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Message de Bernard Stamm…

Stamm vainqueur à Fremantle Velux 5 Oceans 2006
DR

"Bernard Stamm : "Les désillusions de 2004 et 2005 me poussent à essayer de comprendre pourquoi nous renouons avec le succès et surtout comment nous pouvons essayer de continuer à réussir dans ce que nous entreprenons. La remise à flot suite à la perte de notre quille en 2004 a pris beaucoup de temps, pendant lequel les autres équipes se sont acharnées à progresser. Du coup, la première grande compétition, m’a permis de me rendre compte de l’écart de performance qu’il y avait entre les bateaux concurrents qui avaient progressé et le mien qui avait « juste » été réparé. Au début de cette année, des choix se sont avérés indispensables pour pouvoir mettre un programme de course en place et pouvoir espérer se battre à armes égales avec les meilleures équipes. Une conclusion est rapidement apparue comme incontournable. Faire un programme à long terme avec Cheminées Poujoulat dans son état actuel ne correspondait pas aux ambitions de toute mon équipe. Il fallait décider, soit de transformer le bateau actuel, soit de mettre un nouveau en conception et en construction, soit de racheter un bateau d’une génération plus récente. Le choix de reprendre un bateau existant semblait être le meilleur. Navigations immédiates, programme d’entraînement et préparation à toutes les courses du circuit IMOCA devenait alors possible et rendait ce choix évident…."

Stamm reprend le Virbac-Paprec de JP Dick
"Du coup, nous avons pu mettre un programme de course en place qui tourne autour de trois tours du monde. Un tour par an, chaque fois différent, chaque fois un nouveau challenge. Le premier, encore avec « Superbigou », la Velux 5 Océans que je cours actuellement, ensuite, à la fin de l’année avec le nouveau bateau, la Barcelona Race, course autour du monde en double et sans escale et fin 2008 le Vendée Globe.
Pour pouvoir m’aligner dans de bonnes conditions à la Velux 5 Océans, nous avons transformé le bateau, au début de l’année, à Caen, au chantier V1D2. Ensuite, mon équipe et moi avons fait une série de navigations d’essai et de tests puis nous avons remis le bateau en chantier pour contrôler sa structure dans les moindres détails. Cette méthode a, pour l’instant, été payante puisque Cheminées Poujoulat a traversé sans casse majeure ce premier demi tour du monde. La course a d’ailleurs été rapidement très différente que prévu. Durant toute l’année je me suis préparé à affronter Mike Golding et son bateau de la dernière génération et Alex Thomson qui a fait un gros travail sur son bateau, plus les concurrents que je ne connaissais pas. A Bilbao, avant le départ, il y avait clairement nos trois bateaux au dessus du lot en préparation, avec cependant Kojiro le concurrent japonais qui multipliait les sorties en mer et qui allait être prêt à régater…"

Tout donner dès le départ…
"Dans ma tête, je me préparais à tout donner au début de la course pour ne pas me laisser distancer, puis à continuer à m’arracher pour ne pas perdre le contact avant les mers du sud et une fois dans l’Indien, essayer de les avoir à l’usure. Raccourci simpliste, je le conçois, mais en gros c’était quand même ça.
Participer aux courses et essayer de les gagner n’est pas un travail de solitaire. C’est le travail de toute une équipe sans qui rien ne serait possible. C’est aussi l’engagement de sponsors et partenaires techniques sans qui rien ne fonctionnerait non plus. Sans les citer tous, j’aimerais juste souligner que sans l’engagement de Poujoulat, Landolt et Testo jusqu’en 2009 je n’aurais pas eu la possibilité d’emprunter pour acheter le nouve au bateau.

Gonflé à bloc pour gagner la Velux 5 Oceans en 2007 !
2007 va commencer. Le premier objectif est de conserver mon titre dans la Velux 5 Océans. Gagner la première étape, renouer avec la victoire est excellent pour le moral et pour la confiance en soi. C’est gonflé à bloc que je vais attaquer la deuxième étape de cette aventure. J’aimerais remercier tous ceux qui, de près ou de loin, me permettent de vivre ce « sport » et je souhaite à tous une excellente santé, du bonheur et de la réussite pour l’année 2007".

