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Vendée Globe. Armel Tripon : “Seul au monde austral”

Armel Tripon se rapproche du Cap Leeuwin et se situe à 400 milles de Romain Attanasio et Clarisse Crémer. Récap de sa cavacade dans le sud.

Après 35 jours de course à bord de L’Occitane en Provence, je passe à 400 km au nord des îles Kerguelen, terre australe française depuis 1893! Au nez et à la barbe des Anglais. Eh oui, James Cook y est arrivé un an après notre navigateur Yves Joseph de Kerguelen qui y débarqua en 1776! C’est hallucinant de mettre en perspective leur navigation en aveugle, dans ces contrées si sauvages, si inhospitalières, où il n’y a que les oiseaux pour y vivre sereinement et parcourir des milles et des milles, remontant au vent avec une intelligence et une économie d’énergie incroyable et fascinante à regarder.
Et notre fuite, notre cavalcade vers l’Est, au plus vite, l’oeil toujours dans le rétroviseur deux fois par jour au minimum pour scruter les dépressions qui vont potentiellement nous cueillir à froid!
Je navigue par 47° Sud, entouré d’oiseaux, de nuages et de mer. Cette nuit je suis sorti changer de voiles, il faisait jour à 1 heure du matin, quelque peu déstabilisant! Le froid était si perçant que mes mains avaient du mal à trouver leurs usages habituels. Il m’a fallu 50 minutes quand quelques jours avant j’en mettais 30! Je me retrouve donc dans ce décor somptueux avec ces nuances de gris qui vous font confondre l’horizon de la mer, il n’y a que la houle et ses déferlantes d’écume blanche au sommet pour se détacher du tableau!


Il est 1 heure du matin, je suis seul sur le pont de mon bateau, dans l’aube naissante d’une fin de nuit australe et je souris à la vie qui m’a conduit à être ici, à interpeller les albatros qui se moquent bien de mon étrange bateau volant qui ne sait qu’être poussé par le vent, et accélérer par à-coups, quand une vague veut bien le pousser.
Seul en mer, seul dans mes choix stratégiques, dans mes manoeuvres, seul dans mes nuits de course effrénées, seul dans mes repas, seul et confiné dans 4m2, seul mais heureux d’un destin choisi, d’un choix de vie libre comme l’étaient ces marins intrépides.
Notre aventure est plus balisée, plus connue et sans surprise depuis la terre et nos connaissances théoriques du terrain que j’ai préparé consciencieusement avant ma course. Mais le vivre seul est une toute autre histoire, vivre cette course est inouïe et ressentir cette désolation, ce paysage qui n’est pas fait pour s’attarder, a une saveur difficilement explicable; j’en mesure chaque jour l’intensité et la beauté.
Propos recueillis par Sabine COLPART pour l’AFP

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Trophée Jules Verne. Convoyage vers la Réunion

L’équipe Sodebo fait route vers la Réunion où elle rejoindra son équipe technique pour faire un check complet du bateau avant de repartir vers Lorient. Elle devrait mettre 20-23 jours pour revenir.

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Vendée Globe. Charlie a effectué sa réparation

Antoine Carraz, Directeur Technique du Team APIVIA a communiqué à 16h sur la situation à bord d’Apivia. Charlie a effectué une réparation et repris sa route. Reste à voir si celle-ci tiendra avant d’attaquer le Pacifique.

« Nous avons travaillé toute la nuit et dans la matinée avec Charlie afin d’être en mesure de proposer une solution viable et tenter de résoudre le problème constaté. Charlie a modifié sa trajectoire afin de profiter de conditions favorables pour effectuer la réparation de la cale basse du foil bâbord et celle-ci s’est bien déroulée. Le bateau a ainsi pu reprendre sa trajectoire aux alentours de 13h (heure française) et Charlie a pu aller se reposer. L’objectif est maintenant de valider la réparation dans les heures qui viennent afin de passer plus sereinement dans l’océan Pacifique. Nous restons donc prudents et attentifs face à ces prochaines heures, qui s’annoncent cruciales pour la suite de la course de Charlie. »

Au classement de 14h, Charlie comptait 121 mn de retard sur Thomas Ruyant. Un écart qui devrait augmenter, Apivia étant rattrapé par l’anticyclone qui s’étend au sud de la Tasmanie.

