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Stamm à Norfolk dimanche… avec 3000 milles d’avance ?

Bernard Stamm sur Poujoulat
DR

Bernard quitte des alizés soutenus, mais pas très régulier, pour entrer dans la zone des Bermudes, avec une dernière dorsale à négocier. « Le vent devrait faiblir et je vais devoir descendre plus dans le vent, explique Bernard. Je vais envoyer le grand spi, cela va aller un peu moins vite, mais cela va tout de même continuer à avancer. »
 
En route directe vers les Etats-Unis depuis le passage de l’Equateur, CHEMINEES POUJOULAT, quitte les Tropiques. Stamm va maintenant devoir enchaîner les empannages pour rejoindre Norfolk, sans vraiment s’éloigner de la route directe. Une trajectoire qui devrait occuper Bernard. D’autant que le skipper de CHEMINEES POUJOULAT passe de longues heures à la barre pour économiser un gasoil qui commence à se faire rare à bord. Ce qui n’empêche pas Stamm de déjà penser à son arrivée, après sept semaines de mer. « Je pense arriver le trois mars tard, ou le quatre tôt. Je n’ai aucune idée du jour que nous sommes. Mais je crois que ce sera le week-end. Il faut vraiment que l’arrivée soit quelque chose de plus concret. Cela fait un moment que j’économise mon gasoil mais là (ndlr, indispensable pour recharger les batteries du bord, lourdement sollicitées par l’électronique et les pilotes automatiques), je n’en ai vraiment plus beaucoup. Je pense que je tomberai en panne, un peu comme d’habitude, quand je passerai la ligne ! » 
 
Kojiro Shiraishi poursuit sa remontée le long des côtes brésiliennes. Enfin sorti de l’occlusion qui le bloquait au large de Rio de Janeiro, SPIRIT OF YUKOH a touché une jolie brise de Sud-Est qui lui permet de progresser à 10 nœuds de moyenne vers le Nord. A 200 milles au large de Salvador de Bahia, Kojiro cherche maintenant à gagner au maximum dans l’Est pour négocier au mieux la pointe Nord-Est du Brésil. Un passage qui devrait nettement améliorer ses conditions de vie, pour le moment « humides ». « L’intérieur du bateau est trempé en permanence. Dès que j’aurai passé l’épaule du Brésil, je toucherai de l’alizé, ce qui devrait assécher rapidement le bateau, et rendre la vie à bord plus vivable. » Unai Basurko, PAKEA, poursuit sa remontée vers l’Equateur au large du Brésil. A 900 milles de la côte et à 1 200 milles de Koji. Au large de Buenos Aires,  Sir Robin Knox-Johnston, SAGA INSURANCE, et Graham Dalton sur son 50 pieds A SOUTHERN MAN – AGD, sont au coude à coude. Seulement séparés par 15 petits milles. Le Kiwi cravache sec pour recoller au doyen de la course, qui avoue n’avoir dormit que sept petites heures en quatre jours…

Source Velux 5 Oceans

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Glenn Bourke fait le point

Glenn Bourke CEO Volvo Ocean Race
DR

Où en êtes-vous concernant les ports d’escale ?
Les nouveaux territoires nous demandent beaucoup de présentations et de démonstrations car nous devons faire comprendre aux autorités locales tout l’apport commercial et sportif, ainsi que tout l’intérêt que peut susciter l’arrivée de la Volvo Ocean Race dans ces ports d’escale de même que nos besoins en infrastructures. Ceci étant, nous avons rencontré beaucoup d’enthousiasme à l’égard de cette course. Alors nous avons progressé mais comme vous pouvez l’imaginer, les progrès réalisés dans des endroits comme le Moyen-Orient, Singapour, l’Inde et la Chine ont été un peu plus lents qu’espérés. Toutefois, l’envie est là, et tout se construit. A mon avis, aucun changement inopiné n’est à craindre. L’un ou l’autre port peut poser problème, c’est vrai. Dans certaines régions vraiment intéressantes, nous étudions deux ou trois ports plutôt qu’un seul. Bien entendu, tout le monde serait content si l’itinéraire précis était tracé deux ans à l’avance mais tous les intervenants comprennent que cela est impossible. Le ticket de rêve de la dernière course, avec un lien direct entre port et bateau, fonctionnera encore en 2008-09 avec certains pays et pas avec d’autres. Encore un peu de temps et tout sera réglé.
(…)

