Kevin Escoffier, Dongfeng Race Team : « Ca fait plaisir, j’ai hâte d’aller sur l’eau et de me confronter aux autres ! Le but du jeu, c’est de rester au contact, c’est la compétition. On verra ce que ça donne. Si jamais ce n’est pas fantastique sur la première étape, on aura largement le temps de se rattraper. Si jamais c’est bien, ce sera bon signe. Avec l’équipe que l’on a, on pourra tenir dans la durée. La course est très longue, il ne faut pas tout jouer sur une étape, surtout la première. »
Charles Caudrelier, Dongfeng Race Team : « La météo n’est pas trop violente pour démarrer, c’est plutôt pas mal. C’est un peu mou, il va y avoir des pièges. Après Gibraltar, les choix ne sont pas clairs. La route est assez directe, on ne perd pas trop de temps dans la Méditerranée mais on ne part pas pour un début d’Atlantique Nord très rapide. »
Anthony Marchand, MAPFRE : « J’ai eu un peu de mal à trouver le sommeil hier soir mais après j’ai super bien dormi. La pression ne monte pas vraiment encore. On verra quand on sera sur l’eau. Souvent, la procédure de départ tarde un peu et c’est là que la pression arrive. J’ai hâte d’aller sur l’eau. On va s’isoler, se retrouver en mode équipe. J’ai surtout hâte de passer Gibraltar. Parce que ca ne va pas être de tout repos jusque là-bas. Des bateaux, du courant, beaucoup de choses compliquées à gérer, des choses qui flottent dans l’eau …. Cette première partie peut être usante, fatigante. Après, on arrivera plus en mode offshore. Ce sera du plaisir ! »
Nicolas Lunven, MAPFRE : « J’ai hâte d’être parti. Il y a toujours le stress du départ, être sûr de ne pas avoir oublié quelque chose. Le début de course ne va pas être simple donc j’ai aussi hâte que l’on passe Gibraltar. L’intensité du départ est plus faible en équipage qu’en solo. Tu te reposes plus sur les autres. Le stress est plus diffusé dans l’équipe. C’est très très différent. »