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Globe40. La 2e édition partira de Cadix !

Le parcours de la 2e édition de la Globe 40 est désormais connu avec l’annonce de la ville de départ en septembre 2025. Ce sera Cadix la plus ancienne ville d’occident avec ses 3000 ans d’histoire qui offre un patrimoine historique et culturel exceptionnel.

LORIENT AGGLOMÉRATION avec le soutien de LORIENT GRAND LARGE accueillera à nouveau le prologue de l’épreuve fin août 2025. Base de nombreuses équipes en Class40, Lorient offre le cadre parfait pour cette première rencontre de tous les concurrents avec tout le support technique nécessaire. Un parcours de 900 milles conduira ensuite vers les terres andalouses, avec comme nouveauté l’affectation d’un petit coefficient .L’événement sera présent à Cadix sur 10 jours avec un programme qui fera l’objet d’une communication détaillée.

Descente dans les alizés vers le Cap-Vert
Après un départ de Cadiz qui devrait être le 14 septembre 2025 ce sont 1500 milles qui attendent les skippers en route vers l’archipel des Iles du Cap-Vert. Une étape dans l’alizé qui devrait prendre une semaine. Mindelo a été un moment fort de la 1ére édition, une escale particulièrement appréciée par tous avec la beauté sauvage de ces iles volcaniques et l’accueil unique du peuple Cap-Verdien, ce cher “Petit Pays” de Césaria Evora, si authentique. Les Class40 seront amarrés au port de Mindelo pour un véritable échange avec le public.

Premier grand parcours océanique pour rallier La Reunion.
7050 milles c’est la distance à “avaler” dans ce premier grand-rendez océanique, avec une longue descente de l’Atlantique Sud, le contournement de l’anticyclone de Saint-Helene, l’épreuve du passage du Cap Bonne Espérance, le premier des 3 caps mythiques, l’arrivée en Océan indien et la remontée vers l’Ile de la Reunion. L’agglomération des Communes de l’Ouest ( TCO) accueillera l’épreuve au port de la Pointe des Galets, aprés 30 jours de mer environ pour les premiers, tout début novembre. Recevant pour la première fois une grande épreuve de course au large le territoire veut à la fois mettre en avant ses attraits nautiques, 22 km de lagon, et son développement dans la plaisance, tout en offrant cette nature sauvage – l’ile Intense – des cirques montagneux comme le plus connu de Mafate… randonnée obligatoire pour les marins et leurs familles au paradis du trail.

Plongée vers le sud de l’Océan Indien et la baie de Sydney.
Dans la 3ème semaine de novembre 2025 les équipes prendront la route du grand sud vers le continent australien ; 5100 milles à parcourir, et après avoir quitté l’ile de la Reunion une descente vers les quarantièmes en bordure des Terres Australes et Antarctiques Françaises; puis une remontée vers la Grande Baie Australienne qui peut réserver bien des suprises avant de franchir le redouté Détroit de Baas vers Sydney. Une ligne d’arrivée au milieu de la baie sans nulle doute marquante dans ce temple de la voile ; soit 25 jours de mer environ pour rejoindre la destination vers mi-décembre. Il ne restera plus qu’à profiter de tous ces docks réaménagés, d’opérer le contrôle technique à mi-parcours des Class40, d’assister en spectateur au départ de Sydney Hobart avant de fêter le nouvel an à l’autre bout de la planète sur fond de feu d’artifice éclairant l’Opéra de Sydney et Harbour Bridge.

Une transpacifique vers la destination mythique de Valparaiso
Les vapeurs du nouvel an devront se dissiper rapidement pour un départ vers le Chili dans les tous premiers jours de janvier. Au programme une transpacifique de 6400 milles, 2ème plus grande étape, une trentaine de jours de mer pour une arrivée fin janvier, et un parcours à découvrir pour les Class40 qui en 2022 étaient d’abord passés par la Polynésie avant de redescendre vers le Horn. Faire escale à Valparaiso, un beau trophée dans un cursus de marin, la découverte de la capitale mondiale du street art, avec ses quartiers colorés, ses maisons peintes et ses 45 collines entourant le port, à moins que l’on choisisse les plages de la grande station balnéaire de Vina Del Mar toute proche.

De l’est à l’ouest de l’Amérique du Sud via le Horn
Une étape inédite de 4800 milles de mi-février à mi-mars avec la descente de la cote chilienne vers le Horn, probablement au près dans un premier temps avant de rattraper les flux d’Ouest, les approches et le passage du Cap Horn et la remontée vers le Nordeste brésilien. Une deuxième partie de parcours le long des cotes argentines et brésiliennes toujours très complexe avec multiples régimes de vent. Et l’arrivée à Recife une nouvelle fois, au sein de la nouvelle marina / hôtel inaugurée par la course en 2022. Une belle infrastructure pour profiter de la “Venise brésilienne” et de l’ambiance carnaval à Olinda.