Bernard Stamm

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Vincent Riou peaufine son programme en attendant son nouveau mât !

Vincent Riou sur PRB
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Le nouveau mat de PRB
Mais en ce début d’année l’heure n’est pas encore à la navigation mais au chantier. Une occupation guère différente des autres teams de la classe Imoca si ce n’est qu’en raison du démâtage survenu pendant la Route du Rhum – La Banque Postale, il a fallu équiper PRB d’un nouveau mât. A vrai dire la construction d’un mât de rechange était déjà prévue mais les enseignements tirés de l’avarie ont obligé Vincent à quelques modifications : « Le démâtage n’était pas du à un problème de fabrication mais de conception. Pour faire simple on a modifié le système d’haubanage en passant de trois à deux haubans ce qui est plus courant pour les mâts ailes rotatifs de ce type. Ce sera également plus simple d’utilisation. Nous avons donc changé le profil du tube afin de l’optimiser et de l’adapter au gréement 9/10ème qui sera celui du nouveau mât (l’étai monte quasiment en haut du mât, ndr). Ce nouveau mât sera assez proche de ceux des 60 pieds nouvelle génération ».
En cours d’achèvement chez Lorima, le tube sera ensuite finalisé chez CDK comme le précédent. Le nouvel espar devrait être fin prêt le 8 mars soit quelques jours avant la mise à l’eau. En attendant le « team PRB » répare les petits dégâts occasionnés par le démâtage et termine la préparation du monocoque : « PRB nous avait donné toute satisfaction donc nous avons juste à finaliser ce que nous n’avions pu faire avant la Route du Rhum » conclue un Vincent Riou manifestement pressé de retrouver les océans.

Source PRB

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Mike Golding honoré par la Reine d´Angleterre

Mike Golding - Ecover
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Mike Golding a attiré l’attention du public en 1992 comme skipper dans le tour du monde, le British Steel Challenge, avant d’établir un record en 1994 autour du monde en solitaire contre vents et courants. En tant que président du comité technique de l’association IMOCA, il a joué un rôle primordial dans le développement des règlements pour les Open 60. En 2001, Golding est devenu le premier homme à faire le tour du monde en solitaire dans les deux sens et reste encore le seul britannique avec un tel palmarès. Après avoir terminé septième dans le Vendée Globe 2000-2001, il est revenu aux Sables d’Olonne en 2004 avec son Ecover pour terminer troisième, malgré la perte de sa quille à 50 milles de l’arrivée. En parlant de cet honneur, il a déclaré aujourd’hui qu’il avait appris cette nouvelle de sa femme pendant la Velux 5 Oceans, ce qui lui a remonté le moral à un moment difficile dans l’Atlantique sud. Il a également remercié tous ceux qui partagent ces aventures avec lui – son équipe technique, ses partenaires et sa famille – et parlant de l’avenir, il a réaffirmé son intention de continuer de contribuer à la voile de compétition.

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Retour sur la seconde victoire consécutive de Wild Oats

Wild Oats
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Comme à l’accoutumée l’arrivée s’est faite de nuit, à 21h 52min et 33 secondes. Avec un temps de course de 2 jours 8 heures 52 minutes et 33 secondes, Mark Richards, skipper du Wild Oats n’aura pas réussi à faire mieux qu’en 2005, puisqu’il met, cette année, 14 heures de plus à couvrir les 628 milles du parcours.
Ce temps est le résultat d’une course difficile principalement courue au près sur une mer agitée. Des conditions qui ont causé, cette année, l’abandon de 9 monocoques, provoqué 2 démâtages et coulé un bateau.
 
