La monotypie en question dans le nouveau Course Au Large

CAL 58 Vendée IMOCA
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Bruno Retailleau, quel bilan à chaud tirez-vous de ce septième Vendée Globe ?

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“Un bilan extraordinaire… et paradoxal. Souvenez vous que cette septième édition s’annonçait comme une édition de crise. Plusieurs mois avant le départ, on se demandait si on allait avoir un plateau de 17 ou 18 bateaux.. on en a vu 20 et finalement ce Vendée Globe s’est avéré comme l’édition de tous les records : record sportif, record de vitesse, record de distance sur 24 heures et pour la première fois le passage sous la barre mythique des 80 jours… avec de surcroît une flotte beaucoup plus homogène que la dernière fois. Génial de ce point de vue-là ! Pour nous, les retombées sont sans précédent. Sur Internet, cela n’a plus rien à voir évidemment avec ce que nous avions enregistré il y a quatre ans.”

“On doit être à 240 millions de pages vues sur Internet, des centaines de milliers de téléchargements de nos applications mobiles, des milliers de joueurs sur Virtual Regatta, un trafic sur les réseaux sociaux incroyable. Alors évidemment voilà quatre ans les réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook étaient moins développés. Mais c’est extraordinaire tout de même. Nous voulions faire l’édition “deux point zéro” du Vendée Globe, je pense que nous y sommes parvenus. ” (…)

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