"Les plans VPLP-Verdier sont de faux maigres : ils sont légers, certes, mais ils sont aussi puissants !" D’une phrase, Jean-Pierre Dick met fin au débat par trop simpliste qui voudrait qu’on ait à choisir entre ces deux caractéristiques essentielles. La nouvelle jauge est passée par là et en limitant le couple de redressement à 32 t/m, a exclu la possibilité de refaire des bateaux ultra puissants. "De plus, je ne crois pas nécessaire d’aller à la puissance max. Ce qu’il faut, c’est faire le bateau qui corresponde le mieux au skipper, qu’il puisse utiliser ce qui est disponible en fonction de sa façon de naviguer et de ses capacités." On croirait presque entendre Guillaume Verdier ou Vincent Lauriot-Prévost. Et pour cause : ce sont eux les architectes, comme pour Safran et les nouveau PRB et futur Foncia. Ce qui ne veut pas dire qu’on aura à faire à trois bateaux identiques, justement parce que chaque skipper apporte sa pierre à l’édifice. Construit en 9 mois chez Cookson Boats en Nouvelle-Zélande, Virbac-Paprec 3 a été mis à l’eau le 18 mai à Auckland…
Lire la suite dans le nouveau Course Au Large N°42, disponible en kiosques.
A lire également dans ce nouveau Course Au Large :
Transat AG2R : L’histoire du Chacal et du bizuth
Il y a 20 ans : Maurel et Desjoyeaux
Vendée St-Petersbourg : à bord d’Actual
Volvo Ocean Race : le retour de la France
Paroles de skipper : l’évangile selon Saint Paul
Etc….
