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Bernard Gallay : du Vendée Globe à la Mini

Bahia Express Bernard Gallay
DR

Rares sont les minïstes qui peuvent se targuer de possèder un CV nautique aussi fourni que celui de Gallay : deux Vendée Globe (8e en 2001), une dizaine de transats dont deux Jacques Vabre, une Coupe de l’America sur le “French Kiss”” avec Marc Pajot, quatre Solitaire du Figaro. Et bientôt une Mini-Transat : “”C’est une grande course la Mini ! J’aime ce côté extrême, pas tant pour les mers que l’on va rencontrer, mais pour le bateau, petit, surtoilé, exigu, proche de l’eau. J’aime surtout l’état d’esprit qui règne dans ce milieu””. En fait, ce Méditérranéen a toujours voulu disputer la 6.50 : “”Mais soit je n’avais pas l’argent, soit j’étais sur d’autres projets””. Sir Robinson mentor Bien malgré lui, il a donc mis “”la charrue avant les bœufs””, intégrant l’université de la voile avant même d’avoir décroché son Bac. Il faut aussi préciser qu’à ses débuts, le jeune Gallay a croisé la route d’un sacré professeur : Sir Robin Knox Jonhson : “”Je me suis rendu à l’arrivée d’une course “”La Rochelle – Nouvelle Orléans””, juste pour voir les bateaux. J’ai dormi sur une plage et devant moi, il y avait, au mouillage, le voilier d’un concurrent : Robin Knox Jonhson. Je ne savais absolument pas qui il était, ni ce qu’il avait fait. Il m’a embarqué pour convoyer son bateau jusqu’en Angleterre. C’était génial. Il est devenu mon mentor””.Ces vingt jours de mer ont changé sa vie. Devenu courtier en bateaux dans le Sud de la France, Gallay a bourlingué partout autour du globe. L’an passé, il a cassé sa tirelire et effectué un emprunt à la banque pour s’acheter un 6.50, plan Manuard équipé d’un mât-aile en carbone : “”Avec Sam Manuard, on a modifié un peu les plans pour que le rouf et le cockpit soient plus grands””. Dormiren chien de fusil Pas facile, en effet, de caser ce géant de 1,92 m dans une coque de noix spartiate de 6,50 m : “”Même lorsque je suis à genoux, je touche le plafond. Pour dormir, je me mets en chien de fusil. Mais ça va, je me suis vite adpaté “”.Mis à l’eau en mars dernier, son proto a remporté l’Odyssée d’Ulysse (en double avec Manuard), puis terminé 4e de la Course des Lions. “”Je manque de milles en solitaire, mais je vais compenser avec mon expérience du large””.Gallay le tourdumondiste sait que la concurrence sera rude, mais il se place néanmoins parmi les candidats à la victoire : “”Je vais faire ma course, sans tenter des trucs extrêmes. J’ai le bateau et l’expérience pour bien figurer””. P.E”

