«Je retrouve avec plaisir les habitués, qui ne semblent d’ailleurs pas plus fatigués à mesure que le temps passe, c’est bon signe ! » La phrase est de Jean-Paul Mouren (Marseille Entreprises), fidèle d’entre les fidèles qui estime n’avoir « probablement raté qu’une seule étape du circuit en Méditerranée depuis 1990. » Date de l’épreuve inaugurale, dont il fut le vainqueur ! « J’ai fait partie de la première génération, lors de la création de cet événement, qui a pris son envol calmement et qui aujourd’hui a su conserver son esprit original. L’ambiance est strictement la même, les coureurs sont toujours aussi disponibles… Maintenant, la communication autour de l’épreuve a pris une autre dimension, ce qui permet de la rendre visible à un plus grand nombre sans toutefois nuire à la convivialité : c’est un très bon ratio plaisir / compétition / média ! Chaque ville étape fait ce qu’il faut pour créer une bonne animation, en impliquant les volontés locales la plupart du temps… Le prologue qui permet d’embarquer des enfants est à ce titre un bon exemple de ce que tous essaient de faire : l’idée n’est pas de devenir un cirque sans spectateurs ! La Generali Solo nous permet de ‘montrer nos voiles’, de nous rendre accessibles. Et comme ville de départ, La Grande Motte constitue un scénario idéal. Tous les bateaux sont parfaitement positionnés autour de la capitainerie… et j’ai une fois de plus le plaisir de retrouver mes vieux camarades anciens combattants, toujours aussi vaillants ! » Mais outre les multi-récidivistes, la Generali Solo 2005 compte également six bizuths, dont deux étrangers (Allemand, Italien), qui attestent de l’attrait que le circuit exerce hors des frontières de l’hexagone. Un bon signe !
Derniers préparatifs pour la Generali Solo
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