Pensez-vous à un port français ?
Nous avons déjà discuté plusieurs fois avec les ports français où la compétition nautique est une vraie tradition. Bien sûr, les courses en solitaire sont l’apanage de ces ports, mais je suis certain qu’un public nombreux viendra voir nos bateaux si l’Ocean Race fait escale dans un port français. Lors de la dernière édition, en 2005-06, les Français Sébastien Josse et Sidney Gavignet, deux des grands ténors de la course, ont beaucoup contribué à l’intérêt historique porté par la France à cet événement. Car en dépit d’une certaine perception populaire faisant du Vendée Globe la seule course des passionnés français, nous avons su générer une très belle couverture médiatique et un important intérêt de la part du public français en 2005-06.

Où pourrait se situer l’arrivée de la course ?
Vu l’importance des sponsors allemands, ce pourrait être une fois encore à Kiel avec 500 000 personnes assistant au finish comme en 2001-02. Peut-être aussi à Saint-Pétersbourg ou en Finlande. Tous ces lieux d’arrivée nous offriraient à coup sûr une excellente ambiance estivale. Mais un certain chemin reste à parcourir avant de prendre la décision finale.

Où en sont les inscriptions pour 2008-09 ?
Certains commanditaires reviennent en 2008-09 et envoient un signal fort à d’autres sponsors potentiels qui songent à une participation. Si, comme l’a fait Ericsson, vous revenez dans cette course malgré de mauvaises performances la fois précédente et que vous vous montrez toujours aussi enthousiaste et désireux de bien faire, le message est clair et fort. Donc les intentions d’inscriptions se précisent et je suis confiant, nous devrions avoir autant d’équipages qu’en 2005-06 et même, ce sera la première fois en trois/quatre/cinq éditions que leur nombre va augmenter. Car davantage de syndicats s’annoncent, nous savons qu’ils sont engagés, qu’ils préparent leurs plans de bataille mais qu’ils ne sont pas encore prêts à rendre publiques leurs intentions.

Quand pourrons-nous en savoir plus ?
Je pense que les équipes concernées feront leurs annonces bientôt et notamment pendant l’été. Cela prend toujours plus de temps que prévu. Le public connaîtra l’identité d’au moins un de ces syndicats dans les deux prochains mois (…)

L’itinéraire posera-t-il problème aux concepteurs ?
Il leur faudra concevoir un bateau plus complet, plus polyvalent. Les longues étapes ne seront plus le fait des mers de l’hémisphère sud à prédominance vent arrière. Il y aura aussi de longs trajets au près et il sera plus difficile de se défendre tactiquement au cours des étapes par vent léger. Je m’attends à voir plus de vainqueurs d’étape différents et donc à assister à une compétition plus passionnante.

Avez-vous des candidats pour la place dévolue aux médias au sein des équipages ?
 Il est amusant de constater que certains membres de la presse écrite ayant formulé quelques critiques sur la course dans un passé récent se sont retrouvés en tête de liste pour y participer ! Si ces personnes ont la chance d’obtenir une place à bord et qu’elles comprennent réellement ce que représente cette course, j’en serai ravi. Au regard des nouveaux pays qui seront visités, il sera très intéressant d’apprendre aussi quelques expressions élémentaires de leurs langues respectives. Imaginons donc un journaliste à l’esprit pratique, obstiné, capable d’utiliser à bon escient une caméra embarquée et d’interviewer des personnes sur un bateau au milieu de vagues de 10 mètres et d’un vent de 50 noeuds… en parlant mandarin ! Je me dois d’ajouter que le règlement stipule qu’il est de la responsabilité de chaque team de désigner les représentants des médias. Les candidats potentiels peuvent nous rencontrer et faire pression autant qu’ils le souhaitent, ce sont les équipes qui décideront.

