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Le jeu est ouvert…

team new zealand
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Les Américains battent Luna Rossa, les leaders toujours à égalité
Pour le troisième duel consécutif, BMW ORACLE Racing se fait mener par son adversaire sur la moitié du match et, pour la troisième fois, les Américains s’imposent à l’arrivée. A l’issue du premier bord de spi, les Italiens, en tête de deux longueurs, choisissent d’enrouler la bouée de gauche, à la différence des Américains qui remontent – à raison – vers la droite du plan d’eau. USA 98 recroise devant l’étrave de ITA 94 et contrôle son adversaire jusqu’à l’arrivée. BMW ORACLE était de repos pour le Flight 6 et Luna Rossa a immédiatement égalisé en battant Areva Challenge. Avec un match de retard, l’écurie du milliardaire Larry Ellison conserve un léger avantage sur celle de Patrizio Bertelli.
 
Les Kiwis toujours invaincus et en embuscade
Cinq matches et cinq victoires pour Emirates Team New Zealand dans ce Round Robin. Sans enregistrer de gros écarts à l’arrivée (au maximum 59 secondes, face à Areva Challenge), l’équipage de Dean Barker fait preuve jusqu’ici d’une régularité sans faute. Avec deux nouveaux succès cet après-midi, les Kiwis n’ont plus qu’un point de retard sur les leaders. Après leur duel du jour, BMW ORACLE Racing et Luna Rossa Challenge accusent désormais une défaite chacun dans le Round Robin. Les Néo-zélandais attendront eux le Flight 9 pour défier les Italiens et le onzième, et dernier, Flight pour s’expliquer avec les Américains. Dans le premier Round Robin, les doubles vainqueurs de l’America’s Cup avaient perdu de 38 secondes face à ORACLE et de 48 secondes face à Luna Rossa. 
 
Victory Challenge en demi-finales ?
En s’inclinant face aux Néo-zélandais, pendant que les Suédois l’emportaient face aux Allemands, les Espagnols ouvrent la porte des demi-finales à Victory Challenge. NZL 92 est venu facilement à bout de ESP 97, à bord duquel l’Infante Cristina était 18e homme aujourd’hui. Ces deux équipes ont ensuite remporté leur second duel de la journée, les Espagnols face aux Chinois et les Suédois face à + 39 Challenge. Victory Challenge n’est donc plus qu’à un point du Desafío Español. Mais, s’ils ont vaincu quatre équipes qu’ils mènaient déjà au classement, les Suéduis ont perdu face à BMW Oracle Racing et Luna Rossa Challenge, deux adversaires que n’a pas encore rencontrés l’équipe locale de Valencia.
 
Les « lascars latins » jugent de paix ?
Jeudi soir, le Jury a pénalisé une nouvelle fois le syndicat de Vincenzo Onorato. Après avoir du repeindre ITA 99 pour l’utilisation d’une peinture non autorisée par les règles de Classe, Mascalzone Latino s’est vu retiré ses deux points gagnés en battant les Espagnols pour avoir décroché ses pataras pendant la manche, ce qui est interdit.

Avec deux nouvelles victoires, face à + 39 Challenge (qui n’a pas encore gagné de match dans ce Round Robin) et les Allemands, l’équipage de Vasco Vascotto est à seulement quatre points des Suédois qui seront leur tout dernier adversaire de ce Round Robin.
Le suspense reste donc bien entier pour ce quatrième siège des demi-finales plus que jamais convoité.
 
Les Français manquent de chevaux
De repos dans le Flight 5, Areva Challenge n’avait qu’un duel aujourd’hui contre Luna Rossa Challenge. Le face à face est énergique entre James Spithil et Sébastien Col, deux barreurs réputés pour leur agressivité dans les phases de pré départ. Les Class America se tournent autour. Les Français viennent chercher les Italiens au bateau Comité pour les ralentir et FRA 93 part mieux lancé que ITA 94. Malgré ce bon départ, le premier bord de près se transforme en long « speed test » (test de vitesse) face l’un des Class America les plus rapides de la flotte. Les Français n’allongeront pas la foulée, accusant plus de 150 mètres et 29 secondes de retard, à la première bouée. Ils couperont la ligne plus d’une minute derrière les Italiens.
 
Les Chinois se sont inclinés sans détour face à Team Shosholoza et le Desafío Español 2007. Tout comme les Allemands, opposés à Victory Challenge puis à Mascalzone Latino – Capitalia Team.

