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Le Record SNSM Saint-Nazaire Saint-Malo, c’est parti !

Grand Prix de la Trinité sur Mer 2004
DR

Une plate-forme de communication sur la sécurité en mer.
Un événement inédit en trois temps :

Premier rendez-vous

Du 17 au 20 avril, les navigateurs d’exception ouvrent la ligne du Record SNSM entre Saint-Nazaire et Saint-Malo

Les plus grands navigateurs ont choisi d’offrir leur notoriété à la SNSM le 19 avril, en se lançant les premiers sur le Record SNSM Saint-Nazaire Saint-Malo. L’un d’eux établira le premier temps de référence du Record, en trimaran 60’ :
Michel Desjoyeaux(Géant), parrain du Record SNSM et qui soutient cette belle initiative depuis sa genèse. Il sera associé à Vincent Riou, brillant vainqueur du dernier Vendée Globe. Alain Gautier (Foncia) associé à Armel Le Cléach. Franck Cammas (Groupama), Thomas Coville (Sodebo), Pascal Bidegorry (Banque populaire), Fred Le Peutrec (Gitana XI), Thierry Duprey (Gitana X)

Déroulé de l’événement

Dimanche 17 avril
• 12 h : arrivée des trimarans dans le port de Saint-Nazaire

Lundi 18 avril
• 12 h : conférence de presse à l’hôtel de ville de Saint-Nazaire
• 19 h : dîner officiel

Mardi 19 avril
• 13 h : sortie des bateaux
• Entre 14 h et 16 h : départs échelonnés des 6 trimarans

Mercredi 20 avril
• Arrivée prévue à Saint-Malo entre le petit matin et le milieu d’après-midi
• 19 h : Remise des prix à la Chapelle Saint-Sauveur de Saint-Malo (intra-muros)

Parcours

284 milles de Saint-Nazaire à Saint-Malo. Les bateaux laisseront les îles de Sein et Ouessant à tribord, ainsi que toutes les marques qui balisent la Bretagne nord.
56 stations SNSM jalonnent le parcours.

 
Ellen Mac Arthur, la femme la plus rapide autour de la planète, pointera l’étrave de son maxi Castorama sur la ligne de départ du Record SNSM avant l’été, ainsi que Jean-Luc Van den Heede. Bruno Peyron et Oliver de Kersauson ont également fait connaître leur intention d’y participer cette année.

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Début des (vraies) hostilités

Jeanne Grégoire - Banque Populaire
DR

Il suffit de jeter un œil rapide aux trajectoires suivies depuis la nuit dernière pour s’apercevoir que cette fois, les douze solitaires de ce Trophée BPE Saint-Nazaire Cienfuegos de Cuba sont dans le vif du sujet. Après avoir dessiné un premier étranglement, les routes ont éclaté en bouquet, puis se sont de nouveau rapprochées. En un mot, les trajectoires ne sont plus parallèles. Même si tous ont dans la tête d’aller chercher dans l’ouest pour passer un front qui les autoriserait ensuite à descendre sous spi vers les Açores, on note avec intérêt que les sudistes – Total, Entreprendre au Pays de Lorient, Little Black Shark et Coutot Roehrig – ont une nette tendance à rejoindre l’idée du peloton de tête sur sa route médiane.
A l’opposé, Dominic Vittet sur Atao Audio System revient lui aussi dans cet axe : alors qu’il semblait confiant dans sa route nord voilà 12 heures, il a étonnamment accepté de perdre du terrain en croisant copieusement la route de Gedimat, lequel persiste au plus nord de la flotte. Comme il n’a pu être joint à la vacation de ce midi, on ne sait pas quelle est l’idée exacte de Dominic. L’espoir d’Armel Tripon, lui, est de toucher le premier une rotation au nord-ouest qui lui permettrait de recoller au peloton de tête. A la vacation de ce midi, en duplex entre le PC presse de Saint-Nazaire et le Yacht Club de France, il était d’ailleurs intéressant de constater que le nordiste évoluait dans un flux différent des autres Figaro Bénéteau. « Je touche du sud-ouest de l’ordre de 18 nœuds » expliquait Armel Tripon, alors que tous les autres concurrents évoluaient au près dans  «un flux d’ouest de 13 à 15 nœuds », comme notaient Marc Emig (Total) et un Gildas Morvan qui avait hissé son Cercle Vert en deuxième position, juste derrière le Banque Populaire de Jeanne Grégoire, en tête pour la première fois depuis le départ.
« C’est la belle et la bête en tête » , s’amusait Lionel Péan. «Avec Gildas, on ne se quitte pas » confirmait Jeanne, évidemment pas mécontente d’être la première femme en tête d’une course en solitaire depuis l’odyssée d’Ellen MacArthur.  «Jeanne m’a un peu énervé à me doubler cette nuit », répondait le principal intéressé, « mais il y a du vent, grand soleil et ciel bleu…  ça ne peut pas aller beaucoup mieux !»

