Quel avenir pour le Tour de France dans le nouveau Course Au Large

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Les pontes d’Amaury Sport Organisation (ASO) aiment à le rappeler : après une édition de transition, d’appropriation de l’épreuve, ce Tour de France à la Voile 2013 marquait leur véritable entrée dans le monde de la voile. A l’heure du bilan, on note de belles réussites, mais aussi des déceptions, à tout le moins des points à améliorer. Revue de détail.

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Certes, en claquant 22 manches sur 37 courues, le drogué de victoires Franck Cammas a tué le suspense dans l’œuf. Son team a devancé de plus de 100 points les équipages de Courrier Dunkerque et Bretagne-Crédit Mutuel Elite, qui complètent le podium. Une vraie razzia de l’armada Groupama. Reste que les marins du Tour s’accordent à dire que le niveau sportif de cette 36e édition était particulièrement élevé. Skippers renommés, équipiers de haut vol : le plateau réuni avait de quoi faire saliver (voir Course Au Large n°59). L’épreuve a tenu toutes ses promesses, les “tueurs” étaient bel et bien au rendez-vous.

Et, coup de chance, les conditions météo ont été exceptionnelles de Dunkerque à Marseille : vents souvent portants, chaleur et soleil la plupart du temps. “Nous savions que le niveau allait monter d’un cran avec les arrivées des teams de  Franck Cammas et de Thomas Coville. Les autres équipes se sont mieux préparées, cela a tiré le niveau général vers le haut”, indique Daniel Souben, skipper de Courrier Dunkerque et grand habitué de l’épreuve estivale. Thomas Coville, justement, a lui aussi pris du plaisir dans ces régates au couteau  (…)

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