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Areva s’incline devant Luna Rossa

Areva s incline devant Prada
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Il n’y a rien eu à faire : les Italiens étaient suffisamment rapides pour ne pas être inquiétés par l’Equipe de France. Et pourtant, Sébastien Col prenait un bon départ après une phase préliminaire plutôt agressive et en partant pile au coup de canon avec James Spithill légèrement à son vent. Un très long bord tribord amure s’ensuivait et pendant bien des minutes, il n’y eu aucun avantage de vitesse d’un côté ou de l’autre. Le team tricolore essayait de grappiller le différentiel latéral pour repousser le Class America transalpin, mais  Luna Rossa Challenge bénéficiait d’un tout petit plus en vitesse et gagnait centimètre par centimètre. Au point de bloquer toute initiative de FRA 93 qui se voyait emmener au-delà de la « lay-line », la limite virtuelle du terrain de jeu. Les deux bateaux viraient de bord pour aller chercher la bouée au vent et l’écart était déjà de près de trente secondes.

Le bord de portant voyait l’écart augmenter et un aller-retour plus tard, les Français concédaient près de 300 mètres de retard. Incontestablement,  Luna Rossa Challenge était plus véloce dans ces conditions météo et AREVA Challenge n’a jamais eu l’opportunité de porter des attaques. Ce résultat n’est pas très surprenant dans la mesure où les Italiens sont bien partis pour terminer premiers ou seconds de la Louis Vuitton Cup. Mathématiquement, le team tricolore n’est pas encore éliminé du « quatuor majeur » mais il faudrait qu’il remporte les cinq duels restant tandis que les Espagnols devraient perdre tous leurs matchs… C’est encore possible puisque  Desafío Español 2007 a une fin de parcours difficile à l’exception de sa rencontre avec les Allemands. Et côté Français, la confrontation de dimanche s’annonce aussi extrêmement difficile face aux Américains…

Flight 5
Team Shosholoza bat China Team (2’01)
Emirates Team New Zealand bat Desafío Español 2007 (43”)
Victory Challenge bat United Internet Team Germany (1’18)
BMW Oracle Racing bat Luna Rossa Challenge (19”)
Mascalzone Latino-Capitalia Team bat +39 Challenge (2’07)

Flight 6
Luna Rossa Challenge bat AREVA Challenge (1’16)
Desafío Español 2007 bat China Team (3’45)
Emirates Team New Zealand bat Team Shosholoza (29”)
Mascalzone Latino-Capitalia Team bat United Internet Team Germany (34”)
Victory Challenge bat +39 Challenge (1’03)

Round Robin 2 flight 1+2+3+4+5+6+ (RR1+points bonus):
1-BMW Oracle Racing  : 2+0+2+2+2+ (18+3 bonus) = 29 points
2-Luna Rossa Challenge  : 2+2+2+2+0+2+ (16+3 bonus) = 29 points
3-Emirates Team New Zealand  : 2+2+2+2+2+ (14+4 bonus) = 28 points
4-Desafío Español 2007  : 2+2+0+2+ (14+3 bonus) = 23 points
5-Victory Challenge  : 2+0+2+0+2+2+ (12+2 bonus) = 22 points
6-Mascalzone Latino-Capitalia Team  : 0+0+2+2+ (12+2 bonus) = 18 points
7-Team Shosholoza : 0+2+0+0+2+0+ (10+2 bonus) = 16 points

8-AREVA Challenge  : 2+2+0+0+0+ (8+1 bonus) = 13 points
9-+39 Challenge : 0+0+0+0+0+ (4+2 bonus) = 6 points
10-United Internet Team Germany  : 0+0+0+2+0+0+ (2+1 bonus) = 5 points
11-China Team  : 0+2+0+0+0+0+ (0+1 bonus) = 3 points

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Knox-Johnston, infatigable légende

Robin Knox-Johnston Bernard Stamm arrivée Velux Bilbao
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A pas moins de 68 ans, le vétéran de la flotte ajoute un second tour du monde en solitaire à son palmarès. Sir Robin devient également l’homme le plus âgé à finir la VELUX 5 OCEANS. Son expérience, sa détermination et sa persévérance lui ont permis de se retrouver en mesure d’obtenir une place sur le podium, ayant ainsi battu des skippers pourtant mondialement reconnus.
Seules 165 personnes ont déjà bouclé un tour du monde en solitaire à la voile. En étant le premier à y parvenir, Sir Robin ouvrait la voie et continue maintenant à influencer l’univers de la voile, démontrant également de façon plus globale que l’âge n’est rien quand on a la motivation.
 