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Global Challenge : Cape Town dans quelques heures ?

Global Challenge - BP Explorer
DR

« Nous avons environ 25 nœuds de vent, le spi est de sortie et nous filons vers Cape Town à 10 – 12 nœuds ». James Allen, skipper de Me To You, a bien l’intention de continuer à contrôler Samsung et BG Spirit jusqu’à l’arrivée de la 4ème manche du Global Challenge. « Ces derniers jours, nous avons su saisir notre chance… nous avons doublé BG Spirit et aussi Samsung, et nous sommes actuellement à une quinzaine de milles devant ce dernier, qui se trouve plus au nord. J’espère que nous pourrons le contenir jusqu’à l’arrivée, soit deux jours environ. » Pour autant, Me To You ne joue pas la victoire puisqu’il se trouve à 200 milles du leader, et seulement en 8ème position : mais James Allen défendra sa place bec et ongles, et ne cache pas sa satisfaction d’avoir réussi à grimper au classement… Mais Matt Ridell, skipper de Samsung, n’entend pas rester neuvième : « nous nous sommes positionnés dans le nord d’une zone de hautes pressions et nous tirons actuellement parti de vents d’est, afin de faire la meilleure vitesse possible en direction du cap des Aiguilles ».

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“Powered By Le Défi”””

China Team
DR

Voici donc les premières ébauches de l´identité graphique prévue par l´équipe.

"China Team Powered By Le Défi", on est en pleine rhétorique automobile… L´appellation a au moins le mérite de préserver les deux identités, même si elle apparaît quelque peu alambiquée. Si la déco révélée ici est validée, on notera que le chantier ne devrait pas coûter trop cher en travaux de peinture. Il est vrai que la coque rouge avait quelque chose de prédestiné…

Le document complet se trouve à l´adresse suivante :

www.challengercommission.com/chinateam.pdf

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Trophée BPE : de l’air… enfin.

Dominic Vittet - Atao Audio System
DR

Du coup les pilotes automatiques sont passés à l’action, permettant aux skippers d’entrer dans le rythme du sommeil fractionné.”Le pilote est branché depuis hier soir, il y a 12 noeuds de vent, c’est idéal pour lui et il barre super bien”” avoue le marseillais Marc Emig (Total) –  qui se plaint du froid engendré par cette coulée d’air venue du pôle nord. “” J’ai fait bannette depuis hier soir “” explique Dominic Vittet – Atao Audio System. “”Je me lève, je règle, je regarde les cartes météo et hop je retourne dans la bannette car il faudra du jus pour attaquer la suite “”. Vittet est le plus au nord d’une flotte qui s’étale désormais sur 70 milles en latitude. Car outre le sommeil, la stratégie a fait elle aussi ses premières armes. La flotte doit contourner une nouvelle bulle anticyclonique sans vent au milieu du Golfe de Gascogne. Le gros de la troupe tente de la passer par le nord. Seuls trois Figaros Bénéteau tentent la voie étroite du sud, avec une réussite incertaine pour le nazairien David Raison – Coutot Roehrig le plus extrême dans cette option: “” Physiquement tout va bien, mais tactiquement ça ne se présente pas comme je voulais, j’ai bien plongé sud mais je n’ai presque plus de vent.”” Après cette dangereuse bulle, les Solitaires du Trophée BPE vont partir à la recherche d’un autre système météo, balisé par une dorsale qui doit leur amener des vents portants à partir de demain après midi. Classement de 5h00 (Heure française):1 – Eric Douglazet (Crédit Maritime – Zerotwo) à 4 096,0 milles de l’arrivée2 – Charles Caudrelier (Bostik)à 1,8 milles du leader3 – Jeanne Gregoire (Banque Populaire) à 2,8 milles du leader “

