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Les déchets ne se ramassent pas tout seuls !

Surfrider Foundation
Surfrider Foundation

Initiatives Océanes : les 23, 24 et 25 mars, organisez le nettoyage de votre plage préférée !

Pour la 12ème année, Surfrider Foundation, association dédiée à la protection et la mise en valeur de l’océan, des vagues et du littoral, organise son opération de nettoyages de plages : Initiatives Océanes. L’année dernière, près de 6400 personnes se sont réunies sur les côtes européennes et d’ailleurs…
 
Les Initiatives Océanes ne pourront se faire sans vous !
6 400 000 tonnes de déchets seraient encore déversées dans l’océan chaque année… Pour envoyer un signal fort à nos décideurs, il est primordial que nous nous mobilisions tous.

Organiser un nettoyage en local c’est prendre les choses en main :
rassembler sa famille et ses amis pour donner un coup de propre au littoral ; sensibiliser le public aux problèmes de pollution et… profiter de cet événement pour fêter le coup d’envoi du Printemps à la plage.

L’organisation d’un nettoyage est très simple.
L’équipe de Surfrider Foundation aide chaque organisateur à coordonner l’opération, assure le soutien logistique et fournit les outils de sensibilisation et de communication.

Alors… rendez-vous sur les plages !

Inscrivez-vous sur : www.initiativesoceanes.org

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TNZ la menace

Team New Zealand
DR

Kevin Shoebridge, le responsable sportif de l’équipe, a déclaré que ce séjour hivernal en Nouvelle-Zélande avait été profitable. “Nous sommes arrivés à la maison, nous avons mis à l’eau le second bateau, passé beaucoup de temps à faire des essais à Auckland, fait beaucoup de tests structurels et nous avons essayé de voir où nous en étions avec notre étalon NZL 84. Donc, ça s’est inscrit dans la continuité de notre travail de développement pour améliorer notre bateau, le gréement, les voiles, et l’équipage.

“Nous voulions revenir ici, et être prêts, sachant qu’il ne nous reste que peu de temps, avec le Valencia Louis Vuitton Act 13 qui démarre dans quelques semaines…Nous voulions arriver ici avec toute la partie développement derrière nous, où nous avons dû faire des choix importants, pour pouvoir nous concentrer sur les courses, et c’est là où nous en sommes aujourd’hui. ”

Grant Dalton, le directeur général de l’équipe, a annoncé que sa volonté était régater le plus possible dans le mois qui vient. “Nous voulons recommencer à régater. Nous avons fait beaucoup d’essais ; l’année dernière, nous avions fait des tests et pas assez de régates et quand les Louis Vuitton Acts sont arrivés, nous n’étions pas prêts. Nous étions contents de notre vitesse mais pas forcément de ce que nous faisions.

“Nous sommes maintenant en configuration de course. Les tests sont faits… nous sommes en mode compétition…nous voulons nous confronter à BMW ORACLE Racing, Luna Rossa, ou qui que ce soit. Nous n’avons pas peur d’aller nous mesurer aux autres, nous ne sommes pas dans un schéma où nous pensons qu’il est mauvais pour nous de montrer ce que nous avons. Ce serait naïf de croire qu’on est assez fort pour se passer des autres. Nous voulons apprendre des autres…”

Source ACM – Emirates Team New Zealand

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Cheminées Poujoulat se prépare pour la dernière étape