Retour dans l’Atlantique Nord
Une derniére étape de 4300 milles pour 20 jours de mer environ de fin mars à mi-avril constituera le dernier morceau de bravoure pour les concurrents de la GLOBE40. Un retour qui peut être engagé compte tenu de la période de fin d’hiver et du retour dans l’Atlantique nord. Attendus à Lorient à compter du week-end du 17 avril les “tourdumondistes” pourront faire partager leur grande aventure au public lorientais la semaine suivante sur les pontons de Lorient La Base avant une remise des prix et une soirée finale prévues à ce jour le samedi 25 avril 2026.

Et pas de raison qu’il y ait moins d’émotion qu’au retour de mars 2023 !

Source CP

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JO. Victoire de Jean-Baptiste Bernaz à la semaine de Kiel

Kiel, 22. Juni 2024. ©Sascha Klahn

Jean-Baptiste Bernaz a remporté la semaine de Kiel en Allemagne ce mercredi 26 juin. Un des plus grands événements nautiques au monde qui rassemblait 103 bateaux rien qu’en ILCA 7, la catégorie dans laquelle le Varois disputera ses 5èmes Jeux olympiques cet été. De bon augure à un mois de l’échéance planétaire pour le champion du monde 2022 qui vise l’or.

Quatre des dix séries olympiques et 53 nations sont présentes cette semaine pour la “Kieler Woche” qui fête son 143e anniversaire. L’occasion pour Jean-Baptiste Bernaz de se confronter une dernière fois avant les Jeux olympiques et de marquer les esprits. Tous n’ont pas fait le pari de participer à cette ultime épreuve, mais JB et ses partenaires d’entraînements allemand, Philipp Buhl, et norvégien, Hermann Tomasgaard, sont contents d’avoir fait le déplacement, pour « sortir un peu la tête de la pression marseillaise. Tout ça en navigant à très haut niveau avec des contraintes dignes d’une vraie régate et de très bons adversaires, explique JB. Ça permet aussi de respirer un peu avant de se remettre en mode JO à domicile. »

Rien n’est jamais joué avant la ligne d’arrivée

Avec le dossard jaune et 10 points d’avance ce matin sur l’Australien Zac Littlewood, on aurait pu imaginer que la Medal Race – ultime course à la médaille aux points qui comptent double – ne soit qu’une formalité pour le Français. Mais c’était sans compter sur l’Italien Lorenzo Chiavarini qui a mené la course de bout en bout, avec l’Allemand Philipp Buhl et le Norvégien Hermann Tomasgaard aux avant-postes. Lorsque Buhl franchit la ligne d’arrivée en deuxième position, il est provisoirement médaillé d’or, jusqu’à ce que le Français grappille deux places in extremis pour la lui reprendre. Buhl décroche l’argent et Tomasgaard le bronze. « 1-2-3, c’était le but avec mes partenaires d’entraînement et c’est ce qu’on veut faire aux JO », sourit le lasériste français. Et s’il est « un peu déçu de la Medal Race pas assez maîtrisée », c’est une victoire bien méritée après une régate solide dont on retiendra cette première journée à trois points en trois manches, exceptionnelle !

Jean-Baptiste Bernaz : « On était là pour valider le travail des derniers mois et se remettre en mode régate avant les Jeux, avec des conditions variées et une concurrence de haut niveau. C’est fait !
J’ai plutôt fait une très bonne régate même si je suis passé à côté d’une journée un peu plus aléatoire. Ça nous laisse un sujet à creuser pour ce dernier mois de préparation. Mais le principal, c’était de la gagner et surtout on a vu de super choses cette semaine, donc je suis content de là où on en est, dans les clous à un mois des Jeux. On est bien avancé sur les départs, ça devient vraiment une force aujourd’hui, et globalement le bateau va vite dans toutes les conditions. C’étaient les deux gros objectifs du mois de mai et de ces dernières années. Et tout ça sans pépin physique, avec deux grosses journées à trois manches donc c’est vraiment top !
»

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TourVoile. Ouverture du village à Dunkerque

Tour Voile 2024, Etape Dunkerque, le 26/06/2024, Photo © Jean-Marie LIOT / Tour Voile

Les Figaro Beneteau 3 sont amarrés désormais le long du bassin du commerce à Dunkerque et les 103 navigateurs qui participeront à ce tour attendent impatiemment le départ de cette 45e édition.