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“Montée en puissance”” laborieuse”

Charles Caudrelier - BOSTIK
DR

Ce lundi soir, Charles Caudrelier sur Bostik mène toujours la flotte des douze solitaires devant Eric Drouglazet (Crédit Maritime-Zerotwo) et Jeanne Grégoire (Banque Populaire). A la vacation radio de ce midi, on comprenait néanmoins qu’il fallait prendre avec des pincettes de précision les distances au but, pour l’instant non signifiantes alors que la flotte est relativement groupée. Après un peu plus de 24 heures de course, Cuba est encore loin, bien loin. Gildas Morvan, qui a glissé son Cercle Vert sur les talons du trio de tête, préfère s’en amuser : «on a du faire 70 milles depuis le départ et il n’y a pas si longtemps on voyait encore Belle-Ile». On l’aura compris, ce qui manque le plus aux concurrents depuis dimanche soir c’est le vent. Pétole molle sur la trajectoire. Et derrière les mots des skippers, on percevait le bruit significatif des voiles qui claquent en se demandant de quel côté porter… Yannick Bestaven (Aquarelle.com) en a même fait une pertinente démonstration en direct : «mon pilote bipe, il ne sait plus où est le vent, je suis en train de faire un 360 ! » Un seul instant d’inattention et Aquarelle.com ne savait plus où donner de l’étrave. Après avoir obtenu quelques secondes pour remettre le bateau dans le bon sens, Yannick a préféré en sourire : « c’est comme ça depuis hier soir et là Skandia en a profité pour me grappiller quelques mètres. Il faut que je me méfie de Samantha !». Un peu en retrait de la flotte sur Coutot Roehrig, David Raison confirmait : «les voiles dégoulinent d’humidité. J’ai bien du mal à faire porter le spi ». Du vent pour personne et l’Atlantique à traverser pour tous. Sur Atao Audio System, Dominic Vittet livrait des chiffres révélateurs : «la force du vent oscille entre zéro et quatre nœuds grand maximum». Trop peu pour tirer la quintessence des Figaros Bénéteau, dont les vitesses ont rarement dépassé 4,5 nœuds entre dimanche soir et ce lundi midi. Seul point positif ou presque de cette situation, «même en cas de boulette, le risque de voir les autres beaucoup s’éloigner est minime au regard des vitesses très faibles de chacun », explique Jeanne Grégoire qui a réussi à hisser son Banque Populaire au troisième rang de la flotte. Jeanne confiait pourtant avoir « beaucoup dormi », alors que d’autres comme Yannick Bestaven ont passé toute la nuit à régler, barrer, changer de voiles : « le résumé de la situation c’est voiles qui claquent, vent qui tourne, spis qui tombent et remontent et toute la garde robe du bateau qui y passe pour essayer de grappiller un peu dans l’Ouest. Bord à bord avec Skandia et le Total de Marc Emig, le boulot ne manque pas pour moi !».