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Inoubliable Mini Transat

Synergie Travail Temporaire - Isabelle Joschke
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“Elle sert de révélateur”” Même si cette course manque à son riche palmarès, Michel Desjoyeaux, premier marin à avoir installé une quille pivotante sur son 6.50, n’en garde pas moins un excellent souvenir : “”Elle sert de révélateur à ceux qui visent plus haut. La Mini est presque un passage obligé dans une carrière””.Et, pour cette 15e édition, ils sont légion ceux qui veulent faire carrière. En effet, chez les protos, jamais la liste des prétendants à la victoire n’avait été aussi longue : dix-douze skippers peuvent gagner. Douguet, PellaLe Blévec… Parmi eux, Corentin Douguet (31 ans), grand favori : tombé à l’eau en 2001, le skipper de “”E. Leclerc – Bouygues Telecom”” a dominé les courses du début de saison. “”Je pense qu’il y a douze bateaux qui peuvent monter sur le podium, mais je vais surveiller de près deux “”revenants””, Alex Pella et Yves Le Blévec””, avoue-t-il.Pella l’Espagnol (3e en 2003) et Le Blévec le Morbihannais (5e en 2001), vainqueur du Trophée Jules Verne aux côtés de Bruno Peyron sur “”Orange 2″”, sont effectivement de sérieux clients. Mais il y en a d’autres. Beaucoup d’autres : citons dans le désordre, Nick Bubb, Aloys Claquin, Tanguy de Lamotte, Bernard Gallay (lire ci-dessous), Adrien Hardy, Isabelle Joschke, Stanislas Maslard, Cian Mc Carthy, Yvan Noblet, Philip Sharp… D’abord finir En Série, le Belge Peter Laureyssens sera l’homme à battre. Mais, en Protos (42 engagés) comme en Série (30), avant de penser à la victoire, il faudra surtout songer à ménager sa monture. Car, pour gagner la Transat 6.50, il faut d’abord… la finir.En 2003, l’Américain McKee et le Méditerranéen Manuard l’avaient appris à leurs dépens : en tête, ils avaient démâté à l’approche des côtes brésiliennes. En arrivant dans la Baie de tous les Saints à Bahia, Armel Tripon avait fondu en larmes en apprenant qu’il était le premier.Eh oui, c’est ça la Mini, la dernière course où il convient d’attendre la ligne d’arrivée pour connaître son classement. Reste que, du premier au dernier, du pro à l’amateur, tous ceux qui arrivent “”de l’autre côté”” ont gagné. Gagné le droit de siroter une caïpirinha bien sûr et surtout de dire plus tard : “”Je l’ai fait””. Aujourd’hui, à 17 h 17, devant Fort Boyard, ils seront 72 skippers à mettre le cap sur le Brésil, via les Canaries. Cap sur le rêve et l’aventure. Avec un grand A. Philippe Eliès”

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Duos pour un tour

Départ de la 4è étape de La Solitaire 2005
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C’est le cas d’Armel Tripon et d’Eric Drouglazet sur Gedimat. D’autres associations paraîtront détonantes à l’image de Gildas Morvan, double vainqueur du Tour de Bretagne à la voile sur Cercle Vert et de Pierre-Loïc Berthet, grand spécialiste du Mumm-30. Ils seront 38 duos, 76 skippers à s’aligner au départ de la première étape du Tour de Bretagne à la Voile 2005, dimanche prochain. Si le mot “magique”” est le plus fréquemment utilisé dans la bouche des skippers pour qualifier le Tour de Bretagne, ce n’est pas par hasard. Courir en double, sur un parcours riche en difficultés, offre la possibilité de partager le plaisir et les compétences à deux, de confronter ses choix, de prendre un peu de temps pour contempler les plus beaux paysages des côtes bretonnes. En plus d’être talentueux et complémentaire, le co-skipper est souvent un ami. Partager ses compétences, sa passion et l’amitié, que rêver de mieux ?Parmi les duos d’amitié, on peut citer Lionel Péan et Jean-Yves Audran sur l’Esprit d’Equipe, Christian Bos et Jean-Yves le Déroff sur Raynal et Roquelaure, Jérémie Beyou et Vincent Riou sur Delta Dore, Jean-François Bulot et François Balogh sur Crédit Mutuel de Normandie / Ville de Caen ou encore Charles Caudrelier et Franck Cammas sur Bostik. D’autres duos viennent de très loin à l’image de l’australo-papou Liz Wardley et du néo-zélandais Ryan Parkin sur Sojasun ou de Philippe Quéré et Florence Dubrulle sur Les îles de Guadeloupe. D’autres encore sont des bizuths du circuit Figaro Bénéteau et le Tour de Bretagne à la voile constitue une approche abordable du circuit, comme Jean-François Cruette et Jean-Christophe Caso sur Soromap Groupe Stec, Grégoire le Miere et Olivier Rapeau sur 4 saisons ou David Raison et Nicolas Berto sur Afflelou Saint-Nazaire ou encore Marie Tabarly et Morgane Gautier sur Roxy.”