Bernard Stam Poujoulat Départ velux 5 oceans 2006
DR

«J’étais bien entendu affaibli physiquement après cette étape particulièrement longue. J’ai un programme de remise en forme et de récupération pas trop drastique mais assez sérieux quand même. La dernière étape à beau sembler courte, c’est une transatlantique, ce n’est pas anodin. Elle risque d’être sportive, au portant et pleine balle à cette époque. Le bonhomme et le bateau vont être sollicités. Cheminées Poujoulat est, quant à lui, contrôlé sous tous les angles. « Ici, c’est moins adapté qu’à Fremantle où il y avait un superbe port de plaisance. On s’organise différemment, du coup, le bateau ne sera ni mis au sec, ni démâté ».
Dans un premier temps, Bernard a fait le "tour" de Cheminées Poujoulat avec son équipe afin préciser les différents travaux et interventions qui seront à faire avant le départ. Le bateau a été rincé à l’eau douce et asséché. Le Solent et la trinquette ont été déposés et les cirés sont partis en réfaction dans le Montana. Les voiles (code 0, petit Gennaker et Spi) ont été envoyées de Norfolk vers Brest chez Incidences. Le mât va être inspecté (chariot de grand-voile).
Lundi, Bernard regagne la France pour s’occuper de la suite de son projet et notamment de Cheminées Poujoulat 2 qui est en chantier à Caen. « Je ne vais pas rester attendre les autres concurrents à Norfolk, ils sont trop loin. Mon équipe ici va continuer la remise au top du bateau et je vais aller retrouver mes filles et Catherine une quinzaine de jours et voir mon nouveau bateau. C’est motivant et intéressant de changer de monture, je ne sais pas si je vais me sentir aussi bien avec celui là, qu’avec celui que je vais quitter. Cheminées Poujoulat 1 et moi on a une histoire commune, c’est mon pote et j’espère que nous allons bien finir cette course tous les deux. »

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Jérémie Beyou embarque Sidney Gavignet

Sidney Gavignet
DR

Questions à Jérémie Beyou

Comment as-tu connu Sidney Gavignet ?
J’ai entendu parler de lui depuis longtemps, en Tornado et sur le Maxi La Poste. Puis je l’ai rencontré sur le circuit Figaro en 2000 alors que nous courions l’un contre l’autre. Nous n’avons jamais navigué ensemble mais j’ai apprécié de le rencontrer et de discuter avec lui à l’arrivée d’une Transat AG2R. Nous avions bien accroché.

Pourquoi Sidney Gavignet sur ce Tour du Monde en double ?
Nous n’avons jamais navigué ensemble ! Mais Sidney connaît bien la navigation en équipage et en solitaire, il a l’expérience de la navigation olympique et il a fait plusieurs tours du monde en équipage à très haut niveau, dont un gagnant de surcroît. Durant la dernière Volvo Ocean Race, nous avons souvent communiqué ensemble. Moi j’étais captivé par leur course, lui était intéressé par notre projet 60′ DELTA DORE qui était en construction. Quand la Barcelona World Race a été officialisée, il a fait acte de candidature auprès de moi. Je l’ai notamment choisi parce qu’il venait de conclure un projet gagnant dans l’esprit de la victoire. Il est dans cet état d’esprit, qui consiste à tout mettre en oeuvre pour gagner, ça transparaît dans tout ce qu’il fait !

Comment Sidney va t’il s’investir dans le projet DELTA DORE ?
Depuis quelques jours, il est déjà bien investi, il a pris des dossiers en mains. Il s’imbibe du bateau, de sa genèse, des choix que nous avons fait, des intervenants. Il a pris en charge tous les aspects liés à la performance : les polaires, les voiles, les réglages, les aspects théoriques. Il nous a déjà fait part de son avis extérieur sur ces sujets.
Durant les entraînements, il repèrera et étudiera tous les petits détails qui ne sont pas parfaits. Sidney a réellement envie de s’exprimer sur les choix, il arrive avec son expérience et une prérogative, une méthode de travail rigoureuse et pragmatique qui est assez neuve pour cette classe de bateaux.

Comment appréhendes-tu de courir deux Tours du Monde en un an ?
Je suis conscient de tous les paramètres annexes aux paramètres sportifs et techniques. C’est beaucoup de temps et d’énergie, cela demande un engagement extrêmement important, personnel et familial. Sur le plan sportif comme sur le plan technique, c’est une préparation idéale au Vendée Globe. Je serai passé dans le Sud, car on a beau avoir des données, s’entraîner au large de la Bretagne, ça n’a rien à voir, j’aurai vécu le Sud.
Avec Sidney, nous avons déjà programmé des préparations météo avec Pierre Lasnier et Finistère Course au Large. Dans l’équipe DELTA DORE aujourd’hui, chacun pense et travaille pour la Barcelona World Race, depuis déjà 2 mois, il en reste encore plus de huit …

Questions à Sidney Gavignet

Pourquoi as-tu envie de te lancer dans ce Tour du Monde en double ?
A long terme, mon projet personnel est d’acquérir un monocoque 60′. Courir avec Jérémie Beyou, c’est un moyen optimum et parfait. Il est très bon, c’est un chouette gars. Quant au bateau, il sera l’un des meilleurs, voire le meilleur, prêt pour gagner. Cette course, elle est à courir absolument, un tour du monde en double avant de faire du solo, que rêver de mieux ? Et si je ne fais pas de solo ensuite, cela aura été une course passionnante et très belle.