Près d’un quart des navigateurs ayant participé à la première édition en Figaro reviennent cette année, à l’image de Colombe Julia, à bord de Mer Entreprendre / SNBSM.
« En 2023, nous avions monté le projet très peu de temps avant le lancement. Le prologue à Saint-Quay-Portrieux nous avait servi d’entraînement, confie-t-elle. Notre objectif était de revenir cette année avec un projet plus performant. Nous avons ainsi participé à des régates de préparation, notamment le Spi Ouest France et le Grand Prix de l’Ecole Navale. »
L’ensemble de l’équipage est heureux de repartir sur ce nouveau défi sportif. Un programme dense, qui nécessitera d’optimiser au maximum les phases de repos. « Le Tour Voile sera un marathon, ajoute-t-elle. C’était l’objectif. Il va falloir tenir jusqu’au bout, mais cela ne nous empêchera pas d’être à fond sur l’eau. »
L’occasion pour les six marins de Mer Entreprendre / SNBSM de découvrir les côtes du Nord de la France. « C’est la première fois que nous montons aussi haut, poursuit Colombe. C’est super intéressant de pouvoir découvrir tout cela. Ce qui est bien avec ce format, c’est qu’il permet d’explorer des zones que l’on ne connaît pas du tout. »

Dans ce grand port de Dunkerque, le troisième port de France, les concurrents surveillent particulièrement l’équipe de Dunkerque Voile pour cette première étape. Son skipper, Arthur Meurisse, se réjouit de partir de « la maison », là où il a fait ses armes depuis l’enfance. Il connaît parfaitement ce plan d’eau, qu’il avait l’habitude de sillonner en dériveur.
« Nous arrivons en Figaro Beneteau 3 avec un tirant d’eau de 2,50 mètres. C’est un peu différent de ce dont j’ai l’habitude. Il faudra rester vigilant aux bancs de sable, puis le terrain de jeu est assez étroit. » Malgré ce léger avantage, Arthur ne néglige pas la concurrence. « Ce Tour Voile compte également de nombreux marins aguerris, qui sauront très bien anticiper les conditions météos et les éventuels pièges. »
Pour celui qui s’est hissé sur la deuxième marche du podium l’année dernière, l’objectif demeure inchangé. « Nous souhaitons avant tout nous faire plaisir, continuer de découvrir, bien naviguer et faire de belles manœuvres. Évidemment, nous aimerions bien marcher cette année encore, mais la compétition dure 15 jours, tout peut se passer durant ce laps de temps. Il y aura des offshores, du vent, des passages à niveau… Nous avons hâte de commencer à naviguer. »
Pour l’heure, l’ensemble de la flotte est attendu pour le prologue, prévu vendredi 28 juin à 16h30.

Ils ont dit
Franck Gonsse, conseiller municipal délégué à l’accompagnement des bénévoles dans les clubs sportifs :
« Félicitations aux 103 marins. C’est toujours un plaisir de retrouver le Tour Voile dans notre ville. Cet événement est captivant pour les Dunkerquois, avec des champions qui se distinguent, comme Joé Seeten, qui continue d’inspirer et de motiver la jeunesse locale. La Mairie, ainsi que la Communauté Urbaine, soutiennent activement la pratique de la voile, avec pour objectif de former et d’encourager les jeunes à participer à des compétitions telles que le Tour Voile. »

Emmanuel Bachellerie et Mathieu Sarrot, dirigeants d’Ultim Sailing et organisateurs du Tour Voile :
« C’est la 35e fois que Dunkerque accueille le Tour Voile. Il y a une véritable culture et ambition nautique dans cette ville. Nous tenions à remercier les élus et les collectivités sans qui tout cela ne serait pas possible. Ces événements de course au large sont réalisables grâce aux marins et aux bateaux, mais aussi grâce aux collectivités qui croient en ce sport. Nous remercions également les marins d’être au départ de cette nouvelle édition du Tour Voile et leur souhaitons bon vent ! »

Les étapes du TourVoile.
Dunkerque : du 26 au 30 juin
Blankenberge (BEL) : du 30 juin au 2 juillet
Dieppe : du 3 au 5 juillet
Deauville : du 6 au 8 juillet
Le Havre : du 9 au 11 juillet
Saint-Cast Le Guildo : du 12 au 14 juillet

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OGR. Remise des prix officielle pour Maiden

The Maiden crew are crowned winners of the McIntyre Ocean Globe Race! Credit: Rob Havill / OGR2023

Heather Thomas et son équipage entièrement féminin du Maiden ont été couronnés pour leur victoire sur l’Ocean Globe race 2023 lors d’une cérémonie de remise des prix organisée à Rome. 13 sur 14 bateaux ont terminé la course de 27 000 miles autour du monde et du Cap Horn. Spirit of Helsinki termine 2e devant l’équipage français de Triana.

Parmi les autres récompenses figuraient le trophée Sir Peter Blake Sailor of the OGR, décerné au marin français Bertrand Delhom à bord de Neptune, un marin atteind de Parkinson qui a enduré de nombreux sacrifices personnels pour terminer le tour du monde et mettre en lumière la maladie et la détermination nécessaire pour en minimiser les effets dévastateurs.