A son arrivée aux pontons ce matin, Sir Robin a commenté :
« Que ce soit sur l’eau ou aux pontons, comme toujours l’accueil à Bilbao est exceptionnel et je suis heureux d’être de retour. Cette course a finalement été plus facile pour moi que celle de 1969. Je crois que c’est plus simple quand on sait que c’est possible ce qui n’était pas le cas il y a quarante ans. Pour autant, Ce tour du monde était le dernier. Je ne recommencerai pas. Dans quatre ans, quand j’aurai 44 ans » a plaisanté Sir Robin « je serai trop vieux pour y aller et être compétitif. La VELUX 5 OCEANS a déjà délivré son lot de frustrations donc je n’ose pas imaginer ce que ça pourrait être une fois plus vieux.  Les nouvelles technologies embarquées ont été mon principal problème lors de cette course et ça n’a vraiment pas bien marché. J’aurai préféré naviguer sans, comme en 1969 mais le problème est que de nos jours, nous sommes absolument dépendants des programmes météo par exemple. Je n’ai malheureusement pas eu assez de temps au début de ce projet pour mettre le nez dedans. Si seulement c’était simple et qu’on m’avait donné un bon vieux manuel ! »
 
SAGA INSURANCE a coupé la ligne d’arrivée de la troisième et dernière étape de la course à 11h22 heure espagnole (09h22 GMT). Sir Robin a alors rejoint la marina à Bilbao où l’attendaient de nombreux locaux, amis ou partenaires. Arrivant trois jours et demi après le vainqueur Bernard Stamm, il aura fallu 16 jours, 17 heures et 2 minutes à Sir Robin pour parcourir cette transatlantique finale dont le départ avait été donné de Norfolk (USA – Virginie) le 18 avril dernier. Sir Robin espère toujours s’emparer de la troisième place au classement général. Pour cela, il faudrait que le local Unai Basurko, toujours en mer et à 100 milles de la maison, arrive plus de 42 heures après le doyen de la flotte. Et même si Unai est attendu en Espagne dans la nuit ce qui lui permettra de finir troisième au général, rien n’est joué pour Robin tant que le jeune concurrent n’a pas rejoint la terre ferme. L’aventure de Sir Robin Knox-Johnston sur la VELUX 5 OCEANS a été suivie avec passion aux quatre coins du globe. Déjà admiré et respecté pour ce qu’il avait accompli en 1969, Sir Robin a su de nouveau toucher le grand public et les amateurs d’aventures avec son second tour du monde en solo. Naviguant à bord d’un 60 pieds d’ancienne génération dont il n’a pris possession que quelques mois avant le départ, Sir Robin partait avec un sérieux handicap par rapport à des équipes ultra calées comme celles de Mike Golding, Alex Thomson ou Bernard Stamm.
 
Prenant pour la première fois la barre d’un 60 pieds Open, Sir Robin a eu peu de temps pour découvrir sa monture, les nouvelles technologies embarquées et plus généralement les spécificités de cette classe. Malgré tout, il avait pu se qualifier, accomplir les tests de sécurité exigés par la classe et ainsi s’aligner sur la ligne de départ de la VELUX 5 OCEANS le 22 octobre dernier. Seulement 24 heures après le départ, la flotte s’était fait balayée par une tempête dans le Golfe de Gascogne, n’épargnant pas son doyen. Sir Robin Knox-Johnston avait pourtant tenu bon alors que trois de ses concurrents avaient déjà fait escale. Mais avec le bateau brusquement couché sur le flanc et des dommages notamment au niveau du chariot de Grand Voile, il n’avait plus d’autre option que de s’arrêter pour réparer. Reprenant la course 48 heures après la pénalité imposée, Sir Robin se lançait alors dans la plus longue navigation qu’il avait effectué à bord de SAGA INSURANCE, et qui devait le mener en Australie. Après les abandons d’Alex Thomson puis de Mike Golding, Sir Robin a continué de prendre soin de son bateau, et de le découvrir, finissant troisième à Fremantle.
 
