Halifax, au Canada, n’est pas épargné par les conditions météorologiques. Le brouillard, la pluie et le vent se succèdent mais le ciel bleu trouve toujours un moment pour s’exprimer. « Il y a un dicton qui dit que si on n’aime pas le temps ici, il suffit d’attendre quelques minutes pour qu’il change » s’amuse Damien Seguin. Déjà triple champion du monde de la discipline, Damien a rejoint Halifax il y a plus d’une semaine pour récupérer le matériel, tester le plan d’eau et s’adapter au décalage horaire de la côte Est du Canada. Pour cette édition du championnat du monde paralympique, près de 50 bateaux sont engagés. Damien Seguin, troisième l’an dernier, n’a qu’une envie : renouer avec la victoire. Ce mondial est par ailleurs la première épreuve qualificative pour les Jeux Paralympiques de Rio, en 2016.
Damien Seguin : « Nous sommes bien installés mais aujourd’hui, c’est pluie, brouillard et on ne voit pas au-delà de 200 mètres. Cela dit, il y a un dicton ici qui dit que si on n’aime pas le temps qu’il fait, il suffit de patienter quelques minutes et ça change. C’est la Nouvelle Ecosse et elle porte bien son nom. Nous sommes arrivés 49 engagés en 2.4, ça fait beaucoup de monde. »
