C’est au Salon Nautique de Paris, Halle 1, stand H 60 qu’Alubat exposera ses réponses à un contexte économique tendu. Les OVNI 395, 445 et 495 présentés "beaché" sur semblant de plage, et non sur bers, expriment la diversité et le renouvellement de la marque, tout en insistant sur l’esprit d’évasion qui les caractérise. Construit à plus de 90 exemplaires en 4 ans, l’OVNI 395 est le voilier de croisière hauturière et de voyage de référence. La robustesse de sa conception en aluminium, ses aménagements et ses équipements spécifiquement étudiés pour le large, et son tirant d’eau variable (dériveur intégral), font de ce voilier un véritable baroudeur des mers.
Avec l’OVNI 445, le dernier né de la gamme OVNI, Alubat confie à Marc Lombard le soin de réaliser le voilier "grand voyage " de référence. On y retrouve toutes les caractéristiques de la marque, avec plus de performance, plus d’élégance, plus de confort et toujours dériveur intégral 100 % Aluminium.
Le "grand" OVNI 495 (14,95 m), propose aux amateurs de dériveurs intégraux, un voilier innovant tant sur le plan technique que sur le plan esthétique. Il s’agit là encore d’un bateau 100% aluminium destiné aux grandes traversées océaniques, offrant espace et confort avec un vaste carré pouvant accueillir jusqu’à huit personnes. Comme toutes les créations Alubat, il pourra être personnalisé en fonction des goûts et des habitudes de navigation.
Autre nouveauté salon sur le stand Alubat, aux côtés des voiliers "beachés" façon croisière exotique, la présence d’un espace "expo qualité", sur lequel le fabricant Vendéen explique ses points forts : rigueur et robustesse de construction alliées à un soin constant du détail, « la qualité Alubat est aussi dans les détails ».
Avec une stratégie à l’exportation en pleine expansion, Alubat attend à Paris de nombreux visiteurs venus d’Angleterre et d’Espagne, mais aussi d’Allemagne, d’Italie et des pays scandinaves.
Alubat en bref…
Créé en 1973, le chantier Alubat n’a cessé de revendiquer son identité hors du commun ; le chantier se fait le roi du contre-pied :
Fabriquer des bateaux en aluminium lorsque tout le monde se lance dans le polyester.
Utiliser l’aluminium pour fabriquer des bateaux de série lorsque tout le monde voit dans ce matériau le champion du bateau amateur ou à l’unité.
Mettre sur le marché des dériveurs intégraux destinés au grand voyage et au tour du monde quand tout le monde ne jure que par les quillards.
Personnaliser des bateaux de série à l’heure de la rationalisation industrielle.
Pourquoi l’alu ?
Le choix de l’aluminium : avec sa densité de 2.7 et ses caractéristiques mécaniques de rigidité et de capacité à absorber les chocs, l’aluminium est sans doute le matériau idéal pour construire des bateaux à la fois légers et sûrs. Si on ajoute à cela la flexibilité qu’il offre en terme de process, l’aluminium est à coup sûr le matériau le plus adapté à la construction de bateaux personnalisés.
L’originalité de la stratégie d’Alubat a été d’utiliser l’aluminium pour faire des bateaux de série personnalisés et ainsi offrir des prix très compétitifs pour de telles réalisations.
Dériveur intégral ?
Un dériveur intégral n’a pas de quille, ce qui permet le plus petit tirant d’eau possible sur un monocoque. Un dériveur intégral a son lest à l’intérieur de la coque, ce qui réduit encore le tirant d’eau, mais au détriment de la raideur à la toile du fait de la réduction du bras de levier. Les dériveurs lestés et intégraux habitables constituent des voiliers de croisière agréables, qui peuvent accéder à des mouillages peu profonds grâce à leur faible tirant d’eau, et s’échouer facilement, assurant leur stabilité par la largeur du fond de la coque, par la largeur de la courte dérive assistée de courte béquilles ou de doubles safrans qui en tiennent lieu. La gamme Alubat se décline ainsi, dériveur intégral à bouchains pour les Ovni, Quillard de grande croisière rapide pour les Cigale, ketch grand confort pour l’Alubat 58.
Source Alubat
www.alubat.com




















