A quatre jours de l’arrivée en Guadeloupe, Armel Tripon reste concentré au maximum. L’incident n’est jamais loin sur les 60 pieds lancés à pleine vitesse sous spi. Armel Tripon : “C’est la nuit ici au milieu de l’Atlantique, j’ai vu quelques éclairs au loin mais depuis quelques heures le vent est plus stable et un peu moins fort qu’hier. C’est plutôt pas mal, même si c’est quand même stressant sous spi en solitaire. Je suis très concentré pour ne pas faire de bêtises. Je suis en déficit de sommeil car les nuits sont stressantes et à l’intérieur du bateau il y a un vacarme terrible. Je me souviens de Christophe Auguin (vainqueur du Vendée Globe 1996-1997 ndr) qui disait déjà que le bruit à l’intérieur de ces bateaux rendait fou et qu’il fallait faire quelque chose pour le réduire. Plus de 15 ans plus tard, les bateaux ont encore accéléré, sont encore plus raides et donc encore plus bruyants. C’est un truc de malade.”
Des nuits stressantes pour Armel Tripon
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