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Mondial Mumm 30 : La Trinité en vue

Mumm 30 Spi Ouest 2005
DR

Premier enseignement, les équipages étrangers sont déjà très affûtés. Le Mumm 30 « Astérix » skippé par le britannique Louis Brown  remporte la classique du week-end Pascal avec une sacré régularité. Il sera sans aucun doute l’un des prétendants à la victoire début juin. L’américaine Deneen Demourkas et son équipage de haut niveau, avec notamment Harnish Pepper à la tactique et le talentueux régatier français Laurent Pagés s’est rappelé au bon souvenir de la flotte française en prenant une belle deuxième place. Et puis, il faut noter aussi la présence dans le top 10, de l’équipage Allemand « Topas » et du hollandais Peter de Ridder sur « Mean Machine », champion d’Europe de la spécialité.A noter la venue au Mondial du récent champion du Monde de Farr 40 et détenteur du titre de champion du Monde de Mumm 30 à savoir l’Australien Richard Perini et 3 à 4 voiliers Italiens, maître dans l’art du Mumm 30.Et les français ? Et bien, ils n’ont pas régné en baie de Quiberon. Ce qui ajoute, sans conteste, un peu de piment à la compétition à venir. L’équipage nantais skippé par Pierre-Loic Berthet, deux fois vainqueur du Tour de France à la voile n’a pas remporté son quatrième Spi Ouest. Il arrache une quatrième place. Mais nul doute que ce team, certainement l’une des meilleures équipes française de course au large, saura rebondir très rapidement. Quant au Mumm 30 région Ile de France emmené par le jeune Jean-Pierre Nicol, il démontre avec une troisième place qu’il peut jouer les troubles fête. Les Normands de « Dieppe Seine Maritime » ont, quant à eux, pris la sixième place. A noter aussi la huitième place des Dunkerquois, encourageante pour ce nouvel équipage emmené par le duo Christophe Clévenot / Pierre-François Lepoutre et la onzième position de « Twin 3 » avec un certain François Brénac à la tactique.

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Oryx Quest 2005 : A une semaine de l´arrivée …

Doha 2006
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Carte postale de Jacques Vincent

” Bonjour,
Le nombre d´obstacle entre nous et l´arrivée est en nette diminution. Je n´en compte que deux : un anticyclone (et ses vents faibles) quelque part à l´ouest et le détroit d´Ormose, un goulet ou le vent peut souffler fort et nous empêcher de rentrer dans le golfe Persique. En ce moment, la mer est parfaitement plate, bleue et chaude (27 degrés), le ciel est merveilleusement azur et le soleil cruellement brûlant. Le vent faible n´atteint même pas la surface de l´eau et le bateau glisse tout doucement grâce au code 0 de plus de 300 m2. C´est donc sans hésiter que ce matin, j´ai décidé de quitter le bateau … d´un petit saut de l´entrave dans une mer limpide de 4000 mètres de fond, le premier bain depuis le départ, un bonheur intense….(qu´aucune piscine n´a jamais pu m’offrir). Sur les 25 000 miles de ce tour du monde, j´aurais fait 1/10eme de mille à la nage. C´est un bon début. J´en ai profité pour examiner les safrans: RAS. Au-dessus de l´eau comme sous l´eau, le bateau semble en parfait état. Il nous avait semblé voir une fissure sur la partie basse du bras de liaison qui supporte le mât mais en passant sous le bateau, je n´ai pu constater qu´un défaut de peinture, tant mieux !
La vie à bord est très supportable, tous les hublots sont ouverts et un vent rafraîchissant assaini les couloirs du dortoir. Fraser se promène toujours avec un petit pansement ici ou la, mais cela fait partie de sa garde-robe depuis le départ. Karine lui fait un peu de concurrence avec un petit bandage au poignet, un brin de coquetterie dans ce monde sauvage. Les coups de soleil de nos amis anglais perdent de leurs éclats, on voit même poindre un début de bronzage ! Le moral est bon, il semble que le plus dur est dans le sillage. Brian promène un regard apaise sur l´horizon pur, pas une ombre même pas celle du rationnement, et les chocolats arrivent toujours à l´heure, tous les deux jours, dans les placards attitrés à chacun des quarts””.