Quelle est ta première impression au contact de l’équipe DELTA DORE ?
J’ai eu un très bon contact avec eux dès la première fois. J’ai trouvé des gens chez DELTA DORE qui vont de l’avant, qui sont proches de leur projet. Cela fait plaisir, on se sent soutenu. Quand on navigue, on a besoin que le sponsor soit le premier des supporters et c’est le cas. Quant à l’équipe je connaissais un peu Bruno Béhuret et Gilles Chiorri, je suis très content de les retrouver. Gilles est précieux dans ce rôle et est déterminant. Quant aux plus jeunes, ils sont compétents, c’est un plaisir.
Le fait que DELTA DORE recherche un co-partenaire ne peut que me motiver et m’aider dans ma recherche de partenaire personnel à terme. Nous pouvons mener une recherche commune.

Un Tour du Monde en double après un Tour du Monde en équipage, c’est complémentaire ?
J’ai appris beaucoup en étant intégré dans des équipes aux moyens énormes qui permettent d’aller très loin dans la perfection. En France, l’échelle est moindre.  DELTA DORE est une petite équipe où chacun est plus polyvalent, c’est plus valorisant de prendre part à tout, de pouvoir donner son point de vue facilement. C’est plus riche sur le plan personnel.

Tu reviens dans une équipe française, n’as-tu pas trop d’appréhension après le pragmatisme anglo-saxon ?
Entre deux Volvo Ocean Race, j’ai peu navigué en France, j’y ai d’ailleurs l’étiquette d’anglo-saxon. Dans l’équipe DELTA DORE, j’ai ce profil. Il va falloir que je m’adapte à l’échelle du projet, mais l’équipe a un état d’esprit très proche du mien. Le bateau est optimisé pour être fiable avant toute chose. C’est un choix intelligent pour un nouveau skipper et dont le programme est suspendu à une possible casse.

Pourquoi Jérémie Beyou ?
Nous nous connaissons pour avoir été adversaires sur le circuit Figaro. Il est l’un de ceux contre lesquels j’ai eu plaisir à me battre, avec beaucoup de respect. Le feeling est très bon entre nous et depuis mon arrivée dans l’équipe DELTA DORE, tout ne fait que le confirmer.

Programme 2007 de DELTA DORE
Mars : Mise à l’eau
Avril – mai : Entraînements, mise au point, relations publiques
3 juin : CALAIS ROUND BRITAIN RACE. en équipage
9 août : COURSE DU FASTNET en double
Août : Qualification en double
Sept – octobre : Préparation du monocoque DELTA DORE
11 novembre : Départ de la Barcelona World Race

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Laurent Voulzy, ému !

Laurent Voulzy
DR

« Moi j’ai un petit bateau, je mets ma petite voile mais lorsque je ne vois plus la côte j’ai peur. Je les salue car je me dis que je ne pourrais jamais le faire », confie-t-il avec humilité dans un éclat de rire. C’est pourtant sa chanson célèbre, composée il y a plus de 20 ans avec la complicité de son ami Alain Souchon, qui est à l’origine de cette transat. « Amoureux de la mer mais piètre marin », selon ses propres termes, il est heureux de baigner quelques instants dans cette ambiance mouillée-salée, fut-ce à bord d’une péniche sur la Seine.

Pas un hasard

Le rêve de cet auteur-compositeur devient une réalité pour 28 navigateurs : « Quand on crée une chanson, on ne sait pas quelle sera sa destinée, quel accueil elle recevra du public. Quand j’ai gratté ma guitare, je n’imaginais pas qu’un jour des marins, des financiers, des politiques seraient réunis par ce texte. C’est très émouvant, je me sens honoré ». Et il raconte avec émotion la naissance de ce tube que nous avons tous fredonné : « J’avais écrit cette chanson sur un coin de table. Je l’ai fait écouter à Alain Souchon et le premier mot qu’il a écrit était Belle-Ile. Spontanément en face, j’ai mis celui de Marie-Galante ». Il y avait une logique dans cette réplique : « C’était l’île où ma mère avait vécu », précise-t-il. Si Voulzy est né à Paris, du sang guadeloupéen coule dans ses veines. La cuisine familiale, la musique antillaise, les escales chaleureuses des amis de là-bas ont entretenu son amour de cette île qu’il n’a découverte qu’à l’âge de 35 ans. Quant à Belle-Ile, il y avait fait des incursions. Chaque été, il venait passer ses vacances dans la presqu’île de Quiberon. Et l’escapade dans cette île en face était un rite incontournable qui a imprimé de jolis souvenirs.

