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32nd America’s Cup – Le Jeu !

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Focus Home Interactive est fier de nous annoncer son partenariat avec ACM, société détentrice des droits de l’America’s Cup, et le groupe Alcatel-Lucent, détenteur des droits Internet et mobile de l’évènement.

Le prochain Virtual Skipper du studio Nadeo, qui sortira sur PC au mois d’avril, sera le jeu officiel de la 32ème America’s Cup, la plus prestigieuse des compétitions de voile. L’America’s Cup est en effet le troisième évènement sportif le plus médiatisé dans le monde après les Jeux Olympiques et la Coupe du Monde de football.

Considérée comme la référence absolue des simulations nautiques, Virtual Skipper revient dans une nouvelle édition qui ravira tous les fans de voile avec en point d’orgue une magnifique campagne entièrement dédiée à l’America’s Cup. Le jeu vous permettra de prendre part à des régates pleines d’intensité à bord de bateaux d’exception sur une mer saisissante de réalisme en solo comme en multijoueurs.

32nd America’s Cup – Le Jeu  vous propulse au cœur de la compétition, en Espagne, au large d’une ville de Valence fidèlement reproduite avec son port America’s Cup qui accueille les participants de la compétition. Prenez la barre de l’un des 11 challengers officiels et remportez la Louis Vuitton Cup qui vous offrira l’opportunité de disputer la 32ème édition de l’America’s Cup et d’y défier le redoutable bateau suisse Alinghi, détenteur du trophée.

Si l’America’s Cup constitue l’évènement majeur de cette nouvelle édition, les autres classes de bateaux ne sont pas oubliées pour autant. Les joueurs auront ainsi la possibilité de barrer quatre types de bateaux aux comportements radicalement différents sur une mer ultra réaliste, modélisée et animée à la perfection. En plus des plans d’eau de Valence, Trapani, Marseille et Malmö, sites officiels de l’America’s Cup, 10 autres grands lieux de la voile sportive sont proposés dans le jeu.

Un éditeur vous permettra également de créer intégralement vos propres plans d’eau et vos régates et donc de bénéficier d’une multitude de cartes différentes renouvelant sans cesse l’intérêt des parties multijoueurs sur Internet.

Le site officiel de Virtual Skipper
www.virtualskipper-lejeu.com

Le site officiel de l’America’s Cup
www.americascup.com/fr/

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L’Admiral´s Cup Tides 48.

CORUM  Admiral’s Cup Tides 48
CORUM Admiral’s Cup Tides 48

Les trois différents mécanismes qui composent le mouvement marées ont demandé quelques trois ans de développement de 1988 à 1991. En collaboration avec l’Observatoire astronomique de Genève et le SHOM (Service Hydrographique et Océanographique de la Marine Nationale Française) de Brest, qui en a confirmé la remarquable précision. Aujourd’hui encore, elle demeure unique, exclusive et hyper technique.

Toujours bien ancrée à son mouvement automatique Marées CO 277 développé exclusivement pour CORUM par Dubois Dépraz, l’Admiral’s Cup Tides 48 se distingue désormais pour la lisibilité des précieuses informations qu’elle livre depuis 15 ans, avec la précision qui lui appartient. Elle se met simplement au goût du jour.

Son gabarit a pris quelques tailles, tout en surveillant son poids, grâce à son habillage en titane (boîtier, boucle) et les composants en caoutchouc vulcanisé (lunette, fond de boîte, prolongement latéral de la couronne, bracelet). Deux matériaux qui n’ont plus rien à prouver quant à leurs qualités intrinsèques et absolument adaptées aux conditions imposées par le milieu marin. L’un léger, inoxydable, à haute résistance de corrosion à l’eau de mer, l’autre fiable (longue durée de vie), souple (seconde peau), anti-magnétique (pour ne pas interférer avec le compas et les autres instruments électroniques du bateau).

Le célèbre boîtier dodécagonal de la collection Admiral’s Cup a inspiré le cadran – qui suit flamme après flamme, index après index, le même jeu de lignes – et la glace saphir antireflets qui le protège. La réalisation de cette dernière relève d’une vraie prouesse technique. Grâce à la terminaison de micro-rayons sur chaque angle de la glace et au joint de forme qui épouse précisément les 12 pans de la glace, le contact avec le joint est optimal et garantit une parfaite étanchéité jusqu’à 300 m. Les index des heures, toujours remplacés par les flammes nautiques en couleurs, correspondent aux chiffres de 1 à 12, utilisés dans le Code International des Signaux, sont peints sur le rehaut du cadran, laqué noir mat ou bleu mat. Au-dessous de chaque flamme, pour faciliter l’immédiateté de la lecture, même dans l’obscurité, les chiffres des minutes sont luminescents. Enfin la date apparaît à 3h.

