Il semblerait que pour gagner le Vendée Globe, il faille un moteur Nanni, capable de survivre à la noyade…
Parmi les nombreux atouts que partagent Michel Desjoyeaux et François Gabart, ils avaient tous les deux ont un moteur Nanni à bord pour entraîner le générateur qui charge le parc de batteries. Cette énergie doit être disponible à tout moment et ce malgré dans des conditions hostiles quand le bateau gite et tape ; elle est nécessaire pour les instruments de bord, pilote automatique, systèmes de navigation et télécom, hydraulique quille relevable, pompes, déssalinisateur.
Parfois, la machine subit de très mauvais traitements comme l´envahissement du compartiment moteur, ce qui est arrivé à Michel Desjoyeaux pendant les premières heures de la dernière édition.
Quant à François Gabart, l´eau de mer est remontée dans les cylindres par l´échappement.
Dans ces conditions extrêmes, les moteurs Nanni ont fait mieux que survivre et ils ont continué à tourner rond.
Michel Desjoyeaux et son équipe de Mer Agitée ont une bonne expérience des moteurs Nanni. Ils ont choisi le Nanni N4.38 pour son rapport poids/puissance, sa fiabilité et sa conception écologique, pour équiper les anciens bateaux de Michel Desjoyeaux, notamment son Open 60, gagnant de la dernière course en solitaire autour du monde, ainsi que son dernier Open 60 (aujourd´hui Banque Populaire), et finalement Macif.
Nanni s’en retrouve à la première place, et cela deux fois de suite !
Surmonter une noyade du moteur au début du Vendée Globe pourrait être un bon présage pour gagner la course, à condition que la diseuse de bonne aventure se nomme Nanni…
Source : Nanni Diesel
www.nannidiesel.com