La vitesse du vent oscille fortement avec les grains et le relief. François Gabart doit composer avec son trimaran à 3 pattes comme il le peut. Pour l’instant Francis Joyon est à 13 mn et ne semble pas revenir sur lui comme une fusée. Il a été obligé de s’éloigner un peu de la côte pour suivre la même trajectoire que Francois. Avec ces bateaux, les écarts peuvent se réduire très vite. L’arrivée bord à bord dont parlait François Gabart n’a jamais été aussi proche de se réaliser.
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