Un trait d’union

La naissance de cette chanson mythique n’est donc pas un hasard. Aujourd’hui, elle réunit des marins, des îliens qui s’ignoraient lorsque la chanson est née. Avec l’humour qu’on lui connaît, le président de la Région Guadeloupe, Victorin Lurel, a confié que les premières fois où il a entendu cette chanson, il pensait « que Voulzy qualifiait Marie-Galante de belle île en mer ». Ce qui n’est d’ailleurs pas usurpé. Comme bien des Marie-Galantais, il n’avait pas percuté sur la référence à cette île bretonne. A l’occasion de cette transat, ces deux joyaux vont se jumeler officiellement. Chaque concurrent emportera un bidon où les Bellilois glisseront des petits cadeaux destinés à leurs cousins Marie-Galantais. « Belle-Ile-en-Mer – Marie-Galante, c’est l’eau qui vous sépare… » Le Trophée BPE va les réunir pour toujours.

G.D.

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Un calendrier 2007 chargé pour Franck Cammas

Première navigation commune Groupama 2 Groupama 3 Groix
DR

Groupama 3, première campagne de records
Remis à l’eau en début de semaine, après plus de trois mois de chantier, Groupama 3 est aujourd’hui fin prêt pour sa première année de tentatives de records. 2007, cinq records au programme :
Après une semaine de navigations tests au large de leur base lorientaise, Franck et ses neufs membres d’équipage mettront cap rapidement sur l’Espagne. En effet, la Route de la découverte (Cadix – San Salvador) servira de galop d’essai au dernier-né de la G Class. Dès le 26 mars, l’équipage de Groupama 3 sera en stand by à Cadix pour sa première traversée. Puis, fin mai début juin, le maxi trimaran « élira domicile » en Floride pour tenter le record entre Miami et New York.
Dans la foulée, Franck et ses hommes s’attaqueront à l’un des records les plus disputés : la Traversée de l’Atlantique Nord (New York – Cap Lizard). De retour en Europe fin juillet, le maxi trimaran sera mis à terre pour une courte période estivale avant de retrouver son élément et de débuter sa préparation au Trophée Jules Verne. Car dès le 3 décembre, le team Groupama sera en stand by pour son premier Tour du Monde.

Enfin, tout au long de l’année, Franck et son équipage mettront à profit leurs tentatives sur les quatre records cités ci-dessus pour tenter d’en inscrire un cinquième à leur compteur : celui de la plus grande distance parcourue en 24 heures. Depuis juillet 2006, cette référence a été établie par Bruno Peyron avec une distance de 766, 8 milles.

Groupama 2, objectif n°1 Transat Jacques Vabre
Stève Ravussin, de retour aux côtés de Franck Cammas
Chef de quart et barreur à bord de Groupama 3, le suisse Stève Ravussin a également été choisi par Franck Cammas pour l’accompagner en novembre prochain sur la Transat Jacques Vabre, l’épreuve phare de la saison Orma 2007. Pour les deux hommes, c’est l’heure des retrouvailles. La première participation des deux complices remonte à 1999, alors que l’arrivée de cette transat couleur café était encore jugée à Cartagène (Colombie). Franck et Stève s’étaient classés 2ème derrière Loïck Peyron et Franck Proffit. Deux ans plus tard, en 2001, ils repartent ensemble direction Salvador de Bahia (Brésil). La victoire est au bout de cette nouvelle destination. Soudés à terre, complémentaires en mer … Franck et Stève formeront l’un des duos très attendus de cette 8ème édition de la Transat Jacques Vabre.

Mais avant ce grand rendez-vous de fin d’année, les multicoques disputeront une course au large en équipage au départ de Lorient en mai. La saison ORMA se poursuivra par le Trophée SNSM, puis par le Défi de Douarnenez et, en août, la Rolex Fastnet Race au départ de Cowes (Angleterre).