La tâche n’aura pourtant pas été simple pour Sir Robin qui a été affecté par des problèmes avec ses appareils électroniques dès le premier jour. Les moyens de technologies modernes n’ont pas sourit à Sir Robin qui a parcouru la majorité du globe avec un sextant et une VHF seulement. Naviguant dans le Grand Sud sans aucun fichier météo, Sir Robin est pourtant parvenu à rester dans la bataille et à ne pas se faire distancer pas ses jeunes concurrents. Lorsqu’il avait effectué sa première circumnavigation en 312 jours en 1969, l’auto pilote du bateau de Sir Robin était fait de barres en métal, l’eau qu’il buvait était celle de la pluie qu’il récoltait et l’essentiel de la nourriture qu’il avait embarqué était constituée de boites de conserves. Sir Robin Knox Johnston a parcouru les 30 000 milles de la VELUX 5 OCEANS en 159 jours, améliorant sa circumnavigation de 153 jours. Si l’expérience 2006/2007 est bien différente de la précédente en raison des moyens dont disposait Robin avec des pilotes automatiques, dessalinisateur, webcams et de la nourriture lyophilisée elle n’en reste pas moins le reflet des compétences d’un marin hors pair.
 
Bernard Stamm, Double vainqueur de la VELUX 5 OCEANS
“ Robin fait partie de plusieurs générations de coureurs. Il a connu et fait les toutes premières courses au large, puis des records puis maintenant de nouveau de la course au large avec des bateaux très différents. C’est un réel exploit. Moi ça fait peut être dix ans que je fais de la course au large avec les mêmes bateaux et je n’ai pas besoin de changer de façon de faire ou de naviguer. Je ne connais pas ce qu il connaît lui.”
 
David Adams, Directeur de course:
“Tout le monde a pensé que c’était fou que Robin s’inscrive à la VELUX 5 OCEANS et se lance dans un tour du monde à 67 ans. Je n’ai pourtant jamais douté de sa capacité à y parvenir et des aptitudes, de la force mentale et physique du bonhomme qu’il est. C’est un vrai marin, pour autant, finir cette course n’aura pas été une tache facile. Je pense qu’on se rappellera de cet exploit pour longtemps et qu’il place la barre haut. C’est une vraie légende de la voile et ce fut un plaisir que de le suivre pendant cette course.”

Source Velux 5 Oceans
 

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Un Anglais au sommet

GP Petit Navire Dragon Douarnenez 3 mai 2007
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Deux manches ont été courues hier et pour les favoris elles n’ont pas tout à fait le même goût. Jean-Gabriel Pasturaud sur « Vol de nuit » en est un parfait exemple. 32e de la première régate du jour, il remporte brillamment la seconde. Actuel 6ème au classement, tous les espoirs sont encore permis pour l’arcachonnais. Même mésaventure du côté des régionaux de l’étape, Louis Urvois et Gwen Chapalain, accompagné d’Eric Drouglazet. 2e et 5e des deux premières manches, « Ar Youleg II » termine 30e sur la dernière joute. Autres favoris, Thomas Müller et Vincent Hoesch sur « Sinewave , surprenants 28e mercredi, ont hier retrouvé leurs sensations en terminant premier et sixième. Ainsi, comme toujours en Dragon, la régularité sera la clef du succès même si la plus mauvaise manche sera sans doute supprimée si un nombre suffisant de régates ont été courues.
Côté français, c’est Jean-Yves Le Deroff sur « Ar Dizaon » qui tire le mieux son épingle du jeu en pointant au pied du podium. Les trois premières marches étant occupées par David Palmer « Princess Jalina », Valentin Uvarkin « Murka 9 » et Quentin Strauss « Gill », qui n’ont pour l’instant pas commis la moindre erreur sur le plan d’eau.

Les réactions du jour

David Palmer–« Princess Jalina », 1er au général
« On a eu beaucoup de chance. Lors de la première course, nous étions en tête du début jusqu’au dernier bord et nous finissons à la seconde place. Lors de la seconde manche, nous sommes partis presque derniers nous avons été forcés de partir à droite alors que nous pensions que la gauche allait mieux. On a très bien manoeuvré dans le vent instable et on se retrouve cinquièmes à la première bouée. C’est beaucoup de chance aussi. On finit 3e. Même si nous sommes premiers au général ce soir, finir dans les cinq serait déjà un très beau résultat. Douarnenez, c’est un plan d’eau très spécial, ce Grand Prix Petit Navire est très très bien organisé. C’est un ensemble : un beau plan d’eau, un beau village, un bon comité, des gens très sympas, ce qui en fait une épreuve à part. »

Dominique Hébrard – « Vol de Nuit », 6e au général
« On est encore dans le match et on se battra jusqu’au bout ! »