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Le grand départ

Mini Transat 1991 Départ Douarnenez
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La zone de départ était sous haute surveillance puisque un périmètre de sécurité avait été délimité et placé sous la surveillance des Affaires Maritimes, de la Gendarmerie Maritime et des Douanes. Seuls quelques bateaux accrédités ont eu le droit d’entrer dans cette zone en forme de carré qui faisait 0,7 mille de côté. La ligne de départ était mouillée de manière à ce que les 72 Minis naviguent au près bon plein et n’aient pas de bords de près à tirer de manière à éviter tout risque de collision. Un bord au près débridé avec une bouée de dégagement à virer puis cap sur Fort Boyard au portant, soit à pleine vitesse sous spi avec un ou deux ris dans la grand voile. Plusieurs départs en vrac dont Tanguy de Lamotte et à Fort Boyard, c’est Corentin Douget qui virait en tête pour retourner vers les pertuis et le phare de Chassiron, suivi par le Britannique Nick Bugg et le Slovène Kristian Hajnsek. Parmi les voiliers de série, c’est le grand favori belge, Peter Laureyssens qui passait en tête le Fort Boyard suivi par Olivier Avram. Une fois le symbole médiatique de la Charente-Maritime doublé, route sur le cap Finisterre et une traversée du golfe de Gascogne longue de moins de 400 milles.

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Un Mini aux couleurs de la Ligue contre le Cancer

Le proto Berret N°19
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L´ex-mini de Peignon et Chiorri
Alors, forcément, lorsqu´on ne naît pas milliardaire, le meilleur moyen d´aller voir à quoi ressemble la mer au-delà de l´horizon, c´est, bien sûr, de s´offrir un 6.50. Et sur ce coup-là, Nicolas a opté pour un bateau connu de tous : le plan Berret avec lequel Jacques Peignon avait remporté la Transat en 1981, avant d´être imité par Gilles Chiorri en 1987. “Ça m´intéressait de remettre ce bateau-là en état, car, sur la Mini-Transat, il faut tout savoir faire : résine, électricité, mécanique, etc. On a changé la quille et le gréement””.
Si, aujourd´hui, ce mini, le plus vieux sur le course, est dépassé par rapport aux protos de la nouvelle génération, à l´époque, c´était le premier 6.50 avec coque planante. “”En deux ans, j´ai dû parcourir près de 6.000 milles avec mon mini, qualification comprise””, explique Nicolas qui, avec sept autres skippers, a également beaucoup travaillé à Douarnenez au Pôle 6.50 sous la houlette de Gildas Mahé.”

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“British finish”” pour les 18 pieds”

18´ en Grand Prix à Carnac
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Ce plan d’eau abrité, où les conditions de navigation habituelles se prêtent idéalement à la pratique du roi des skiffs, les leaders le connaissent bien. Le port anglais et ses riches infrastructures sont une étape privilégiée du circuit national. Les leaders actuels du classement européen auront ainsi fort à faire puisqu’en plus de chercher à conquérir le championnat européen, ils devront lutter contre leurs homologues venus en masse.

Parmi la dizaine de bateaux anglais présents sur cette épreuve, Radii sera sûrement l’adversaire le plus sérieux. Si Andy Richards et ses coéquipiers ne se sont pas déplacés sur les deux dernières épreuves (En Allemagne et en Italie), ils auront sûrement à cœur de remporter cette compétition, après leur victoire à Carnac et en Sardaigne.

La validation de cinq Grand Prix permettant le retrait du plus mauvais résultat, ils pourraient même voir leur retard considérablement décroître en cas de victoire dans cette dernière épreuve et, pourquoi pas, accéder à la plus haute marche du podium si leurs concurrents directs venaient à faire une contre-performance.

Reste que les Danois de GP Covers, tenants du titre, sont les plus menaçants sur le tableau, avec 8 points de retard avant tout décompte. Très à l’aise dans les vents soutenus, leur grande expérience en fait également de redoutables tacticiens. Un peu plus loin dans les points (58 pts), les suisses d’Exel sont également idéalement placés pour faire un podium.