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Nouveau lancement chez Sunreef.

Sunreef Y
Sunreef Y

Un nouveau design énergétique :
"L’intérieur percutant et moderne avec des couleurs originales soigneusement choisies, prouve que notre équipe des designers a fait un excellent travail. Guapa est le premier catamaran à réprésenter le style minimaliste et extravagant en même temps, en combinant les couleurs vives avec les formes chics mais austères. Cet inhabituel mélange des couleurs est basé sur trois accents principaux : vert vif, sombre Wenge et doux érable.
Ce décor harmonieux est completé par des élements couleur argent, un canapé gris sombre dans le carré, ainsi que par quelques éléments de la structure en acier inoxydable. A part cet arrangement des couleurs artistique, le choix des matériels est fondamental pour la beauté du bateau. Skaï Struzzo, bois de Wenge verni et bois d’érable garantissent le standard, le confort et la splendeur suprêmes. Les grandes miroirs panoramiques renforcent l’effet de l’espace et offrent une nouvelle perspective du design intérieur.
Cependant, l’intérieur de Guapa n’est pas le seul endroit à témoigner de son originalité.
A l’extérieur, le plancher supplémentaire liant deux coques à l’arrière du bateau est peint d’un vert turquoise, les coques sont également de cette couleur."

Emmenagement confortable :
"Sunreef 62′ Guapa en version semi-propriétaire est conçu pour le confort de 8 personnes.
Il possède trois cabines doubles avec une salle de bains et douche chacune, la cabine propriétaire, plus spacieuse, avec une salle de bains et la douche séparée, un bureau et un canapé.
Toutes les cabines et le carré sont équipés de Hi-Fi, de la télévision LCD et de lecteur DVD.
De plus, toutes les pièces possèdent la climatisation."

Carré :
"Poste de commande avec la table à cartes, le tableau électrique et tous les appareils de navigation.
Siège tournant
Grande banquette en U avec une table en verre
Trois chaises, canapé, équipes, placards et casiers,
Equipement Hi-Fi et vidéo de haute qualité – Bang & Olufsen"

Cuisine :
"Cuisinière électrique
Plan de travail large
Grand frigo et réfrigérateur de 221 litres
Machine à vaisselle
Four à micro-ondes en acier inoxydable
Four électrique"

Fly impressionnant
"Un des points les plus forts de la marque Sunreef est un Fly spacieux et impressionnant. Il comprend un poste de commande avec un siège de capitaine, une banquette en U avec une table de teck, des grandes matelas pour bronzer et, ce qui compte le plus, il permet d’admirer le panorama magnifique qui s’étend autour du bateau."

Caractéristiques techniques :
Construction                    Composite
Longeur                            18,9 m
Largeur maxi                   9,2 m
Tirant d’eau                     1,6m
Moteurs                            2 x 125 HP
Réservoir de gasoil          2 x 700 l
Réservoir d’eau douce    2 x 390 l
Déssalinisateur                220 l
Vitesse de croisière        10 neuds
Hauteur du mât               24 m
Grande voile                    110 m2
Génois                               59 m2
Solent                                30 m2
Architecte                         Sunreef Yachts
Design intérieur              Sunreef Yachts

A propos de Sunreef Yachts :
Entreprise créée en 2002 par Francis Lapp, plus de 200 personnes, 6 bateaux construits jusqu’à présent et 9 commandes signés pour 2006
Construction de yachts de luxe (sur mesure et standard)
Gamme de bateaux de 60 à plus de 150 pieds
Chantier basé en Pologne, à Gdansk
Caractéristiques : regroupement de tous les ateliers et bureaux d’études au même endroit (pas de sous-traitants), très haute qualité de fabrication
Représentants en Italie, en Espagne, aux Etats-Unis

www.sunreef-yachts.com

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Tacticien de choc pour United Team Germany

United Internet Team Germany
DR

“Je suis très content de voir David à ce poste. Son expérience va aider notre équipe à être plus forte dans les prochaines régates” a déclaré Jesper Bank. Et content, on le serait à moins, dans la mesure où la dernière recrue en date compte à son palmarès une victoire dans la Cup en 1992 !