Jean-Yves Le Deroff – « Ar Dizaon », 4e au général
« Pour l’instant, on est pas mal, mais on comptera les points à la fin. Le but est de bien faire à chaque manche. »

Poul Hoj Jensen – « Danish Blue », 11e au général
« Lors de la deuxième manche, nous avons été poussés sur la ligne, après nous étions enfermés dans la masse. À la première manche, nous sommes partis à droite, le vent était à gauche, à la seconde on a été à gauche, le vent était à droite. Il faut aussi un peu de chance pour gagner. Mais c’est comme ça à Douarnenez. C’est dur mais c’est la voile de haut niveau. C’est pour ça que l on vient. Ici, il y a une vraie culture Dragon. Ils savent ce que c’est et ils savent organiser des courses qui durent parce qu’elles sont étalées sur plusieurs jours et sur des distances intéressantes. Tu rates une journée mais tu as encore le temps de te rattraper par la suite. La ligne de départ était absolument parfaite et dans ces conditions changeantes ce n’est pas facile. Le comité de course a fait un travail formidable aujourd’hui. Mais il reste deux jours et au moins trois manches à courir. Je garde l’espoir d’être bien placé. »

Source Grand Prix Petit Navire Dragon

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30 ans de plaisance à Cannes !

SN Cannes
SN Cannes

Les atouts incontestables qui ont fait du Festival un salon incontournable :
· Vitrine mondiale de la plaisance et salon référence,
· Lieu d’affaires unique dont la qualité s’étend désormais bien au delà des frontières européennes,
· Les essais en mer,
· Plus de 180 nouveautés présentes et une multitude d’avant premières,
· Depuis 2006, le salon redouble d’intérêt en ouvrant ses pontons au très dynamique marché du yacht d’occasion,
· Nombre croissant d’exposants et de visiteurs du monde entier

En 2006…
54 716 visiteurs, 78 500 m² de surface d’exposition, 465 exposants, 550 bateaux à flots dont 180 nouveautés, 250 bateaux à terre, 800 marques présentées sur le salon, 65% de chantiers étrangers, 35 pays représentés.

Le Vieux Port de Cannes
Avec près de 500 bateaux neufs à flot, le Vieux Port a l’art et la manière de présenter, en  avant-première, les plus belles nouveautés des grands chantiers internationaux dans un cadre somptueux. La qualité et la densité du Festival s’illustrent, sur l’eau, par une offre mixte de bateaux à moteur et de voiliers de 10 à 50 mètres et, à terre, par la présence de nombreux exposants dédiés aux services, aux équipements des bateaux toujours plus sophistiqués …

Le Port Pierre Canto
Depuis 2006, le Port Pierre Canto ouvre ses pontons au très actif marché du bateau d’occasion et complète ainsi l’offre du Festival déjà très riche. Le Festival accueille des yachts de 25 mètres à 70 mètres proposés par les grands brokers européens et américains. L’occasion de découvrir un vaste panorama des plus beaux yachts du monde.

L’Espace Riviera
Un lieu magique pour des marques prestigieuses. L’Espace Riviera présente, d’édition en édition, une offre toujours plus qualitative dans le domaine de la Grande Plaisance. Raffinement, innovation, qualité, design : l’art de vivre à bord ne cesse d’évoluer pour satisfaire l’exigence des propriétaires. Dans cet espace, entièrement climatisé, se côtoient près de 100 exposants rivalisant de talent créatif et d’excellence technologique.
Les secteurs représentés : Aménagement intérieur, Architectes et designers, Chantiers Grande Plaisance, Equipements et technologies, Sociétés de services, Tenders et annexes de yachts, Tourisme, Marina.

Source Salon Nautique de Cannes
www.salonnautiquecannes.com

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L’AS Lease Challenge ouvre la saison

trimaran Banque Populaire IV Bidégorry
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Le parcours :
1400 milles pour un triangle celtique inédit ente Lorient, La Corogne et Le Fastnet. Le sens de rotation entre ces trois points sera défini au dernier moment, en fonction de la météo. Le départ est prévu le dimanche 13 mai à 15h00. Quatre jours seront nécessaires à nos quatre équipes, composées chacune de six marins, pour rallier le port de Kéroman à Lorient.

