Toi qui voulais de la nouveauté, la Volvo tombe à pic !
« Je pouvais difficilement rêver meilleur break. C’est enthousiasmant car différent. J’avais besoin de prendre du recul après sept participations à la Solitaire du Figaro. Je voulais faire la pause avant l’overdose. Mais mon idée n’était pas de rester au coin du feu ou sur ma terrasse à attendre que ça se passe. Je souhaitais naviguer à bord d’autres supports, multiplier les expériences, aller plus haut, plus loin. Je n’imaginais pas un seul instant à la Volvo Ocean Race, je pensais davantage aux Class40 et aux 60 pieds l’IMOCA. »
L’impensable s’est donc produit. Comment as-tu intégré le team espagnol ?
« Je connais le skipper Iker Martinez depuis sa préparation pour la Barcelona World Race 2010-11. Il était venu s’entraîner en Figaro à Port-La-Forêt et nous avions bien sympathisé. Puis on s’est croisé par la suite en J80 et en 60 pieds. Il m’a contacté en mai dernier, à l’issue de la Transat AG2R. Je sais que Michel Desjoyeaux a aussi poussé à mon recrutement. J’ai accepté la proposition sans hésiter. Ayant décidé de ne pas participer à la Solitaire, j’étais disponible tout de suite. (…)
LIRE LA SUITE DANS LE NOUVEAU COURSE AU LARGE
A découvrir également dans ce numéro 64
Ultimes : le décryptage
IMOCA : Des foils aussi sur le Vendée
Volvo Ocean Race : Ces dix Frenchies de la Volvo
Coupe de l’America : Comment Team France marche vers la Cup
Route du Rhum : L’instructif avis du tenant
Labo : Tous foils dingues !