Dès l’arrivée Mark Richards, dit Ricco, a tenu à féliciter son équipage et plus particulièrement sa navigatrice, Adrienne Cahalan ainsi que Iain Murray pour leur travail formidable : « Les deux derniers jours ont été très difficiles d’un point de vue météo et je tiens vraiment à saluer le courage et la ténacité de mon équipage. Ils ont fait un superbe travail et je suis fier de ce groupe ».
 
Après un départ rapide de Sydney avec des pointes à 23 nœuds, le moment le plus crucial a été de choisir entre l’option au large, celle choisie par d’ABN AMRO One, avec des conditions beaucoup plus difficiles, des vents de 30 à 35 nœuds sur une mer forte, ou de tenter une navigation le long des côtes. Une stratégie beaucoup plus raisonnée qui a permis à Wild Oats de passer au travers de l’hécatombe des voiliers partis au large.
 
« Nous avons vraiment fait le dos rond. J’ai eu des instructions strictes de la part de Bob Oatley avant le départ pour naviguer en douceur. Il a dû me répéter ça au moins 500 fois. L’option au large était très intéressante, mais les conditions y étaient très dures. Nous n’aurions voulu pour rien au monde nous retrouver là-bas. Nous avons donc opté pour une navigation le long de la côte, beaucoup plus sécurisante », commentait Richards à son arrivée.
 
Après le démâtage d’ABN AMRO One, Wild Oats pouvait contrôler son avance et ses adversaires directs, Ichi Ban et Skandia. Avec 40 milles d’avance, Cahalan a pu anticiper une zone de calme et couvrir le retour des deux poursuivants.
Cette mésaventure a tout de même permis à Grant Wharington de revenir à 5 milles de Wild Oats. « Nous étions si proches, 5-6 milles environ qu’un mauvais changement de voile aurait pu faire la différence. Nous devions nous assurer que nous étions dans le même système météo pour pouvoir les contrôler », analysait Adrienne Cahalan.
 
« Nous avons aperçu Skandia toute la journée d’hier. Ils étaient vraiment proches de nous et au petit matin l’écart était minime. Heureusement nous avons réussi à mieux glisser qu’eux et notre avance a grandi », concluait Richards.
 
À l’arrivée de son bateau dans le port de Hobart, Bob Oatley ne tenait plus en place : « J’ai l’impression de revivre, j’ai l’impression d’être un jeune homme. La course de l’année dernière a été extraordinaire et les garçons ont assuré mais cette année les conditions ont été vraiment différentes. Beaucoup de voiliers ont eu des problèmes en voulant aller chercher au-delà des limites de leur voilier et d’eux-mêmes. Depuis le début, j’ai dit à mon équipage d’y aller calmement et que le bateau ferait le reste. Je ne pouvais pas dire plus et mieux. Nous croyons en notre bateau et il l’a fait ».
 
Wild Oats doit regagner Sydney dès demain pour s’aligner au départ de la Pittwater to Coffs Harbour Race avant de prendre place sur un cargo, direction l’Europe et le circuit méditerranéen 2007.
 
Dans la lutte qui opposait Skandia et Ichi Ban pour la seconde place du classement général en temps réel, Ichi Ban longtemps troisième a su tirer profit des problèmes de dérive de Skandia.
« Ichi Ban était alors à 12 milles derrière nous et d’un seul coup, il est revenu de nulle part à une vitesse impressionnante. Il nous a passés comme si nous étions un simple voilier de 40 pieds. Nous naviguions alors sous trinquette et grand voile arisée tandis qu’Ichi Ban portait toute la toile possible », commentait Grant Wharington stupéfait d’une telle aisance.
 
Avec quatre heures de retard sur Wild Oats, Ichi Ban coupe la ligne d’arrivée suivi, 16 minutes plus tard, par Skandia.
« Ils avaient 7 milles d’avance sur nous lorsque nous avons contourné Tasman Island et nous finissons avec deux milles de retard. Si nous n’avions pas eu ces problèmes de dérive nous aurions certainement été capables de revenir sur eux », concluait Wharington.

