En vacation pendant la Transat Ecover B to B, Michel Desjoyeaux évoque les avaries qui "font partie du sport mécanique". Celle de son Foncia mais aussi celles survenues aux autres et sur la Barcelona : « Je ne sais pas si c’est l’âge, mais je relativise. C’est sûr, le bateau est cassé, et ce n’est pas très joli. Je pourrais me flageller, mais franchement, je n’ai pas de raison d’aller mal. (…) Sur la transat Ecover-BtoB, je crois que tout le monde a eu son lot de soucis (démâtage de Brit Air, problème de voiles d’avant sur Generali, de vérins de quille sur Safran, de moteur sur Ecover, etc…). Quand on voit que Mike Golding jette l’éponge, un vieux briscard comme ça, d’habitude si dur au mal… De mon côté, le point positif, c’est que j’ai beaucoup appris sur le bateau. Quant aux deux démâtages sur la Barcelona World Race, il ne faut pas les mettre dans le même sac. J’ai suffisamment de détails sur celui de PRB (tête de mât cassée sur 3 mètres) et je m’y intéresse tout particulièrement car nous avons le même constructeur. En revanche, je ne sais pas pourquoi Delta Dore a perdu son mât. Il ne faut pas oublier que nous pratiquons un sport mécanique. Il faut faire avec, sinon, on ne le fait pas ! ».
Desjoyeaux revient sur les avaries des Imoca
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