Comment saurez-vous que le représentant des médias à bord ne participe pas activement à la
navigation ?
Le fait d’avoir un représentant des médias à bord signifiera pour tous les membres d’équipage de souscrire à une sorte d’engagement moral. Imaginons la situation suivante : il faut manoeuvrer le spi, dix équipiers le hâlent péniblement et un onzième filme la scène. Les dix personnes doivent garder en tête que le onzième ne fait pas partie de l’équipage. Quant aux onzième, celui qui filme, il ne doit jamais se sentir obligé de les aider. Nous avons déjà un moyen de surveiller la participation du journaliste, mais nous n’en dirons pas plus. Nous dirons cependant aux équipages : « ne transgressez pas cette règle, sinon, soyez sûrs que nous le verrons par-dessus votre épaule… ».

Source Volvo Ocean Race

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Nouveautés dans la gamme dériveur de Gill.

Haut Thermique pour Dériveur Gill
Haut Thermique pour Dériveur Gill

Les combinaisons Speedskin de Gill sont une nouvelle alternative aux autres types de combinaisons légères. Contrairement au néoprène, la Speedskin offre de grandes qualités respirantes qui la rendent beaucoup plus confortable. La Speedskin constitue également un très bon investissement puisqu’elle peut se porter toute l’année, seule par temps doux ou comme couche thermique intermédiaire sous une combinaison sèche dans des conditions plus froides.

Fabriquée en tissu 3 couches Softshell, la combinaison Speedskin de Gill est imperméable, coupe-vent et très résistante. Sa coupe ergonomique est conçue pour être portée près du corps sans gêner les mouvements. La Speedskin est également doublée en laine polaire pour plus de confort et de chaleur, et les emmanchures et le cou sont dotés d’une reliure en PU (Polyuréthane) pour éviter les entrées d’eau. La Speedskin est par ailleurs très facile à enfiler, ce qui fait d’elle
une bonne alternative aux combinaisons en néoprène. La version Hommes propose un zip frontal sur toute longueur avec un rabat intérieur pour ne pas irriter la peau, tandis que sur la version Femmes, ce même zip est situé dans le dos.

Également conçu à partir du tissu révolutionnaire Softshell, le Haut Thermique pour Dériveur vient d’être ajouté à la Collection 2007 de Gill. Le Haut Thermique est également imperméable, coupe-vent et très résistant, et comporte une doublure en polaire pour plus de confort. La priorité de ce vêtement est une fois de plus de préserver la chaleur du corps et d’offrir une protection maximale contre le froid. Son col rehaussé protège les marins du vent et des embruns, tandis que la ceinture extensible en polyuréthane empêche au vêtement de remonter et offre une protection renforcée contre le froid. Le Haut Thermique de Gill est également idéal pour naviguer sur des semi-rigides ou sport boats.  

Caractéristiques :
– Gill Speedskin
Couleur: Noir
Tailles: XS – XL

– Gill Speedskin pour Femmes
Couleur: Noir
Tailles: 10 –16

– Gill Thermal Dinghy Top
Couleurs: Noir / Gris
Tailles: S – XL

Source Gill
www.gillmarine.com/fr

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Un nouveau Directeur Général chez Corum.

Corum
Corum

La société des Montres Corum, dirigée par Messieurs Severin Wunderman (propriétaire) et Michael Wunderman (président), a nommé comme Directeur Général, Monsieur Antonio Calce.

Engagé dans l’entreprise le 1er septembre 2005 en qualité de vice-président des opérations, Monsieur Antonio Calce s’est employé dès son arrivée à recentrer la marque par un développement renforcé et une revalorisation plus pointue des modèles «piliers» de Corum. Il a également  procédé à la mise en place d’une structure interne plus efficace au niveau de la production, avec l’engagement de quatre nouveaux «patrons» de départements, afin de mieux soutenir une activité horlogère de pointe.