Se gonflant et se dégonflant comme un poumon, les masses océaniques respirent au rythme des lunaisons. Au fil des heures et des jours, les océans se déplacent d’un côté à l’autre de la terre, attirés par la lune et le soleil. Les paysages se transforment sous nos yeux, incapables de ne pas subir l’enchantement de ce phénomène. Des milliers de navigateurs se demandent s’ils ont assez de fond sous leur quille. Des bateaux échouent par-ci, des hectares de terrain se recouvrent d’eau par-là. Ces mouvements périodiques et réguliers, qui se manifestent sous la forme de courants pouvant dépasser les 10 nœuds et de variations de niveau de plus de 17 mètres, sont les marées.

Précise et soignée dans les moindres détails, cette montre au caractère affirmé peut éviter, à tous ceux qui connaissent très bien le lieu où ils naviguent, les fréquents allers retours entre le carré et le cockpit. De plus, grâce aux informations données par l’Admiral’s Cup Tides 48, tous les marins peuvent aisément planifier l’entrée ou la sortie d’un port à marée. Ou alors, elle permettra aux visiteurs du Mont St-Michel de s’aventurer sur la grande plage juste au-dessous du site, sans risquer d’être rattrapés par la marée montante.
Nul doute, instrument de mesure à l’esthétique certaine, cet énième modèle de CORUM saura fasciner ceux qui ne restent pas indifférents aux prodiges de la nature et au charme de la mer.

A retrouver sur : www.corum.ch

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Maxi trimaran Banque Populaire, la construction débute

Maquette Banque Populaire V
DR

Entre 25 et 30 personnes oeuvrent désormais de concert et sont d’ores et déjà sur le pont pour construire le plus grand trimaran de course jamais conçu. Banque Populaire V, qui mesure 40 mètres de long, arrive dans sa phase finale de gestation. Fin janvier, le Cabinet d’architectes navals Van Peteghem / Lauriot-Prévost (VPLP), aidés par les cabinets HDS et Gurit pour les calculs de structure, a remis ses plans au chantier CDK, maître d’œuvre de la construction. Celui-ci s’occupe notamment de la fabrication des bras et de l’assemblage final, tandis que le chantier JMV à Cherbourg est en charge de la réalisation de la coque centrale et les flotteurs. « Nous sommes à un moment crucial du projet, explique Pascal Bidégorry, le skipper des trimarans Banque Populaire. Nous avons finalisé les choix définitifs de la plateforme et cela détermine tout l’avenir du Maxi Trimaran Banque Populaire ». Le début d’une grande et belle aventure pour le Team !

Chantier d’hiver pour le trimaran 60′
Le multicoque 60 pieds bleu et rouge est en phase finale de chantier d’hiver dont le travail a été concentré sur les flotteurs. En inspectant la structure de Banque Populaire IV au retour de la Route du Rhum, l’équipe d’Ewen Le Cléc’h, « Boat Captain » et d’Olivier Bordeau, Responsable composite du trimaran 60 pieds avaient découvert quelques petits impacts à réparer. A l’instar de la coque centrale l’année dernière, toute l’équipe du 60 pieds s’est activée à poncer à la grande cale les flotteurs pour améliorer la glisse du trimaran. « Lorsque nous avons acheté le trimaran fin 2004, il y avait une épaisseur considérable, rappelle Ronan Lucas, responsable de l’intégralité des projets trimarans. Nous avions poncé tout le bateau à la meuleuse pour le remettre noir de carbone. Forcément, la carène n’était pas parfaite. Après ces deux hivers de chantiers, elle sera désormais très performante ! ». Avant d’être remis à l’eau le 12 mars prochain, Banque Populaire IV va s’offrir une garde-robe de voiles de portant neuves ainsi que trois nouveaux safrans et un système de barre amélioré.