Une arrivée programmée :
Afin de satisfaire tant la presse qui suit de prêt cette classe, que le public, l’organisateur Vincent Borde a imaginé de définir avant même que le coup d’envoi de la course ne soit donné la date et surtout le créneau horaire d’arrivée ! «  Si la météo n’est pas une science exacte, nous avons tout de même une visibilité de ce que seront les conditions rencontrées sur quatre jours. Forts de cela, nous nous sommes dits qu’il serait agréable pour tous d’assister à une arrivée de course de jour. Ainsi, les armateurs peuvent inviter leurs clients sans avoir à faire face à l’incertitude de l’arrivée. Quant au public, il pourra se placer sur les côtes non loin de la ligne pour partager ce moment fort que constitue toujours une arrivée de course ! Il ne restera plus qu’au soleil d’être de la partie mais, malheureusement sur ce point, nous n’y pouvons rien !!» Le concept mis au point pour pouvoir parvenir à ce résultat est assez simple : « Plusieurs options sont possibles. Les concurrents peuvent arriver directement et couper la ligne dans le créneau prévu. Par contre, s’ils se présentent en avance, il leur suffira d’effectuer un certain nombre de tours soit entre l’île de Groix et Belle-Ile, soit entre l’île de Groix et l’île d’Yeu afin de franchir la ligne dans un créneau horaire qu’il nous reste à affiner mais qui devrait se situer entre 15h00 et 17h00 le jeudi 17 mai ! » 

La course inshore ou le Trophée des Multicoques de l’AS Lease Challenge :
Le Trophée se déroulera les samedi 19 et dimanche 20 mai prochains. Deux à trois manches seront lancées chaque jour. Ce sera l’occasion pour les quatre équipages en lice de tirer des bords devant les côtes du pays de  Lorient et de faire profiter du spectacle qu’offrent immanquablement les multicoques 60 pieds, au public local.

Les multicoques et les skippers inscrits :

1. Banque Populaire, Pascal Bidégorry
2. Gitana, Lionel Lemonchois
3. Groupama, Franck Cammas
4. Sopra Group, Antoine Koch

Source AS Lease Challenge

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Les Américains ont eu chaud ! – Areva Challenge s’incline face aux Espagnols

oracle BMW
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Les « zoulous » préparent, les « vikings » ont failli conclure
Team Shosholoza et Victory Challenge ont fait transpirer les Américains ! Dans le premier match, Paolo Cian, à la barre de RSA 83, prend l’avantage au départ sur Chris Dickson. Team Shosholoza mène ensuite avec panache pendant les deux premiers bords, mais commet une erreur sur le second près. Les Sud-africains partent à droite alors que les Américains choisissent la gauche. Au croisement, USA 98 a deux longueurs d’avance et le rêve de victoire des « Sud-Af » s’envole.

Hier soir, Stefan Rahm, tacticien de Victory Challenge, déclarait « Nous progressons en même temps que les performances des challengers se nivellent. » Quelle belle démonstration ! Dès le départ, Victory Challenge mène BMW Oracle Racing et résiste majestueusement jusqu’à la seconde bouée au vent où « Dickson » se glisse – dans un coup de maître – entre la marque et les Suédois. Les Américains l’emportent de 14 secondes.
 
Pas si facile pour Luna Rossa
Dans le premier match, James Spithill à la barre de Luna Rossa Challenge va chercher le bateau allemand dans la phase de pré départ. Celui-ci ne répond pas au lof de ITA 94 et écope d’une pénalité. Les Italiens emportent la manche avec 1 minute d’avance sur l’équipage de Jesper Bank. Les rôles s’inversent au second départ, face aux Sud-africains, où c’est Luna Rossa qui, bloqué au comité, doit virer avant de couper la ligne. ITA 94 reprend les commandes et RSA 83 fait pression jusqu’au bout. Mais sans succès, Luna Rossa sort vainqueur avec 25 secondes d’avance.

Déception pour Areva Challenge
Cette nuit, les Français ont modifié l’angulation des ailettes du bulbe de quille de FRA 93 pour améliorer les performances au portant. Cela n’aura pas permis de s’imposer aujourd’hui face aux Espagnols. Areva Challenge ne réitère pas la performance du Round Robin 1 sur cet important « match retour ». Malgré un départ correct de l’équipage de Sébastien Col, le Desafío Español prend l’avantage, mène la manche et détruit les espoirs tricolores face à cet adversaire logiquement «  accessible ». Sur le second match, face aux Kiwis, les Français sont bien accrochés dans le premier près mais lâchent prise et laissent la victoire à Emirates Team New Zealand. 