Marie Tabarly et son équipage, qui ont obtenu la victoire en temps réel sur le maxi monocoque de 22 mètres Pen Duick VI construit pour son père Eric Tabarly pour participer à la première course Whitbread, ont reçu un drapeau des Cap-Horniers pour avoir mené la course autour du Cap Horn, ainsi que Jussi Paavoseppä et l’équipage du Spirit of Helsinki qui ont été premiers dans la classe Sayula, et Jean d’Arthuys et son équipage sur Triana qui ont mené la classe Adventure autour du Cap.

Don McIntyre, directeur de course de l’OGR, a félicité tous les équipages pour avoir terminé la course en toute sécurité et avec succès. Il a également annoncé que les préparatifs sont bien avancés pour une deuxième Ocean Globe Race en 2027 et une troisième en 2031. Ayant commandé une série de magnifiques répliques du premier trophée Whitbread Round the World Race de 1973, il a déclaré:

Ces trophées sont tellement spéciaux que j’en ai commandé assez pour les quatre prochaines éditions ! L’intérêt pour la course de 2027 est très élevé. Beaucoup de gens ont un fort désir de faire le tour du monde en course et cette McIntyre OGR a prouvé que vous n’avez pas besoin de budgets de plusieurs millions de dollars pour le faire. Il semble que nous aurons plus de bateaux dans la prochaine course que les 14 participants de l’édition 2023/4 – y compris certains qui se sont tellement amusé cette fois-ci qu’ils veulent à nouveau recommencer.

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Worldstar. Un nouveau tour du monde en IRC en solo ou en double au départ de Plymouth en 2026 !

Le Royal Western Yacht Club de Plymouth annonce le lancement d’un nouveau tour du monde, la WORLDSTAR. Cet événement est ouvert à tous les bateaux solos et doubles entre 35 pieds et 60 pieds ayant effectué un Passage de qualification de 2 000 milles dans un délai imparti.

Le départ et l’arrivée seront à Plymouth avec un tour de l’Antarctique par tribord. Le commodore et directeur de course, Chris Arscott, a déclaré : « Le Royal Western Yacht Club a été le tout premier club à introduire les courses au large et océaniques en équipage réduit et en équipage complet. Nous souhaitons compléter l’offre en lançant cette épreuve unique et ultime qui complètent l’OSTAR TWOSTAR et le Round Britain and Ireland Yacht Race. C’est une opportunité pour les marins qui souhaitent affronter le monde sur leur propre bateau sans avoir à dépenser d’énormes sommes d’argent. Le RWYC a développé le WORLDSTAR pour plaire aux marins qui souhaitent effectuer le tour du monde avec leur propre bateau, classé en IRC ou non classé, sans les connaissances approfondies d’un processus de qualification.

Ambassadeur de la course et marin autour du monde, Guy Waites a déclaré : « C’est pour l’aventurier, pour le marin qui aspire à faire ce défi ultime… en équipage réduit, sans escale, autour du monde via les 3 grands caps. Un événement avec des lignes directrices claires, un événement pour faciliter votre rêve avec le bateau que vous possédez déjà. “

Le vice-commodore du RWYC, Adrian Gray, a déclaré : « Notre intention est d’aider autant de marins que possible. avec l’expérience requise pour réaliser leur rêve avec un niveau d’investissement raisonnable, avec la confiance de savoir que l’un des clubs de yachting océaniques les plus expérimentés au monde est avec eux dans leur quête de conquête de leur « Everest ». Cela fera partie d’un programme 3 ÉTOILES très difficile. Challenge, aux côtés de l’OSTAR et du TWOSTAR. Le départ de WORLDSTAR est prévu à 12h00 BST le samedi 26 septembre 2026.
Plus d’infos : https://rwyc.org/worldstar/

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Ultim. Pierre-Jean Golven nouveau Délégué général de la Classe ULTIM

Les cinq membres de la Class Ultim – Sodebo, Actual, Gitana, SVR-Lazartigue et Banque Populaire ont nommé Pierre-Jean Golven en qualité de Délégué Général de la Classe en remplacement de Stéphane Guilbaud.

Âgé de 59 ans, originaire des Côtes d’Armor, diplômé d’un master en communication, passionné de sport, Pierre-Jean Golven devra désormais se mesurer à un nouveau challenge : aux côtés du Conseil d’administration de la Classe ULTIM et de l’ensemble des armateurs adhérents, il aura pour mission de construire et de mettre en œuvre une stratégie ambitieuse pour dessiner les prochains défis des ULTIM. En collaboration avec les membres des différentes commissions, sa mission reposera également sur la coordination des travaux en cours au sein des différentes commissions (jauge, communication, RSE, sport et sécurité).

