« Ce cyclone DENNIS est comme une personne, même plus, une présence supérieure, je crois en Dame Nature qui décide de tout et là c’est vraiment ça, si le cyclone se décale de 50 milles au Nord, je suis mal » explique le skipper après une nuit qui restera gravée dans sa mémoire « des séries d’orages avec de violents éclairs. Quand ça approche, tu sens le bateau vibrer différemment et d’un coup ça part, comme une hystérie, le bateau s’emballe et à toi de bien réagir car tu peux y laisser des plumes. » Thomas doit maintenant gérer la navigation dans le chapelet d’îles des Bahamas, un nouvel obstacle car « en plus de l’effet Venturi entre chaque île, c’est tout l’Atlantique qui butte contre une masse rocheuse, la mer monte et grossit d’un seul coup. »
THOMAS COVILLE ATTENDU CE SOIR A SAN SALVADOR
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