Changement de barreur concluant chez Mascalzone ?
Mardi soir, Vincenzo Onorato, la patron de Mascalzone Latino, a annoncé que Cameron Dunn remplacerait Flavio Favini à la barre, pour le duel crucial face au Desafío Español. Dunn « tue » le match dès le départ en bloquant le bateau espagnol au comité, le forçant à virer et à prendre le départ deux longueurs derrière ITA 99. Les Italiens soignent cet avantage qui se transforme à 35 secondes d’avance sur la ligne d’arrivée. Battus par les Espagno ls dans le « match aller », les Italiens prennent ici une précieuse revanche pour leur avenir dans la Louis Vuitton Cup.
 
Journée à quatre points pour les Kiwis
Michael Schumacher était 18e homme aujourd’hui à bord de NZL 92. Le septuple champion du monde de Formule 1 a assisté à une victoire facile des Néo-zélandais face à + 39 Challenge. Avec leur seconde victoire face aux Français, Emirates Team New Zealand empoche quatre points sans grande surprise.
 
Montée d’adrénaline chez les Chinois
En début d’après-midi, la ralingue de la grand voile cède (accroche de la voile au mât). Opposé à Victory Challenge, le bateau chinois prend néanmoins le départ sous génois seul avant de réussir à renvoyer la grand voile. Les Suédois l’emportent de presque 12 minutes. Entre les deux duels, Thierry Barrot débarque souffrant d’une blessure à l’abdomen survenue hier. L’équipage de Pierre Mas s’incline ensuite face aux Allemands.

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Gill : de nouvelles Rash Vests.

Gill
Gill

Gill ajoute à sa célèbre gamme de lycras Rash Vest de nouveaux modèles toujours conçus à partir des meilleurs matériaux.

Fabriqués en Lycra 6oz, les hauts Rash Vest extensibles garantissent un confort et une protection renforcés, grâce notamment à leur col remontant et à leurs coutures plates. Ils offrent également une excellente protection UV (UPF 50+) et sèchent très rapidement. Pratiques mais aussi très actuels, les lycras Rash Vest de Gill feront sensation dans le milieu du dériveur.

Les nouveaux lycras Rash Vest, avec leur dessin imprimé, sont disponibles en plusieurs couleurs et en version hommes ou femmes. Deux autres couleurs existent également pour les enfants, filles ou garçons. Tous ces modèles sont disponibles en manches longues ou manches courtes.

Rash Vests Gill pour hommes – Manches Longues
Couleur: Noir/Bleu ou Blanc/Vert

Rash Vests Gill pour hommes – Manches Courtes
Couleur: Bleu/Blanc ou Vert/Blanc

Rash Vests Gill pour femmes – Manches Longues
Couleur : Noir/Blanc ou Blanc/Rose

Rash Vests Gill pour femmes – Manches Courtes
Couleur : Gris/Bleu ou Blanc/Rose

Rash Vests Enfants Garçon – Manches Longues ou Manches Courtes
Couleur : Bleu/Blanc

Rash Vests Enfants Filles – Manches Longues ou Manches Courtes
Couleur : Rose/Blanc

Source Gill
Email: info@interdist.fr
www.interdist.fr

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nke, Stamm et la Velux.

nke - stamm
nke - stamm

L’arrivée victorieuse de Bernard Stamm dans la Velux 5 Oceans nous vaut ce message de l’équipementier électronique nke.

"« C’est bien quand ça s’arrête, et c’est encore mieux quand c’est gagné », voici les premiers mots de Bernard Stamm à son arrivée à Bibao.

Bernard Stamm, sur Cheminées Poujalat, savoure sa deuxième victoire sur cette course qui est « un véritable ping-pong avec les nerfs ». Malgré la pression exercée par Kojiro Shiraishi sur la dernière étape entre Norfolk et Bibao, le Suisse a glissé son Cheminées Poujoulat, en tête sur la ligne d’arrivée lundi 30 aril à 17h13. Il a fait toute la course en tête, remportant les trois étapes au programme de la course pour signer, comme Philippe Jeantot et Christophe Auguin avant lui, le doublé après sa victoire lors de l’édition 2002-2003.

Le japonais Kojiro Shiraishi sur Spirit of Yukoh, termine deuxième à cette course, et marque ainsi sa première expérience réussie avec nke.

Le britannique Sir Robin Knox-Johnston sur Saga Insurance est pour l’instant troisième de la course.
nke est heureuse d’avoir participé à la victoire de Bernard Stamm et de Kojiro Shiraishi. Nous attendons les résultats de Sir Robin Knox-Johnston. Ces trois skippers ont choisi nke pour une performance garantie sur cette course emblématique."