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Vendée Globe. Thomas Ruyant, nouveau leader

Thomas Ruyant s'entraine à bord de LinkedOut pour le Vendee Globe au large de Groix, France, le 1 Juin 2020. (Photo Pierre Bouras / TR Racing)

Thomas Ruyant sur LinkedOut retrouve la tête du Vendée Globe abandonnée depuis le 23 novembre dernier en Atlantique, aux prises avec des soucis de hook qui l’avaient contraint à arrêter son bateau avant de connaître par la suite une série d’avarie notamment sur son foil tribord.

Sérieusement diminué sur le bord le plus usité sur l’Océan Indien, Thomas Ruyant est resté au contact d’Apivia. Ce dernier vient à son tour de connaitre des soucis techniques qui permettent à Thomas, bien positionné en son Sud ces dernières 40 heures, de reprendre le leadership.

Si Thomas a impressionné Yannick Bestaven, la réciproque est aussi vraie ; « Yannick va très vite » raconte Ruyant. « Il est très bien revenu ces deniers deux jours, qui étaient très favorables aux foilers, avec un angle au vent et un état de mer propices à bien utiliser ces appendices. Je ne suis malheureusement pas sur le bon côté et je dois beaucoup « charger » le bateau pour avancer (mettre beaucoup de toile ndlr). En utilisant à fond mes ballasts et en portant beaucoup de toile, je fais giter le bateau et peux ainsi m’appuyer sur le coude restant de mon foil. Ce n’est pas de la navigation en vol mais cela me permet de m’accrocher ».

Thomas devrait, dans les toutes prochaines heures, empanner enfin sur le « bon bord ». « Je sens que le vent prend déjà de l’Ouest » décrit-il. « Vivement le Nord-Ouest, même si nous serons alors au portant dans le lit du vent, en vitesse vmg, qui n’est pas favorable à l’utilisation des foils, je me sentirai mieux de pouvoir ainsi profiter à 100% de mon bateau. »

Le Vendée Globe connait donc aujourd’hui un nouveau tournant, le leader Apivia à son tour contrarié par des avaries. Yannick Bestaven a réglé les siennes et repart de plus belle. Thomas s’est intelligemment laissé glisser au Sud, et profite ce matin d’un peu plus de pression que son adversaire. « Je suis désolé pour Charlie. J’ai été surpris de le voir ce matin quasiment arrêté » précise t’il, « Mais je ne vais pas ralentir. Je me suis battu pour être là où je suis aujourd’hui. Les prochaines heures sont propices à la vitesse, tandis que derrière, le groupe de chasse bute dans l’anticyclone. Je ne m’emballe pas. Je garde la tête froide, mais je suis content de me retrouver en tête après un demi-tour du monde. »

Les températures baissent drastiquement au fur et à mesure que LinkedOut plonge vers le Sud et les 50èmes. Thomas a sorti toute la panoplie de ses vêtement polaires. « Même avec les gants et le bonnet, ça caille à l’intérieur » s’amuse-t’il. Alors qu’il entrevoit la sortie de l’Océan Indien, un nouvel état d’esprit s’empare du skipper Nordiste. « Je vais découvrir le Pacifique, n’ayant pu y entrer il y a 4 ans suite à mon abandon au sud de la Nouvelle-Zélande. J’ai hâte d’y être, et j’espère que la mer y sera moins difficile que dans l’Indien. C’est apaisant de savoir que l’on n’aura pas de grosses tempêtes à venir. Je me concentre sur ma course, mes trajectoires et mon bateau. Je ressens une certaine sérénité. »

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Vendée Globe. Clarisse : ” Ce qui compte c’est maintenant “

Photo envoyée depuis le bateau Banque Populaire X pendant le Vendee Globe, course autour du monde à la voile, le 13 Décembre 2020. (Photo prise par le skipper Clarisse Cremer)

Clarisse poursuit sa route, sa course, son aventure en approche du Cap Leeuwin. Ses mots du bord.

