L’incertitude liée à l’évolution de la dépression espagnole et ses possibles vents faibles aux abords de l’arrivée à Bilbao de la Solitaire Afflelou Le Figaro ravive la mémoire du vainqueur de l’édition 1993, Dominic Vittet : « C’était à la Corogne, seuls six d’entre nous avaient réussi à passer avec un reste de petit vent thermique et puis après rideau, plus du tout de vent, plus rien, tous les autres scotchés… Le lendemain, j’étais à manger au restaurant avec les cinq autres qui avaient réussi à passer, entre autres Jean Le Cam et Roland Jourdain, et on a vu Eric Drouglazet, arriver septième… quinze heures après nous ! Nous nous sommes regardés, interloqués, et on s’est dit : l’un de nous va gagner la course. C’était la première étape et la course était pliée…»
Dominic Vittet se souvient de 1993
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