Monsieur Antonio Calce est né en Suisse, à Neuchâtel, en 1967. De par sa formation et son parcours professionnel, il bénéficie d’une expérience complète de l’ensemble des opérations qui accompagnent le produit horloger de la création au soutien service après-vente, en passant par le développement, l’élaboration du produit, la production et la vente.
Ingénieur diplômé d’une Ecole Technique Supérieure et titulaire d’un brevet en gestion d’entreprise d’une Haute Ecole de Gestion, M. Calce entre en 1994 dans le groupe Richemont pour assumer les fonctions de responsable technique, méthodes, logistique et produit.
Appelé ensuite à développer les  produits Panerai après le rachat de la marque par Richemont en 1997, il devient directeur du développement des marques Panerai et Piaget en 2000 et crée la manufacture Panerai, pour finalement apporter ses compétences aux Montres Corum en automne 2005.

Source Corum
www.corum.ch

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Précieuse cargaison

Arrivée Valencia USA98 BMW Oracle
DR

Les bateaux kiwis, partis d’Auckland mardi dernier, sont arrivés samedi en Espagne. L’équipe a prévu d’être de retour sur l’eau dès le 5 mars.
 
L’équipe américaine a quant à elle récupéré USA 98 vendredi en milieu d’après-midi. USA 98 a été construit à Seattle, sur la côte ouest des Etats Unis et avait été convoyé à Auckland pour ses premières navigations pendant les vacances de noël. Le bateau est désormais à Valencia après cet ultime voyage par les airs où il a fait escale en Australie, en Malaisie et en Turquie.
 
BMW ORACLE Racing pense être de retour sur le plan d’eau de Valencia dès mercredi prochain, mais probablement pas à bord d’USA 98 qui doit encore être préparé avant de pouvoir naviguer à nouveau.
 
“Même si nous n’en sommes qu’aux débuts avec USA 98, nous sommes satisfaits de ses performances. Plus important encore, notre programme de régates internes a permis à l’équipage d’être pratiquement prêt pour la Louis Vuitton Cup, qui est maintenant dans moins de deux mois, ” a déclaré le skipper Chris Dickson.

Source ACM

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Les multis en piste sur un parcours celtique

trimaran Banque Populaire IV Bidégorry
DR

L’annulation de la Multi Cup 2007 (circuit de Grand Prix en équipage  ) annoncée en Décembre au salon nautique puis la décision conjointe de Pen Duick et Cap Lorient de ne pas relancer Lorient – Les Bermudes- Lorient  faute de combattants n’avaient pas arrangé les affaires de  de la classe ORMA. D’ici la transat Jacques Vabre qui aura lieu en  Novembre, le calendrier des multis 60 pieds était plus que léger. Dans  ce contexte difficile, le lorientais Vincent Borde qui avait déjà organisé la course Lorient – Nice ( IB Group Challenge ) il y a deux ans a  décidé de mettre sur pied une épreuve permettant à ces bateaux d’exception de ne pas rester à quai après leur chantier d’hivernage. " Avec le soutien logistique de Cap Lorient nous relançons  une course en équipage qui mènera les bateaux sur un triangle celtique  Lorient – La Corogne  – le Fastnet.  Nous déciderons du sens où tournera la flotte au dernier moment en fonction de la météo. Le départ sera donné le dimanche 13 Mai après un prologue en rade de Lorient. Nous avons monté l’épreuve avec les moyens du bord mais aussi l’expérience acquise sur l’IB Group".
 
Un Grand Prix à Lorient  les 19 et 20 Mai
Ce parcours celtique  d’environ  1400 milles devrait être bouclé rapidement par ces machines  menées  par des équipages de six personnes. Ce premier galop d’essai sera complété par un Grand Prix  qui se déroulera les samedi 19 et dimanche 20 Mai." On réfléchit à des parcours  permettant aux équipages d’en découdre de façon intéressante mais aussi  au public d’apprécier le spectacle de ces voiliers. "  Pendant une semaine la rade de Lorient sera animée par ces trimarans qui font partie de son paysage puisque nombre d’entre eux sont ancrés à la base de Kéroman. Quatre mousquetaires seront aux prises lors de ce premier rendez vous 2007 de la classe Orma : Groupama 2  à Franck Cammas qui avait dominé les Grand Prix l’an passé, Gitana XI skippé par Lionel Lemonchois époustouflant vainqueur de la Route du Rhum ,  Banque Populaire IV au tonique  Pascal Bidegorry  et Sopra Group skippé par Antoine Koch le benjamin de ce plateau.
 