Dellenbaugh est entré dans l’America’s Cup en 1987 en tant que tacticien du challenger déçu Heart of America. En 1992, il était barreur de départ et tacticien à bord du defender America3, qui a conservé la Coupe.

Il acquit sa notoriété comme “demoiselle barbue” à bord de Might Mary en 1995. Dellenbaugh était en effet le seul homme au sein de l’équipage féminin de Bill Koch, candidat à la défense.

L’expérience de Dellenbaugh devrait être précieuse pour l’équipage allemand avec lequel il a déjà navigué ponctuellement. Il est désormais installé à Valencia afin d’intégrer le groupe à plein temps.

Quant au précédent tacticien du syndicat germanique, Henrik Blakskjær, le site internet de l’équipe nous apprend qu’il officie désormais au poste de soutier (pitman) ! Un peu le parcours d’un inspecteur relégué à la circulation – les amateurs de polar  saisiront l’analogie.

Source ACM – United Team Germany

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Flotte internationale au Mini Pavois

Mini Pavois 2005 Douguet
DR

16 étrangers au départ !
Classe la plus internationale qu’il soit, le Mini Pavois sera représentatif de cette réalité ! En effet, ils seront 16 étrangers représentant 10 nations au départ soit 3 américains, 3 anglais, 2 espagnols, 2 suisses, 1 australien, 1 portugais, 1 estonien, 1 hollandais, 1 allemand et 1 belge. Parmi ceux-ci quelques noms connus dans l’histoire de la Transat 6,50 Charente-Maritime/Bahia comme Juan Carlos Maris Sanchi (403 – Esp) sur Spasmos, Jacques Valente (520 – Sui) sur Telekurs Twing et Hervé Favre (303 – Sui) qui a également à son palmarès une saison Figaro en 2004. Parmi les « nouveaux venus », à noter l’Australien Tom Braidwood (574 – Aus) qui a à son palmarès une participation à la dernière Volvo Ocean Race sur Ericsson et un grand nombre de navigation à bord de maxis comme Alfa Roméo de Neville Crichton ; l’Américain Clayton Burkhalter (575 – USA) qui a longtemps travaillé aux côtés de Rod Johnstone, l’architecte connu et reconnu des chantiers J-Boats. Clay affiche plus de 95 000 milles en navigation autour du monde ! À surveiller également le Portugais Francisco Lobato (607 – Por) en bateaux de série qui compte pas moins de 15 participations à divers championnats d’Europe et du Monde de Laser dont une médaille de bronze obtenu lors d’un championnat d’Europe. Le jeune Portugais a intégré également l’équipe des espoirs olympiques et préolympiques Portugais pour les J.O. d’Athènes. L’an passé, il a brillé lors de la course Les Sables – Les Açores – Les Sables en remportant la première étape en bateaux de série et en se classant deuxième au Général Série.

23 prototypes pour 37 bateaux de série
37 bateaux de série seront sur la ligne de départ ce mercredi 25 avril 2007. À noter parmi les hommes à suivre de nombreux coureurs ayant participé à la dernière édition de la Transat 6,50 Charente-Maritime / Bahia comme Sylvain Pontu (616 – Fra) qui avait terminé 5e de la dernière édition sur un Pogo 2 et qui revient ici avec un plan Manuard – Tip Top 2006, Nicolas Bunoust (488 – Fra), Mathieu Sannié (487 – Fra), ou encore Arezki Boudaoud (389 – Fra). À suivre également en série, Thomas Bonnier (485 – Fra) 5e au général et Elodie Riou (460 – Fra) 7e au général Série de la dernière édition de Les Sables – Les Açores- Les Sables. À noter également la participation d’Erwan Dubois (502 – Fra) sur un Dingo de série qui possède une grande expérience en Classe IRC (vainqueur de la Rolex Commodore’s Cup), en Open 7,50, en Figaro et sur le Tour de France à la Voile.

