Les montres Patton doivent leur réputation de solidité à leur haut niveau de technicité et aux essais très rigoureux en laboratoire. Les mots d’ordre des horlogers Patton sont toujours les mêmes : précision, solidité, fiabilité. Chaque Patton est assemblée, contrôlée et réglée avec le plus grand soin dans leur atelier Suisse avant de recevoir le label final. En sortie de production, et après avoir subi de nombreux tests qualité, chaque montre reçoit son numéro individuel d’identité gravé sur son fond de boite.
Mais la plus grande fierté du fabriquant reste à juste titre liée aux essais en situations réelles extrêmes afin de valider les recherches et tests en laboratoire qu’effectue régulièrement la marque. Ceci afin que les montres Patton vous accompagnent dans toutes les situations, même les plus extrêmes. Petite revue des tests réalisés sous forme de défis :
– Sous un bateau de course
Une Patton P42i a récemment été installée plusieurs semaines sous l’avant du 60 pieds de Sébastien Josse. Les milliers de miles en convoyage depuis Anvers puis au Grand Prix Petit Navire (que Sébastien et son équipage ont brillamment remporté), n’ont en rien altéré le bon fonctionnement de la montre. Prévue pour endurer les pires conditions des mers les plus rudes, la P42i va continuer son aventure accrochée à la base de la sous-barbe du bout dehors, durant toute la saison des courses entre la France et l’Angleterre, pour finir en apothéose par la Transat Jacques Vabre.
Cette Patton placée à cet endroit accumule des dizaines de milliers de chocs souvent extrêmement violents, et prouvant ainsi son extraordinaire solidité et son étanchéïté à toute épreuve.
– Au fond de l’océan indien
Une Patton P42 Hyperbare est accrochée à une épave de cargo reposant sur le fond de l’océan indien, fixée autour d’un câble se situant à l’intérieur de la passerelle du navire. Une fois par mois, des scaphandriers de haut fond contrôlent l’étanchéité de la boite ainsi que la régularité du mouvement. A ce jour la P42H étanche à plus de 1000 mètres donne toujours l’heure exacte sans variation depuis sa mise en abysse. La pile au lithium de cette montre étant prévue pour une durée d’environ dix ans, l’expérience va donc continuer !
– Derrière un offshore à 55 noeuds
Traînée à l’aide d’un bout de 35 mètres à plus de 55 noeuds (100Km/heure) derrière un bateau Offshore Donzi de 36 pieds survitaminé avec deux hors-bord “550 chevaux”, la Patton P42 a résisté à des chocs d’une violence inouïe. A cette vitesse, l’eau est aussi dur que le béton et la brutalité des impacts et des rebonds est impressionnante. En remontant à bord du bateau après deux longs runs réalisés au large du Fort de Brégançon, elle est ressorti de l’eau sans dommage et parfaitement à l’heure…
– A bord d’un avion de largage
Une Patton P42 Chronographe a été attachée à l’extérieur d’un avion de largage de parachutistes. En 6 heures: 17 décollages, 17 atterrissages. Altitude : 4500 mètres. Températures : en l’air jusqu’à -9°, au sol +24°. Montée 17 minutes, descente en piqué en moins de 3 minutes soit 8000 pieds/minute… L’avion se posait avant les parachutistes… Chocs thermiques, vibrations et variations de pression n’ont en rien perturbé la précision et l’étanchéité de la P42C.
– Tour de piste à 240 km/h
Une Patton P42 Chronographe a été fixée dans la jante d’un célèbre coupé de course allemand… 3 pilotes et 6 heures plus tard, la P42C fonctionne parfaitement, un nouveau défi gagné !
– Dans une faille de l’Aiguille du Midi
Une Patton P42I a été enfouie dans une crevasse de l’aiguille du Midi sur le massif du Mont-Blanc à 3800 mètres d’altitude par une équipe de guides de haute montagne de Chamonix. Elle reste à ce jour dans des conditions extrêmes de grand froid. Elle restera d’ailleurs au coeur de la montagne tant qu’elle sera opérationnelle. L’équipe de guides contrôle son bon fonctionnement à chacun de ses passages auprès du site. Le mouvement de cette montre extrêmement économe en énergie est équipée d’une pile au lithium dont la durée de vie est de +/- 10 ans…
D’autres défis seront à n’en pas douter à suivre sur le site de l’horloger.
Source : Patton Watches
www.patton-watches.com