“Ce matin je suis au paradis. Après un envoi de gennak au lever du jour (22h TU pour mon beau Banque Populaire exilé au fin fond de l’océan Indien), j’ai eu un petit coup de mou, alors je suis retournée dormir un peu. La mer est plate et le sommeil n’en est que plus exquis, je sombre dans une espèce de rêverie intense où se mêlent des concurrents du Vendée Globe, des îles perdues, des manchots empereurs et des yacks et me réveille en sursaut 2h plus tard. Quel bonheur de dormir si profondément !

Et surprise, le vent a molli et le soleil apparaît, timide mais réchauffant. Après un petit point météo me voici dehors, sur ce toboggan à sacs de voiles que nous appelons ironiquement « le bain de soleil » et qui ce matin m’accueille comme un banc vue mer. Mon pamplemousse en main, puis en bouche, ma musique dans les oreilles (un joyeux mélange de Jeff Buckley, de Otis Redding et de Offenbach) je suis au paradis.

Je ne suis pas du style à trouver de sens caché à la vie en général, mais ce matin j’ai l’impression que tous les événements de ma vie ont été organisés pour me retrouver ici, à cet instant précis, pour vivre ce moment de joie unique. Peu importe si demain je ne suis pas en forme ou si une mauvaise surprise m’attend, ce qui compte c’est maintenant. Et ce moment de joie vécu, il ne pourra plus jamais m’être enlevé. Merci le Vendée Globe ! “

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Vendée Globe. Une solution envisagée pour Apivia

Charlie Dalin à bord d’ Apivia, le 29 Aout 2020, au large de Groix. (Photo Jean-Marie Liot/Alea/Disobey)

Le foil bâbord d’Apivia est intègre mais c’est sa cale basse qui est endommagée. Charlie Dalin va tenter de réparer ce mardi pour reprendre le fil de sa course.

Depuis 19h heure française hier soir, Charlie Dalin met sa course entre parenthèse pour prendre le temps d’inspecter son Imoca APIVIA. Après avoir entendu un bruit important à bord, il avait été fortement ralenti dans sa progression alors qu’il se trouvait en tête de flotte. Ses premières constatations faites alors de nuit, indiquaient que le système de foil bâbord était endommagé sans qu’aucune voie d’eau ne soit constatée par ailleurs.

Plus précisément, l’avarie observée ne semble pas liée à un choc avec un OFNI car le foil bâbord est intègre. Elle concerne sa cale basse (point d’appui bas du foil, jonction entre le foil et le bateau) qui est endommagée. Charlie s’est donc d’abord concentré sur la fixation du foil en question pour sécuriser le puits.

Une cellule de crise, composée entre autres de trois membres du team technique Apivia Voile, Antoine Carraz, Antoine Gautier et François Gabart, s’est ensuite organisée à Concarneau, en liaison directe avec Charlie Dalin ces dernières heures pour étudier la meilleure solution à mettre en œuvre.

Les conditions attendues sur zone ce mardi semblent favorables pour tenter une réparation ces prochaines heures. Charlie a d’ailleurs empanné ce matin pour démarrer la procédure et fait actuellement son possible pour reprendre son Vendée Globe au plus vite.

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Vendée Globe. Images du bord J36

Pétole à bord de Groupe Apicil. Romain Attanasio a eu un mot de la maitresse de son fils.

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Vendée Globe. Yannick Bestaven répare sa voile, Maitre CoQ

Yannick Bestaven a pu réparer son J2 et a retrouvé son bateau à 100% de son potentiel. Il peut se battre face aux deux autres foilers Apivia et LinkedOut.

