Plusieurs solutions se présentent à l’équipage de Orange : intervenir directement sur le safran et effectuer une stratification de la zone d’impact, sous la mer. Soit enlever le safran, le remonter à bord, le réparer et le remettre à poste ensuite. Cette seconde solution n’est à priori pas celle retenue par Peyron qui semble envisager plutôt une réparation sous l’eau. Réponse dans deux jours…Pour l’heure, le géant Orange II continue à accumuler les milles à 25 noeuds de vitesse moyenne, navigant bâbord amure, donc en appui sur la dérive et le safran tribord. Le safran endommagé n’est donc pour l’instant pas sollicité.
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