Source nke
www.nke.fr

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Ouverture du Grand Prix Petit Navire pour les Dragon

Dragon GP Petit Navire 2007 Douarnenez
DR

Ce second round des Dragon à Douarnenez va sans doute donner lieu à de belles joutes d’autant qu’il y aura comme un parfum de revanche dans l’air entre les favoris. En effet, si « Ar Youleg II » le Dragon français barré par Louis Urvois, vainqueur de la Coupe, entend bien rejouer les troubles fêtes, il faudra de nouveau compter sur le « Sinewave » de Thomas Müller et Vincent Hoesch, sur les russes Vadim Statsenko et Valentin Uvarkin, le danois Pol Hoj Jensen et les finlandais de « Rat Pack » bien décidés à ne rien lâcher.
Mais attention, parmi les nouveaux venus, Bruno Peyron sera également un candidat sérieux. La présence à Douarnenez du skipper du bateau le plus rapide du monde n’est pas le fruit du hasard. Bruno est un fidèle des évènements douarnenistes : « c’est un véritable plaisir de retrouver Douarnenez, avait déclaré Bruno Peyron lors de la dernière Gold Cup qui s’était déroulée à Douarnenez en septembre dernier. J’ai la chance de pouvoir participer à ces régates qui opposent les meilleurs spécialistes de Dragon. Cela va être un véritable challenge à relever de se confronter à ces ténors. J’aime beaucoup l’esprit de cette classe. Ce sont des passionnés et malgré la compétition, il y a sur l’eau un véritable « Gentlemen’s Agrement ».

La manche du jour

Bruno n’a d’ailleurs pas tardé à retrouver ses marques car sur cette première manche, il termine sur « Ar Gwellan » à la troisième place damnant le pion à plusieurs dragonnistes chevronnés. Les Français sont une nouvelle fois en haut de l’affiche sur cette première journée de régate. Louis Urvois sur « Ar Youleg II » signe de nouveau une très belle performance et monte sur la deuxième marche du podium. Babou Pasturaud, le champion de France 2006, qui retrouve pour ce Grand Prix Petit Navire son Dragon « Vol de Nuit », obtient quant à lui une quatrième place prometteuse. Cependant, si les Français ont été omniprésents, c’est Valentin Uvarkin et son « Murka 9 » qui réalise la meilleure performance du jour. Une confirmation du très bon niveau de la délégation russe qui s’est déplacée cette année en masse à Douarnenez. À noter sur cette manche, la contre-performance de « Sinewave », le Dragon de Vincent Hoesch et Thomas Müller, qui termine à la 28e place alors que Pol Hoj-Jensen sur « Danish Blue », en terminant à la 9e place, reste dans le coup pour le classement général.

Ils ont dit :

Eric Drouglazet, « Ar Youleg II », 2e de la manche
« C’est la première fois que je navigue sur Dragon et cela n’est pas évident pour moi de passer du Figaro au Dragon mais je suis bien encadré avec Louis Urvois et Gwen Chapalain. On a fait une bonne manche alors je pense que j’aurais le droit de revenir demain…(Rires…) »

Louis Urvois, « Ar Youleg II », 2e de la manche
« Non, le fait de remporter la Coupe de Bretagne hier ne nous a pas donné d’avantage psychologique. Par contre, c’est vrai que dans ce type de conditions, bien connaître la Baie de Douarnenez est sans doute un avantage. Mais rien n’est joué ! »

Jean-Gabriel Pasturaud, « Vol de Nuit », 4e de la manche
« Tout va bien… On fait une bonne manche. Mais de toute façon, on préfère ne pas trop se faire remarquer. Notre expérience précédente lors de la Gold Cup, où nous nous étions faits disqualifiés alors que nous étions 2ème au général est un souvenir encore très frais… »

Vincent Hoesch, « Sinewave », 28e de la manche
« C’est une mauvaise journée pour nous. Nous n’avons pas su sentir le vent. Bien connaître le plan d’eau était sans doute un avantage aujourd’hui. Mais je suis très content pour les Français et les douarnenistes. Pour nous, cela va être compliqué maintenant au général. »

Bruno Peyron, « Ar Gwellan » 3e de la manche
«  Je suis content. On a pris un très bon départ et étions en tête à la première bouée. C’est vraiment sympa de revenir à Douarnenez et de régater contre tous ces champions. »

Source GP Petit Navire

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