« Au départ de Sydney nous n’aurions pas imaginé nous placer second de la Rolex Sydney Hobart. Avoir Skandia derrière nous était une grande satisfaction même s’ils étaient handicapés par leur dérive. Nous avons fait un excellent travail et l’ensemble de l’équipage s’est bien concentré sur la marche du bateau, les changements de voiles et les manœuvres. Être aussi proche de Wild Oats est aussi une grande joie. Nous allons maintenant attendre les prochaines arrivées pour découvrir le classement en temps compensé », avouait Matt Allen à son arrivée.

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Wild Oats XI vainqueur de la Sydney Hobart 2006

Wild Oats XI
DR

Skippé par Mark Richards, Wild Oats XI, un 98 pieds avec un système de ballast basculant / double surface portante avait remporté l’épreuve l’année dernière en temps réel et en temps corrigé en établissant un nouveau record pour le parcours. Plus récemment il avait participé au championnat de maxis en Sardaigne terminant troisième derrière Alfa Romeo et Morning Glory. Parmi les membres les plus connus de son équipage, on retrouve Robbie Naysmith et Iain Murray de la Coupe de l’America, la navigatrice Adrienne Cahalan, qui participait ici pour la seizième fois, un record pour les femmes, et le champion mondial d’Etchells et médaillé Olympique, Steve Jarvin.

Le Sparkman & Stephens 47, Love and War, construit en bois, qui a été le vainqueur au général en 1974 et 1978, est en tête du classement en temps compensé et se bat pour obtenir sa troisième victoire. Maluka, un autre voilier en bois construit en 1932, figure également parmi les prétendants pour remporter la Coupe cette année.

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Sydney – Hobart 2006 : Un vrai champ de bataille

ABN AMRO dismated
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Suite à leur démâtage arrivé peu après celui d’ABN Amro, cinq membres de l’équipage de Maximus ont été transportés par hélicoptère et vedette à l’hôpital. Une jambe cassée, quelques minutes de perte de conscience, des côtes cassées, mais ce matin seulement une personne reste à l’hôpital et aucun blessé grave n’est à déplorer.

Quelques heures plus tard le gagnant de 1968, Ray White Koomooloo a commencé à prendre de l’eau et le skipper Mike Freebairn a envoyé une alerte de détresse, tandis que l’équipage montaient à bord des radeaux de sauvetage avant d’être pris à bord du voilier britannique Adventure venu à leur secours. Tout le monde est sain et sauf, mais le bateau va sans doute couler. Trois autres abandons, Endorfin, Sailing with Disabilities et Chutzpah sont dûs à une panne de barre, tandis que Living Doll s’est retrouvé sans radio et Mr Kite souffrait d’un problème de gréement.

Après une trentaine d’heure de course, (09h heure française), le tenant du titre Wild Oats XI affiche donc une avance d’une douzaine de milles sur Skandia. La perte du safran avant dont on ignore la cause, n’est pas fatal pour ce dernier, mais va sûrement le ralentir et son skipper Grant Wharington n’est guère optimiste pour la suite. Il surveille de près d’ailleurs ce matin le progrès d’Ichi Ban, qui n’est plus qu’à une trentaine de milles de Wild Oats XI et mène le classement en temps compensé.

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Sydney Hobart 2006 : Un début en fanfare

Depart Sydney-Hobart 2006
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Il a fallu seulement trente deux minutes à la flotte des 78 bateaux pour sortir du port de Sydney, un des plus rapides départs sur ce parcours de 628 milles nautiques.
Les deux maxis australiens Wild Oats XI et Skandia et le Volvo 70 ABN Amro ont pris le meilleur départ par l’ouest du port, tandis que Maximus s’est laissé distancé dès le début en prenant une option plus à l’est. La plupart des bateaux gagnent désormais le large à la recherche de vents plus forts et après six heures de course, le favori en temps réel, Wild Oats XI mène le bal devant Maximus, ABN Amro, Skandia et Ichi Ban. En temps compensé, c’est Mike Sanderson à bord de son ABN Amro, qui se retrouve à la tête du classement.
A suivre …