Patricia Brochard, Présidente de la Classe ULTIM : « Les membres de la Classe ULTIM sont heureux d’accueillir Pierre-Jean Golven nommé Délégué Général de notre association. Il sera à nos côtés pour développer la sphère d’influence et la visibilité des ULTIM au sein de l’écosystème de la course au large et plus largement de l’univers du sport. Après une Route du Rhum-Destination Guadeloupe, une Transat Jacques Vabre Normandie-Le Havre accomplies par tous les ULTIM engagés et l’Arkea Ultim Challenge-Brest où 90% de la flotte est à l’arrivée, c’est un nouveau chapitre de l’histoire des maxi-multicoques de course que Pierre-Jean accompagnera avec pour objectif un rayonnement plus large de notre discipline et de ses valeurs. »

Pierre-Jean Golven, Délégué Général de la Classe ULTIM : « Je suis très heureux de m’associer à l’un des projets les plus inspirants dans l’univers de la course au large. Je vais mettre toute mon expérience et mon énergie au service du programme de développement d’un collectif d’armateurs et de skippers engagés dont les initiatives sont constamment guidées par la quête d’audace et d’innovation. »

Pierre-Jean Golven a réalisé l’ensemble de son parcours professionnel dans l’univers du sport, au service d’annonceurs, d’institutions, d’agences de communication et d’organisateurs d’événements. Il a notamment occupé les postes de Directeur du Marketing de Roland-Garros, de Directeur de la Communication de la Fédération Française de Football ou plus récemment de Directeur du Marketing et de la Communication de la Ligue Nationale de Handball. Habitué aux grands événements sportifs (Roland-Garros, Euro 2016, Tour de France Cycliste, 24 Heures du Mans, Open de France de Golf…), l’adrénaline de l’échéance est un de ses moteurs.

Le programme de la Classe pour les prochaines années sera dévoilé dans les prochains mois. En attendant, Gitana, SVR-Lazartigue et Sodebo devraient repartir sur un tour du Monde en équipage cet hiver pour tenter de battre à nouveau le record du Trophée Jules Verne.

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Ocean Fifty. Sébastien Rogues s’impose à domicile

Vincent_Olivaud

Le Baulois Sébastien Rogue a franchi en tête la ligne d’arrivée de la grande course de 200 milles devant l’île des Évens, une poignée de secondes devant le deuxième Koesio et le troisième Solidaires en Peloton. Les 10 Ocean Fifty n’ont fait qu’une bouchée de ce parcours offshore initialement prévu sur 24 h : 12 h de course à toute vitesse le long des côtes ligériennes avec un niveau de jeu global qui ne fait que progresser ! Cet Act 2 à Pornichet-La Baule voit donc la victoire de Seb Rogues et ses hommes d’équipage dans leur jardin : la cerise sur le gâteau d’un Act parfaitement réussi et partagé avec un public venu en nombre autour du stade nautique de la baie du Pouliguen.

Six courses et un offshore, le programme de l’Act 2 du championnat Ocean Fifty Series 2024 fut dense et intense avec des conditions météo exceptionnelles, voire toniques. Les deux journées d’inshore entre quatre bouées dans la baie ont vu la progression fulgurante depuis l’Act 1 à Saint-Malo des 4 équipages nouveaux venus dans la classe : Viabilis Océans, Inter Invest, Upwind By MerConcept et Mon Bonnet Rose. « Nous avons beaucoup progressé depuis Saint-Malo notamment dans les phases de départ et la fluidité des manœuvres. Les régates sont intenses, le plaisir est omniprésent parce qu’il y a du match non-stop sur chacune des courses » confirme Laurent Bourguès, skipper de Mon Bonnet Rose. Erwan Le Roux (Koesio), grand habitué de l’Ocean Fifty confie même son étonnement de voir une flotte de plus en plus homogène : « Sur cet Act 2 à Pornichet-La Baule, j’ai été surpris du niveau de chacun dans la maîtrise de son bateau ».

Realites rate le coche, Primonial persiste et signe
Au milieu de la nuit, après une course effrénée, le vent faiblissait à 8 milles de la ligne d’arrivée. Regroupement général ! Realites, en tête de flotte, devait logiquement l’emporter, mais Fabrice Cahierc et ses hommes d’équipage se perdaient dans la nuit noire offrant sur un plateau la victoire à ses poursuivants, non moins méritants : « Il y a eu beaucoup d‘intensité pour tout le monde. Nous avons eu de la réussite sur la fin, ça nous tombe dessus, on prend ! » souriait à l’arrivée Matthieu Souben, équipier sur Primonial.

En une heure, la flotte entière en terminait avec ce grand offshore que Christopher Pratt et ses hommes sur Wind Of Trust – Fondation pour l’Enfance parvenaient à boucler largement dans les temps. Une petite victoire aussi pour les Marseillais ! « C’est une belle réussite d’avoir 10 bateaux avec des écarts qui se resserrent au fil des Acts, chaque équipage dispose d’un sacré potentiel. Cet Act 2 fut sportivement intéressant et on voit que ce format de stadium ici en baie du Pouliguen, avec du public sur les gradins, convient à la classe Ocean Fifty. Un grand merci à la région Pays de Loire, aux villes de Pornichet et de La baule, et aux marins locaux qui nous bien aidés : Sébastien Rogues, Matthieu Perraut et Fabrice Cahierc. » concluait ce dimanche Emmanuel Versace, l’organisateur de l’évènement.