Si les grandes décisions stratégiques reviennent naturellement à Pascal Bidégorry, c’est Ronan Lucas qui joue le rôle de chef d’orchestre entre les différents intervenants afin que tout se déroule comme prévu. Des discussions quotidiennes et des réunions hebdomadaires ont lieu entre les architectes, les chantiers et le Bureau d’Etude Banque Populaire, managé par Kevin Escoffier. Les membres de ce bureau d’études définissent le choix des voiles, de l’électronique, du moteur, des systèmes mécaniques et hydrauliques et de l’accastillage du futur maxi trimaran. Parmi leurs leitmotivs, affiner le devis de poids le plus précisément possible. Ce mois-ci, commence la fabrication des moules du Maxi Trimaran Banque Populaire V, ce qui marque le début d’une nouvelle aventure, la construction d’un géant, qui sera le plus grand multicoque de course au large au monde ! Sa mise à l’eau est prévue en juin 2008.

Prochaines phases de construction
– Février – mi-avril : fin de fabrication du moule de la coque centrale et des flotteurs (JMV à Cherbourg)
– Septembre : livraison de la coque centrale chez CDK à Lorient
– Novembre : livraison du flotteur n°1 chez CDK à Lorient
– Novembre – décembre : livraison des deux bras chez CDK à Lorient
– Janvier : livraison du flotteur n°2 chez CDK à Lorient
– Mi avril : livraison du mat chez CDK à Lorient
– Novembre – Avril : assemblage
– Juin : mise à l’eau fin juin

Source Banque Populaire

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Disparition de Keith Beken

Keith Beken portrait
DR

Keith Beken est né à Cowes sur l´île de Wight en février 1914. Son grand-père, Alfred Beken, originaire de Canterbury dans le Kent a installé une pharmacie sur l´île en 1888. Le fils d´Alfred, Frank a rapidement pris l´habitude de prendre des photos des magnifiques voiliers participant aux régates de Cowes, sur le Solent. Le fils de Frank, Keith a obtenu ses diplômes de pharmacien dans les années 30 et a travaillé à côté de son père dans la pharmacie tout en continuant à  photographier les J-Class des riches et célèbres navigateurs.

Pendant la deuxième guerre mondiale, il a servi dans la Royal Air Force, étant initialement basé sur les Shetlands. Il s’est ensuite présenté comme candidat pour le nouveau service de sauvetage aéronautique, et a été chargé du commandement d´une vedette de 60 pieds basée à la fin de la guerre à Cowes. En 1946 il a retrouvé la pharmacie familiale et le week-end passait son temps de nouveau à photographier les voiliers.

Dans les années 50, Keith a été reconnu à l’Island Sailing Club par Malcolm Horsley, qu´il avait sauvé au large de Cherbourg pendant la Guerre. Malcolm était l´écuyer du Prince Philip… les présentations furent faites en bonne et due forme, et les deux hommes développèrent une grande estime mutuelle. Le Duc d´Edimbourg a même proclamé une fois qu´il "avait une réputation injustifiée de ne pas aimer les photographes, mais que Beken était toujours le bienvenu avec son appareil." Keith allait plus tard remorquer ce même Duc d´Edimbourg avec l´architecte naval Uffa Fox, lorsque leur bateau menaçait de couler.

Dans les années 50, Keith prenait des photos en couleur avec son appareil fait maison et partait en Méditerranée et aux Caraïbes pour photographier les régates de St. Tropez et Antigua parmi d´autres. Il a été nommé à la Société Royale de Photographes (Royal Photographic Society) et a reçu des honneurs du Prince Philip. On lui a souvent demandé laquelle de ses photos il préférait et sa réponse était toujours "celle que je prendrai demain". En 1996, à l´âge de 82 ans, il prit une de ses images les plus célèbres, capturant le très spectaculaire enfournement de "Silk II". La série de clichés a fait le tour du monde et Keith a dit qu´il pouvait prendre tranquillement sa retraite, mais cela ne s´est jamais produit, car il a continué à s´intéresser à l´entreprise familiale. Passionné, il épousa la révolution numérique, faisant remarquer qu´à son époque "il fallait développer et imprimer manuellement pendant la nuit dans sa cabane tandis que désormais avec le nouveau matériel, c´est l´œil derrière l´appareil qui compte. "

Restant en bonne santé malgré son grand âge, il s’est finalement éteint paisiblement à l´Hôpital de St. Mary sur l´Ile de Wight le 9 février dernier.