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Bord à bord après douze heures de course

Maximus
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Wild Oats XI, qui a établi un nouveau record pour le parcours en remportant la course en temps réel et en temps compensé l’année dernière, a concédé un peu de terrain à Maximus avec un écart passant de quatre milles en début de nuit à seulement quelques centaines de mètres après douze heures de course (15h heure française). Le Volvo 70, ABN Amro, se retrouve actuellement à trois milles dans leur sillage avec Skandia trois milles derrière le tableau arrière du bateau néerlandais, qui mène toujours le classement en temps compensé pour les bateaux IRC A.
En descendant vers le sud, la mer devient de plus en plus agitée. Ces conditions plus musclées ne devraient pas poser de problème aux participants, et offrent plutôt un avantage aux maxis, qui trouvent ces conditions idéales.
Cependant, les tacticiens estiment que le record n’est pas menacé à cause du mauvais temps devant leurs étraves. Même si aucun bateau n’a remporté l’épreuve en temps réel deux fois de suite depuis 1964, Wild Oats XI skippé par Mark Richards reste le favori et attire même des compliments de la part de Grant Wharington, le skipper de Skandia, qui estime que ce maxi est le meilleur bateau qu’il n’ait jamais vu dans ses 18 participations à cette course mythique. De plus son propriétaire Bob Oatley, qui n’est pas à bord cette fois-ci, a rassemblé un équipage bien expérimenté, car entre eux ils accumulent 178 Sydney – Hobart sur des bateaux comme Sayonara, Morning Glory, Skandia, Apollo et Sovereign.

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ABN Amro et Maximus démâtent !

ABN AMRO
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Vingt deux minutes plus tard, le maxi Maximus a également démâté au sud de Bateman Bay et six membres de l’équipage ont été blessés. Une vedette de la police est en route pour évaluer la situation et un hélicoptère est en stand-by.
L’équipage d’ABN Amro est particulièrement déçu, car ils se retrouvaient en tête de course cinq milles devant Wild Oats XI au moment où l’incident s’est produit . L’équipage a jeté le mât par dessus bord et rentre actuellement au port de Sydney au moteur. Un troisième bateau, Endorfin, a également dû abandonner avec un problème de barre.
Wild Oats XI a donc retrouvé ce soir sa position à la tête de la flotte quatre milles devant Skandia.

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Alex Thomson pourrait mettre fin à sa carrière…

Hugo Boss au reaching
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Le skipper  britannique qui avait l’air si sûr de lui au départ de Bilbao le 22 novembre dernier semblait depuis beaucoup plus prudent. Selon le très célèbre magazine britannique,  Il se peut que Thomson devienne encore plus fort et courageux, mais pour le moment ce dernier repousse la décision concernant sa participation dans la Barcelona World Race et le Vendée Globe au début d’année prochaine. 
Thomson a annoncé que pour le moment, il ne change rien dans ses projets, mais a néanmoins expliqué, "J’ai besoin d’y réfléchir pour être sûr de prendre la bonne décision.  Je suis inscrit pour la Barcelona et le Vendée, mais cette récente expérience a été vraiment inquiétante.  Je ne veux pas dire, ‘Ouais, J’ai hâte d’y retourner , parce qu’en ce moment ce n’est pas vraiment le cas.  Il faut réfléchir…."
N’oublions cependant pas que le nouveau bateau de Alex Thomson est en cours de construction à Lymington et sera mis à l’eau en avril prochain.
Quant à son sauveteur, Mike Golding, qui a dû également abandonner la course, il a avoué souffrir régulièrement de cauchemars depuis cet incident.  «Je fais souvent un cauchemar, où j’essaie de sauver la vie d’Alex, mais où il s’éloigne et disparaît de vue…"

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