La tâche sera en revanche plus ardue pour l’équipage français de Sefico (74 pts). Très proches de Vellamareskiff (76 pts), ils devront également se méfier des anglais d’Hermes, pas très éloignés non plus. Déçus par leurs résultats en Italie (9ème), Christophe Orion, Philippe Vallée et Eric Caiveau doivent impérativement assurer un résultat honorable (au pire 7ème) pour conserver une quatrième place qui concrétiserait l’objectif sportif de cette année (le top five du classement européen !).

Réponse le 18 septembre.

Source Classe 18 pieds australiens

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Velsheda, Ranger et les autres…

Class J à Monaco
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Seuls quatre exemplaires ont résisté aux épreuves du temps. Et trois d’entre eux : Shamrock V, Velsheda et Ranger ont accepté d’être les invités d’honneur de la Monaco Classic Week et de venir retrouver l’esprit des grands défis d’autrefois.
Pour la circonstance, le plateau des plus relevés, est complété par deux 23M JI Cambria et Astra, qui n’ont pas régaté sur le même plan d’eau depuis 1930. Retrouvailles rares et émouvantes ! Aussi rares que de voir ces géants déployer leurs 700 mètres carrés de voile ! Soleil radieux, petite brise, tel fut le théâtre ouvert à ces cathédrales de voile. La légende était sur le plan d’eau de Monaco, avec en présence Ranger, ancien vainqueur de la Coupe de l’America, Velsheda, Shamrock V ayant appartenu à Sir Thomas Lipton et Cambria, bien décidé à leur tenir tête.
Deux départs furent nécessaires pour mettre les forces en présence autour d’un parcours de six milles allant de Monaco au Cap-Ferrat. La vélocité de Cambria lui permit de prendre un départ digne de l’America’s Cup mais la puissance de Velsheda mit rapidement tout le monde au pas. L’émotion fut grande sur le plan d’eau de voir ces mâtures de près de 40 mètres tirer leur énergie du moindre souffle d’air, comme en témoignent ces images d’équipiers tout en haut du mât durant toute la course, pour dénicher la moindre adonnante ou la moindre risée.
Le spectacle ne manqua pas de ravir les Riva venus en nombre rendre hommage à ces bateaux d’exception, témoins de la plus grande histoire de la voile, alliant performance et du patrimoine.

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Le Brésil en ligne de mire

Départ Open Demi-Clé 2004
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Au départ de La Rochelle, la Mini Transat s’élance par le plateau de Rochebonne vers le cap Finisterre, un point capital sur cette première étape de 1 350 milles, puisque la flotte peut ensuite faire route directe vers Puerto Calero (côté Est de Lanzarote). Le « dégolfage » est toujours une phase délicate sur toutes les transatlantiques car il faut négocier le point de sortie, plus ou moins proche de la côte ibérique, sachant que le plateau continental est à une quarantaine de milles des rivages espagnols, que le trafic maritime est localisé entre 10 et 20 milles des falaises espagnoles et que les pêcheurs s’intercalent entre la côte et les rails de cargos. D’autre part, selon les situations météorologiques, les changements arrivent par l’Est ou par l’Ouest : en régime dépressionnaire, c’est plutôt par le large que se génère un flux de secteur Ouest qui tourne progressivement au Nord puis au Nord Est en arrivant sur l’archipel canarien. En situation anticyclonique, le flux de Nord bascule lentement vers l’Est mais le décalage se fait de la côte vers le large. Il n’est donc pas toujours bien venu de tirer tout droit vers les Canaries après le passage du cap Finistère…
Et après le départ donné samedi à 17h17 devant le Fort Boyard, la météo prévoit un bon flux de secteur Nord Est 15 nœuds qui pourrait monter jusqu’à 25 nœuds et plus près des côtes espagnoles, ce qui laisse entendre que les premiers Minis devraient « tourner à gauche » dès lundi midi, et les derniers lundi soir mais il faudra alors bien gérer ce « coup de pied aux fesses » car à trop allumer, on se brûle les doigts… Surtout que l’avantage ne sera pas énorme à la sortie du cap Finisterre puisqu’il faudra ensuite négocier la bordure d’une dorsale anticyclonique qui s’échappe vers le Sud : les leaders de la première étape devraient donc s’amarrer à Puerto Calero dès le samedi 24 septembre. De quoi bien récupérer avant le départ de la seconde étape, 2 900 milles vers Salvador de Bahia le samedi 8 octobre !
Mais sur cette première partie du parcours, l’important est de valider le bateau et le skipper, non de partir en vrac à la première vague tout dessus pour épater la galerie… Car les solitaires n’ont plus le droit qu’à 72 heures d’escale technique entre les étapes : il ne faut donc ni démâter, si casser ses safrans comme cela est arriver à nombre de concurrents, particulièrement il y a quatre ans… dans des conditions météo similaires ! Reste que cette première étape devrait être rapide car un flux portant devrait pousser la flotte jusqu’à l’archipel. De là à faire mieux que Sébastien Magnen, détenteur du temps de référence sur la Mini Transat en 1999 avec 6,71 nœuds de moyenne sur la totalité du parcours !