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Mathieu Richard rejoint Claire Leroy en finale

Claire Leroy
DR

Après la qualification pour la finale de Claire Leroy il y a quinze jours, c´est Mathieu Richard qui a obtenu son billet pour la finale ce dimanche. La grosse surprise de cette série d´épreuves a été l´élimination du numéro un britannique, Ian Williams, qui n´est même pas allé jusqu´à la demi-finale cette fois-ci. C´est le finnois Staffan Lindberg, le numéro dix au classement mondial, qui a remporté le round robin de justesse devant Mathieu Richard. Les conditions sur le plan d´eau n´étaient guère faciles, car après un début froid, mais peu venteux vendredi dernier, le vent s´est renforcé dimanche avec des rafales, qui atteignaient 20 nœuds. Il fallait trois courses pour départager Richard et Lindberg lors de la finale et ce n´était que dans la dernière ligne droite que le finnois s´est affirmé pour remporter l´épreuve. La finale du Défi d´hiver se disputera du 9 au 11 mars avec Claire Leroy et Mathieu Richard portant les couleurs de la France.

1. Staffan Lindberg, Magnus Hansson, Jonas Berntsson, Carl-Johan Uckelstam (Finlande)
2. Mathieu Richard, Greg Evrard, Olivier Herledant, Mathieu Renault (France)
3. Eric Monnin, Jean Claude Monnin, Simon Brusser, Marc Monnin, Loris von Siebenthal (Suisse)

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Nouveau site pour les bateaux Archambault.

Site Archambault
Site Archambault

Le nouveau site des Chantiers Archambault est opérationnel.

Un design encore amélioré et l’accession aux informations facilitée que ce soit pour rechercher des distributeurs, des loueurs, découvrir la gamme ou pour des informations plus techniques et bien illustrées sur la fabrication des bateaux.
De plus, de la video est désormais disponible ainsi qu’un ingénieux système d’agrandissement automatique des images dès que votre souris passera dessus.

A consulter sur : www.archambault-boats.com

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A taquiner la zone rouge…

America´s Cup 2007 Valencia Louis Vuitton Act 12 BMW Oracle USA
DR

Les 12 équipes de l’America’s Cup qui se préparent aux compétitions d’avril sont passées à la vitesse supérieure. La preuve : des collisions et des avaries en série, survenues sur le plan d’eau alors que les hommes et les machines sont poussés à l’extrême. L’objectif : être le plus fort possible quand les régates du Valencia Louis Vuitton Act 13 débuteront le 3 avril prochain.

Jeudi à Auckland, BMW ORACLE Racing a cassé la tête de mât d’USA 71 alors que l’équipage naviguait dans le golfe d’Hauraki. Aucun blessé n’est à déplorer et le bateau a été remorqué sans problème jusqu’à sa base. “Nous avons tiré sur les bateaux, c’est pourquoi nous en sommes là, ” a expliqué Chris Dickson le patron et skipper de l’équipe. “Il vaut mieux apprendre la leçon maintenant que pendant la Louis Vuitton Cup, où ce genre de mésaventure peut vous coûter une course. C’était un gréement de compétition, donc nous sommes contrariés parce que la pièce qui a cassé n’aurait pas dû casser, mais nous sommes contents d’avoir découvert cette faiblesse maintenant, lors de nos entraînements …”

Des matchs intenses
Pendant ce temps à Valencia, de nombreuses équipes se chauffent en organisant des petites confrontations entre elles. Mercredi, lors d’une régate disputée dans des conditions ventées, Shosholoza et Mascalzone Latino-Capitalia Team sont entrés en collision. “Il y avait pas mal de vent, avec des risées jusqu’à 20 nœuds, les deux équipages ont tout fait pour éviter l’incident, nous n’avons même pas fait de dial-up. Mais il y a eu une petite collision ” a indiqué Mark Sadler, le skipper Sud-africain.

Heureusement, personne n’a été blessé et les dommages sur les deux bateaux ne sont pas importants. De manière informelle, les participants s’entendent pour que le résultat de ces matchs ne soit pas divulgué. Pour les mêmes raisons, le bateau fautif n’a pas été dévoilé. Mais selon Mark Sadler, il y a toujours des umpires (des arbitres embarqués) de service et occasionnellement, des arbitres internationaux, pour juger et analyser les litiges. Même une collision peut-être un cas intéressant à étudier pour les deux équipes. Jeudi à midi, Mascalzone Latino-Capitalia était de nouveau sur l’eau, et disposait d’un petit avantage sur Areva Challenge juste après le départ. Quant à RSA 83, il sera bientôt de retour aux affaires.

