuvre sur ce point car nous ne sommes pas des techniciens de la course au large. Le projet grandit, nous continuons de soutenir Damien mais nous souhaitons maitriser nos investissements et pour cela, nous cherchons actuellement le co-partenaire qui pourra nous accompagner dans cette course pour l’inclusion. Nous avons une belle histoire à poursuivre et une nouvelle page à écrire à travers un projet collectif et porteur de sens ».

En attendant c’est bel et bien sur son actuel IMOCA que Damien naviguera cette saison. Le skipper et son co-skipper – dont le nom sera dévoilé prochainement – participeront à plusieurs courses (Rolex Fastnet, Défi Azimut) avant de prendre le 7 novembre prochain le départ de la Transat Jacques Vabre. Ce sera la dernière course de Damien Seguin à bord de son monocoque 60’ désormais basé à Lorient La Base.

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Team Germany remporte The Race Europe en IMOCA

Le classement général de la classe IMOCA s’est jouée sur une photo-finish pour la deuxième place de la course côtière entre Team Germany de Robert Stanjek et LinkedOut de Thomas Ruyant.

Offshore Team Germany a mené sur les deux premières bouées du parcours en forme de triangle, mais est tombé en deuxième position avant le bord de vent arrière derrière l’équipe américaine 11th Hour Racing Team après un virement de bord mal exécuté autour de la deuxième marque du parcours.

À l’approche de l’arrivée, le bateau allemand était menacé par l’avancée rapide de LinkedOut – une équipe qu’il devait battre pour éviter d’être relégué à la troisième place du classement général mais l’équipe Offshore Team Germany s’est accrochée pour remporter la course et le général.

« Je suis super heureux. J’ai préparé cette équipe pendant quatre ou cinq ans et je suis tellement heureux que nous ayons réussi à faire si bien », a déclaré Stanjek à quai après la course. « Mon idée de constituer une équipe performante pour The Ocean Race était de combiner des marins olympiques avec des marins expérimentés au large et c’est ce que nous avons exécuté et cela s’est avéré être un succès. On se renforce chaque jour, il n’y a pas d’ego à bord, tout le monde est à l’écoute et c’est une bonne ambiance d’apprentissage. Je suis très fier de l’équipe.« Nous avons appris des tas de choses sur le bateau, sur le profil de la course, comment gérer le système de veille à bord, les communications ; c’est bien plus qu’une simple victoire, nous ramenons beaucoup de leçons à la maison avec nous.

Benjamin Dutreux : « Je suis dans un premier temps très heureux d’avoir vécu cette aventure humaine avec cet équipage. C’était incroyable. J’ai aussi découvert The Ocean Race et maintenant j’en suis accroc. La victoire c’était la cerise sur le gâteau. La fin était incroyable. Il y a toujours un gagnant et des perdants mais je pense qu’avec 11TH Hour et LinkedOut,  on a tous apprécié le match sur cette dernière course, ça nous a tenu tous à notre meilleur niveau.
Notre objectif c’était de préparer l’équipe pour The Ocean Race et au final ça a était que du plus. Ils m’ont appelé pour mon expérience en IMOCA et on a appris tellement au fur et à mesure. A bord il y a un gros mixte des cultures. On a chacun apporté notre pierre à l’édifice. Ce que j’espère maintenant c’est qu’on arrivera aussi à être au départ de The Ocean Race Europe en espérant amener un nouveau bateau l’année prochaine. En tout cas on est très motivé. »

La victoire du 11th Hour Racing Team aujourd’hui lui a permis de se hisser à la deuxième place du général de la classe IMOCA, un point devant l’équipage français sur LinkedOut qui a chuté à la troisième place du général.

“Nous avons montré beaucoup de combat aujourd’hui et cela montre beaucoup de choses sur ce groupe”, a déclaré le skipper Charlie Enright. « Je suis fier de ce que nous avons fait.

IMOCA
1. Offshore Team Germany — 16 points
2. 11th Hour Racing Team — 15 points
3. LinkedOut — 14 points
4. CORUM L’ Epargne — 7 points
5. Bureau Vallée — 5 points

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La Mirpuri Foundation Racing Team gagne The Ocean Race Europe en VO65

Genova Coastal Race. The Ocean Race Europe, June 2021

Menée par le skipper français Yoann Richomme, l’équipe portugaise en VO65 partait naviguer aujourd’hui avec un point d’avance au classement sur son premier dauphin AkzoNobel, et trois sur Sailing Poland. Poursuivant la bataille serrée ayant commencé il y a trois semaines, il aura fallu attendre la toute fin de The Ocean Race Europe pour connaître le vainqueur ce samedi.

Avec des vents légers prévus aujourd’hui, la tenue de la course restait incertaine… ce qui aurait officialisé la victoire de la Mirpuri Foundation Racing Team par défaut. Mais malgré un départ reporté, la course a bien eu lieu, et s’est conclue par une victoire pour l’équipe.

Après un départ frénétique lors duquel le bateau Racing For The Planet fut le seul à couper la ligne sans être rappelé, l’équipage a vite bénéficié d’une avance qui les a maintenus hors de pression jusqu’au passage de la ligne d’arrivée.

Tout se déroulait parfaitement bien à bord, jusqu’au passage de la marque au vent, où l’équipage a hissé le spinnaker (A4) avant que l’amure ne se détache, ralentissant fortement le bateau tandis que Sailing Poland revenait rapidement par-derrière. Cela nous aura offert une arrivée aussi tactique à gérer que serrée sur la ligne. La Mirpuri Foundation Racing Team a fini par l’emporter, inscrivant trois points au classement pour figer sa victoire au général sur The Ocean Race Europe.