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Mini Transat : un prologue paresseux

Prologue Transat 6.50
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C’est un plan d’eau plat comme une limande qui accueillait les 72 minis 6,50 qui avaient embarqué pour l’occasion des enfants des écoles de voile du département. Ce sera finalement vers 11h30 que sera envoyé le prologue, soit un parcours côtier qui sera amputé dès la Cardinale sud du Lavardin compte tenu du manque de vent mais aussi de l’obligation de se présenter devant les portes du bassin des Chalutiers en temps et en heure… de marée haute ! Bon départ pour l’ensemble de la flotte à 11h30, répartition à droite comme à gauche du plan d’eau et au final, ce sera l’option droite qui sortira son épingle du mou… A ce jeu, c’est l’Espagnol Juan Carlos Sanchis Mari sur Spasmos qui coupe le premier la ligne d’arrivée devant le sudiste Mathieu Cassanas sur Metalco Mobilier Urbain. Le troisième est Adrien Hardy sur Brossard suivi du Suisse Tobias Hochreutener sur Complete Freight. Le cinquième est Sébastien Gladu sur Armor Lux. Côté conditions de vent, le vent était de 5 nœuds d’ouest faiblissant à très faiblissant. Un vrai temps estival ! Ouverture officielle du Village de la Transat 6,50 Charente-Maritime/Bahia Les 72 minis 6,50 sont donc d’ores et déjà réunis dans le bassin des Chalutiers de La Rochelle autour du Village officiel de la course. Ouvert au public gratuitement depuis ce mercredi 14 septembre 2005, une trentaine d’exposants sont présents au pied de l’Aquarium. Plusieurs animations sont prévues avec certains temps forts : la bénédiction des vagues et de la flotte selon la tradition brésilienne sera faîte le vendredi 16 septembre à 19h00, avec la présence de Batala, un groupe de 250 percussionnistes aux sonorités traditionnelles brésiliennes de Bahia. Rappelons que la sortie des bateaux aura lieu le samedi 17 septembre à 15 heures en défilé avant de prendre le départ à 17h17.

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Sill et Veolia d´attaque !

Roland Jourdain / Sill & Véolia
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Echo du ponton de mise à l’eau par Gaël Le Cléach…
Juste après la Rolex Fastnet Race, le 10 août dernier,  le monocoque Sill et Veolia est entré en chantier estival chez CDK en vue de sa préparation pour la transat Jacques Vabre.
Le maître-mot du chantier a été : la chasse au poids.
« Depuis le Vendée Globe dernier, Sill et Veolia n’avait pas fait l’objet d’un véritable grand ménage puisque nos efforts étaient surtout concentrés sur notre problème de quille. Nous avons donc profité de l’été pour  alléger le bateau en enlevant un peu du confort, indispensable pour une course autour du monde, mais nettement moins pour une Jacques Vabre ! »
« Notre attention s’est aussi portée sur le système de barre et les safrans. »
« Pendant  le tour des îles britanniques et le Fastnet, on s’est aperçu que l’on avait un petit déficit de vitesse, donc on a apporté des modifications sur le gréement et adapté le plan de voilure. »
« Dernier point, la carène qui a été totalement refaite. Sill et Veolia est flambant neuf, prêt à exploiter toute sa puissance ! »

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