Tempête dans le désert
A Dubaï, les Suédois de Victory Challenge ont évoqué les matchs très serrés disputés en interne. Il y a eu quelques collisions et le matériel a été poussé à la limite, parfois jusqu’à casser. Les hommes ont aussi été mis à rude épreuve.

“Pour la première fois, nous avons consacré un mois tout entier à régater entre nous et à faire des pré-départs” commente le skipper Magnus Holmberg. “C’est parfois devenu très intense. Je pense que nous avons subi au moins deux collisions, des chocs assez forts entre l’étrave et la jupe arrière, il y a eu aussi d’autres petits accrochages. Ce genre de configuration régate est également dur pour les gars. Nous avons eu plein de blessures aux bras et aux articulations et pas mal de blessures de fatigue de ce genre, mais rien de trop grave, qu’il s’agisse des hommes ou du bateau.”

Le rythme va encore s’accélérer à mesure que la date des compétitions approche. Plusieurs équipes comme Victory Challenge vont changer de registre pendant quelques semaines, avec un nouveau Class America à mettre à l’eau et à faire marcher. Mais en mars, la plupart des syndicats vont à nouveau se concentrer sur la préparation de l’équipage et la régate. Il y aura du sport devant le Port America’s Cup.

Source ACM

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Gill présente la Regatta Master.

Gill - Regatta Master
Gill - Regatta Master

La nouvelle montre Regatta Master de Gill offre un ensemble de caractéristiques qui séduiront les passionnés de voile, à un prix très attractif. Légère et étanche, cette montre résistera aux embruns mais aussi aux submersions complètes. Elle propose un affichage numérique de l’heure ainsi que de multiples fonctions.

La montre Regatta Master est spécialement conçue pour la pratique de la voile. Elle dispose d’un compte à rebours pour le départ des courses, d’un compas numérique, d’un calendrier et d’une alarme. Pour changer la pile, une simple pièce de monnaie suffira à retirer la capsule de protection, et une fois celle-ci repositionnée, la montre restera parfaitement étanche – un réel avantage pour éviter d’envoyer sa montre chez le revendeur ou fabricant.

Pour les marins globe-trotters, la montre Regatta Master offre également une fonction Dual-Time pour afficher à la suite deux fuseaux horaires différents, et de nuit, le fond électroluminescent permet de lire facilement les chiffres de l’écran. Pour compléter ce design moderne, la montre Regatta Master propose un bracelet moulé en caoutchouc.

Il est à noter que Gill devient pour deux ans Fournisseur Exclusif de vêtements pour AST, le Sailing Team Australien pour les Jeux de 2008.

Nick Gill, PDG de Gill :
"C’est une association à long terme très importante pour nous. Nous allons mettre en place une équipe dédiée qui sera dirigée par Greg Woods, le Directeur de Gill Australie. Nous sommes certains que cette opportunité va non seulement mettre en avant la qualité, l’excellence technique et la large gamme des produits mais montrera aussi le haut niveau de service et de soutien que nous pouvons apporter, ainsi qu’un gain en visibilité internationale pour Gill."

Plus d’infos sur : www.gillmarine.com/fr

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Berret-Racoupeau présente l

Azzuro 53
Azzuro 53

Leurs conceptions remportent 4 titres de champion du monde (1984, 1985, 1990 et 1991), l’Admiral’s Cup au classement individuel en 1985 et gagne le BOC en 1989-90 et 3 fois la Transat 6.50 en 1981-1984 et 1987. Ils conçoivent de nombreux bateaux de série entre autre pour Bénéteau et la Gamme des First et leur premier catamaran en 1991 le « Marquises » pour le chantier Fountaine Pajot. En 1994 Jean et Olivier s’associent et créent Berret-Racoupeau Yacht Design, le bureau prend vite de l’importance et le nombre de bateaux dessinés aussi, plus de 10 000 aujourd’hui.

Dernier né de la nouvelle gamme Azzuro, le 53’ allie définitivement performance et croisière au long cours. Fidèle à sa son savoir-faire, le chantier Alliage a choisi de construire le bateau en aluminium à tirant d’eau variable. En effet le 53’ est doté d’une profonde quille relevable à bulbe et de deux safrans lui assurant stabilité et vélocité tout en lui permettant avec ses 1.35m de tirant d’eau, l’accès aisé à des mouillages en eaux peu profondes. Le plan de pont est particulièrement fluide, la plage avant, parfaitement dégagée, est suivie par un roof panoramique discret. Le cockpit est séparé en trois zones, à l’avant zone invités avec deux longues banquettes, au milieu les deux postes de barre où reviennent l’ensemble des manœuvres et en arrière une très vaste jupe mais qui permet en navigation de loger une annexe avec son moteur relevé.