“Oh punaise, tu ne peux pas savoir comme je suis content, content ! Cela fait une semaine que j’ai une déchirure sur mon J2, ça m’handicapait. J’ai profité ce matin car il y avait un peu moins de vent et moins de mer pour monter tout là-haut et mettre un patch. Je suis en nage mais heureux ! Ça me prenait la tête depuis des jours, je voyais bien que j’avais une déchirure, je ne pouvais pas utiliser mon J2. J’avais mon petit gennaker, mais plus la voile tout terrain pour être tranquille. J’avais préparé toutes mes pièces nécessaires en bas, des morceaux de Cuben, de l’acétone, du sikaflex, de la colle, des ciseaux… Je me suis mis plein vent arrière, j’ai déroulé le J2 à contre pour que la voile pose sur le mât. Et puis, j’ai mis mon casque, mes grimpeurs d’escalade, j’ai pris un petit Doliprane car j’ai une petite sciatique et je me suis dit « aller, faut monter, c’est maintenant ou jamais ». C’est une victoire, j’ai un bateau nickel maintenant, comme au départ des Sables d’Olonne. C’est chouette ! J’ai dû m’arrêter une heure et demie, plein de vent arrière à 5 nœuds. Champagne ! je ne disais rien à personne, mais ça me prenait la tête !

Pour notre petit groupe c’est bien, on ne s’est pas jamais arrêté. On va toucher du vent au fur et à mesure, et nous aurons plus de vent le long de la zone des glaces. On va continuer à creuser l’écart sur le groupe de l’arrière, c’est l’objectif. J’avais vu que la bulle allait nous rattraper, c’est pour ça que j’ai tartiné avec le petit gennaker sur la tranche, ce n’était pas confort et il fallait que je fasse gaffe quand même. Il fallait suivre pour ne pas être dans la bulle sans vent derrière. Je ne suis pas au courant pour Charlie (Dalin), mais j’ai bien vu qu’il ralentissait. Je ne suis pas étonné ! Ce sont des bateaux plus rapides, ils devraient aligner de meilleures moyennes que moi. Je me doutais bien qu’il avait un souci, en revanche je trouve que Thomas (Ruyant) va bien quand même. Mes foils ne sont pas très grands mais costauds ! »

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Vendée Globe. Avarie sur Apivia, système de foil endommagé après une collision avec un ofni

Le skipper francais Charlie Dalin s’entraine à bord d’ Apivia, le 2 Septembre 2020, sur l’Atlantique. (Photo Vincent Curutchet/Alea/Disobey)

Charlie Dalin a informé son équipe d’un problème sur Apivia au niveau de son système de foil bâbord qui a été endommagé par un Ofni.

Ce lundi après-midi, vers 19h heure française, alors qu’APIVIA naviguait en tête de flotte, Charlie Dalin a été ralenti après avoir entendu un bruit important à bord. Charlie est en ce moment en train d’analyser la situation avec son équipe à terre pour mesurer l’importance des dégâts possiblement causés notamment au niveau du système de foil bâbord.

Alors qu’il naviguait en tête de flotte, 65 milles devant Yannick Bestaven, Charlie Dalin a appelé son équipe technique vers 19h ce lundi après avoir entendu un bruit qu’il n’identifie pas, pour l’heure, être lié à un OFNI.

Après une première inspection de nuit, il a déjà pu constater que le système de foil bâbord était endommagé. Il n’a pas remarqué de voie d’eau à bord mais Charlie poursuit son état des lieux afin d’anticiper des réparations et met tout en œuvre pour maîtriser la situation.

Il navigue actuellement à 13 nds alors que Yannick Bestaven sur Maitre CoQ file à 22 nds. Au classement de 21h UTC, Yannick Bestaven comptait 42 milles de retard et Thomas Ruyant 53,8 nm. A noter que du temps devrait être redonné à Maitre CoQ en compensation du temps passé à aider aux recherches de Kevin Escoffier.