Prochain rendez-vous, et non des moindres : La Route des Terre-Neuvas. L’Act 3 du Championnat des Ocean Fifty partira de Saint-Pierre et Miquelon le 17 août prochain pour une transat express à 3 équipiers, cap sur la baie de Saint-Brieuc et Saint-Quay-Portrieux.

Classement général de l’Act2 – Pornichet-La Baule
1 – Primonial (Sébastien Rogues) : 88 pts
2 – Koesio (Erwan Le Roux) : 81 points
3 – Solidaires En Peloton (Thibault Vauchel-Camus) : 79 pts
4 – Realites (Fabrice Cahierc) : 71 pts
5 – Le Rire Médecin – Lamotte (Luke Berry) : 56 pts
6 – Viabilis Océans (Baptiste Hulin) : 53 pts
7 – Inter Invest (Matthieu Perraut) : 51 pts
8 – Upwind by MerConcept (F. Clapcich) : 38 pts
9 – Mon Bonnet Rose (Laurent Bourguès) : 38 pts
10 – Wind of Trust – Fondation pour l’Enfance (Christopher Pratt) : 26 pts

Les mots des marins

Sébastien Rogues, skipper Primonial
« C’était vraiment un bel offshore ! Tout le monde a été au coude à coude durant toute la course, avec peu d’écart jusqu’à l’arrivée. Nous sommes super contents de cet Act2, cela concrétise quatre jours où nous sommes bien montés en puissance. Ces bateaux sont dingues, ils vont deux fois plus vite que le vent. On avait envie de bien faire ici à Pornichet-La Baule. »

Erwan Le Roux, skipper Koesio
« Ce fut rapide et humide ! Tout a été super vite, nous avons fait des pointes à 33-34 nœuds et il y a eu du match tout le temps, dès le départ. Nous terminons deuxièmes en opportunistes car Realites a raté la ligne d’arrivée. C’est vraiment dommage pour eux, mais c’est la règle. »

Pierre Quiroga, équipier Le Rire Médecin-Lamotte
« C’était vraiment une régate au contact avec les récents et les anciens bateaux. On a fait un super bord de portant, parfois plus rapide que Realites. Il y a eu une intensité de tous les instants, des manœuvres très physiques, des choix tactiques au passage des îles et une arrivée un peu farfelue… On a un goût de trop peu ! Je crois que tout le monde avait envie de continuer à glisser à 30 nœuds le long de superbes paysages ».

Fabrice Cahierc, skipper Realites
« On perd sur une erreur de rentrée de way-point, c’est comme ça. Mais vraiment, on s’est régalé, on s’est battus, on était au taquet tout le temps. Cette place au pied du podium de l’offshore n’est pas méritée ! On a beau le dire mais c’est vrai qu’il ne faut jamais rien lâcher jusqu’à la ligne d’arrivée. C’était un Act réussi. Je trouve que le format ici était parfait avec des régates visibles depuis la terre ».

Tom Laperche, équipier Solidaires En Peloton
« Il y a eu des jolis bords, de belles conditions météo avec un beau passage de l’île d’Yeu et des choix tactiques différents. Au final, tout le monde s’est regroupé dans le vent faible à 8 milles de l’arrivée. A trois sur le bateau, c’était du bonheur de régater sur ce grand offshore. Nous sommes un peu déçus de ne pas gagner comme à Saint-Malo, mais faire 3e avec un niveau de jeu qui monte, ce n’est pas si mal. »

Laurent Bourguès, Mon Bonnet Rose
« Nous nous sommes régalés avec des conditions de vent très variées. Nous avons expérimenté des choses, j’ai appris qu’il fallait relever la dérive au reaching. Nous avons cassé un bout et une écoute juste avant le départ, mais cela ne nous a pas empêché de bien naviguer. Depuis Saint-Malo, nous avons beaucoup progressé. Il faut maintenant tenir le rythme sur la durée, mais ça va venir ! »

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Vendée Globe. Aucune règle enfreinte par Oliver Heer sur The Transat

Le skipper suisse de l’IMOCA, Oliver Heer, 36 ans, a exprimé son soulagement hier après-midi, dimanche 23 juin, après que le jury international de la Transat CIC a rejeté les allégations d’assistance extérieure. Ses chances de participer au prochain Vendée Globe restent intactes. Il est le mieux placé pour obtenir la wild card de la SAEM Vendée, la dernière des 40 places. La décision sera connue le 2 juillet.