GD

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Surf et Aquitaine au sommet de la vague.

Surf Aquitaine
Surf Aquitaine

En Aquitaine, le surf n’est pas seulement un sport. Certains parleront d’une passion, d’autres d’un art de vivre. On pourrait aussi évoquer une vitrine célèbre dans le monde entier. Sans oublier les retombées économiques. Tout cela serait exact.

La Région revendique son statut de berceau français du surf. L’Histoire est là pour en attester. C’est à Biarritz, en 1964, qu’a été créée la fédération française. Laquelle s’est ensuite installée dans les Landes, d’abord à Seignosse, puis à Hossegor, où elle est établie depuis maintenant presque 20 ans. Sur ses 26.000 licenciés aujourd’hui recensés, 17.000 émanent de l’Aquitaine dont 5. 500 des Landes. C’est dire si le destin des territoires et d’une pratique sont parfois intimement liés. Sur le socle d’un savoir-faire local unanimement reconnu, le surf a connu ces dernières années un développement qui permet un plus bel avenir encore.

A ce jour, 8 compétitions nationales ou internationales sur 10 se déroulent dans la région, dont la moitié dans les Landes, département qui accueille au passage l’unique épreuve française du championnat du Monde, le fameux « Quick Pro ».

Sur le plan économique, le surf représente aujourd’hui l’équivalent de 6.000 emplois industriels en Aquitaine. Dans toutes ses retombées, le phénomène a largement dépassé le simple « effet mode » pour devenir une tradition amenée à se développer encore. Les responsables du surf ont su se manifester par un esprit d’imagination et de solidarité méritant d’être salué, au travers des programmes « handi-surf », visant à développer la pratique de ce sport par des personnes handicapées, ou de « surf insertion » dont la finalité est le respect de l’environnement dans la pratique des sports de glisse.

On comprendra que dans ces conditions la fédération et ses permanents se trouvent un peu à l’étroit dans leur actuel siège, réalisé en 1988.

L’édification de nouveaux locaux a donc été décidée, le Conseil Général des Landes prenant en charge la maîtrise d’ouvrage des travaux, La construction installée sur un terrain que la commune d’Hossegor a mis par bail à disposition du département. Ainsi qu’elle en a décidé lors d’une commission permanente, la Région interviendra en soutien à cette initiative, à hauteur de 120.000 euros, soit 10,91 % des dépenses engagées. A terme, l’opération comprendra également la création d’un centre national de formation, situé à Mont de Marsan.

La vie des surfeurs en Aquitaine ne fait que commencer …

Source : Conseil Régional d’Aquitaine
http://aquitaine.fr

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TinyCoach sur le marché !

Tiny Coatch
Tiny Coatch

"Vous en avez déjà parlé, vous l’avez déjà vu ou entendu, peut-être déjà mis en oeuvre, TinyCoach est le petit phénomène qui change beaucoup de chose dans l’approche de la performance à la voile : des informations vraiment incroyables à bord, une interface de débriefing une fois rentré à terre, TinyCoach est l’outil pour progresser efficacement et acquérir un avantage considérable", explique Emmanuel De BRESSY, Directeur de KaliBee, la société qui développe TinyCoach.

"A l’issu de 3 années de R&D, nous sommes parvenus à atteindre notre promesse : faire entrer dans un tout petit équipement, extrêmement endurci et pratique, des algorithmes suffisament puissants pour offrir des messages audio tout à fait surprenants : performance du voilier et de son équipage, gestion de la ligne de départ, stratégie en micro-météo. Tout ceux qui ont testé nos prototypes ont pu le valider ! Oui, TinyCoach, c’est déjà une trés belle aventure !"

