Mapfre, dernier bateau à franchir la ligne d’arrivée au Cap, a tout à gagner sur la deuxcième étape de la Volvo Ocean Race. Avec une équipe remodelée comprenant Rob Greenhalgh et Jean-Luc Nélias en remplacement de Michel Desjoyeaux et Nicolas Lunven, les Espagnols vont concentrer une partie des regards. Jean-Luc Nélias est bien conscient des difficultés potentielles dans ce genre de course en équipage. “Je déciderai, avec l’équipe, une fois à Abu Dhabi si je poursuis ou pas dans ce rôle, s’il y a un avenir à cette collaboration. La Volvo, c’est un engagement important. J’en parle en connaissance de cause. Je mesure ce que cela représente. On verra si je suis capable de faire une nouvelle Volvo Ocean Race. Le collectif, c’est un peu le paroxysme de la Volvo Ocean Race. Ce sont des étapes de 25 jours où tu dois arriver à vivre ensemble tout en gérant l’aspect compétition et classement. Le tout, en huit clos ! Ce n’est pas comme une équipe de foot qui joue un match et qui rejoue le mercredi après avoir débriefé avec le coach, le président du club, le staff, … Là, il n’y a pas de médiateur”.
Jean-Luc Nélias reste prudent
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