Désignée dès le départ comme l’équipe à battre, la Mirpuri Foundation Racing Team a réalisé une performance impressionnante. Elle a mené très tôt lors de la première étape au départ de Lorient, avant de se faire dépasser à quelques milles de l’arrivée devant son QG de Cascais, au Portugal, dans des vents très faibles. Ce fut la seule étape non remportée par la Mirpuri Foundation Racing Team.

Après avoir signé sa première victoire sur la régate côtière de Cascais à l’occasion du Mirpuri Foundation Sailing Trophy, l’équipe a ensuite entamé une superbe remontée, qui les aura vu récolter le maximum de points sur chacune des épreuves, avec des victoires sur la seconde et la troisième étape.

L’équipe termine la course avec 21 points, quatre points devant Sailing Poland et AkzoNobel, deuxièmes ex-aequo.

Genova Coastal Race. The Ocean Race Europe, June 2021

Yoann Richomme, Skipper de la Mirpuri Foundation Racing Team déclare : “On a fait le boulot, mission accomplie ! C’était une course serrée. Nous avons pris un bon départ, tous les bateaux autour de nous étaient trop tôt sur la ligne, donc on a mené dès le début. Je pense qu’on aime bien se rendre la vie un peu plus compliquée. Nous avons perdu la voile en voulant hisser, et j’ai tout de suite pensé qu’on se ferait rattraper par d’autres bateaux, mais nous avons réussi à remettre la voile en l’air, avant de remporter la course. C’est un très beau projet. Je l’ai vraiment adoré. J’ai adoré l’équipage. Je suis très fier de ce que nous avons réalisé ensemble, et je suis heureux pour la Mirpuri Foundation.”

Paulo Mirpuri, Fondateur de la Mirpuri Foundation déclare : “C’est un jour de fierté pour nous. Depuis le début de ce projet, le dévouement et la passion de chaque membre de l’équipe a été particulier. En tant que fondation, nous souhaitions monter une équipe capable de remporter cette course, et ce sont les qualités individuelles, l’instinct et l’endurance qui ont mené l’équipage à la victoire de manière impressionnante. Une victoire pour Racing For The Planet amplifie la portée de notre message – Stop au changement climatique – autour du monde, et il faut célébrer cela.”

VO65
1. Mirpuri Foundation Racing Team — 21 points
2. Voile Pologne — 17 points
3. AkzoNobel Ocean Racing — 17 points
4. Team Childhood I — 12 points
5. The Austrian Ocean Race Project — 10 points
6. Viva México — 9 points
7. AmberSail-2 — 9 points

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Webserie The Sailing Squad – Episode 2 dompter la bête

Le Deuxième épisode de The Sailing Squad avec Shirley Robertson qui doit former de jeunes talents.

  1. France: Marie Barrué / 25 years old / World Cup Medemblik champion – Laser radial
  2. Switzerland: Amanda Anastassov / 21  years old / Youth World champion – Nacra 15
  3. Spain: Cristina Pujol / 28  years old / 5 times Spanish National Champion Laser Radial and qualified for Tokyo 2021 
  4. Switzerland: Maxime Bachelin / 23 years old / Youth European Champion – 49er
  5. Switzerland : Nicolas Rolaz / 22 years old / Europa Cup Champion – Laser Radial

L’équipe a rencontré Jean Le Cam parrain du Bol d’Or.

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La 5ème édition des Journées nationales des Sauveteurs en Mer aura lieu le week-end des 26 et 27 juin.

À l’occasion du Mille SNSM, l’association lance un challenge pour tous : un défi fédérateur pour petits et grands afin de sensibiliser le grand public à la cause du sauvetage en mer et collecter des dons.

Les Sauveteurs en Mer appellent aux dons chaque année et rappellent que leur activité repose à près de 80% sur la générosité du public. Ce coup de projecteur est donc vital pour la SNSM/ Vacanciers, plaisanciers, pêcheurs, pratiquants d’activités nautiques, résidents… nombreux sont ceux qui fréquentent la mer et le littoral. Et même si beaucoup pensent qu’ils n’auront jamais besoin de faire appel aux Sauveteurs en Mer, ils ont pourtant été 30 000 à être secourus en 2020 de la plage au large !

Pour participer et soutenir l’action des Sauveteurs en Mer, c’est facile !

Je télécharge l’application Strava et crée mon profil gratuitement.
Dans «Groupes», je rejoins le challenge Mille SNSM. Dans «Enregistrer», je choisis mon activité physique (course, marche, nage, vélo, etc…) et lance l’enregistrement de mon parcours. Une fois mon challenge terminé, je transforme mes kilomètres parcourus en dons pour la SNSM.
Je me rends sur la page: https://don.snsm.org/millesnsm et j’encourage mes proches à soutenir l’association.

Notre objectif : collecter 1 € pour chaque kilomètre parcouru au profit des Sauveteurs en Mer.

Je partage mon succès sur les réseaux sociaux avec le hashtag #MilleSNSM2021, en mentionnant @sauveteurs_en_mer..

Dans le cadre du challenge, les participants seront également invités à suivre des tracés proposés en exclusivité par la SNSM ou à faire preuve de créativité en créant leurs propres dessins !

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