"J’ai aujourd’hui le plaisir de vous annoncer la mise officielle sur le marché de TinyCoach Ultimate, notre produit phare.  

Pour fêter cela, ce lancement s’accompagne d’une offre exceptionnelle jusqu’au 15 mars 2007 :
– TinyCoach Ultimate : 1600€TTC,
– TinyCoach Performer : 1400€TTC,
– TinyCoach DataLogger : 800€TTC.
Au delà de cette échéance, les prix seront les suivants :
– TinyCoach Ultimate : 1900€TTC,
– TinyCoach Performer : 1600€TTC,
– TinyCoach DataLogger : 900€TTC.

Notez également que nous allons mettre en téléchargement l’ensemble des parcours du Spi-Ouest et de la SNIM 2007. Cela permettra la prise en main immédiate des premiers bénéficiaires de TinyCoach Ultimate sur leurs parcours de régate.

N’hésitez donc pas à préparer la saison et à passer commande de TinyCoach avant le 15 mars.

Le KaliBee Team reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires" conclue Emmanuel.

Plus d’informations sur : www.tinycoach.com

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Vincent Biarnès heureux élu

Vincent Biarnès skipper Figaro Cotes d Armor
DR

Dix dossiers, six skippers retenus, trois jours de sélection sur l’eau, un entretien devant jury pour les trois finalistes et, à l’arrivée, un vainqueur : Vincent Biarnès a donc passé les obstacles les uns après les autres. Et sa victoire ne surprend personne. Car ce Perrosien est un pur produit de la filière costarmoricaine : Optimist à 8 ans, puis 420, Laser, First Class 8, Mumm 30 en tant que skipper sur le Tour de France (de 2000 à 2006), Melges 24 et match-racing.
 
"Novice en solitaire"
Mieux, Biarnès est aujourd’hui l’un des entraîneurs du centre d’entraînement dirigé par Laurent Brégeon. Après avoir dominé les débats lors des sélections disputées sur First Class 8 dans des conditions variées et parfois musclées (25-30 nœuds le dernier jour), il a donc passé avec succès l’ultime entretien devant les élus du conseil général et les membres du centre d’entraînement.
Biarnès effectuera ses grands débuts lors de la Solo Concarneau en mai prochain : "Je vais réellement découvrir le large en solitaire", explique celui qui a dû s’entraîner seulement quatre fois en solo avant les sélections. Quant Figaro Bénéteau, il le connaît peu : "Hormis quelques convoyages avec Yann Eliès ou Nicolas Troussel… Autant je pense avoir une bonne expérience en équipage sur monotypes, autant je suis novice en solitaire".
 
Un an au moins…
Reste que pendant trois jours, il a démontré un réelle maîtrise du sujet, dominant Etienne Svilarich qui a pourtant dans son sillage deux "Solitaire Afflelou – Le Figaro" et une Route du Rhum : "Je suis content de moi parce que je pense avoir navigué proprement, même si je sais que je dois encore progresser dans les manœuvres. Je compte bien travailler tout cela".
Sur le circuit réputé exigeant du Figaro, Vincent entend ne pas brûler les étapes : "J’arrive avec humilité. Néanmoins, avec mon expérience, j’espère bien ne pas commettre les erreurs des débutants. Sur la Solitaire, je vise un podium au classement des bizuths".
Souvent engagé dans des projets en équipage et accaparé par son métier d’entraîneur, le skipper du Figaro "Côtes-d’Armor" se dit ravi d’avoir la chance de s’exprimer en solitaire : "Si je n’ai pas de résultat, je ne pourrais m’en prendre qu’à moi-même". Vincent Biarnès gardera la barre du Figaro pendant une saison. Peut-être plus si les résultats suivent…
 
Philippe Eliès
 

Son programme : Solo Concarneau; Solo Les Sables; Transmanche en double (qu’il disputera en solitaire); La Solitaire Afflelou Le Figaro; le Tour de Bretagne en double; la Route du Ponant (Solitaire) et le National Equipages.

