Soleil éclatant, ciel bleu et vent de force 7 ont permis à Charles Caudrelier et Liz Wardley de conclure en beauté la première étape du Tour du monde de Reconnaissance de la SolOcéane, après avoir quitté Caen (Basse-Normandie) le 16 décembre et au terme de deux escales techniques : à Lisbonne (Portugal), puis à Cape Town (Afrique du Sud). Un an après l’annonce de l’engagement de Veolia Propreté dans la SolOcéane, le monotype Veolia Oceans® numéro un de la série boucle donc ce premier parcours test de plus de 14 000 milles nautiques (26 000 km) en 54 jours de navigation.
Nous avons le sentiment du devoir accompli", déclarait Charles Caudrelier à son arrivée. "Nous avons démontré que le monotype Veolia Oceans® est vraiment sûr et à l’aise dans le Grand Sud. Jamais un tel test n’a été effectué avant de lancer une série de voiliers de course océanique. C’est très important de le faire et je suis fier et heureux d’y participer. Maintenant nous allons tirer les enseignements de cette navigation et effectuer les modifications nécessaires pour la série".
Le lien entre la Basse-Normandie et la Nouvelle-Zélande vient d’être concrètement réalisé par Bostik et Kerry Prendergast, Maire de Wellington, a exprimé les motivations de la capitale néo-zélandaise pour accueillir cette compétition, à l’occasion d’une sympathique réception de Charles Caudrelier et de Liz Wardley. "Nous sommes ravis d’avoir été choisis comme ville d’arrivée de la première étape de la SolOcéane, car cette course associe la compétition à égalité de chances, le courage des marins et la volonté de mieux appréhender les océans de l’Hémisphère Sud grâce à la Campagne OceanoScientific Veolia®. Wellington est une ville moderne qui ne cesse de se développer et qui est tournée vers le monde entier. L’aspect international de la SolOcéane est donc important pour Wellington et nous serons très heureux d’y accueillir des marins de tous les horizons."
Yvan Griboval, Président de SailingOne, a répondu : " L’escale de la SolOcéane est légitime dans cette capitale qui est aussi celle des Quarantièmes Rugissants. Pour les marins c’est une référence qui compte. Nous sommes fiers d’être à Wellington aujourd’hui et pour de longues années, j’espère."