Flash-back…
“”Car finalement, on est passe entre 2 cyclones, un vrai, Hennie, qui nous a obligé à rallonger considérablement notre route vers l´Est pour l´éviter, et un autre en formation dans l´ouest dont on a vu que les éclairs de nuit. La remontée de l´Océan Indien s´effectue contre le vent et contre la mer ? Pendant plusieurs jours, le bateau a tapé fort dans le clapot. Afin de réduire les impacts dus au tangage et peut être aux formes de carènes, de nombreuses théories sur le placement des poids (voiles en sacs et ballast) ont été évoquées et mises a l´épreuve. Les résultats sont sous scellés dans l´ordinateur… ou solidement ancrés dans l´imagination de certains. Les grains qui nous ont longtemps accompagnés, nous gardant en éveil une main sur chaque écoute, n´ont pas franchi l´équateur avec nous, laissant la place a un beau ciel etoilé de nuit et brûlant de jour.
“”Plus que 8 levers de soleil avant d´apercevoir les tours de Doha, tout à une fin. À bientôt
Jacques “” “

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Un Français chez Brasil 1…

Les
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Faire réparer un mât brisé non loin du cap Horn, savoir exactement quel est – pour chacune des escales – le moyen le plus rapide d’acheminer des pièces de rechange, connaître l’adresse des hôtels par cœur ou encore savoir où et quand l’équipage prendra ses repas en Australie : le responsable de l’équipe à terre se doit d’être une véritable machine organisationnelle, afin que tout se déroule pour le mieux côté sportif. « Je sais que mon boulot n’est pas le plus prestigieux de l’équipe, explique Hervé Le Quilliec, mais il est très important. Et pour le faire efficacement, il faut penser avec un coup d’avance. En premier lieu, il faut être prêt à réagir, passer en revue toutes les possibilités. Par exemple, sur certaines escales, il sera logique de faire venir l’équipe de maintenance au bateau et à l’inverse, parfois il faudra acheminer le bateau jusqu’à l’endroit où les préparateurs se trouvent – c’est pour cela qu’il est essentiel de faire un planning précis.» Autre aspect important de la fonction, le responsable de l’équipe à terre fait le lien entre les marins et le comité de course. « Il est difficile de joindre directement les gens à bord, je ferai donc office de passerelle. Et il faut aussi assurer la communication avec les familles des navigants. Si quelqu’un veut être à l’escale au bon moment pour accueillir le bateau, c’est moi qu’il doit appeler pour savoir précisément quand partir.» Un programme chargé pour un seul homme, mais Hervé Le Quilliec en a vu d’autres… Lors de la dernière Volvo, il officiait chez Nautor Challenge et avait la charge des deux bateaux (Amer Sports One et Too). « Cela ne fait pas une grosse différence, souligne-t-il, à l’époque, il y avait juste plus de monde à gérer. » La construction du VO70 Brasil 1 doit s’achever en mai, et le baptême du navire est prévu pour le mois de juin.

Source Volvo Ocean Race (traduction JB)

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Philippe Legros Champion de France de Match Racing

Philippe Legros et son équipage
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Un championnat ouvert
Dimanche, le deuxième Round Robin entre les six premiers équipages s’est révélé très ouvert, reflétant finalement le niveau homogène de la flotte. Dans un vent de Sud-Est soutenu, les régates ont été lancées vers 10h00 tout près de la digue Est du Port de la Grande Motte.
Aucun équipage n’a été dominateur et chacun a eu sa chance de gagner un ticket en finale. Il a donc fallu encore une fois départager plusieurs ex-aequo pour sortir les quatre premiers du classement et passer directement aux phases finales.
En progression constante pendant ces quatre jours de régate, le brestois Philippe Legros et le hyérois Erwan Israel se retrouvaient en finale pour un combat singulier en deux matchs gagnants. Et c’est finalement l’équipe bretonne qui l’emporte aisément, une victoire qui récompense trois années d’assiduité à ce championnat.

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