Les allégations découlent d’un appel entre Ollie et son entraîneur mental de longue date, Wolfgang Jenewein, qui s’est produit lors de la Transat CIC, une course transatlantique en solitaire de 3 500 milles nautiques entre Lorient et New York le mois dernier. Plusieurs jours après le début de la course, Ollie a subi un renversement important entraînant des dommages considérables à son bateau et des blessures mineures à lui-même.

Ollie a finalement terminé la course en 25e position, en 18 jours et 10 heures, bien dans le temps limite de la fermeture de la ligne d’arrivée.

En rejetant les allégations, le jury international a conclu qu’aucune règle n’avait été enfreinte et que l’aide reçue du Dr Jenewein était autorisée en vertu de la règle 21 de l’avis de course. La décision finale est qu’aucune autre mesure ne sera prise par le jury international.

 Ollie commente : « La décision du jury international est un grand soulagement. L’intégrité et le fair-play sont des valeurs auxquelles j’accorde une grande importance, et les allégations m’ont affecté personnellement. Cette enquête étant terminée, je peux maintenant me concentrer sur ma préparation et celle du bateau pour le prochain défi qui m’attend : le Vendée Globe 2024.

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TourVoile. Ils seront 15 équipages au départ

Tour Voile 2023, Départ offshore, Quiberon - Pornichet, le 10 juillet 2023, Photo © F Van Malleghem / LIOT Images

La 45e édition du Tour Voile débutera mercredi 26 juin à Dunkerque. 15 équipages, d’une moyenne d’âge d’environ 23 ans, disposent encore d’une semaine pour parfaire leur préparation. Au total, 103 marins, dont 36 femmes, âgés de 16 à 52 ans, se disputeront la victoire pendant 18 jours de compétition, jusqu’à Saint-Cast Le Guildo.
Cette année promet donc une diversité générationnelle, mais aussi culturelle, avec une dizaine de nationalités représentées, incluant la Belgique, la Suisse, l’Espagne, l’Italie ou encore l’Allemagne et les Etats-Unis.

Une compétition bien établie
Ce rendez-vous estival, devenu incontournable au fil des ans, attire de nouveau de nombreux habitués. Parmi eux, Mady Fobert, cheville ouvrière de Bel-Yachting, permet à des jeunes et moins jeunes de se lancer dans la course au large. Cette année encore, grâce à son énergie débordante, l’association alignera un bateau bruxellois au Tour Voile.
Depuis près de trente ans, Mady fait découvrir cette compétition itinérante à des amateurs passionnés. Et compte désormais les jours qui la séparent du lancement de cette 45e édition pendant que l’équipage s’active aux derniers préparatifs : « J’ai l’habitude de dire que ma première victoire est de pouvoir franchir la ligne de départ, confie Mady, et ma deuxième sera de réussir à terminer le Tour. Nous avons décroché notre budget très tardivement, il y a une quinzaine de jours seulement. Nous avons l’habitude de partir sur le fil, mais cette année, nous sommes vraiment sur le bout du fil. C’est aussi ce qui fait la magie du Tour Voile. »

Parmi les six équipiers présents cette année à bord de Région de Bruxelles-Capitale, quatre concouraient déjà ensemble l’année dernière, dont le skipper, Timothée Deplasse, 34 ans, Winnie Berteloot, 52 ans, et Aline Pierrard, 24 ans. Leur ancienne rivale, Alix Schouller, 26 ans, rejoint l’équipe belge aux côtés de deux nouveaux membres, Éric Delamare, 25 ans et Géraldine Claes, 23 ans.
« C’est une équipe assez jeune, appuie Mady. La parité est assurée entre hommes et femmes, conformément au règlement qui impose d’embarquer quatre équipiers, dont deux âgés de 16 à 26 ans, et au minimum une femme lors de chaque navigation. »

En 2023, après 15 jours de compétition, les Belges décrochaient la huitième place du classement général, avec notamment une honorable 3e place à l’issue de la course de ralliement entre Pornichet et La Rochelle. « Nous espérons de nouveaux petits coups d’éclat, poursuit Mady, tout en sachant que nous allons nous battre contre des navigateurs expérimentés. Il y a du beau monde à côté de nous, notre objectif est donc d’emmagasiner de l’expérience. »

Les six équipiers retrouveront plusieurs anciens concurrents, à commencer par Paul Morvan, qui remet son titre en jeu, mais à bord de Dunkerque Voile cette année, avec le skipper Arthur Meurisse, qui avait terminé sur la deuxième marche du podium en 2023. Colombe Julia (Mer Entreprendre / SNBSM), Valentin Gautier (CER Offshore – Ville de Genève), Albane Dubois (Mars’Elles) ou encore Romen Richard (Les Etoiles Filantes), sont autant de visages repérés en 2023 que l’on retrouvera sur les pontons des six villes-étapes.