Qui succédera à Corentin Douguet ?
Côté prototypes, la bagarre sera intéressante avec un grand favori sur cette 4e édition : Yves Le Blevec (624 – Fra) sur son plan Lombard 2006, vainqueur de la dernière Mini Barcelona en octobre 2006. Un prototype nouvelle génération fiabilisé et manifestement « bien né ». Il faudra également suivre les quatre prototypes 2007 en phase de qualification pour la Transat 6,50 Charente-Maritime / Bahia 2007. On trouve Erwan Le Roux, Boat Captain de Gitana X (4e de la dernière Transat Jacques Vabre) qui veut avec son plan Finot-Conq 2007 (621 – Fra) « marcher dans les pas des précédents vainqueurs, Armel Tripon et Corentin Douguet ». Soulignons qu’Erwan a déjà un palmarès en Mini 6,50 puisqu’en 2004, il a participé à trois courses, le Mini Fastnet, la Minicup et le Challenge Mini, et qu’il les a toutes gagnées ! Son plan Finot-Conq n’est autre que le sistership du proto du Belge Peter Laureyssens, vainqueur de la Transat 6,50 Charente-Maritime / Bahia 2005 en bateaux de série. Isabelle Joschke (14e de la dernière Transat 6,50 en prototypes) courra également sur le même plan Finot-Conq et possède cette année un bateau au potentiel nettement plus élevé qu’il y a deux ans. De son côté, Quentin Monegier (26e de la dernière édition de la Transat 6,50 en bateaux de série) se présente également avec un proto 2007 mais, sur plans Rolland. Enfin, à souligner, la participation de l’architecte/constructeur/skipper Samuel Manuard sur un plan 2007 sorti bien évidemment de son carton à dessins, fruit de son expérience. Rappelons que Sam est le père de nombre bateaux dont le bateau vainqueur  de la dernière édition de la Transat 6,50 et qu’il avait manqué de remporter l’édition 2003 sans un malheureux démâtage à 80 milles de l’arrivée… Un retour très attendu !

Nul doute que le Mini Pavois 2007 sera intéressant à suivre pour bien des points de vue : phase de qualification pour beaucoup, première confrontation de l’année entre les « anciens » et les « nouveaux » sur le circuit Classe Mini et surtout face-à-face entre les prototypes fiabilisés d’avant 2006, ceux de 2006 et les nouveaux-nés 2007. Passionnant !

Source Grand Pavois – GPO

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28 marins sur un air connu…

Jeanne Grégoire - Banque Populaire
DR

Si cette transat trait d’union entre deux perles de l’Atlantique est inspirée par une chanson,  ce ne sera pas une simple ritournelle ou une gentille croisière.  " Il y a quelques jours j’étais en Bretagne et la météo était musclée. Cela peut être le cas fin Mars. Ce sera une transat en solitaire  et elle sera engagée " rappelle avec réalisme Jean Maurel le directeur de course. Les marins qui préparent ce rendez – vous avec soin savent bien que la bataille sera rude au long de ces 3436 milles où  il y aura des coups à jouer.  Mais le parcours de cette transat les a séduits et eux aussi ont déployé beaucoup d’énergie pour être sur la ligne.  Certains, comme Erwan Tabarly ou Eric Péron ne sont pas encore au vent de la bouée financièrement  mais espèrent être de la fête.
 
Un cocktail varié
Mais avec 27 au 28 solitaires attendus sur la ligne , le plateau est de belle qualité.  Le cocktail est très varié.  Il mélange des baroudeurs du large comme Bertrand de Broc, des ténors de la classe Gildas Morvan, Charles Caudrelier , Nicolas Troussel ou de jeunes talents Gildas Mahé , Thomas Rouxel  et d’autres. Trois femmes Jeanne Grégoire, Liz Wardley , Servane Escoffier vont aussi mettre leur grain de sel dans l’histoire. On  y trouve aussi de purs  amateurs comme Daniel Dupont ( 52 ans) qui a disputé la Withbread en 1981 et s’offre un défi sur l’Atlantique ou encore le lorientais Yannig Livory qui était déjà de l’aventure à Cuba. Pour que la fête soit complète, il y aura un bateau  Marie Galante mené par le  guadeloupéen Victor Jean Noël et un autre sous le pavillon de Belle- Ile skippé par le lorientais Christian Bos.
 
Tous les éléments sont réunis pour que cette quatrième édition ait du souffle.  La précédente avait réuni  douze pionniers sur une longue  route de St Nazaire à Cuba : "  Un parcours que nous ne souhaitions pas rééditer  mais qui avait validé le concept de transat en solitaire en Figaro comme une vraie belle idée " précise Pierre Bojic. Le nouveau parcours a dopé les effectifs de cette transat, première épreuve du championnat de France  solitaire.
 
Gilbert Dréan

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