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Bundock et Ashby champions du monde

Mondial F18 2007 Bundock Ashby
DR

Les deux duos français, Mourniac / Citeau et Besson / Jarlegan sont arrivés quelques secondes après le trio gagnant pour prendre la quatrième et cinquième place respectivement.  Excellent résultat pour les nantais, Billy Besson et Arnaud Jarlegan dans la septième, où ils ont mené dès le départ. Ils ont dû bagarrer dur contre Bundock et Ashby, mais ont réussi à garder à distance la menace australienne.  Les superbes conditions météorologiques avec un vent de 18 nœuds ont continué d’offrir un merveilleux spectacle aux spectateurs au cours de l’après-midi pour la huitième et neuvième course. Après leurs performances étonnantes depuis le début de ces championnats, aujourd’hui était une journée décevante pour les australiens, qui ont dû se contenter d’une troisième place dans la huitième derrière les néerlandais Booth et Nieuwenhis et les français Besson et Jarlegan. Ces derniers ont pris un excellent départ dans la neuvième pour mener à la première marque, mais grâce à une bonne stratégie, Booth et Nieuwenhis les ont dépassés à la deuxième marque. A partir de là, les néerlandais ont creusé l’écart sur les autres concurrents pour remporter une nette victoire devant Bundock et Ashby, suivis d’un groupe de bateaux dont celui de Besson et Jarlegan arrivé à la quatrième place.

De bonnes conditions également ce samedi avec un vent d’une quinzaine de nœuds pour cette journée particulièrement importante pour les deux duos en tête, Mitch Booth / Pim Nieuwenhis et Darren Bundock / Glenn Ashby. Lors de la dixième course, c’étaient cependant les deux français, Besson et Jarlegan, qui étaient les premiers à hisser leur spinnaker, avec les néerlandais laissés loin derrière à la première marque. Les australiens ont vite mis les français sous pression, mais ceux-ci ont bien résisté jusqu’à la dernière ligne droite, où encore une fois Bundock et Ashby ont pu ravir la première place. Quant aux néerlandais, presque oubliés jusque là, ils ont donné un coup d’accélérateur pour terminer troisième et ont pu prendre ainsi la tête du classement général. Lors de la onzième course du championnat, les australiens ont de nouveau montré tout leur talent pour mener du départ jusqu’à l’arrivée, ce qui leur a permis de reprendre la première place au général. Samedi après-midi, une vague a failli faire chavirer le bateau australien et Bundock et Ashby se sont retrouvés tous les deux à l’eau, mais ont pu rattraper le coup pour terminer deuxième derrière leurs adversaires néerlandais. Dans cette douzième course, trois équipes françaises se sont classées dans les dix premières avec notamment Besson / Jarlegan terminant à la quatrième place.

Pour la dernière journée ce dimanche, tous les yeux étaient rivés sur le duel entre les australiens et les néerlandais séparés au classement général par un seul point, mais c’étaient les nantais Besson et Jarlegan, qui allaient remporter la course devant Booth et Nieuwenhuis avec le pire résultat des championnats pour Bundock et Ashby terminant seulement à la septième place. Retour à la normale en quelque sorte pour la quatorzième avec encore une fois une course dominée par les champions australiens et les néerlandais avec cette fois-ci une victoire pour Booth et Nieuwenhuis. Les trois équipes françaises de Besson / Jarlegan, Souben / Bontemps et Mourniac / Citeau ont été regroupés dans l’ordre quatrième, cinquième et sixième. Tout allait donc être déterminé lors de la quinzième et dernière course et la bagarre a vite fait rage entre Bundock et Booth. Pour remporter le championnat le bateau australien n’avait qu’à empêcher le progrès des néerlandais et c’était justement la tactique choisie par Bundock. Les australiens n’avaient plus besoin de terminer la course une fois que les néerlandais ont été retenus à l’arrière de la flotte. La course a été remportée par les anglais Styles et Peel devant Mourniac et Citeau.

Classement général

1 Darren Bundock Glenn Ashby AUS

2 Mitch Booth Pim Nieuwenhuis NED

3 Billy Besson Arnaud Jarlegan FRA

6 Jean-Christophe Mourniac Franck Citeau FRA

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