Le plan de voilure est composé d’une importante grand-voile et d’un génois à faible recouvrement, aux allures débridées, un gennaker sur emmagasineur, amuré sur le bout-dehors prend le relais.

L’Azzuro 53 est un véritable salon de pont. Son carré surélevé baigné de lumière, lui assure une vue sur mer imprenable que ce soit assis dans le salon, à la table à cartes, ou debout dans la vaste cuisine. En avant de la cloison de mât, on trouve une magnifique cabine propriétaire avec canapé, bureau, penderies et salle de bain. A l’arrière du bateau, deux spacieuses cabines invités avec vue sur mer vers l’arrière grâce à un large bandeau vitré et un cabinet de toilette.

Caractéristiques techniques :
LOA : 16,25 m
Lwl :    14.85 m
Bmax :  4.82 m
Dspl :  13.00 T
Ballast : 3.10 T
Draught : 3,00/1,35 m
Material : Aluminium
Sail area (with jib) :130.00 m2
Engine :  100 Hp
Generator : 8 Kva
Water maker : 50 l/h
Fuel capacity :     2×400 l
Water Capacity :  2×260 l

Decoration : Couedel Hugon Design

Plus d’infos sur : www.berret-racoupeau.com

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Si loin devant…

Poujoulat image embarquée Pacifique Etape 2 Velux 5 Oceans
DR

A la mi-journée, Stamm avait accroché un nouveau système dépressionnaire, après une période de transition éprouvante. « Les douze dernières heures étaient stressantes, explique Bernard. Le vent moyen était de 6 à 8 nœuds, puis soudain, cela rentrait sans prévenir à plus de 20 nœuds, avant de retomber d’un seul coup sous les 10 nœuds. C’était un peu sport dans les risées. Maintenant, je suis en train de toucher le vent de la dépression que je visais. C’est en train de s’organiser et de rentrer progressivement. »
 
Cette nouvelle dépression est du genre « nerveuse ». La zone de hautes pressions se déplace très vite, sans pour autant être très violente. « Les fichiers annoncent des vents moyens de 35 nœuds. Cela signifie que, sous les grains et au passage du front, je devrais être confronté à des vents de 40-45 nœuds. Je vais profiter de cette dep’ pour faire du Nord. Dès qu’elle sera passée, je ferai à nouveau cap à l’Est pour aller me positionner le mieux possible et bien négocier la zone d’alizés. » Pour le moment, CHEMINÉES POUJOULAT navigue, à 13 nœuds, sous grand-voile haute et gennaker.
 
A peine 300 milles du Cap Horn, et à 1.700 milles de Bernard Stamm, Kojiro Shiraishi vient d’être confronté à des problèmes de ballast. « Tôt ce matin, le vent est tombé et a tourné. Je me suis donc retrouvé au près et dans l’obligation d’aller vider mes ballasts.  J’ai ouvert la valve, mais l’eau ne se vidait pas…, confie Kojiro. Cela m’a pris 4 heures d’efforts, mais j’ai réussi à modifier mon système de ballasts. J’ai condamné certaines ballastes, mais maintenant je peux évacuer l’eau. C’est loin d’être parfait, mais je peux à nouveau utiliser les deux ballastes latérales, ce qui n’est déjà pas si mal ! »
 
A 1.600 milles de Kojiro, Sir Robin Knox-Johnston vient de passer Graham Dalton et de prendre la troisième place de cette deuxième étape. Une performance à saluer, car le doyen de la course navigue en « aveugle ». Son Fleet 77, comme son téléphone satellite acheté à Fremantle, ne fonctionnent pas. SAGA ASSURANCE, en plus de ses problèmes de grand-voile, ne peut donc pas télécharger de fichiers météo. Pour le moment, Sir Robin, Graham Dalton et Unai Basurko sont regroupés en moins de 50 miles et naviguent dans des conditions météo musclées. Un vent orienté au Sud-ouest qui devrait rapidement emmener le trio vers le Horn.

Source Velux 5 Oceans
 

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