Le point sur les AC World Series dans le nouveau Course au Large

Course Au Large N 50 - AC45
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Les bateaux vont vite, naviguent jusqu’à 30 nœuds de vent, offrent des régates courtes, intenses et visuelles : les promesses sont tenues question show chaud. Sur Internet, devant les courses diffusées en direct à grand renfort de moyens télévisuels et graphiques ou sur place, devant un plan d’eau situé proche des spectateurs (notamment à Plymouth), les fans en ont pris plein les mirettes. Sur l’eau, les marins y trouvent aussi leur compte et ce sont eux aujourd’hui les meilleurs promoteurs du circuit. "C’est bluffant. Nous vivons une époque hyper excitante pour la voile avec du renouveau, de nouvelles courbes d’apprentissage. Sportivement, intellectuellement, tout le monde s’éclate" s’enthousiasme Julien Cressant, N°1 d’Artemis.

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Loïck Peyron, barreur et skipper d’Energy Team : "Je suis fasciné par l’ensemble du jeu. Il y a un vrai esprit de start-up dans ces nouveaux formats. C’est une révolution dans tous les sens, il y a une atmosphère de partage entre les équipes, d’élan commun. C’est du lourd, du jamais vu, cela va beaucoup plus loin que ce que l’on pouvait imaginer". Et il y a du contact et des rebondissements, bien plus qu’à l’époque des grands Class America. "C’est étonnant parce qu’il y a plein de passing lines" explique Philippe Presti, le coach français des équipages d’Oracle. "Il y a des changements de leaders quasiment à chaque régate. Il suffit d’une petite erreur de manœuvre ou de stratégie pour que les leaderships changent." (…)

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