Des noms du Championnat de France Elite de Course au Large présents
Romen Richard, qui s’était hissé sur la troisième marche du podium naviguera cette année avec Quentin Vlaminck, vainqueur de la dernière Transat Jacques Vabre en Ocean Fifty. Récemment arrivé sur le circuit Figaro Beneteau sous les couleurs de l’association Les Étoiles Filantes, le Tour Voile sera pour Quentin l’occasion de continuer à découvrir ce support.
Une transmission dans les deux sens, car ce marin chevronné permettra à son équipe – dont le plus jeune est âgé d’à peine 16 ans – d’en apprendre davantage sur la navigation hauturière. « Avec Romen, nous ferons presque toutes les étapes ensemble, s’enthousiasme Quentin. L’idée est que nous soyons tous les jours sur le bateau et que nous complétions ensuite avec deux jeunes. Nous allons pas mal switcher entre le large et l’inshore pour que chacun se sente à l’aise. Ils découvriront une compétition sur le long terme, passeront leur première nuit en mer, c’est génial. »

La transmission est également la priorité de Romain Le Gall, qui participera à la course de ralliement entre Blankenberge et Dieppe, notamment pour apporter son expérience à Léo Bothorel, skipper du Figaro Centre Excellence Voile – Secours Populaire 17.
« Dans l’équipage, nous avons des gens qui viennent d’un peu partout, souligne-t-il, comme Pernelle Michon, 29 ans, qui arrive de la voile olympique ou Louis Taylor et Guem Mardon, tous deux âgés de 21 ans, qui naviguent sans vraiment connaître la course au large. Mon but sera également d’accompagner Léo Bothorel, lors de la première grande étape offshore, afin de l’aider à se préparer à la saison prochaine sur le circuit Figaro Beneteau. À 30 ans, il sera donc le skipper principal du bateau durant le Tour Voile. »

Quentin Vlaminck mise également sur ces quelques jours de compétition pour enchaîner les départs et les régates, et tenter de battre Basile Bourgnon ou Pep Costa, chacun à bord d’Auray Quiberon By Orlabay. Les deux navigateurs participent également au Championnat de France Elite de Course au Large.
« C’est toujours plus sympa de se confronter sur l’eau plutôt que de se retrouver avec une pause d’un mois et demi, précise Quentin. Dès le début, je ne voulais pas que mon projet soit centré uniquement autour de la Solitaire du Figaro. L’idée c’était aussi de pouvoir participer au Tour Voile. J’ai besoin de me rassurer sur l’utilisation du bateau et d’avoir confiance. Si ça ne marche pas un jour, je sais que je pourrai recommencer le lendemain. »

Source CP

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Vendée Globe. François Guiffant croit en ses chances d’être au départ !

Portrait de François Guiffant, skipper de l'IMOCA Partage, à Lorient, par Jean-Louis Carli.

Le skipper François Guiffant espère obtenir la wild card délivrée par l’organisation, le précieux sésame pour être au départ du prochain Vendée Globe. Il est en lice avec Oliver Heer et James Harayda.

” À ce jour, toutes les courses qualificatives pour le Vendée Globe sont terminées. Depuis trois ans, le projet PARTAGE a joué avec enthousiasme et détermination le jeu des qualifications et participé à 4 courses majeures qualificatives, toutes terminées, dans les temps, dans le match des bateaux à dérives, et en laissant toujours quelques compétiteurs dans le sillage. Il cumule pour la période un nombre de milles réellement parcourus, conséquent et sans casse. Il reste le projet à l’empreinte carbone la plus faible de la flotte.

Nous nous battons avec nos armes, sur un projet modeste, à échelle humaine, et respecterons quelle qu’elle soit la décision prise par la SAEM Vendée quant à notre participation au Vendée Globe 2024.
Cependant nous avons démontré que le couple skipper bateau est fiable et en capacité de faire le tour du monde.

Clarifions un point parfois mal compris : l’IMOCA PARTAGE dispose d’un certificat de jauge valide au même titre que n’importe quel concurrent. Le règlement précise que les bateaux participant au Vendée Globe 2024 doivent être construits après le 1er janvier 2005. L’IMOCA PARTAGE est six mois trop ancien pour satisfaire à cette règle. Nous bénéficions sur ce point d’une dérogation votée par le bureau de la classe IMOCA.
Notre bateau est donc 100% en mesure de prendre le départ du prochain Vendée Globe.

Le travail et l’énergie mis en œuvre sur les trois dernières années pour fédérer des partenaires autour des valeurs de PARTAGE nous permettent d’envisager d’être sur la ligne de départ en novembre prochain.

Nous croyons donc vraiment en nos chances d’obtenir la wild card délivrée par l’organisation, ou mieux encore que la SAEM Vendée reconnaisse les efforts et l’investissement des 42 équipes qui prétendent aujourd’hui être au départ aux Sables d’Olonne et permette à chacun de réaliser son rêve.

François Guiffant et l’équipe PARTAGE

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