La progression des équipes de la Volvo dans Course au Large no.52

Course Au Large N 52 - Volvo Ocean Race
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Les avaries techniques et les aléas météorologiques des deux premières grandes étapes de la course autour du monde ont quelque peu brouillé les cartes. Mais si les scores bruts de chaque team ne sont pas totalement révélateurs de leurs performances il est tout de même possible de mieux cerner les potentiels des six concurrents. Ainsi, il se confirme bien que le plan Farr de l’ancienne génération est en déficit de vitesse à toutes les allures dès que la brise dépasse les dix nœuds : Sanya n’a pas la puissance des nouveaux prototypes et le delta oscille entre 0,1 et 0,5 nœud au près débridé dans une brise modérée, pour culminer à près d’un nœud au reaching avec plus de 15 nœuds de vent.

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Mike Sanderson ne semble donc avoir aucune chance de remonter sensiblement au classement et ne peut compter que sur des coups stratégiques radicaux – comme il a tenté de le faire lors de la deuxième étape – ou sur des erreurs de placement de ses concurrents pour accrocher une place sur un podium. De fait, les conditions statistiquement favorables à un coup d’éclat ne sont pas légion : la deuxième partie de la troisième étape entre les Maldives et Sanya, la sixième manche entre le Brésil et Miami et les deux étapes finales qui pourraient se dérouler au cœur de l’anticyclone des Açores, donc dans du petit temps tordu…  (…)

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