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Vendée Globe. L’aventure Initiatives Coeur continue, Sam Davies est repartie

Sam Davies a quitté Cape Town à 16h00 (heure française) ce lundi heureuse de reprendre le large après d’ultimes vérifications avec son équipe technique. L’aventure continue ainsi hors course pour la navigatrice qui ne se fixe pour le moment pas d’objectif sportif. Elle puise sa motivation dans la poursuite de son projet solidaire qui doit lui permettre de sauver 60 enfants en levant des fonds pour l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque.

La course a basculé brutalement pour Sam Davies, le mercredi 2 septembre alors qu’elle heurtait un OFNI par la quille. Moins de 72 heures plus tard, la plus française des Britanniques annonçait son abandon ainsi que sa volonté de poursuivre son aventure hors course, faisant preuve d’une formidable résilience pour surmonter le choc psychologique de l’accident et la déception d’une course achevée prématurément.



UNE MOTIVATION : SAUVER DES ENFANTS
Il ne lui a pas fallu longtemps pour retrouver le sourire dont elle ne se départit que rarement. S’il en est fini de ses ambitions sportives, son objectif humanitaire demeure. Il devient désormais l’essence même de la nouvelle aventure qui commence.
En effet Sam défie les océans pour sauver des enfants. Pour chaque nouveau fan ou partage sur les comptes Facebook et Instagram d’Initiatives-Cœur, les partenaires mécènes du bateau (Initiatives, K-Line et VINCI Énergies) versent 1€ à l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque, qui opère en France des enfants atteints de graves malformations cardiaques venant de pays défavorisés. Depuis le début du Vendée Globe, 37 enfants ont déjà pu être sauvés grâce à cette opération baptisée 1 clic = 1 cœur et à la générosité du public dont les dons arrivent en grand nombre. L’objectif est d’arriver à 60 enfants sauvés sachant qu’une opération coûte 12000€.
Si Sam avait aussi besoin de repartir pour se reconstruire psychologiquement et retrouver le plaisir de naviguer, c’est bel et bien dans la perspective de continuer à sauver des enfants qu’elle a puisé sa plus grande motivation.
Elle peut également s’appuyer sur l’histoire du Vendée Globe, riche de 12 skippers ayant bouclé l’épreuve hors course, de Patrice Carpentier en 1990 à Bernard Stamm en 2013, en passant par Isabelle Autissier en 1997

DES DERNIERS RÉGLAGES JUSQU’AU PETIT MATIN
Après plusieurs jours de chantier, Initiatives-Cœur a été remis à l’eau dimanche après-midi. L’équipe technique a travaillé d’arrache-pied toute la nuit de dimanche à lundi pour remettre tout en place, nettoyer certaines pièces ou encore rebrancher l’électronique. Vers 14h00, Sam a quitté son ponton avec plusieurs membres de l’équipe sous les encouragements de nombreuses personnes venues lui apporter des cadeaux et lui souhaiter bon vent. Elle a ensuite profité du vent pour remettre le bateau en tension et reprendre confiance. Vers 16h00, les derniers membres de l’équipe à bord ont rejoint un semi-rigide, signifiant le début de sa nouvelle aventure en solitaire autour de la planète.

INITIATIVES-CŒUR SUR LA CARTOGRAPHIE OFFICIELLE DU VENDÉE GLOBE

Bien que hors course, Sam bénéficiera toujours de la surveillance des organisateurs du Vendée Globe qui pourraient par exemple lui porter assistance en cas de pépin. Pour les nombreux suiveurs d’Initiatives-Cœur et notamment les dizaines de milliers d’élèves et enseignants qui s’intéressent de près à l’aventure de Sam, il sera toujours possible de la voir sur la cartographie officielle de la course, où il sera affiché clairement qu’elle n’est plus en compétition. Ses vidéos seront également toujours hébergées sur le serveur officiel de la course avec possibilité pour les médias de les récupérer en quelques clics.

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